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Branle bas de combat (Shmuel Trigano sur JForum.fr).

Si nous sommes arrivés à une telle situation où 138 Etats votent objectivement pour la création d’un État substitutif à l’Etat d’Israël, c’est le résultat d’un travail de sape systématique et sur un plan mondial des intérêts légitimes non seulement de l’Etat d’Israël mais aussi du peuple juif, car c’est désormais, sauf pour les autruches, ce qui est en jeu.

C’est un combat vital qui s’annonce pour la défense de l’existence des Juifs comme peuple, non pas camp humanitaire pour éclopés de la haine des Juifs, tirant sa légitimité d’un dédommagement coupable de la Shoah, mais comme peuple historique et souverain, aux droits positifs inaliénables.

En Europe, en France, nous voyons déjà se profiler ce combat avec la mise au ban des Juifs et du judaïsme à travers l’exécration d’Israël dont le cancer a gagné quasiment tous les secteurs de la société civile et pas seulement de la politique.

Ce terrible affaiblissement qui annonce le crépuscule de la vie juive en Europe n’aurait jamais été possible si les pacifistes juifs ne lui avaient pas ouvert la porte en portant au cœur même de l’Occident un débat qui aurait dû se tenir au sein d’Israël et en vouant à la diabolisation d’autres Juifs qui avaient l’outrecuidance de ne pas soutenir leurs analyses défaillantes.

Nous pouvons voir en effet aujourd’hui que les « Accords d’Oslo » étaient un marché de dupes qui restera dans l’histoire comme un cas d’école, le retrait de Gaza, un terrible piège, que l’Europe, héritière du génocide, met un point d’honneur à empêcher le droit à l’auto-défense d’Israël, que le pseudo « partenaire de paix » fait une campagne mondiale mettant au ban Israël en compagnie des hypocrites de la « communauté internationale »…

Et les voici remis en selle, aujourd’hui, profitant du coup symbolique reçu par Israël pour sauter comme des cabris en psalmodiant « Mahmoud Abbas ! Retour à la négociation (celle qu’a justement rompu ce dernier) ! etc ».

Où s’arrêtera l’indécence ?

Leur politique a enfermé le peuple juif dans un ghetto.

Au lieu de défendre ses intérêts sans aucune concession, comme le font avec une rage inébranlable tous les leaders politiques et intellectuels palestiniens et arabes, ils se sont imaginés trôner en sages sur la montagne, mais ils n’ont fait qu’accabler Israël.

Aucune critique de l’OLP dans ses mutations successives n’est sortie de leurs rangs.

Au lendemain des « Accords d’Oslo », la campagne de terreur menée par Arafat fut qualifiée de « sacrifices pour la paix ».

Aujourd’hui la manipulation tentée par l’OLP est attribuée à la politique de Netanyahou alors qu’elle est une trahison de ces pseudo « Accords » et la démonstration de leur échec lamentable.

Cette démission permanente, profondément immorale sur le plan politique autant qu’intellectuel, a plongé le peuple juif dans son ensemble, eux mêmes compris, dans une spirale d’échecs qui a abouti à faire de lui un proscrit planétaire.

Ce n’est pas la poursuite de « l’occupation » - et tout d’abord il ne s’agit ni juridiquement ni politiquement de cela - qui est la source des problèmes mais le refus, amplement documenté, d’un Etat juif souverain dont l’existence ébranle les mythes millénaires de l’Orient autant que de l’Occident.

Le spectacle de la société civile et de la sphère politique de la société palestinienne (et arabo-islamique) le démontre chaque jour.

Il n’y a pas de place pour un Etat palestinien qui deviendrait une base pour détruire la plus importante population juive du monde face à une diaspora en voie de disparition démographique.

C’est l’ensemble du destin du judaïsme, je dis bien du judaïsme, qui est en jeu désormais.

Les secteurs du peuple juif qui conservent encore une santé existentielle doivent se lever et se lancer dans la bataille.

Le repli sur soi devant tant d’adversité doit être surmonté.

Le destin d’Israël engage le destin du monde juif.

*Paru dans Actualité Juive, n° 1234, 6 décembre 2012.

Shmuel Trigano

 

 

Pourquoi Netanyahu doit bâtir E1 et très vite (JForum.fr).

Tout le monde sait très bien, que le conflit entre Israël et ses voisins, dont les Palestiniens ne sont que les marionnettes, n’est pas un conflit territorial. Il ne manque ni d’Arabes, ni de terres arabes, dans cette région. Seul le petit pays juif qui est une goutte, de lait dans cet océan de sang fait tache.

L’objectif avéré reste le même, la destruction d’Israël par différents moyens.

C’est dans ce contexte qu’il est vital pour Israël, de construire sur la zone E1, et en voilà quelques raisons.

D’abord qu’est-ce que cette zone E1 ?

