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QUI EST MINABLE?

 

Voici un commentaire saisi sur le web. Nous l'estimons pertinent et saluons au passage Depardieu pour son amitié pour Israël

38 ministres et ministres délégués qui se goinfrent (le mot est faible) à nos frais, n’est-ce pas cela qui est VRAIMENT minable ? Demander aux contribuables de payer plus d’impôts pour financer 4 personnes au service de la concubine de Hollande, n’est-ce pas minable ? Duflot et Filippetti qui bradent des Légions d’Honneur à tous leurs copains, n’est-ce pas minable ? Un premier ministre qui veut un nouvel aéroport plus grand, à sa gloire, alors que personne ne prend l’avion à Nantes grâce au TGV. Des ministres sans aucune exemplarité dont certains ont été condamnés ou devraient l’être..., un gouvernement incompétent et non coordonné qui gesticule au gré du vent, n’est-ce pas minable ?

Insulter un homme qui a choisi de s’expatrier, alors que nous sommes censés être libres de nos mouvements dans ce pays, n’est-ce pas minable ?..., sachant que Depardieu a rapporté à la France des centaines de millions d’euros, directement et indirectement ! Combien coûtent ces donneurs de leçon du gouvernement et du PS, qui passent leur temps à nous culpabiliser mais ne veulent surtout pas réduire leur train de dépenses, alors qu’ils détruisent la France, ses emplois et ses valeurs ? N’est-ce pas minable ?

Un 1er ministre qui sort de son devoir de réserve et sans aucune dignité, insulte un citoyen illustre, talentueux et créateur d’emplois, n’est-ce pas minable ?

Que veut dire l’expression "la citoyenneté française est un honneur" quand une personne veut acquérir la citoyenneté belge ? Que la citoyenneté belge est une honte ?... A-t-on oublié les accords d’Helsinki qui permettent à toute personne de franchir les frontières ? A-t-on oublié le principe européen du droit de s’installer là où l’on veut en Europe ? A-t-on oublié l’existence de la citoyenneté européenne ? Le Gouvernement veut-il créer un incident diplomatique avec la Belgique ?

Comment la ministre de la culture (ou plutôt de l’inculture) ose-t-elle faire un procès d’antipatriotisme à Depardieu, elle a oublié semble-t-il que pendant la campagne, elle parlait de la France "rassie et moisie", déclarant en même temps son amour aux immigrés à qui elle attribuait la libération et la construction de la France ! C’est sûr que côté patriotisme, elle en connait un rayon !

Comment osent-ils parler de patriotisme alors qu’ils ne rêvent que de brader la nationalité française en la donnant contre un bulletin de vote...

Ce "président" et ses "ministres" sont la honte de la France. Ce pays qu’ils sont en train de détruire est devenu la risée du monde entier.

Bravo Depardieu, d’avoir quitté la France.

 

Coup dur pour le trafic d'armes iraniens vers Gaza (JForum.fr).

La saisie d’armes à Naples ruine les voies de trafic d’armes de l’Iran par les Balkans et l’Italie.

La prise de cinq conteneurs par la police maritime, dans le port de Naples, vendredi dernier 7 décembre, avant qu’ils ne soient chargés sur un cargo égyptien – interrompt deux des principales lignes d’accès aux armes clandestines iraniennes pour le Hamas, maître de Gaza, depuis le Kosovo et la Macédoine, par la Croatie et l’Italie, révèlent en exclusivité les sources du renseignement militaire de Debkafile.

La police napolitaine a agi, grâce à des indications venues d’Israël.

Des réseaux de transport d’armes clandestines iraniennes ont alors pu être démantelés dans d’autres régions d’Italie, ainsi qu’une « autre cache d’armes ».

Les sources du renseignement occidental affirment que cette opération secrète israélienne a été aussi significative et d’une portée équivalente au bombardement du centre industriel irano-soudanais de fabrication de missiles du 24 octobre, à Yarmouk et que la destruction d’un stock de roquettes Fajr-5 prêtes à partir en direction de la Bande de Gaza, à travers le Sinaï.

L’opération de Naples verrouille deux voies supplémentaires d’acheminement d’armes clandestines, qui sont des ressources cruciales pour les terroristes palestiniens – cette fois, à partir de l’Europe du Sud.

Contrairement à ce qu’ont fait croire les reportages, disant que les cinq conteneurs de contrebande avaient été saisis sur un vaisseau égyptien qui avait mis l’ancre à Naples, Debkafile révèle qu’ils ont été extraits, en fait, de camions entrant dans le port, munis de documents les autorisant à charger ces conteneurs à bord de ce navire.

