etzbetzion
Et le monde se tait...
Netanyahou : "les Palestiniens appellent à la destruction d'Israël et le monde se tait"
"Les responsables du Hamas ont ouvertement appelé, en fin de semaine,à la destruction d'Israël. Je me demande pourquoi Mahmoud Abbas n'a pas condamné ces propos et pourquoi les chancelleries étrangères n'ont pas convoqué les diplomates palestiniens", a déclaré le Premier ministre Binyamin Netanyahou devant les correspondants étrangers basés en Israël.
"Les Palestiniens appellent ouvertement à la destruction de l'Etat d'Israël et le monde se tait, mais nous ne nous tairons pas", a ajouté Netanyahou.
- Commentaires textes : Écrire
La Cour suprême de Californie devra dire si l’élection de Barack Obama est légitime
La Cour suprême de Californie doit se prononcer sur la légitimité de l’élection de Barack Obama en raison de l’utilisation par lui de fausses pièces d’identité, et pour avoir obtenu illégalement une carte de sécurité sociale.
L’avocate et candidate au Sénat américain Orly Taitz a convaincu la Cour suprême d’accepter la plainte de quatre plaignants : Edward Noonan, vainqueur des primaires présidentielles de Californie pour le Parti américain indépendant, Keith Judd, candidat démocrate à la primaire de West Virginie à l’élection présidentielle ayant obtenu 40% des votes, Thomas Gregory Macleran, républicain et ancien candidat à l’élection présidentielle, et elle-même.
La plainte se compose de deux volets.
1- Les plaignants ont fourni à la Cour les preuves de l’existence de près d’un million et demi d’inscriptions irrégulières pour voter lors de l’élection présidentielle pour la Californie.
2- Les plaignants ont fourni la preuve que le candidat Obama a commis une fraude majeure.
- Pour avoir utilisé de faux documents d’identité,
- Pour avoir utilisé des faux documents pour obtenir une carte de sécurité sociale de l’Etat du Connecticut numéro 042-68-4425, qui n’a jamais été délivrée au nom de Barack Obama,
- Pour avoir utilisé un nom qui n’est pas le sien, car il est enregistré sous le nom Soebarkah dans le passeport américain de sa mère, et qu’il n’existe aucune preuve qu’il a changé son nom de Barack Obama Soebarkah en Barack Obama.
- Parce qu’il est stipulé sur ses relevés scolaires indonésiens qu’il est indonésien, et non américain, et qu’il n’existe aucun document qui indique qu’il a renoncé à sa nationalité indonésienne pour épouser la nationalité américaine.
- Et parce que s’il a fait plus tard dans sa vie la demande de changement de nationalité, il serait alors devenu citoyen américain et non né en Amérique comme le requiert la loi pour être éligible comme président, poste auquel l’ancien gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger a dû renoncer car il est né en Autriche.
Les plaignants ont également fourni à la Cour
- La déclaration sur l’honneur de Mike Zullo, qui mène une enquête criminelle pour le comté de Maricopa en Arizona, sur l’utilisation par Barack Obama de faux et usage de faux acte de naissance, carte de recrutement de l’armée, et carte de sécurité sociale.
- Les attestations du Shérif Joseph Arpaio, de l’officier en charge des expulsions d’illégaux John Sampson, des experts Paul Irey, Douglas Vogt et Felicito Papa, et de l’enquêteur Susan Daniels, qui tous ont certifié que les papiers d’identité d’Obama sont des faux.
- De l’attestation du fonctionnaire de la ville d’Honolulu Timothy Adams, qui a déclaré sur l’honneur qu’il n’existe pas de certificat de naissance au nom de Barack Obama dans aucun des hôpitaux de Hawaï.
- Des déclarations du ministre de la santé du Kenya, James Orenga, qui atteste que Obama est né au Kenya, et que la biographie d’Obama soumise à son agent littéraire en 1991 indique qu’il était né au Kenya et avait grandi en Indonésie.
Les plaignants déclarent que si la Cour n’annule pas les résultats de l’élection, elle commettra une trahison contre les Etats Unis d’Amérique pour avoir accepté qu’un étranger, citoyen d’Indonésie et peut-être toujours citoyen kenyan, accède au poste de président des Etats Unis et de commandant en chef des armées, au moyen de faux papiers d’identité, et d’une carte de sécurité sociale volée.
L’avocate Orly Taitz poursuit également en justice Barack Obama, Nacy Pelosi, le commissaire de la sécurité sociale Michael Astrue, et le parti démocrate.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
- Commentaires textes : Écrire
Quelques nouvelles (Guysen).
- Commentaires textes : Écrire
Ce qui se cache derrière les attaques tous azimuts contre Israël (Israël Flash).
Les jours avancent et il apparaît de plus en plus clairement que la communauté internationale a entamé la seconde étape de son plan qui, après avoir imposé un Etat palestinien virtuel pour la première fois dans l’Histoire, vise désormais à renverser le gouvernement Netanyahou pour le remplacer par une majorité plus docile, à l’image du « juif d’antan » prêt à tous les compromis pourvu qu’on lui accorde la survie. L’Administration américaine, pour ne parler que d’elle, cache à peine son désir de voir revenir au devant de la scène israélienne des individus comme Livni ou Olmert, qui furent à deux doigts de signer des accords catastrophiques avec Abou Mazen.