La carte ci-dessous nous indique sa situation, et son environnement.(impossible à afficher, veuillez consulter le site de JForum).

Crier haut et fort que Jérusalem doit rester la capitale éternelle d’Israël, sans s’en donner les moyens, est d’une totale inconscience. De gauche comme de droite, c’est pourtant bien le slogan proféré par les uns et les autres que l’on entend. Alors pourquoi la gauche sous la pression de nos ennemis et de nos amis critique-t-elle Netanyahu ?

Comme dirait le Roi David : "que Dieu se charge de mes amis, je m’occupe de mes ennemis". Que Dieu se charge donc des juifs antisionistes, des Français, des Anglais et de tous ceux qui ont voté pour mettre à la place d’Israël un nouvel État arabe, et ceux qui ont été les témoins de ce acte infâme, sans porter assistance à Israël comme l’Allemagne.

Quels sont les projets des ennemis d’Israël ?

Faire en sorte qu’aucun juif ne puisse résider en Judée-Samarie, y compris Jérusalem-Est, tout en laissant par contre près de deux millions d’Arabes dans les frontières d’Israël de 1949.

À moyen ou long terme, ils pensent par le biais de la démographie obtenir la réduction du caractère juif de l’État d’Israël.

Quelles sont les positions des deux grands dirigeants actuels d’Israël ?

NETANYAHU.

Des informations rendues publiques, par le site WikiLeaks, indiquent que Benyamin Netanyahu aurait apporté son soutien au principe d’un échange de terres avec les Palestiniens.

Le cabinet du Premier ministre israélien a réagi pour expliquer que le chef du gouvernement avait seulement voulu dire qu’il était prêt à accepter des compromis territoriaux dans le cadre d’un futur accord de paix israélo-palestinien. "Toute autre interprétation est incorrecte et ne reflète certainement pas la position du Premier ministre", souligne le communiqué de ses services.

Le télégramme daté du 26 février 2009, deux semaines après les élections, explique que "Netanyahu a exprimé un soutien au concept d’échanges de terres et souligné qu’il ne voulait pas gouverner la Cisjordanie et la Bande de Gaza mais plutôt empêcher des attaques d’être lancées depuis" ces territoires. Cette phrase était contenue dans un résumé du télégramme, mais n’est pas développée dans la partie du rapport consacrée au processus de paix. (AP 01-12-2010)

En Clair cela déjoue en grande partie le piège arabe. Non seulement les Israéliens restent au travers d’un certain nombre d’implantations juives en Judée-Samarie et à Jérusalem, mais plus encore l’échange de territoires implique le transfert de population arabe pour réduire le risque démographique.

LIEBERMAN

Le ministre israélien des affaires étrangères Avigdor Lieberman a affirmé le dimanche 19 septembre 2010 que les négociations avec les Palestiniens devaient être basées sur un « échange de territoires et de populations » concernant les Arabes israéliens.

« Les négociations avec les Palestiniens ne doivent pas prendre comme base le principe de la terre contre la paix, mais de l’échange de territoires et de populations », a affirmé M. Lieberman à la radio militaire.

« Le refus déterminé de l’Autorité palestinienne de reconnaître Israël comme l’État du peuple juif doit nous conduire à placer la question des Arabes israéliens sur la table des négociations, on ne peut pas esquiver ce dossier », a ajouté le chef de la diplomatie.

« C’est comme si un propriétaire vendait son appartement tout en exigeant que sa belle-mère reste dans les lieux, c’est impossible et inacceptable », a ajouté M. Lieberman.

Le dirigeant d’Israël Beitenou défend l’idée d’un échange de territoires peuplés d’Arabes israéliens contre des parties de Judée Samarie. Il entend ainsi parvenir à une « séparation » maximale entre Juifs et Arabes, et faire d’Israël un État « ethniquement homogène ». M. Lieberman accuse en effet une partie de la minorité arabe israélienne, qui représente 20% de la population et descend des Palestiniens qui n’ont pas fui Israël au moment de la création de l’État hébreu en 1948, de constituer un danger pour la sécurité du pays.

Le ministre estime par ailleurs, que la pression croissante de la communauté internationale sur Israël pour un retour aux frontières d’avant 1967 n’a aucun fondement : ni juridique ni moral.

Pour lui, “apaiser les demandes territoriales maximalistes des Palestiniens” n’est pas une solution au conflit. Cela ne ferait que déplacer le conflit à l’intérieur des frontières d’Israël.

Dans une tribune publiée en juin 2010 dans le Jérusalem Post, intitulée “Mon plan pour une résolution du conflit”, Lieberman a déjà souligné qu’il ne s’agirait pas d’un “transfert physique de population ni de démolitions d’habitations”. Mais plutôt de “créer une frontière là où il n’en existait pas, en fonction de la démographie…”

Le ministre des Affaires étrangères avait formulé une demande qui consiste en un “échange de territoires peuplés” qui placerait ainsi une grande partie des Arabes israéliens dans un nouvel État palestinien.