Ces documents décrivaient le contenu de ces conteneurs comme un banal transport de matériel de construction, en provenance de Vérone, à 570 kilomètres, au nord de Naples, où se trouvent de grandes entreprises fabriquant du carrelage et d’autres équipements et marchandises pour l’aménagement des salles-de-bain et des cuisines.

Prévenus par Israël, les inspecteurs de la sécurité italienne ont ordonné aux chauffeurs des camions de se garer dans une partie isolée du port et installé des panneaux d’interdiction d’entrée.

Les premiers conteneurs ouverts étaient bourrés d’armes et d’autres équipements militaires, comprenant des engins électroniques améliorant la précision des roquettes, une centaine de missiles antitanks et une vaste quantité de fusils pour tireurs d’élite destinés aux tirs de précision.

Un Egyptien en attente de disposer la cargaison à bord du bateau a été appréhendé et mis en détention pour y être interrogé et accusé de détention illégale d’armes.

Des arrestations supplémentaires ont suivi et se sont déroulées dans d’autres régions d’Italie.

Les autorités italiennes sont restées, de façon inhabituelle, extrêmement secrètes, concernant l’identité du détenu égyptien, les arrestations supplémentaires qui ont eu lieu, le nom du bâtiment égyptien et même la nationalité du drapeau sous lequel il flotte– étant donnée le caractère ultra-sensible de travail sous couverture des Israéliens, contre les réseaux et les routes de contrebande de l’Iran.

Selon les sources du renseignement de Debkafile, l’Iran a développé des réseaux hautement sophistiqués pour le trafic d’armes à destination de ses alliés, qui procèdent autant par voies terrestres que maritimes.

Deux d’entre eux prennent naissance au Kosovo et en Macédoine, où des collaborateurs musulmans locaux achètent les armes et les emballent dans des conteneurs transportés par des camions, prêts pour leur premier point de rassemblement en Croatie, puis en direction de Vérone, où ils attendent durant des semaines – ou, parfois, des mois- avant de poursuivre vers le prochain lieu de rendez-vous.

Ces interruptions, durant leur périple, servent à s’assurer qu’ils ne sont pas suivis et à les dérouter, s’ils le sont.Un des cinq conteneurs d’armes saisis à Naples

A partir d’une autre route, nos sources dévoilent que les trafiquants maritimes italiens déchargent les conteneurs depuis des navires marchands iraniens, sur la mer Adriatique et les transportent sur le rivage, par de petites criques, dans la province de Vénétie, au nord de l’Italie.

Ces cargaisons sont alors également tractées par camions vers le terminal clandestin que l’Iran a mis sur pied à Vérone.

Lorsqu’ils sont sûrs qu’ils n’ont pas été repérés, les camions sont envoyés vers le sud, par la longue route qui mène à Naples.

Là, les conteneurs sont chargés sur de gros cargos égyptiens, à destination d’Alexandrie et de Port Saïd.

Mais, d’abord, ils font une escale tranquille dans le port du nord-Sinaï d’El Arish, où les agents opérationnels du Hamas attendent paisiblement de décharger les armes et d’emmener la nouvelle cargaison à travers les tunnels de contrebande, vers la Bande de Gaza.

http://www.debka.com/article/22606/...

DEBKAfile Reportage Exclusif 12 Decembre 2012, 12:12 PM (GMT+02:00)

Adaptation : Marc Brzustowski/Lessakele

 

 

L’Iran a de quoi fabriquer 24 bombes atomiques, type "Nagasaki"(JForum.fr).

Echec des pourparlers nucléaires américano-iraniens.

Les négociations secrètes en face-à-face que le Président Barack Obama a lancées avec l’Iran sont allées droit dans le mur.

Un membre de premier plan de l’équipe iranienne, Mostafa Dolatyar, a déclaré, vendredi 14 décembre, à New Delhi, que le processus diplomatique visant à résoudre le problème nucléaire avec l’Iran, ne menait, en fait nulle part, parce que la demande que Téhéran mette un terme à son enrichissement d’uranium à 20% n’a aucun sens ».

Il a poursuivi en disant :

“Ils [les puissances mondiales] ont fait certains liens avec des questions purement techniques, et d’autres, purement politiques.

Aussi longtemps que cela traduit la mentalité, l’esprit et que c’est là toute l’approche du sujet par le 5+1 [Les Six Grandes Puissances] – ou quelle que soit la façon dont on l’appelle- il n’y a aucune issue à ce jeu ».

