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Souha Arafat/Vidéo : Révélations et décryptage du mensonge médiatique

Souha Arafat/Vidéo : Révélations et décryptage du mensonge médiatique

2012-12-28_140010

Révélations – 2ème intifada, les mensonges de Chirac et de la presse notamment l’AFP

Par Clément Weill-Raynal, Journaliste

Ce texte date de 2001

L’Agence France Presse, troisième agence de presse mondiale, respecte-t-elle ses obligations « d’exactitude, d’équilibre et d’objectivité » que la loi lui impose, ou au contraire viole-t-elle ce principe en fournissant à ses abonnés une information partisane? 

C’est la question à laquelle nous nous sommes efforcés d’apporter des éléments de réponse concrets en examinant la couverture par l’AFP du conflit israélo-palestinien notamment depuis le début, le 28 Septembre 2000, de ce qu’il est convenu d’appeler « la seconde intifada ».

Dans l’impossibilité d’examiner de manière exhaustive la totalité des dépêches consacrées, depuis maintenant plus d’un an, à ces événements, nous nous en sommes tenus à une lecture attentive des dépêches diffusées sur le fil de l’AFP lors des épisodes essentiels de l’intifada. Nous nous sommes attachés à relever un certain nombre d’approximations, d’omissions qui – à notre sens – témoignent de la volonté de favoriser le plus souvent le camp palestinien en faisant retomber sur le seul camp israélien la responsabilité de la vague de violence.

La première semaine – le déclenchement des violences 

Bien que l’intifada n’a réellement éclatée que le vendredi 29 septembre, l’Histoire a d’ores et déjà retenu une autre date : celle du jeudi 28 septembre, c’est-à-dire le jour de la venue d’Ariel Sharon, alors leader de l’opposition sur ce qu’il est convenu d’appeler « l’esplanade des Mosquées » et que la presse israélienne (toutes tendances confondues) désigne sous le nom juif de « Mont du Temple ». Progressivement, une thèse a été mise en avant, puis érigée au rang de vérité officielle et indiscutable: la cause de l’intifada serait la venue d’Ariel Sharon sur « l’esplanade des mosquées », présentée comme une provocation » délibérée.

Les israéliens seraient ainsi responsables du déclenchement des violences.

En France, c’est cette version des faits qui a été présentée par l’Agence France Presse auprès de ses abonnés.

Une lecture attentive des dépêches diffusées laisse apparaître que dès les tous premiers jours des violences, les informations données par l’AFP ont semblé vouloir occulter les responsabilités palestiniennes et aggraver celles du camp israélien, mettre en avant les déclarations et les arguments de la partie palestinienne, estomper, voire oublier, ceux du gouvernement israélien.  

Mais tout d’abord les faits.  Tout commence le jeudi 28 septembre 2000, au petit matin.

Ariel Sharon, alors leader de l’opposition, se rend à pied sur « l’esplanade des mosquées » – mont du temple. Cette démarche symbolique vise à affirmer la souveraineté israélienne sur les lieux saints et à protester contre la proposition faite par le Premier ministre Ehud Barak aux palestiniens de conclure un accord de partage de Jérusalem pour en faire deux capitales.

Le choix du lieu n’est pas dû au hasard. L’esplanade abrite en effet à la fois le premier lieu saint du judaïsme et le « troisième » lieu saint de l’islam. C’est à cet endroit que se focalisent les tensions religieuses. La question de savoir qui doit exercer la souveraineté politique sur l’esplanade est l’une des plus épineuses des négociations.

La visite d’Ariel Sharon, annoncée depuis plusieurs jours et faite avec l’assentiment des autorités musulmanes qui gèrent le lieu suscite une manifestation de protestation de plusieurs dizaines de jeunes palestiniens.

Des échauffourées, puis des heurts se produisent. Les manifestants jettent des pierres, des chaises et des objets métalliques sur la petite délégation qui accompagne Ariel Sharon et les policiers qui les encadrent.

