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Chuck HAGEL, Secrétaire ! amenez-le donc! Secretary Chuck Hagel? Bring It On!

Chuck Hagel
 

Nombreux sont ceux de la communauté juive américaine qui sont horrifiés de découvrir que le président Obama envisage sérieusement de nommer l’ancien sénateur Chuck Hagel, secrétaire à la défense. Si vous voulez un maigre savoir comment Hagel s’est rendu fameux comme l’un des rares sénateurs féroces contre Israël durant la génération précédente, Carl de Jérusalem sur Israël Matzav vous le fournit .

Tout ce que je peux vous révéler en attendant, c’est que je ne comprends pas comment quelqu’un puisse être éventuellement surpris. Peu après l’annonce que Hagel est en tête de liste pour cette nomination, j’ai lu un petit billet de blog pittoresque, rédigé par un commentateur (à tendance) conservateur, qui exprimait sa conviction qu’Obama ne voudrait pas risquer ses relations avec les supporters d’Israël en nommant Hagel. Mais comme le soulignait Powerline aujourd’hui c’est justement là le but de cette candidature. Obama n’est pas stupide. Il choisit les conflits où il se sait vainqueur. Il n’a pas toujours eu raison à leur sujet. Il sélectionne des luttes avec l’intention de remporter une victoire sur Netanyahou, et en a perdu en chemin, au moins quelques unes.

Mais il a raison de croire qu’il pourra remporter ce duel à travers Hagel. Les sénateurs républicains ne vont pas à entrer en conflit avec Obama à propos de son choix de DOD, étant donné que c’est surtout l’un de leurs collègues sénateurs, même si beaucoup d’entre eux le haïssent. Les démocrates bien sur ne s’opposeront pas à cette candidature.

Obama veut nuire à Israël. Il n’aime pas Israël. Il nomme des conseillers et des membres du cabinet contre Israël en dépit de leurs positions anti-israéliennes, mais surtout à cause d’elles.

Certains commentateurs avançaient que le choix de Susan Rice serait mauvais puisqu’elle est anti-israélienne et souhaitaient la désignation d’un candidat pro-israélien par Obama. Mais John Kerry n’est pas un ami d’Israël. Et à mon opinion, nous aurions mieux fait avec Rice pour ce job.

Contrairement à Kerry, Rice est politiquement incompétente. Elle entra dans le Bureau du sénateur John McCain dans le but de le convaincre ainsi que Lindsey Graham, Oympia Snowe qu’elle est capable de servir comme secrétaire d’État, bien qu’elle ait délibérément berné le public sur l’attentat djihadiste de Benghazi du 11 septembre dernier contre le Consulat des États-Unis. Mais elle échoua. Des quelques observations concernant cette rencontre il ressort qu’après leur conversation avec Rice, les trois sénateurs avouaient être beaucoup plus inquiets qu’ils ne l’étaient au préalable. Autrement dit, ils l’ont trouvée inepte politiquement.

Est-ce que le sénateur Kerry serait-il en mesure de politiquer plus efficacement que Rice de la colline du Capitole ? Et quelles seraient les raisons qui nous feraient croire que le grand défenseur d’Assad  serait plus favorable à Israël que Rice n’aurait pu l’être ? Mais avec Kerry au siège de pilotage, au lieu d’une incompétence politique dont nul n’oserait s’en servir comme porte-parole de la politique étrangère d’Obama contre Israël, nous aurons un homme politique compétent, raisonnablement populaire pour ce travail.

Il est temps pour les gens de réaliser que le jeu a changé. Obama a gagné. Obama a gagné avec 70 % du vote juif malgré le fait que lors de son premier mandat, il a été plus hostile à Israël que tous les présidents depuis Jimmy Carter. Personne ne peut s’attendre à ce qu’après sa victoire, il limiterait quelque peu sa détermination d’affaiblir les relations américaines avec Israël.

Il a précisé que jusque-là, il ne ressentait aucune contrainte. Prenons, par exemple les palestiniens à l’ONU. Obama a permis aux palestiniens d’obtenir leur statut d’Etat non membre à l’ONU, en s’abstenant de menacer cette organisation de lui couper le financement des Etats-Unis, en réponse à un tel vote.