D’autre part, Lieberman estime que les Arabes se considérant comme Palestiniens devraient en toute logique accepter ce plan.

Il a même appelé à un référendum auquel participeraient tous les Israéliens “sans considération de race ou de religion” pour trancher sur la question.

ETATS-UNIS

Côté américain, voilà comment les choses étaient vues par Bill Clinton et ses successeurs, jusqu’à la rupture des négociations que l’on doit à Barak Obama, et son calamiteux discours du Caire, ayant entrainé la surenchère de Mahmoud Abbas sur les constructions en Judée-Samarie et Jérusalem...

LE TERRITOIRE

- Le président Clinton, compte tenu de ce qu’il a entendu estime qu’une solution juste se situerait autour de 95 %, soit entre 94 % et 96 % de la Cisjordanie pour l’État palestinien.

- La terre annexée par Israël devrait être compensée par un échange de terres de 1% à 3%, en sus des arrangements pour le « passage protégé permanent » qui relie la Cisjordanie à la bande de Gaza. Les parties devraient également envisager un échange de terres louées pour satisfaire leurs besoins respectifs. Il y a des façons créatives de le faire.

- Les parties devraient élaborer une carte qui tienne compte des critères suivants :

80 % des Israéliens de Judée-Samarie seraient rassemblés dans des blocs d’implantations juives ; la continuité territoriale, le minimum d’annexion de territoires à Israël, le minimum de Palestiniens affectés par cette annexion.

LA SÉCURITÉ

- La clé réside dans une présence internationale qui ne se retirerait que par consentement mutuel. Cette présence vérifierait également l’application de l’accord par les deux parties.

- Le retrait israélien devrait s’échelonner sur 36 mois, tandis que la force internationale se déploierait progressivement dans la région.
- À la fin de cette période, une petite présence israélienne serait maintenue sur des sites militaires spécifiques dans la vallée du Jourdain, sous l’autorité de la force internationale pendant une nouvelle période de 36 mois. Ce délai pourrait être réduit en cas de développements régionaux favorables qui réduiraient la menace pesant sur Israël.

- Les stations d’alerte avancées : Israël maintiendrait trois installations en Cisjordanie, en liaison avec une présence palestinienne de liaison. Le maintien de ces stations pourrait être révisé au terme d’une période de 10 ans, tout changement de statut devant être mutuellement agréé.

- Les zones de déploiement d’urgence : les parties doivent encore élaborer des cartes de ces zones et des itinéraires. L’urgence désigne une menace imminente et manifeste contre la sécurité nationale d’Israël, de nature militaire, et qui requiert la déclaration de l’état d’urgence. La force internationale devra en être avertie.

- Espace aérien : L’État de Palestine devrait être souverain dans son espace aérien, mais les deux États devraient préparer des arrangements spécifiques pour les besoins opérationnels et d’entraînement d’Israël.

- Le président a compris que la position israélienne est que la Palestine devrait être « démilitarisée », alors que les Palestiniens proposent un « État disposant d’un armement limité ». Le président propose une formule de compromis : « État non militarisé », compte tenu du fait que la force internationale, s’ajoutant à une forte force de sécurité palestinienne, aura en charge la sécurité des frontières et la dissuasion.

JÉRUSALEM ET LES RÉFUGIES

VISION GÉNÉRALE

- Le président pense que les fossés qui continuent d’exister relèvent plus d’une question de formulation que de problèmes pratiques.

1- Jérusalem

- Ce qui est arabe devrait être palestinien et ce qui est juif israélien. Cela s’appliquera également à la vieille ville.

- Le président invite les parties à travailler sur des cartes qui assureraient la plus grande contiguïté territoriale pour les deux parties.

- Le Noble Sanctuaire qui n’est autre que le Mont du Temple (l’esplanade des Mosquées) : Le fossé ne découle pas de problèmes pratiques d’administration, mais des questions symboliques de souveraineté, et sur le moyen de concilier les croyances religieuses des deux parties. Le président sait que les parties ont discuté diverses formules. Il veut en suggérer deux autres, pour formaliser le contrôle palestinien de facto du Noble Sanctuaire tout en respectant les convictions du peuple juif, un contrôle international devant être assuré dans les deux cas. 1) Souveraineté palestinienne sur le Noble Sanctuaire et souveraineté israélienne sur le Mur occidental .

2) Souveraineté palestinienne sur le Noble Sanctuaire et souveraineté israélienne sur le Mur occidental, plus une souveraineté fonctionnelle sur la question des excavations sous le Noble Sanctuaire ou derrière le Mur. De cette manière, un consentement mutuel serait requis avant tout travail d’excavation.