Certains naïfs se sont basés sur le soutien US à l’Opération « Colonne de Nuée » ou le vote américain négatif à l’ONU, pour dire que Barak Obama n’avait aucune intention de faire payer à Binyamin Netanyahou le fait qu’il lui ait tenu tête pendant son premier mandat. C’est mal connaître le second prénom du locataire de la Maison-Blanche.
Après avoir massivement voté en faveur d’un Etat virtuel de « Palestine », en contradiction avec toutes les pratiques juridiques et les accords signés, l’effort international, Etats-Unis en tête, porte désormais sur la seconde phase qui est de monter l’opinion publique israélienne contre son gouvernement en faisant croire que sa politique va droit dans le mur et qu’elle isole de plus en plus Israël dans le monde. Les réactions irrationnelles à l’annonce de nouvelles constructions, qui sont même venues de contrées éloignées telles que l’Australie et le Brésil, donnent le ton de cette volonté – concertée ou non – de voir Israël dirigé par un gouvernement du style Rabin-Pérès. Des ambassadeurs convoqués pour de simples annonces de constructions, il faut reconnaître qu’il s’agit d’un cas unique sur la planète où existent pourtant des dizaines et des dizaines de mouvements de libération nationale, authentiques quant à eux. Verrait-on par exemple ces mêmes pays menacer la Turquie, l’Iran, l’Irak ou la Syrie pour des constructions au Kurdistan ??!! Ou la Chine pour ses grands travaux et le génocide culturel au Tibet ?
L’ancien Premier ministre Ehoud Olmert, qui profite encore de sa liberté pour exercer sa force de nuisance, a été très clair lors du très gauchisant « Forum Sabban » aux Etats-Unis : « Je vais me consacrer à la chute du gouvernement Netanyahou ». Et depuis, il multiplie les interviews, en anglais et en hébreu, dans lesquelles il ne cesse de critiquer le gouvernement et surtout, de monter en épingle une détérioration des relations entre Israël et les Etats-Unis. Il a notamment qualifié l’annonce des nouvelles constructions comme étant « une gifle infligée à Barak Obama par Binyamin Netanyahou » !! Il n’est d’ailleurs pas le seul à attaquer le Premier ministre israélien. L’ancien chef de cabinet de la Maison Blanche, Ram Emmanuel, s’est joint à la partie en se lançant, également lors de ce fameux « Forum Sabban », dans une attaque sans précédent contre le chef du gouvernement : « Netanyahou a parié sur le mauvais candidat (Romney) et il a perdu. Nous espérons que son attitude face à l’administration Obama va désormais changer. Il est inadmissible qu’un chef de gouvernement étranger soit reçu dans le salon ovale de la Maison Blanche et se comporte ensuite de cette manière » ! Un ton et des propos que l’on n’entendrait pas envers un Assad ou un Ahmadinejad. Ces déclarations ont immédiatement été largement relayées par les médias américains et israéliens avant d’être récupérés par Olmert, Livni et consorts.
Mais l’assaut international contre Israël ne s’arrête pas là. Quelques jours à peine après avoir promu une agence terroriste au rang d’Etat, l’ONU demande maintenant à Israël de se défaire de l’arme absolue, outil de dissuasion ultime face aux menaces réelles de destruction de l’Etat juif. Alors que l’Iran court vers la bombe atomique face à une communauté internationale volontairement impuissante, et que ses dirigeants déclarent que son objectif est de rayer Israël de la carte, l’ONU n’a rien trouvé mieux que de voter à une majorité écrasante une résolution exigeant d’Israël d’autoriser la venue d’inspecteurs de l’AIEA sur le site de Dimona, et de signer dans les plus brefs délais la Convention internationale de non-prolifération de l’arme nucléaire. On ne saurait mieux faire comprendre à Israël qu’il est devenu un Etat non-grata dans la famille des nations.
Poussée par ce vent favorable, l’opposition israélienne tire à boulets rouges sur le gouvernement, accusé d’avoir tout faux dans sa politique face aux Palestiniens et à la communauté internationale, et d’avoir fait d’Israël un Etat pestiféré « par sa manque de volonté de paix » !!!
Que l’on ne s’y trompe pas. L’objectif de Washington, Paris et Londres, aidés par ceux qui en Israël ne savent plus comment faire pour revenir au pouvoir, est de mettre en place à Jérusalem une majorité conforme à leur vision égoïste, chimérique et dangereuse du Proche-Orient : l’installation au cœur d’Israël d’un Etat terroriste et la spoliation d’une partie de Jérusalem au peuple juif. Pour commencer.