Les présidents Reagan et George H.W. Bush avaient émis de telles menaces à leurs époques et avaient donc empêché la demande d’atteindre le stade de vote. Etant donné que les palestiniens avaient une majorité automatique à l’Assemblée générale depuis 1975, l’amélioration de leur statut n’eut lieu qu’en 2012, puisque jusque là, ni l’OLP ni l’ONU n’osaient soulever cette question sachant d’avance que les Etats-Unis leur couperaient leur soutien financier si une telle démarche était adoptée. Cette année, le chef du PLO Mahmoud Abbas avait déclaré qu’il voulait avoir un vote et Obama répondit en s’abstenant d’émettre la menace de couper le financement des Nations Unies. Ainsi les palestiniens obtinrent leur vote et, comme prévu, leur demande passa avec une écrasante majorité.

Considérer l’amélioration du statut comme une démarche palestinienne serait une erreur. C’est une démarche conjointe palestino-américaine. Et Obama en est l’acteur principal tandis que personne n’avait trouvé le bon sens de regimber. En fait, quelques juifs newyorkais l’avaient même applaudi.

Il ne fait aucun doute qu’Obama désignera Hagel à la Défense. Et Hagel placera Israël dans sa ligne de mire.

La meilleure façon de déjouer les mauvaises intentions d’Obama envers Israël même légèrement, est de prouver une compétence supérieure en politique qu’il ne l’est, et il est terriblement efficace.

En outre, il se trouve que les partisans d’Israël ont du mal à saisir le message et c’est là un des plus grands avantages d’Obama. Eh bien le voilà ce message : Obama cherche à transformer radicalement les relations américaines avec Israël.

Il ne suit pas les anciennes règles. Il s’en fout pas mal du soi-disant lobby pro-israélien ou du vote juif. Comme il l’intercepte, pour paraphraser Jim Baker, « F #& k les Juifs, ils ont voté pour nous de toute façon. »

Aussi étrange que cela puisse paraître, je suis un peu soulagée par la nomination de Hagel et par ma confiance que Kerry sera le fidèle porte-parole de l’hostilité d’Obama. Plus ils nous jetteront leur hostilité au « visage », plus nous seront capables de ne plus la nier ou de prétendre que nous pouvons continuer à fonctionner comme si de rien n’a changé. Comme nous sommes confrontés à quatre ans d’Obama – quatre ans d’un Obama déchainé, l’agenda le plus urgent pour les Israéliens est qu’ils doivent cesser de s’illusionner qu’ils peuvent faire confiance aux USA sous Obama.

Alors, Bienvenue à bord Secrétaire Hagel. Faites-le entrer.

(Adaptation française du texte de Caroline Glick publié ci-dessous )

Par Thérèse Zrihen-Dvir

 

Secretary Chuck Hagel? Bring It On!

Many in the American Jewish community are aghast to discover that President Obama is planning to appoint former Senator Chuck Hagel to serve as Defense Secretary. If you want the skinny on how Hagel has come to be known as one of the few ferociously anti-Israel senators in the past generation, Carl from Jerusalem at Israel Matzav provides it.

Meantime, all I can say is I don’t understand how anyone can possibly be surprised. Shortly after word came out that Hagel is the frontrunner for the nomination, I read a quaint little blog post written by a conservative leaning commentator voicing her belief that Obama wouldn’t want to risk his relations with Israel’s supporters by appointing Hagel. But as Powerline pointed out today, this is the entire point of the nomination. Obama isn’t stupid. He picks fights he thinks he can win. He hasn’t always been right about those fights. He picked fights with Netanyahu thinking he could win, and he lost some of those.

But he is right to think he can win the Hagel fight. The Republican Senators aren’t going to get into a fight with Obama about his DOD appointee, especially given that it’s one of their fellow senators, even though many of them hate him. The Democrats are certainly not going to oppose him.