La police riposte en tirant des balles caoutchoutées. Six palestiniens et vingt-cinq policiers sont légèrement blessés. Les incidents n’auront duré que quelques minutes. Le calme revient rapidement.

Ce n’est que le lendemain, vendredi 29 septembre, soit vingt-quatre heures après, que les incidents graves surviennent.

Depuis l’esplanade, des palestiniens jettent des pierres contre les soldats qui gardent les portes d’accès de l’esplanade et les fidèles juifs en train de prier au mur des lamentations, en contrebas. L’armée riposte. A la fin de la journée, le bilan des affrontements sur l’esplanade se solde par la mort de sept palestiniens et de deux cent vingt blessés. Pour les médias et le grand public, la « seconde intifada » vient de commencer.

A quelle date précise a débuté cette nouvelle intifada ? 

28 septembre, date de la venue de Sharon sur l’esplanade?  29, date des premiers affrontements sérieux ?

En fait, les prémisses d’une déflagration sont déjà perceptibles quelques jours auparavant. Depuis l’échec du sommet de Camp David, au mois de juillet, la presse israélienne fait état de rapports alarmistes des services de renseignements.

Selon ces informations qui font la une du Jérusalem Post à la mi-septembre, l’autorité palestinienne s’apprête à déclencher une confrontation armée.

La veille de la venue d’Ariel Sharon sur l’esplanade des mosquées, deux attentat à la bombe ont été perpétrés, dont  un a provoqué la mort d’un soldat israélien qui escortait un bus de civils dans la bande de Gaza.

Le 29 septembre au petit matin, soit quelques heures avant les premiers morts sur « l’esplanade des mosquées », un policier palestinien abat froidement un garde-frontière israélien en compagnie duquel il participait à une patrouille mixte.

Ces attentats sont les plus graves depuis l’arrivée d’Ehud Barak au pouvoir. Ils ne doivent rien au hasard.  Ils marquent le véritable début de l’intifada.  La lecture des dépêches de l’AFP diffusées le vendredi 29 septembre est intéressante à plus d’un titre. Elles constituent en quelque sorte une « photographie » de départ, au premier jour des affrontements violents sur « l’esplanade des Mosquées » qui marqueront véritablement le début de l’intifada. Cette photographie permettra par la suite de mieux comprendre à quelles manipulations (omissions, oublis, distorsions sémantiques, déséquilibres dans le traitement des sources.) va se livrer ultérieurement l’Agence France Presse pour promouvoir les thèses palestiniennes.

Le 29 septembre, l’AFP donne en effet une lecture relativement équilibrée de la situation. Dans une longue dépêche diffusée à la mi-journée (13h 26), alors que le bilan des émeutes sur l’esplanade n’est encore que de deux morts, le journaliste Marius Schattner écrit : « Ehud Barak fait face à des violences d’une gravité sans précédent depuis son entrée en fonction en 1999, marquée par des attentats anti-israéliens ayant fait deux morts et des heurts qui ont fait deux morts dans les rangs palestiniens sur « l’Esplanade des Mosquées à Jérusalem ».

A cet instant, la « fable » d’une intifada déclenchée d’un coup de baguette magique par Ariel Sharon n’a pas encore été forgée.

L’AFP restitue les événements du vendredi dans le contexte des jours précédents. Les deux attentats du mercredi et du vendredi sont donc à prendre en considération. Ils autorisent à s’interroger sur le fait de savoir si l’autorité palestinienne n’a pas d’ores et déjà déclenché les hostilités.  Dans sa synthèse de fin de journée (21h 51), l’AFP rappelle qu’ « il existe depuis plusieurs mois un risque latent de violence en raison du blocage des négociations, surtout depuis l’échec en juillet du sommet de Camp David » et ajoute, « mais ce risque est soudain devenu beaucoup plus réel vendredi, certains manifestants palestiniens appelant même de leurs vœux une nouvelle intifada ».