Selon Debkafile : la phrase : “ou quelle que soit la façon dont on l’appelle” peut être prise comme la première allusion voilée de l’Iran aux pourparlers directs avec Washington, lancés le 1er décembre, en Suisse, dans la ville de Lausanne.

Mostafa Dolatyar n’est pas un quelconque responsable anonyme.

Il est à la tête du Think Tank lié au Ministère des Affaires étrangères iranien, l’Institut des Etudes de Politique Internationale, et également un membre d’importance au sein de l’équipe iranienne faisant face aux négociateurs américains à Lausanne.

Ses remarques ont, indubitablement, bénéficié de l’autorisation spéciale du bureau du Guide Suprême, l’Ayatollah Ali Khamenei, qui, à travers lui, a diffusé un message à l’attention de Washington  : si l’exigence de suspension de l’enrichissement est maintenue, le jeu est terminé.

Après plus de 15 ans de diplomatie allant clopin-clopant, largement dénuée d’objectifs précis, avec les puissances mondiales et de tactiques évasives envers l’agence nucléaire de l’ONU, Téhéran montre, pour la première fois, des signes d’impatience et, plus seulement son habituel mépris.

Cela traduit que deux choses ont changé :

1.Au cours de toutes ces années, Téhéran a profité de toute ouverture diplomatique pour faire traîner les négociations en longueur au sujet de son programme nucléaire, afin de gagner du temps, être dégagé de toute pression et pousser ce programme plus avant.

Maintenant, les Iraniens font comprendre aux Américains et aux Européens qu’ils ont atteint leur objectif.

Pour eux, le temps n’a plus aucune importance, comme il peut en avoir pour l’Occident.

2. Le Wall Street Journal a révélé la deuxième évolution, le 5 décembre, dans un court article intitulé :

« De Bushehr à la Bombe ».

Cette révélation n’a été reprise par aucune autre publication occidentale, ni même israélienne, en dépit de sa nature sensationnelle.

S’appuyant sur des sources des renseignements américains, l’article suggérait que le retrait de 136 barres de combustibles du réacteur de Bushehr, à la mi-octobre – au prétexte de bouts de métal éparpillés – et le retour de ces barres, au cours de la dernière semaine de novembre « pourrait être un test mené par les Iraniens pour tenter de réinitialiser ces barres à l’intérieur de bombes au plutonium ».

Les experts nucléaires américains, russes et israéliens ont toujours maintenu que la technologie consistant à extraire du plutonium à partir de barres de combustibles était trop coûteuse et compliquée pour être pratiquée – et qu’elle était certainement bien au-delà des capacités de l’Iran.

Le Wall Street Journal est d’un avis différent : “… Les experts nous ont confié que l’extraction rapide de plutonium utilisable pour des armes à partir de barres de combustibles ayant déjà servi, est un procédé direct qui peut être réalisé dans un espace plutôt réduit (et facile à maintenir secret)".

Cela signifie que Téhéran peut facilement fabriquer des bombes au plutonium, sans avoir besoin de construire un vaste réacteur au plutonium, comme celui qui est en construction à Arak.

L’article poursuit en révélant que, par le biais de cette méthode, l’Iran pourrait extraire 220 livres (un peu moins de 100 kgs) de plutonium, suffisant pour produire l’équivalent de « 24 bombes du type de celle employée à Nagasaki » - faisant référence au bombardement de la ville japonaise, le 9 août 1945, qui a mis un terme à la Seconde guerre Mondiale.

Fatman : le type d’Implosion nucléaire de ce procédé.

L’une de ces bombes – surnommée « L’homme Gras » (Fat Man, selon le surnom de Winston Churchill)- est égale à 20 kilotonnes.

Les sources militaires et du renseignement de Debkafile remarquent que si cette révélation illustre l’état réel du programme nucléaire de l’Iran, alors le jeu est réellement terminé.

La politique de poursuite d’imposition de sanctions mise en oeuvre par l’Occident, pour contraindre l’Iran à abandonner son enrichissement et à fermer son installation souterraine de Fordo est devenue dénuée de toute pertinence.

Il en va, aussi, de même, pour les fameuses lignes rouges que le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou souhaitait rendre si explicites, grâce à l’usage d’un graphique, devant l’Assemblée Générale de l’ONU, le 27 septembre dernier.

Ce que Mostafa Dolatyar était en train de dire, en effet, c’est, tout simplement, que l’Iran avait dominé le jeu de ses adversaires, jusqu’à la ligne finale d’arrivée, annonçant que la partie est finie.

Adaptation : Marc Brzustowski/Lessakele

DEBKAfile Reportage Spécial 15 Decembre 2012, 12:03 PM (GMT+02:00)

http://www.debka.com/article/22616/...