Obama wants to hurt Israel. He does not like Israel. He is appointing anti-Israel advisors and cabinet members not despite their anti-Israel positions, but because of them.

Some commentators said that Susan Rice would be bad because she was anti-Israel and they hoped that Obama would appoint someone pro-Israel. But John Kerry is no friend of Israel. And as far as I was concerned, we would have been better off with Rice on the job.

Unlike Kerry, Rice is politically inept. She walked into Sen. John McCain’s office with the intention of convincing Sens. McCain, Lindsey Graham and Oympia Snowe that she was competent to serve as Secretary of State despite the fact that she deliberately misled the public on what happened at the Sept. 11 jihadist attack on the US consulate in Benghazi.

But she failed. In commenting on the meeting, all three senators said they weremore concerned after speaking with Rice than they were before they did. That is, they said she was a political incompetent. Can there be any doubt that Sen. Kerry will be able to play the politics of Capitol Hill far more effectively than Rice?

And what reason does anyone have to believe that Assad’s great defender will be any more supportive of Israel than Rice would have been? But with him in the driver’s seat now, instead of having a political incompetent whom no one can stand serving as the spokesman for Obama’s anti-Israel foreign policy, in Kerry we will have a competent, reasonably popular politician on the job.

It’s time for people to realize the game has changed. Obama won.

Obama won with 70 percent of the Jewish vote despite the fact that his record in his first term was more hostile to Israel than any president since Jimmy Carter. No one can expect him now, after his victory, to feel even slightly constrained in his desire to weaken the US relationship with Israel.

So far, he has made clear that he feels no constraints whatsoever. Take the Palestinians at the UN for example. Obama enabled the Palestinians to get their non-member state status at the UN by failing to threaten to cut off US funding to the UN in retaliation for such a vote.

Both Presidents Reagan and George H.W. Bush issued such threats during their tenures in office and so prevented the motion from coming to a vote. Given that the Palestinians have had an automatic majority in the General Assembly since at least 1975, the only reason their status was only upgraded in 2012 is because until then, either the PLO didn’t feel like raising the issue or the US threatened to cut off its financial support to the UN if such a motion passed.  This year PLO chief Mahmoud Abbas said he wanted to have a vote and Obama responded by not issuing a threat to cut off UN funding. So the Palestinians got their vote and, as expected, it passed overwhelmingly.

Seeing the upgrade as a Palestinian move is a mistake. It was a joint Palestinian-American move.

And Obama made that move and no one balked. Indeed some New York Jewsapplauded it.

Let there be no doubt, Obama will get Hagel in at Defense. And Hagel will place Israel in his crosshairs.

The only way to foil Obama’s ill intentions towards Israel even slightly is to be better at politics than he is. And he’s awfully good.

Moreover, one of his strongest advantages is that Israel’s supporters seem to have never gotten the memo. So here it is: Obama wants to fundamentally transform the US relationship with Israel.

He isn’t playing by the old rules. He doesn’t care about the so-called Israel lobby or the Jewish vote. As he sees it, to paraphrase Jim Baker, “F#&k the Jews, they voted for us anyway.”

As strange as it may sound, I am slightly relieved by Hagel’s appointment, and by my trust that Kerry will be a loyal mouthpiece of Obama’s hostility. The more “in our faces” they are with their hostility, the smaller our ability to deny their hostility or pretend that we can continue to operate as if nothing has changed. As we face four more years of Obama – and four years of Obama unplugged — the most urgent order of business for Israelis is to stop deluding ourselves in thinking that under Obama the US can be trusted.

So welcome aboard Secretary Hagel. Bring it on.

By 

 

 

Après le vote à l’ONU, la « Palestine » est loin de devenir un Etat, par Alain Baker

Mythe arabe
 

La dernière résolution de l’ONU n’a pas créé un Etat palestinien et n’a pas non plus accordé un nouveau statut aux (arabes*)      palestiniens. Toutes les résolutions de l’Assemblée générale, et notamment celle-ci ne peuvent déterminer ni dicter au Droit international sa mise en      pratique sur le terrain.