Quant aux responsabilités dans le déclenchement des violences, là aussi l’Agence France Presse fait preuve d’un réel équilibre en rapportant les positions des deux parties : « Dans l’affaire de l’esplanade des mosquées(.) Ehud Barak a mis en cause sans ambiguïté les palestiniens, affirmant qu’ils étaient responsables des violences. Chez les Palestiniens, on explique toutefois ces violences, déclenchées par des jets de pierre contre Israéliens, par la visite la veille sur l’esplanade du chef de la droite israélienne, Ariel Sharon, qu’ils ont ressentie comme une provocation »

Deuxième jour du conflit – Samedi 30 Septembre: 

Dès le lendemain, changement de « ligne éditoriale ». Alors que les combats font rage (le bilan de la journée s’élèvera à 16 morts et 500 blessés), l’AFP ne retient plus qu’une seule thèse.

Celle, palestinienne, de la provocation » d’Ariel Sharon. Dans les jours et les semaines qui vont suivre, la venue du chef de l’opposition sur l’esplanade va devenir l’unique cause du conflit.

La première dépêche (11h31) orientée en ce sens vient d’ailleurs de Paris.  Consacrée à la réaction de la représentante de l’autorité palestinienne en France, Leïla Shahid, l’AFP indique : « La visite du leader de l’opposition de droite Ariel Sharon sur l’esplanade des mosquées à Jérusalem est une provocation pure et simple », dont les conséquences « montrent combien la situation est inflammable » a déclaré Leïla Shahid ».

Les dépêches envoyées depuis les grandes capitales arabes emboîtent le pas.  On peut noter que ces dépêches reprennent souvent le ton et le vocabulaire des communiqués gouvernementaux, de la presse officielle ou des organisations palestiniennes dont elles se font l’écho.  A 11 heures 50, une dépêche de Damas est titrée: « Damas dénonce le massacre » sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem ». Une heure plus tard, toujours de Damas, le porte-parole du FPLP, estime que  « le massacre commis par les forces d’occupation israéliennes sur l’esplanade des mosquées, après la profanation de cette esplanade par le terroriste Ariel Sharon, démontre l’absurdité de la poursuite des négociations de paix ».

Le meilleur reste à venir. Rendant compte d’une manifestation à Saïda, au Liban, contre les « massacres » à Jérusalem, le journaliste de l’AFP, Jihad Saqlaoui, écrit : « Des jeunes ont brûlé le drapeau israélien et l’effigie du chef de la droite israélienne, Ariel Sharon, dont la visite jeudi sur l’esplanade d’al-Aqsa a provoqué des heurts sanglants au cours desquels sept palestiniens ont été tués »

La venue Jeudi d’Ariel Sharon et la fusillade sanglante du Vendredi ne constituent désormais plus qu’un seul et même événement. Rien n’indique dans la dépêche que l’émeute sanglante s’est produite près de trente heures après la visite de Sharon et que la fusillade a éclaté après que les jeunes palestiniens ont attaqué à coup de pierre les fidèles juifs priant en contre bas au mur des lamentations.  Dès le deuxième jour de l’intifada, L’AFP livre à ses abonnés (c’est-à-dire à l’ensemble de la presse française) une explication de la révolte palestinienne : « les violences ont été déclenchées par la visite d’Ariel Sharon sur « l’esplanade des Mosquées » qui abrite le troisième lieu saint de l’Islam».

Le dimanche 1er octobre, cette affirmation sera répétée à 13 reprises sur le fil de l’agence. Le lundi 2 octobre, la formule est utilisée dans plus de 20 dépêches. Ce sera désormais, selon l’AFP, la cause unique de ce nouvel épisode du conflit israélo-palestinien.

Pratiquement chaque jour, à chaque occasion, dans chaque rappel chronologique l’AFP utilisera invariablement cette phrase fétiche : « l’intifada a été déclenchée par la venue d’Ariel Sharon sur l’esplanade des mosquées, troisième lieu saint de l’islam ».