2 Les réfugiés.

- Israël est disposé à reconnaître les souffrances morales et matérielles qu’ont subies les Palestiniens comme conséquence de la guerre de 1948 et la nécessité de participer à l’effort de la communauté internationale pour traiter ce problème.

- Une commission internationale pour appliquer tout ce qui découlera de l’accord : compensation, réinstallation, réhabilitation, etc. Les États-Unis sont disposés à conduire un effort international pour aider les réfugiés.

- Le fossé fondamental : comment traiter le droit au retour. Le président connaît l’histoire de cette question et combien il est difficile pour la direction palestinienne d’avoir l’air de renoncer à ce principe. Dans le même temps, la partie israélienne ne pouvait accepter aucune référence au DAR, qui impliquerait un droit à immigrer en Israël au mépris de la politique souveraine israélienne sur l’admission, ou qui menacerait le caractère juif de l’État.

- Toute solution doit tenir compte des besoins des deux parties et être en conformité avec l’approche de l’existence de deux États, qu’elles ont acceptée comme un moyen de mettre fin au conflit israélo-palestinien : L’État de Palestine comme patrie pour le peuple palestinien et l’État d’Israël comme patrie pour le peuple juif.

- Dans le cadre de la solution de deux États, l’État de Palestine sera le point focal pour les Palestiniens qui ont choisi de revenir dans la région, sans que soit exclue l’acceptation par Israël de certains de ces réfugiés.

- Le président estime que les parties doivent adopter une formulation à propos du DAR qui dise clairement qu’il n’y a pas de DAR spécifique en Israël même, mais qui ne nie pas les aspirations du peuple palestinien à revenir dans la région.

- À la lumière de cela, le président suggère le choix entre deux options :

1) Les deux parties reconnaissent la lutte des réfugiés palestiniens pour retourner dans la Palestine historique. 2) Les deux parties reconnaissent le droit des réfugiés palestiniens de retourner dans leur patrie.

- L’accord définirait l’application de ce droit général d’une manière qui corresponde à la solution de deux États. Il énumérerait les cinq possibles « points de chute » définitifs des réfugiés : L’État de Palestine, les régions d’Israël qui seraient transférées à la Palestine dans un échange de territoires, la réhabilitation dans les pays d’accueil, une réinstallation dans des pays tiers, l’admission en Israël.

- L’accord préciserait que le retour en Cisjordanie et à Gaza, ou dans les zones acquises par l’échange de territoires, serait un droit de tous les réfugiés palestiniens, tandis que la réhabilitation dans les pays d’accueil et la réinstallation dans des pays tiers, ou l’admission en Israël, dépendraient des politiques de ces pays.

- Israël pourrait indiquer dans l’accord qu’il a l’intention d’adopter une politique qui permette à certains réfugiés d’être admis en Israël conformément à la décision souveraine d’Israël.

- Le président estime que la priorité devrait être donnée aux réfugiés du Liban.

- Les parties conviendraient que ceci est l’application de la résolution 194 de l’Assemblée générale des Nations unies.

FIN DU CONFLIT

- Le président propose que l’accord marque clairement la fin du conflit et que son application mette fin à toutes les revendications. Ceci pourrait être exprimé par l’intermédiaire du Conseil de sécurité des Nations unies, qui noterait que les résolutions 242 et 338 ont été appliquées, et par la libération des prisonniers palestiniens.

- Le président estime que ce sont là les grandes lignes d’un accord juste et durable. Il donne aux Palestiniens la possibilité de déterminer leur avenir sur leur propre terre, un État palestinien souverain et viable reconnu par la Communauté internationale, El Qods Jérusalem étant sa capitale, la souveraineté sur le Noble Sanctuaire et une nouvelle vie pour les réfugiés.

- Cela assure au peuple d’Israël une véritable fin du conflit, une sécurité réelle, la sauvegarde des liens religieux sacrés, l’incorporation de 80 % des Israéliens de Judée-Samarie en Israël et la Jérusalem historiquement la plus large possible reconnue par tous comme votre capitale.

COMMENTAIRES FINAUX

- C’est le mieux que le président puisse faire. Informez-en les dirigeants et voyez s’ils sont disposés à venir discuter sur la base de ces idées. Si elles ne sont pas acceptées, elles ne disparaissent pas seulement de la table des négociations, elles partiront avec lui lorsqu’il quittera ses fonctions.

 

Côté israélien ces principes ont failli être acceptés, avec Ehud Barak.

Netanyahu veut quant à lui changer les choses sur le terrain, ce qui est la seule manière de rebattre les cartes, en faveur d’Israël. En effet, dire que ce qui est arabe, à Jérusalem revient aux palestiniens, avec une continuité territoriale, oblige de facto à couper Jérusalem. C’est bien donc en créant une large ceinture juive, que l’on assure à Jérusalem de rester unifiée.

La zone E1 fait partie de cette ceinture qu’il faut mettre en place, et même d’urgence.