* Les zones de Gaza et de la Cisjordanie (Judée et Samarie) n’ont jamais été déterminées, sur le plan juridique comme dans les accords signés, comme des territoires palestiniens souverains. Ils seront ainsi tant qu’Israël et les (arabes) palestiniens se disputent ces zones en conflit.

* Après ce vote le statut d’Israël dans les territoires, ni celui des (arabes) palestiniens n’a été changé ou modifié. La nouvelle revendication exprimée par le dirigeant (arabe) palestinien qu’Israël est devenu, du jour au lendemain, un occupant du territoire sous souveraineté (arabe) palestinienne est sans aucun fondement.

* Aucun des accords signés entre Israël et les (arabes) palestiniens ne contient un interdit de construction dans les zones sous leur juridiction respective. La tentative de Mahmoud Abbas d’isoler la question des implantations et d’en faire un préalable pour des négociations ultérieures compromet toute chance d’un retour au processus de paix.

* La Cour pénale international (CPI) n’est pas dans l’obligation de suivre les recommandations de l’Assemblée générale des Nations Unies. La CPI demeure      un organisme juridique indépendant, en dépit de son caractère politique.

* Les différentes tentatives des (arabes) palestiniens d’initier des poursuites pénales contre Israël et ses dirigeants ont été vouées à l’échec. Elles ne présagent aucune volonté sincère de la part des (arabes) palestiniens de créer un climat de confiance mutuelle et nécessaire pour la reprise de négociations sincères et authentiques.

De la même manière que des résolutions précédentes de l’Assemblée générale à caractère politique et unilatéral concernant l’avenir de Jérusalem, des implantations, le tracé des frontières ou des réfugiés n’ont pas affecté et ni influencé la situation actuelle, ni non plus le processus des négociations, cette résolution aussi n’aura aucun effet ou influence sur le terrain ou sur la vie quotidienne des (arabes) palestiniens.

Les (arabes) palestiniens ne sont pas en mesure de proclamer leur propre Etat, car les exigences internationales pour pouvoir fonder un Etat viable comprennent, entre autres : Une unité territoriale unifiée, une gouvernance responsable, et une capacité de remplir ses engagements internationaux et ses responsabilités. En outre, la charte des Nations-Unies exige que chaque Etat demandant une adhésion onusienne devrait accepter et être disposé et capable de remplir les obligations de la charte de l’ONU.

De toute évidence, les Palestiniens ont beaucoup à faire jusqu’à ce qu’ils puissent honnêtement admettre la réalisation de ces qualités de base et ces exigences pour pouvoir fonder un Etat viable.

Tant qu’existeront deux entités séparés, le Hamas/Iran dominant la bande de Gaza et le Fatah gouvernant en Cisjordanie (Judée et Samarie), tant que les deux « frères » ennemis sont toujours à couteaux tirés militairement et idéologiquement, et tant que des roquettes sont toujours lancées périodiquement et intentionnellement et sans discrimination sur les villes et villages israéliens en violation flagrante des normes du droit humanitaire international, et des milliers d’autres sont toujours stockées par les organisations terroristes, il est clair qu’aucun honnête observateur ne pourra raisonnablement soutenir la thèse étatique des (arabes) palestiniens.

Rappelons que les résolutions 242 du Conseil de sécurité des Nations unies (1967) et 338 (1973) ont appelé les parties à œuvrer pour un accord négocié, et Israël et l’OLP ont accepté de régler toutes les questions pertinentes concernant l’avenir de ces zones et leur statut permanent que par la voie de la négociation directe.

En conclusion, Mahmoud Abbas a créé de faux espoirs et a approfondi au sein de la population palestinienne les frustrations et les déceptions. Enfin, seul un climat de confiance mutuelle est nécessaire pour reprendre sincèrement la voie des négociations et le chemin de la paix.

Source : Le CAPE, par Alain Baker

 

 

 

Autorité palestinienne en délire "contrôlé" grâce à l'ignorance ou le parti pris de l'Unesco...