Enrevanche, dans les semaines et les mois qui suivront, l’Agence France Presse ne jugera pas utile de rappeler le contexte qui était celui de l’échec du sommet de Camp David, les attentats meurtriers qui avaient recommencé bien avant la venue d’Ariel Sharon sur l’esplanade, l’attaque des fidèles juifs en prière au mur des lamentations qui avait provoqué la fusillade sanglante sur l’esplanade.

Enfin, il n’est pas inintéressant de noter l’emploi systématique de l’expression « troisième lieu saint de l’islam » pour qualifier « l’esplanade des mosquées » alors que celle de « premier lieu saint du judaïsme » n’est utilisé qu’à de très rares occasions. S’agit-il d’un oubli, d’une précision jugée sans importance ? Ou l’AFP cherche-t-elle ainsi, à l’instar de la propagande palestinienne, à mieux délégitimer toute présence juive sur le  mont du temple?

Le déséquilibre des sources 

A cette présentation tendancieuse des faits, s’ajoute un déséquilibre flagrant dans le traitement des sources. C’est ce que révèle en effet l’examen attentif des dépêches durant la première semaine du conflit.  Le samedi 30 septembre, l’AFP consacre 79 dépêches aux affrontements israélo-palestiniens. 6 dépêches, que l’on peut considérer comme équilibrées, reprennent des informations dont les sources sont à la fois palestiniennes et israéliennes. 13 dépêches semblent reposer sur des sources indépendantes (sources hospitalières, « témoins », journaliste AFP présent sur le terrain.).  Pour le reste : 47 dépêches donnent des informations émanant du seul camp arabo-palestinienne (sources hospitalières palestiniennes, ministre palestinien de la santé, forces de sécurité palestiniennes, responsables politiques palestiniens, organisations arabes.). Contre 13 seulement émanant de la partie israélienne (ministres du gouvernement, Etat-Major.).  En outre, il n’est pas inintéressant de remarquer que sur ces 13 dépêches, rédigées souvent de manière lapidaire, 10 ne seront diffusées qu’en fin de journée entre 20 heures et 23heures, alors que les dépêches venant du camp palestinien tombent sur le fil de l’AFP tout au long de la journée.  On n’insistera jamais assez sur l’importance de ce « timing » dans la diffusion des informations pour essayer de faire comprendre le mécanisme et l’influence des agences de presses sur les salles de rédaction. Il est bon de rappeler une évidence : une entreprise de presse est d’abord une entreprise. L’immense majorité des journalistes travaillent tout bonnement selon les « horaires de bureaux ». Les grands rendez-vous d’informations sont connus. Entre 7h et 9H pour les radios.

Entre 19 heures 20 heures 30 pour les grands journaux TV. La presse écrite quotidienne elle-même se fabrique pour l’essentiel le matin, l’après-midi et en tout début de soirée.  Il évident que des informations diffusées dans la matinée et l’après-midi auront une impact sur les journalistes et donc sur le public bien plus considérable qu’une dépêche envoyée après la grand’messe du 20 heures, alors que les grands rendez-vous d’information sont terminés, que la majorité des journalistes a regagné ses foyers après une journée de labeur et que les salles de rédaction sont tout simplement désertes.

S’agit-il d’un hasard ? D’un mauvais procès ? Il ne faut pas craindre de se livrer à un décompte fastidieux pour constater que les mêmes déséquilibres dans le traitement des sources et dans les horaires de diffusion vont se répéter les jours suivants.

Le dimanche 1er octobre, l’AFP diffuse 45 dépêches (flash, bulletins, lead, synthèses.) dont les informations ont pour source unique le camp arabo-palestinien. Sur ces 45 dépêches, 3 sont envoyées entre 0h et 8h du matin, 3 dans la matinée, 30 entre midi et 20h, 10 entre 20h et minuit.

Dans le même laps de temps, l’AFP ne diffuse que 17 dépêches dont les informations émanent de sources israéliennes. 6 entre Oh et 7h du matin. 4 dans la matinée, 2 à 18 h, 6 entre 20 h et minuit.