Il parait donc nécessaire, pour sauvegarder Jérusalem, de bâtir dans la zone E1, avec une forte densité juive pour éviter le partage de la capitale d’Israël.

En prenant un maximum de territoires, la compensation devra se traduire par une rétrocession de territoires. Or ces territoires sont reconnus internationalement comme appartenant à un État souverain et sont incontestablement israéliens, ce qui n’est pas le cas de territoires disputés comme la Judée-Samarie. Donc de facto Israël n’est pas tenu à céder la même superficie, car d’un côté il y a des territoires vraiment israéliens, de l’autre des territoires n’appartenant à personne.

Il n’en demeure pas moins que cette concession aurait pour intérêt de réduire le risque démographique, et sécuritaire interne aux frontières d’Israël. Dès alors la logique de Nétanyahu-Lieberman a une grande cohérence, et l’urgence à mettre en place ce grand Jérusalem est primordiale.

Dans le même temps Netanyahu pour contrecarrer les exigences palestiniennes relatives aux réfugiés arabes a mis sur la table des négociations le sort des réfugiés juifs des pays arabes.

Tout semble se précipiter. Obama aura les coudées franches durant son second mandat. On peut redouter le pire. Quant aux Européens, ils sont les géniteurs des accords de Munich, il n’y a donc rien à attendre d’eux.

Le temps presse pour mettre en place cette ceinture de sécurité.

Cet enjeu est donc vital pour Israël.

M. COHEN SABBAN - © -JForum.fr

Commentaire d'Etzbetzion : on peut aussi espérer que tout cela ne se réalise pas... Ce qui serait probable vu le peu d'enthousiasme des Arabes pour "négocier".

 

Palestina: un ouvrage historique de 1695. Surprise, il n’existait pas de « peuple palestinien ». Gaza était 50% juif et 50% chrétien

« Voyage en Palestine », écrit en 1695 par Hadrian Reland sur la population qui composait alors le pays.
 

En complément des articles Mythes, mensonges et réalités sur la Palestine par Jean-Marc MOSKOWICZ et  L’invention de la Palestine Histoire d’une imposture, impostures de l’Histoire. 3/5 Par Michel KÖNIG, voici un article qui devrait aussi être publié dans tous les médias car il rétablit la vérité historique, contrairement aux fables dont nous sommes accablés.

Voici un article de Raphael Aouate publié par Dreuz.info le 20 mai 2009, concernant un livre, « Voyage en Palestine », écrit en 1695 par Hadrian Reland sur la population qui composait alors le pays.

A une époque où il est de bon ton de remettre constamment en question la légitimité juive en Israël, la découverte d’un ouvrage historique capital sur cette question, écrit au XVII ème siècle, apporte un nouvel éclairage de la plus haute importance.

« Voyage en Palestine », est le titre d’une œuvre écrite en 1695, par Hadrian Reland, cartographe, géographe, philologue et professeur de philosophie hollandais.

Le sous-titre de l’ouvrage, rédigé en Latin, s’intitule : « Monumentis Veteribus Illustrata ». Editée en 1714 aux Editions Brodelet, cette belle histoire commence de façon quasi anecdotique, dans un rayon d’une librairie de Budapest, qui renferme des antiquités littéraires, dont une partie concerne le judaïsme : d’anciennes reliques, usées par le temps mais de grande valeur historique (et monétaire), parfois manuscrites, probablement dérobées, issues d’anciennes synagogues. Cette pièce peut aujourd’hui être consultée à l’Université de Haïfa et sur Google.

L’auteur de cet ouvrage, l’un des premiers orientalistes, connaissait les langues hébraïque, arabe et grecque (ancien).

En 1695, Relandi (ou Reland) est envoyé en voyage d’études en Israël, en Palestine d’alors, pour un objectif bien spécifique : recenser plus de 2500 lieux (villes et villages) apparaissant dans le texte du Tanah (Bible) ou de la Michna, dans leur appellation originelle.

 

A chaque fois, Reland y mentionne le nom hébraïque tel qu’il apparaît dans le texte et le verset exact auquel il se réfère. Reland y fait également figurer son équivalent en Latin-Romain ou Grec ancien. Outre ce remarquable travail linguistique, l’auteur opère surtout un recensement de l’époque, pour chaque localité visitée : d’abord une considération d’ordre général spécifiant que la terre d’Israël d’alors est pratiquement déserte, très peu peuplée.

La majorité de ses habitants se concentre alors dans les villes de Jérusalem, Acco (Acre), Tsfat (Safed), Yafo, Tveria (Tibériade) et Aza (Gaza).

Surtout, le constat établi par le géographe conclut à une présence dominante de Juifs sur cette terre, quelques Chrétiens et très peu de Musulmans, dont la plupart étaient des Bédouins.