 

Encore une blague stupide de l’Autorité palestinienne

Humour du jour1

Entre mensonges à répétition, colonisation arabo-musulmane des terres juives, dénégation de l’histoire, négationnisme, vol ou destruction du patrimoine Juif, ces gens font la risée des historiens, et pourtant des gens tel que Bukova de l’Unesco sont encore prêts à croire en ces escrocs invétérés, et voilà la dernière du  Ministre des affaires religieuses de l’Autorité palestinienne  (Waqf)…

Mahmoud Habash, sans rougir a déclaré que le Kotel (appelé vulgairement le mur des lamentations), n’a aucun caractère sacré pour les Juifs car ce vestige du Temple Juif est en fait un vestige musulman et islamique et qu’aucun Juif n’est venu y prier avant 1917, avant la déclaration Balfour.

S’exprimant en réaction à la déclaration de Benyamin Netanyahou qui déclare que  le Kotel « sera le nôtre pour toujours », Mahmoud Habash, a déclaré que les revendications d’Israël étaient « sans valeur ».

Voici une petite photo pour rafraîchir la mémoire de cet ignorant de plus pétri de mauvaise foi.

Kotel en 1865

Kotel en 1865

Habash a lancé un appel à l’UNESCO afin comme il dit de faire respecter les droits des arabo-palestiniens sur Jérusalem, sans doute pour confirmer son interprétation bizarre de l’histoire.

Le problème c’est que l’Unesco n’a pas la moindre idée de ce que représente ce mur, sa demande pourrait bien être acceptée par sa stupide directrice, Irina Bukova.

Par Aschkel – rédaction Israël-flash – source elderofziyon



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/12/encore-une-blague-stupide-de-lautorite-palestinienne/#ixzz2FcOt7qpE

 

ONU: L'imposteur Abbas, les tyrans de l'assemblée générale et le benêt Ban ki-Moon

 

ONU : L’imposteur Abbas, les tyrans de l’assemblée générale et le benêt Ban ki- Moon

ONU Chronique du monde qui tourne à l'envers

L’imposteur escroc et terroriste Abbas a trouvé en Ban Ki Moon un ignare et un lâche idéal et il lui demande d’aider les descendants des arabes appelés palestiniens à s’installer dans le territoire israélien du Golan.

Abou Mazen (Abbas) explique au benêt de l’ONU que ce serait une première étape pour le retour des arabes qui n’ont rien à voir avec Israël et qui seraient d’après lui palestiniens.

Voici donc le dernier stratagème diplomatique du gangster de Ramallah

  » aider les réfugiés palestiniens en Syrie, qui souffrent de ce conflit sanglant, de retourner vivre dans le territoire palestinien. » (sic) c’est-à-dire Israël qui serait ainsi considéré comme « méchant et inhumain » si il venait à refuser

Ces arabes étrangers qui ne connaissent ni d’Adam ni d’Eve Israël et a qui l’on a fait croire qu’Israël leur avait volé leur terre, sont pour certains les descendants * des arabes qui ont fui sur le conseil des pays arabes en 48 et 67 qui leur avaient promis qu’après avoir détruit l’Etat Juif naissant ils pourraient récupérer les terres des Juifs ainsi que leurs biens

  • Nous verrons dans un prochain article très détaillé que ce que l’on appelle faussement des réfugiés palestiniens étaient en majorité des immigrants des pays limitrophes de la Palestine mandataire et qui sont venus par centaines de milliers chercher travail auprès des Juifs pionniers reconstruisant leur pays entre 1905 et 1947.

Comme on le sait la malveillance  de l’ONU ne désigne aucune deuxième ou troisième génération comme «réfugié», sauf pour les Arabes. Dans tous les autres cas, ceux qui fuient leur pays d’origine sont classés en tant que réfugiés, mais leurs enfants et les générations futures sont considérés comme des citoyens du pays où ils vivent.

La distinction spéciale pour les «réfugiés» arabes laisse une bombe à retardement, leur nombre a augmenté de façon exponentielle, la plupart d’entre eux n’ayant jamais vu Israël. Pratiquement toutes instances politiques israéliennes, y compris la plupart des gauchistes, s’opposent à ouvrir les portes à l’immigration des Arabes étrangers, ce qui mettrait fin à Israël en tant qu’Etat juif indépendamment du fait que l’Autorité palestinienne ne peut s’imposer comme un pays indépendant.