Au fur et à mesure qu’approchera la date des élections u 22 janvier 2013, l’ingérence étrangère – ouverte ou en coulisses – ira en s’accentuant. Avec la collaboration active de la gauche et du centre. Aux électeurs israéliens de faire leur choix en montrant que ce ne sont pas Washington, Paris ou Londres qui décident qui va gouverner le seul pays juif au monde. Les sondages donnent certes le « Likoud Beiteinou » vainqueur. Mais quelques sièges passant de droite à gauche et la trahison de quelques opportunistes pourraient donner la majorité à un bloc de centre gauche qui n’hésiterait aucunement à s’adjoindre les dix ou onze sièges arabes pourvu que Netanyahou quitte le pouvoir.
Le Premier ministre, bien que répétant à l’envi qu’il est le disciple de Jabotinsky et qu’il a été très influencé par son père, n’a pas encore prouvé qu’il est le dirigeant idéal que les patriotes israéliens attendaient. Mais il est certainement moins dangereux que ceux qui ont déjà prouvé par le passé qu’ils étaient prêts à vendre les intérêts de notre pays pour recevoir l’accolade des grands de ce monde, échapper à la justice, se faire un nom dans l’Histoire ou tenir fièrement un Prix Nobel aux côtés d’un assassin d’enfants juifs.
- Commentaires textes : Écrire
Netanyahou : Le discours de Méchaal justifie la position d'Israël (Guysen).
Le serment du Hamas de défaire Israël après avoir revendiqué sa "victoire" à l'issue du conflit dans la bande de Gaza en novembre justifie les réticences de l'Etat hébreu à céder davantage de terres aux Palestiniens, a déclaré dimanche Benjamin Netanyahou.
Le Premier ministre israélien s'exprimait au lendemain d'un discours de Khaled Méchaal dans la bande de Gaza. Devant des dizaines de milliers de Palestiniens, le chef du Hamas a déclaré samedi que le mouvement islamiste ne renoncerait pas à "un seul pouce de notre terre", ce qui englobe dans son esprit le territoire israélien.
"Lors de la journée d'hier, nous avons pu voir à nouveau le vrai visage de nos ennemis. Ils n'ont aucune intention de parvenir au moindre compromis avec nous. Ils veulent détruire notre pays", a réagi Benjamin Netanyahou au cours du conseil des ministres hebdomadaire.
Le chef du gouvernement israélien s'est attiré de vives critiques de la part de la communauté internationale tout au long de la semaine après l'annonce du développement de colonies juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est à la suite de la reconnaissance de facto d'un Etat palestinien par l'Assemblée générale des Nations unies.
Il a affirmé dimanche qu'Israël ne se retirerait pas de Judée-Samarie comme il l'a fait de la bande de Gaza en 2005, afin de ne pas fournir aux activistes palestiniens un autre territoire d'où tirer des roquettes en direction des villes israéliennes.
"Je suis toujours stupéfait par les illusions que d'autres nourrissent en se disant prêts à poursuivre ce processus et à l'appeler la paix", a dit Benjamin Netanyahou.
"Nous voulons une paix véritable avec nos voisins mais nous ne nous voilerons pas la face et nous ne nous enfouirons pas la tête dans le sable", a-t-il poursuivi, en soulignant qu'Israël devait pour cette raison "résister aux pressions internationales".
ISRAËL POURRAIT PRENDRE MÉCHAAL POUR CIBLE
Même si certains responsables du Hamas ont pu évoquer récemment la possibilité d'une coexistence pacifique avec Israël dans le cadre d'une trêve de longue durée, la charte du Hamas prône la destruction d'Israël et la reconquête de l'ensemble de la Palestine du mandat britannique, ce qui inclut l'actuel Etat juif.
Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, se dit pour sa part prêt à conclure une paix prévoyant la création d'un Etat palestinien selon les frontières prévalant avant la guerre des Six Jours en 1967, au cours de laquelle Israël a conquis la partie orientale de Jérusalem, la Judée-Samarie et la bande de Gaza.
La question des implantations constitue toutefois l'un des facteurs de blocage des négociations de paix et Mahmoud Abbas s'est engagé dans un processus de réconciliation entre son mouvement, le Fatah, et le Hamas.
"Ce qui est intéressant, c'est qu'Abou Mazen (Mahmoud Abbas, ndlr) n'a pas condamné les propos (du Hamas) appelant à la destruction d'Israël, tout comme précédemment il n'a pas condamné les tirs de roquettes sur Israël (en provenance de la bande de Gaza)", a jugé Benjamin Netanyahou.
"Et à mon grand regret, il oeuvre à la réconciliation avec ce même Hamas, qui est soutenu par l'Iran."
Lors de son premier mandat à la tête du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahou avait envoyé en 1997 des agents du Mossad tenter d'assassiner Khaled Méchaal en Jordanie. L'opération s'était soldée par un échec.
Yisrael Katz, ministre des Transports, a prévenu que l'Etat hébreu pourrait à nouveau prendre Khaled Méchaal pour cible si le Hamas ne respectait pas les termes de la trêve conclue le 21 novembre.
"Il a dit qu'il voulait mourir en martyr et il y a une forte probabilité que ce voeu soit exaucé et qu'il devienne une cible légitime si le calme devait être rompu", a dit ce membre du Likoud, le parti de Benjamin Netanyahou.
(GIN avec REUTERS)
- Commentaires textes : Écrire