Quelques remarques extraites de cette passionnante étude :

  • Aucune localité d’alors ne propose de nom ou de source arabe
  • La grande majorité de ses villes ou villages possède un nom hébreu, quelques-uns en Grec ou Latin-Romain
  • Pratiquement aucune ville qui possède aujourd’hui un nom en arabe n’en possédait à l’époque : ni Haïfa, ni Yafo, ni Naplouse (Shehem), Gaza ou Djénine.
  • Il n’y a aucune trace dans les recherches de Reland de sources historiques ou philologiques établies aux noms arabes, plus tardifs, de Ramallah, Al Halil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem)
  • En 1696, Ramallah s’appelle “Beteïlé” (du nom hébreu “Bet El”)
  • Hévron s’appelle … Hévron et Méarat Hamahpéla (Caveau des Patriarches) : Al Halil, du nom donné à Avraham Avinou en arabe.
  • La plupart des villes étaient composées de Juifs, à l’exception de Naplouse (Shehem) qui comptait 120 personnes issues d’une même famille musulmane, les “Natashe”, ainsi que 70 Samaritains
  • A Nazareth, en Galilée, une ville entièrement Chrétienne : 700 Chrétiens.
  • A Jérusalem, plus de 5000 habitants, dont la plus grande majorité est juive, et quelques Chrétiens.

Reland n’évoque que quelques familles bédouines musulmanes isolées, composées d’ouvriers temporaires saisonniers, dans les domaines de l’agriculture ou de la construction.

A Gaza, près de 550 personnes, 50% de Juifs et 50% de Chrétiens. Les Juifs étaient essentiellement spécialisés dans l’agriculture : la vigne, les olives et le blé (Goush Katif). Les Chrétiens s’occupant davantage de commerce et transport des différents produits de la région

Tibériade et Safed étaient de localités juives.

On sait surtout que la pêche du Lac de Tibériade constituait le principal emploi de l’époque.

Une ville comme Oum El Fahem par exemple était complètement chrétienne : 10 familles.

L’une des conclusions qui découle de ces recherches est la contradiction définitive et rédhibitoire apportée aux arguments arabes, à savoir l’affirmation d’une légitimité palestinienne ou même d’un « peuple palestinien ».

On en veut pour preuve le fait même qu’un nom latin, celui de « Palestine », ait été repris à son compte par le camp arabe.

« Voyage en Palestine », écrit en 1695 par Hadrian Reland sur la population qui composait alors le pays.

© www.Dreuz.info et source citée.

 

 

Pourquoi le « coup diplomatique » d’Abou Mazen a si bien réussi …, par Richard Darmon

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Le moins que l’on puisse dire c’est que le président de l’AP – qui est devenu le 29 novembre le président de la « Palestine » – a réussi le projet qu’il préparait depuis de longs mois, ce que Yasser Arafat lui-même n’avait pas obtenu : Faire accéder l’entité palestinienne au statut d’État au sein de l’ONU. Analyse des causes de ce tournant qui, pour l’instant, ne change pas grand-chose sur le terrain.

Même si les 193 pays membres de l’Assemblée générale de l’ONU (dont 138 ont voté pour, 9 contre et 41 se sont abstenus) n’ont nullement le pouvoir – contrairement à ceux du Conseil de sécurité – de « créer » eux-mêmes un État, mais simplement de l’admettre en son sein après qu’un tel État a été en principe proclamé par ses propres habitants et reconnu par une majorité de pays, le fait est que Mazen a réussi son coup.

Tenter de reprendre la tête du mouvement national palestinien

Du point de vue interne de l’Autorité palestinienne (AP), on comprend bien ce qui a motivé Mazen (NDLR d’EI : nom de guerre terroriste de Mahmoud Abbas) à agir ainsi après son premier échec de septembre 2011 à l’ONU : Très amoindrie par la totale hégémonie, depuis 2006, du potentat du Hamas sur la Bande de Gaza et par la profonde division existant à la tête du mouvement national palestinien entre le Fatah de Ramallah et le Hamas de Gaza, l’autorité et le prestige politiques du président de l’AP allaient s’amoindrissant … Au point de faire ressembler Abou Mazen à un pantin politique ou à un « coq sans plumes » comme l’avait déjà qualifié Ariel Sharon en 2001. D’autant que justement en Judée-Samarie et jusqu’aux alentours de Ramallah, le Hamas, qui ne reconnaît ni l’autorité de Mazen et encore moins Israël (même dans ses frontières d’avant juin 1967), n’a cessé, ces derniers temps, de faire travailler clandestinement ses fameuses « cellules dormantes » pour, le moment venu, lui ravir par la force le pouvoir en Judée-Samarie …

Une marginalisation d’autant plus accentuée qu’après la confrontation armée de la mi-novembre entre Israël et le Hamas – où ce dernier s’est glorifié d’avoir pu tirer quelques missiles sur Tel-Aviv et Jérusalem sans se voir opposer aussitôt une entrée massive de Tsahal dans Gaza -, le Fatah et son chef Abou Mazen en sont ressortis encore plus affaiblis.