Les pays étrangers qui hébergent ces arabes ont refusé de leur accorder la citoyenneté, à l’exception d’un petit nombre, provoquant une situation de pauvreté et d’inégalité qui a fourni un terrain fertile au terrorisme musulman.

Et voilà ce que cela donne

L’Assemblée générale des Nations unies a sommé Tel Aviv de remplir une série de ses exigences, notamment de se retirer des hauteurs du Golan, territoire syrien occupé par Israël en 1967, puis annexé.

On croit rêver – l’agressé c’est-à-dire Israël a gagné la guerre en 6 jours contre une coalition arabe d’agresseurs – C’est comme si l’on demandait à la France de rendre l’Alsace et la Lorraine à l’Allemagne –

Pire

L’Assemblée a appelé l’Etat hébreu à renoncer à Jérusalem comme capitale et à entamer un dialogue de paix avec les Palestiniens.

Dans une des résolutions, le principal organe de délibération des Nations unies réaffirme que « toutes les mesures et dispositions législatives et administratives prises par Israël, Puissance occupante, qui ont modifié ou visaient à modifier le caractère et le statut de la ville sainte de Jérusalem, en particulier la prétendue Loi fondamentale sur Jérusalem et la proclamation de Jérusalem capitale d’Israël, étaient nulles et non avenues et devaient être immédiatement rapportées ».

Ces résolutions ont été adoptées 2 jours après la reconnaissance de la « Palestine » en tant qu’Etat observateur à l’Onu et portent exclusivement le caractère de recommandation.  (encore heureux !)

Nous précisons que  l’assemblée générale de l’ONU a adopté 9 résolutions contre Israël ces derniers jours et  zéro contre la Syrie  qui bombarde à l’arme lourde les civils– ce qui donnera qu’à la fin la session de 2012 22 résolutions seront adoptées contre l’état hébreu  et 4 seulement pour le reste des pays de la planète soit une pour la Syrie, une pour l’Iran, une pour la Corée du Nord et la Birmanie.

Ces résolutions mettent l’accent sur soi-disant « la violation systématique et continuelle des droits fondamentaux du « peuple palestinien » »

Imaginons un instant qu’Israël doivent encore se départir d’un territoire pour avoir la paix qu’il n’aura jamais avec les arabes puisque leur but avoué est la destruction de l’Etat Juif, c’est absolument hallucinant comme le précise Hillel Neuer  d’UN-Watch

« Au moment où le régime syrien massacre sa population, comment l’ONU peut-elle réclamer que d’autres personnes soient livré au tyran Assad ?

Bref – La crédibilité de cette institution est nulle – car comment comprendre que 80 % des résolutions sont prises contre l’Etat démocratique d’Israël qui respecte ses minorités et que les pires pourfendeurs des droits de l’homme initient (parce que majorité automatique) ces résolutions contre un pays libre.

Pour rappel

L’ONU vient de délivrer aux « Palestiniens » un « acte de naissance » au sortir d’un vote, jeudi 29 novembre.

 Un état terroriste est né, la Palestine et le monde applaudi après que 1500 roquettes  ont été tirées par les « palestiniens » de Gaza sur la population civile d’Israël.

 Plus des deux tiers des 193 pays membres de l’organisation ont approuvé l’admission de la Palestine en tant qu’Etat observateur non membre.

Pas moins de 138 pays ont en faveur de ce changement de statut, seuls 9 ont voté contre, dont les Etats-Unis et Israël, et 41 se sont abstenus.

Un état qui enseigne la haine, l’endoctrinement antijuif et cautionne le terrorisme sont contraires aux principes fondateurs de l’Onu.

L’ONU est devenue ces 30 dernières années avec la fameuse majorité automatique le théâtre de l’absurde ou les criminels sont devenus les juges, élus aux plus hauts rangs des agences des Nations Unies pour les droits humains.