 Le lundi 2 octobre, la même arithmétique se répète. 25 dépêches basées sur les seules informations de la partie palestinienne. 12 autres consacrées aux prises de position de la France et de l’Union Européenne  «condamnant la provocation d’Ariel Sharon». 13 reposent sur des sources israéliennes qui rejettent la responsabilité des violences sur les palestiniens.

Le silence entourant les déclarations de Faloudji 

Voir notre vidéo

Le 2 mars 2001, cinq mois après le début de l’Intifada, Imad Faloudji, le ministre palestinien de la Communication, prononce un discours lors d’un meeting de l’OLP dans le camp de réfugié d’Ein el-Hilweh, à 45 km au sud de Beyrouth. Dans ce discours, Imad Faloudji fait deux déclarations importantes.

Il affirme en premier lieu que « l’Intifada était planifiée depuis l’échec des négociations de camp David », en Juillet 2000. Sur ce point, le ministre palestinien est on ne peut plus clair, puisqu’il ajoute: « Ce sommet de Camp David où le président Arafat a envoyé promener le président américain Bill Clinton et rejeté les conditions américaines ».  Imad Faloudji précise ensuite (pour ceux qui ne l’auraient pas compris) que « c’est une erreur de penser que l’insurrection (palestinienne) a été initié par la visite d’Ariel Sharon sur « l’Esplanade des Mosquées ».

Ces déclarations sont jugées suffisamment importantes pour que l’agence américaine Associated Press (AP) y consacre le jour même une longue dépêche.  La majorité de la presse anglo-saxone développera les jours suivants cette information. Le correspondant du « Monde » en Israël, Georges Marion, en fera également état.

L’agence France Presse, pourtant très présente au Liban, n’y a pas consacré une ligne, Pourquoi?

Est-ce parce que cette information -émanant du camp palestinien – contredisait la version officielle de la « provocation d’Ariel Sharon » serinée invariablement depuis cinq mois par l’AFP ?

Il faut préciser qu’Imad Faloudji avait déjà tenu des propos similaires lors d’un colloque à Gaza le 5 décembre 2000. Ces propos avaient été rapportés par le quotidien palestinien « Al Ayam » du 6 décembre.

D’autres responsables palestiniens, cités par la presse internationale, ont fait des déclarations allant dans le même sens.  Le  » Nouvel Observateur  » a publié, dans son numéro du 3 Mars 2001 le témoignage de Mamdoh Nofal, l’un des dirigeants du Front Démocratique pour la Libération de la Palestine (FDLP), qui explique que Yasser Arafat a pris lui-même la décision de déclencher les hostilités:  « Quelques jours avant la visite de Sharon sur l’esplanade des Mosquées, lorsque Yasser Arafat nous a demandé d’être prêts à nous battre (.) Djibril Rajoub, le chef de la sécurité préventive en Cisjordanie, n’a cessé, lui aussi, de mettre en garde Arafat contre le danger d’une confrontation armée.

En vain. Abou Amar (Arafat) était convaincu qu’au bout de deux ou trois jours, le déséquilibre des forces serait si intolérable que les Américains, les Européens et les Arabes conseilleraient à Barak de reprendre les  négociations. « 

Jamais l’AFP ne s’est fait l’écho de ces déclarations ne serait-ce que pour les relativiser, en contester l’importance ou les critiquer. L’AFP applique ainsi une règle simple de la désinformation : ce dont on ne parle pas, n’existe pas.   Malgré les déclarations d’Imad Faloudji et des autres responsables palestiniens, l’Agence France Presse va continuer tout au long de l’année 2001 à désigner Ariel Sharon comme le seul responsable du déclenchement de l’intifada.

La position officielle de la France. 

Cette thèse, de la responsabilité d’Ariel Sharon, mise constamment en avant par l’AFP, est aussi la thèse officielle de la diplomatie française. Dès le 2 octobre, le ministère français des affaires étrangères publie une déclaration du ministre Hubert Védrine, qui « condamne sans réserve la provocation délibérée accomplie par Ariel Sharon » et qui «déplore les violences qui en sont résultées ».