Bien qu’il constitue un tournant sur la scène mondiale et qu’il atteste d’un changement symbolique effectif dans la rue palestinienne – d’ailleurs bien plus en Judée-Samarie qu’à Gaza où les festivités ont été très modestes -, ce « coup diplomatique » du 29 novembre, s’il rehausse fortement le statut de Mazen au plan international et même au niveau interne palestinien, est loin d’avoir résolu tous ses problèmes … Et ce sera bel et bien le cas tant que le Hamas contrôlera la Bande de Gaza et qu’il existera donc sur le terrain deux Palestine(s) aux orientations idéologiques très différentes !

La démission d’une bonne partie des pays européens apeurés …

Or, c’est en s’appuyant justement sur les « affres » de la dernière confrontation entre Israël et le Hamas que Mazen a pu enfoncer le clou de son projet onusien engagé depuis longtemps : En se présentant comme une « alternative modérée » au Hamastan de Gaza, il a réussi au finish à convaincre les gouvernements de nombreux pays européens (dont la France) désemparés, voire apeurés par l’acuité du face-à-face militaire entre Israël et Gaza ; et ce, compte tenu des risques toujours prégnants des retombées internes violentes dans les fameux et fort nombreux « quartiers » à dominante musulmane de ces mêmes pays …
 

Alors que les Accords d’Oslo proscrivent par définition toute démarche unilatérale de ceux qui les ont signés – l’Union européenne comprise ! – en privilégiant la voie négociée comme seul moyen de régler le statut final des territoires palestiniens et de parvenir à la fin du conflit, ce « succès » diplomatico-médiatique de Mazen, qui risque fort de s’avérer sur le terrain comme un coup d’épée dans l’eau, a cependant à ses yeux un objectif bien plus insidieux et dangereux pour l’État hébreu : Eviter, en signant la fin du conflit, de négocier sur le fond avec Israël le tracé des frontières, les arrangements de sécurité, le statut de Jérusalem, etc. – et donc de devoir reconnaître le caractère juif de cet État ! Ce qu’aucun dirigeant palestinien d’aujourd’hui ne souhaite faire- ne serait-ce que pour rester fidèle aux lois de l’islam « en terre d’islam » … et surtout ne pas risquer sa propre vie.

Source : Hamodia, par Richard Darmon

 

 

Fallait-il exhumer l’Etat palestinien fantôme ? La France a récompensé le jusqu’auboutisme de Mahmoud Abbas, par Esther Benfredj

Hollande
 

Le 29 novembre dernier, l’Assemblée générale des Nations Unies, faute de majorité au Conseil de Sécurité, a été appelée à la demande de Mahmoud Abbas à conférer à la Palestine un statut d’Etat observateur non membre. Nous ne commenterons pas ici le côté ubuesque de la sacralisation d’un Etat dépourvu de frontières, de capitale reconnue, coupé en deux fractions ennemies sur deux territoires géographiquement séparés (Cisjordanie – NDLR d’EI : Judée et Samarie ! – et Gaza) en état de belligérance permanent et représenté en Cisjordanie – NDLR d’EI : Judée et Samarie ! – par une « Autorité » dotée d’un Président dont le mandat est expiré depuis plus de trois ans !

Voyons où en sont rendus les Arabes de Palestine soixante-cinq ans après le vote des Nations Unies du 29 novembre 1947 qui avait permis l’adoption de la résolution 181 afin de partager la Palestine mandataire en deux Etats : un Etat arabe et un Etat juif. En ce jour anniversaire de la résolution 181 qu’ils avaient rejeté et qui leur conférait pourtant un véritable Etat palestinien avec une continuité territoriale et une reconnaissance pleine et entière de la communauté internationale, les dirigeants palestiniens se sont retrouvés devant cette même institution à mendier, pour deux territoires irréconciliables, un statut d’Etat observateur.

Si la résolution 181 fut acceptée par les sionistes qui s’y référèrent lors de la déclaration d’indépendance de l’Etat d’Israël le 14 mai 1948, celle-ci fut aussitôt rejetée par les dirigeants arabes proche-orientaux. Sinistre présage des événements qui allaient sceller le destin de la région : Le 29 novembre 1947, l’un des représentants arabes fit une déclaration sans équivoque devant l’Assemblée générale : « Toute ligne tracée par les Nations Unies ne sera rien d’autre qu’une ligne de sang et de feu. »1 Repoussant toute idée de partage territorial avec les sionistes, les Etats arabes (Irak, Egypte, Syrie, Liban, Transjordanie) et les leaders de « Palestine », dont le célèbre grand mufti de Jérusalem Hadj Amin el-Husseini (allié d’Hitler pendant la guerre) entrèrent en guerre contre Israël le 15 mai 1948, c’est-à-dire le lendemain de sa création.