Le Boucher Syrien Bachar Al-Assad –responsable du meurtre en masse de 40’000 de ses propres concitoyens – siège toujours à la commission pour les droits humains de l’UNESCO.

Et la France ferme les yeux…

Les Palestiniens peuvent se targuer d’une victoire diplomatique d’importance (plutôt d’une esbroufe réussie) pendant que des bourreaux  masqués du Hamas tuent par balle, en public, six collaborateurs présumés d’Israël sur un carrefour de Gaza, les corps ont été empilés devant une foule qui les a piétinés, puis leur a craché dessus.

Ensuite, les corps ont été attachés à des motos et puis traîné dans les rues de Gaza, le rallye des barbares vient de célébrer les 25 ans de terreur.

Le 29 novembre 1947 était le jour où l’Assemblée Générale des Nations Unies (UNGA) adopta le plan de partage du Mandat Britannique sur la Palestine en un Etat juif et un Etat arabe. Les Juifs acceptèrent le plan. Les Arabes le rejetèrent.

la démarche unilatérale de l’Autorité palestinienne auprès de l’ONU constitue une violation des Accords d’Oslo.

L’AP ne reconnaissant pas Israël n’apporte aucune garantie à la sécurité des Israéliens.

Le 25 décembre 2010, le Président palestinien Mahmoud Abbas a annoncé que, quand un État palestinien sera établi, aucun Israélien ne sera autorisé à y vivre. Ça c’est l’Apartheid !

La France est le pays d’Europe avec la plus forte population arabe, avec son incroyable bravoure elle vient une nouvelle fois de dire oui aux terroristes. Le Consulat Général de France à Jérusalem a même été fermé un jour de décembre afin de commémorer les « 25 ans de la « Palestine »… 25 ans de terrorisme.

En votant positivement à l’ONU, la France et son gouvernement se déshonorent et se rend complice de manœuvres initiées par les ennemis du peuple juif et plus généralement ceux qui veulent la destruction de l’Occident et de ses valeurs Judéo-Chrétiennes.

Elle est un obstacle à toute solution négociée et pacifique !

Israël est en effet en première ligne dans la défense de nos intérêts à nous Européens et Occidentaux.

Il est consternant de voir que certains états européens et en particulier la France se range aux côtés des tyrans sanguinaires qui font la loi à l’ONU devenue la chambre  des ténèbres où règnent la dictature et une politique de deux poids, deux mesures.

 La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire.

Le pays fut dominé successivement par les Romains,  les croisés Chrétiens,  les Musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale.

Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s’étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu’ils y établissent un Etat souverain.

La Jordanie actuelle représente près de 80% de la Palestine Britannique, aujourd’hui ceux qu’on appelle palestiniens sont tout simplement des arabes venus d’Irak, de Syrie ou d’Egypte ou d’Arabiz saoudite. Ils sont venus pour travailler lorsque les juifs ont commencé au début des années 1900 à cultiver les terres agricoles et ont fait fleurir le désert.

 Il n’existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture ou de monnaie spécifiquement Palestinienne.

 Il n’y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens avant Arafat le célèbre Terroriste mort du sida.

Il n’y a jamais eu de frontières de 1967, les dirigeants occidentaux et les médias qui affirment cela sont des révisionnistes complaisant de la propagande Arabe.

Il n’y a jamais eu d’état indépendant appelé « Palestine » avec pour capitale Jérusalem.

Jérusalem n’est pas mentionnée une seule fois dans le coran, et les journalistes qui affirment que cette ville est sainte pour les musulmans sont des menteurs dhimmis.

 La « Palestine » existe déjà, c’est la Jordanie. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens (la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques).

Le monde Arabe contrôle 99. 9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que 0,1% de la superficie régionale. Qui occupe qui ?

Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c’est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël.

Par Aschkel et Jean Vercors -rédaction Israël-flash



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/12/onu-limposteur-abbas-les-tyrans-de-lassemblee-generale-et-le-benet-ban-ki-moon/#ixzz2FcNSH9Kp

 

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