 

 

 

Nouveaux éclairages sur le cas Pollard (le CRIF).

 

Un document de la CIA datant de 1987 vient d’être déclassifié. Il livre un éclairage inédit sur les activités d’espionnage de Jonathan Pollard au profit d’Israël. 

« A la lecture du document de la CIA, ce qu’on découvre de Jonathan Pollard conduit bien à s’interroger sur une sévérité aussi prolongée »

On savait que Pollard n’avait pas agi de lui-même, qu’il avait bel et bien été recruté par les services secrets israéliens,  ce que ceux-ci ont admis tardivement, et que le légendaire Rafi Eytan était responsable de ses activités. Celles-ci ont couvert en pratique les dix  premiers mois de l’année 1985, jusqu’au moment où, comprenant qu’il allait être arrêté, Jonathan Pollard essaya de se réfugier, avec son épouse, dans l’enceinte de l’Ambassade d’Israël d’où ils furent refoulés.

 

La suite était également connue : malgré une coopération étroite avec ses enquêteurs (dont le document de la CIA confirme qu’elle a été fiable), malgré un « plea bargain » (accord préalable permettant d’envisager une mansuétude du tribunal), malgré des réquisitoires qui n’en demandaient pas tant, Jonathan Pollard fut condamné à la prison à vie. Plus encore, il ne bénéficia d’aucune mesure de grâce et reste actuellement, vingt-sept ans après sa capture, dans des conditions d’emprisonnement strictes : il  n’obtint pas le droit d’assister cette année aux funérailles de son père (un virologue américain universitaire réputé). Bill Clinton avait publiquement admis qu’il avait envisagé de gracier Pollard avant de quitter le pouvoir, mais qu’il s’était heurté à de trop fortes protestations de son administration.

 

On pouvait donc imaginer que les documents déclassifiés donneraient des précisions terribles sur les turpitudes de l’espion Pollard et sur les dangers qu’il a fait courir aux USA et à leurs agents.

 

Il n’en est rien. Bien que le document contienne de nombreux passages encore couverts par le secret, il indique explicitement qu’Israël n’a jamais ni demandé, ni reçu de Jonathan Pollard des informations sensibles sur la sécurité américaine, sur les équipements, plans ou activités militaires des États-Unis.

 

Alors qu’a-t-il fourni aux services secrets israéliens ? Uniquement, semble-t-il, des informations sur les équipements militaires des pays arabes et musulmans, en particulier de la Syrie et du Pakistan. Pour la Syrie, il   faut rappeler que Hafez el Assad avait obtenu son diplôme de pilote en Union Soviétique, que ses liens avec l’URSS ne s’étaient jamais distendus et que les perspectives de fournitures de matériels modernes, en particulier NCB (nucléaires, chimiques, bactériologiques) inquiétaient fortement les services israéliens de l’époque. La permanence de cette problématique dans la situation en Syrie aujourd’hui est d’ailleurs frappante.

 

Le document montre que les considérations financières, si elles n’ont pas été absentes, sont restées d’un niveau modeste : ce qui dominait chez Pollard était l’angoisse de voir Israël submergé par des ennemis utilisant des armes de destruction massive et la volonté de contribuer lui-même à changer le cours de cette histoire. La famille Pollard était très sioniste, comme elle était d’ailleurs très patriote américaine. Jonathan se sentait proche d’Israël depuis son plus jeune âge.

 

Que Pollard ait commis une lourde faute morale ne fait pas de doute. Aucun service de sécurité ne peut subsister s’il est laxiste envers ceux qui violent les engagements de secret qui seuls lui permettent de fonctionner. Certes, Pollard n’a pas respecté lui-même la confidentialité imposée dans son « plea bargain » en donnant une interview à un journaliste depuis sa cellule avant son procès. Certes, il semble avoir une propension à se vanter, à être arrogant et maladroit dans ses déclarations. Certes, il a exposé les failles de son service de renseignement de la marine, qui ont permis à cet analyste spécialisé dans la zone des Antilles de sortir à l’extérieur des piles de documents secrets liés au Moyen-Orient et les responsables ne veulent pas, on les comprend, voir leur service ridiculisé. Certes, les campagnes exercées en sa faveur ont pu par contrecoup braquer contre lui. Mais ce sont là des motifs bien véniels…

 

Au total, à la lecture du document de la CIA, ce qu’on découvre de Jonathan Pollard, de ses motivations et des conséquences de ses actes, conduit bien à s’interroger sur une sévérité aussi prolongée …

 

Richard Prasquier

Président du CRIF

 

 

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