Pour quelle raison l’appel pacifique lancé par David Ben Gourion lors de la déclaration d’indépendance de l’Etat hébreu fut-il ignoré par les dirigeants arabes ainsi que sa reconnaissance par les Etats-Unis et l’URSS ?2

Le refus d’accepter la résolution 181 dès son adoption en 1947 et le déclenchement de la première guerre contre Israël en 1948 démontrent que la motivation profonde des chefs arabes n’était pas d’établir un Etat palestinien mais d’empêcher par tous moyens la fondation et l’existence de l’Etat hébreu, nation non musulmane créée au cœur d’une région islamisée.

En atteste également la création de l’OLP en 1964 pour « libérer la Palestine », conformément à son appellation.

De quelle Palestine s’agissait-il sinon d’une Palestine « libérée d’Israël » tel qu’établi dans les lignes de 1948, c’est-à-dire avant les conquêtes de 1967 ?

Le refus arabe de reconnaître l’existence du nouvel Etat avait été à l’origine de la première guerre israélo-arabe de 1948-1949, ouvrant le conflit israélo-arabe et le drame des réfugiés palestiniens.

La première victoire israélienne en 1949 permit à cet Etat, avec l’aide des Nations-Unies, d’agrandir le territoire qui lui avait été alloué en annexant la zone occidentale de Jérusalem, le Néguev et la Galilée. Pour sa part, la Cisjordanie – NDLR d’EI : Judée et Samarie ! –  fut annexée à la Transjordanie qui ne lui permit jamais d’espérer accéder à l’indépendance puisque l’émir Abdallah voulait établir un royaume hachémite palestinien.

Depuis 1949, les guerres se sont succédé : 1956 (crise du canal de Suez), 1967 (guerre des Six Jours), 1973 (guerre du Kippour), 1982 (guerre du Liban). Puis ce furent les intifadas (1987 et 2000) et les opérations militaires israéliennes contre le Hezbollah (2006) et le Hamas (2008-2009 et 2012).

En dépit de certaines offres généreuses proposées par les Israéliens que Yasser Arafat, ancien chef de l’OLP, et Mahmoud Abbas crurent bon de repousser, combien de victimes, combien de souffrances, combien de destructions sans espoir à terme d’une solution au conflit ?

En juillet 2000 lors du Sommet de Camp David II et en septembre 2008 à la suite de la proposition d’Ehud Olmert, alors Premier ministre d’Israël, les dirigeants de l’Autorité palestinienne, Yasser Arafat (en 2000) et Mahmoud Abbas (en 2008), rejetèrent tout compromis. Considérée par la communauté internationale comme étant la solution du conflit, la proposition israélienne de 2008 garantissait pourtant l’établissement d’un Etat palestinien sur la quasi-totalité des territoires, l’internationalisation du Mont du Temple, le partage de Jérusalem et l’acceptation de réfugiés palestiniens en Israël sur la base de réunifications familiales. Mahmoud Abbas repoussa catégoriquement cette proposition et déclara « en mai 2009 au journal américain Washington Post que le fossé entre ce qu’a proposé Ehud Olmert et ce que les Palestiniens sont prêts à accepter est (…) énorme.»

Ainsi, malgré les gestes de bonne volonté d’Israël et certains efforts diplomatiques, les actions armées comme les tirs de roquettes sur Israël continuent et aggravent la situation (crise économique, morcellement des territoires palestiniens, guerre civile…), enfonçant la population palestinienne dans une plus grande détresse.

L’unilatéralisme d’Abbas, partagé cette fois par le Hamas, ne contribuera guère à améliorer la situation sur le terrain. Les Etats-Unis, Israël et d’autres nations non inféodées aux pays arabes (Canada, République Tchèque par exemple) estiment d’ailleurs qu’un véritable Etat palestinien ne pourra résulter que de négociations directes entre Palestiniens et Israéliens.

Mais les dirigeants palestiniens sont-ils profondément animés par cette volonté ?

Pour Abbas, l’objectif de cette reconnaissance consistera, entre autres, à saisir les instances pénales internationales afin de poursuivre Israël contre l’occupation des territoires. Territoires conquis en 1967 par l’Etat hébreu et qui constituent une monnaie d’échange contre la paix.

Pour la première fois dans l’histoire de l’ONU, un peuple, dont le but déclaré dans les chartes du Hamas et de l’OLP est d’anéantir un Etat, vient d’être reconnu en tant qu’Etat observateur.

Au moment où la dépouille de Yasser Arafat est exhumée, le vote par la majorité automatique d’une résolution de l’Assemblée générale créant un Etat palestinien fantôme prend un sens macabre.

Aussi qu’il soit permis de dire avec tristesse pour les victimes d’un conflit fratricide : Tout ça pour ça !

 

 

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