Le même jour l’Elysée, par une déclaration du Président de la république, confirme cette analyse. Recevant le secrétaire d’Etat américain Madeleine Albright, Jacques Chirac déclare : «Nous sommes consternés et Très préoccupés par cette flambée de violence.

A l’origine, jeudi dernier, une provocation irresponsable sur le Lieu saint de l’esplanade des mosquées.  Et, à partir de là, un embrasement prévisible ».  Un an et demi après le début des événements, la France a-t-elle révisé son opinion sur les responsabilités du conflit ? Il est permis d’en douter.  Malgré les conclusions du rapport Mitchell, malgré les déclarations des dirigeants palestiniens eux-mêmes, le quai d’Orsay maintient sa position.

On en veut pour preuve cette étonnante déclaration, le 18 Janvier 2002, du porte-parole du ministère lors du traditionnel point de presse quotidien. En réponse à la question d’un journaliste, lui demandant de désigner les responsables d’un nouvel incident sur le terrain, le porte-parole répond : « Dans le cadre d’une situation aussi complexe, nous ne souhaitons pas revenir de manière notariale sur les responsabilités de chaque incident et de chaque violation.

A défaut, nous entrerions dans une discussion stérile. La France, en son temps, a su dire, de manière très claire, quel était l’événement à l’origine de la reprise de l’Intifada ».

 Lire et télécharger cet excellent décryptage en entier

 2eme Intifada Décryptage d’un mensonge médiatique 

Par Aschkel – rédaction israel-flash

 



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/12/souha-arafatvideo-revelations-et-decryptage-du-mensonge-mediatique/#ixzz2GuqybgWB

 

Palestiniens : escroquerie démographique

 

Chronique du peuple inventé

Donc, le peuple inventé ne lésine sur aucun moyen pour esbroufer tant qu’il peut. Le centre de statistiques palestinien a multiplié par 2 le nombre d’arabo-palestiniens vivant en Judée-Samarie et Gaza soit une croissance de 50% pour une période allant de 1993 à 2015. Pas mal non  ! ça mériterai le prix Guinness du mensonge 2012 !

Comment fait-on pour recevoir plus d’aide des occidentaux, facile on manipule les chiffres, et comme ces derniers ne vérifient rien de ce qu’ils allouent aux mendiants professionnels, nous nous retrouvons avec des inepties de ce genre !

Les chiffres truqués de ce pseudo institut PCBS ont influencé la planification des infrastructures, y compris l’eau et l’utilisation des terres, et ont servi de base à l’aide étrangère américaine et internationale à l’Autorité palestinienne.

Vous trouverez en lien une étude (en anglais) très sérieuse de 80 pages réalisée par le centre Beguin-Sadate (Besa) sur les réels chiffres de la démographie arabe de cette région.

L’écart de millions de personne: Un regard critique sur la démographie palestinienne

par Bennett Zimmerman, Roberta Seid et Michael L. Wise

Résumé:

Les statistiques démographiques et les prévisions du Bureau central palestinien des statistiques (PCBS) ne sont pas fiables.

Une étude BESA qui soumet la démographie palestinienne à une analyse rigoureuse montre que la population arabe palestinienne en 2004 de la Judée-Samarie  et de Gaza s’élevait à 2,5 millions de personnes et non pas les 3,8 millions revendiquée par les Palestiniens.

Une enquête de 1997 de la population faite par le  PCBS – qui a été largement utilisée comme base pour des études ultérieures – a gonflé les chiffres en incluant plus de 300 000 arabes Palestiniens vivant à l’étranger et compte en  double  plus 200 000 Arabes de Jérusalem qui sont inclus dans cette enquête et qui fait partie de la population d’Israël.

Soit plus d’un 1/2 million de personnes comptabilisées qui n’auraient pas dû l’être.

Plus tard d’autres rapports du PCBS sont sortis ne se basant que sur des prévisions de naissance non effectives, y compris des hypothèses d’immigration palestinienne de masse qui n’ont jamais eu lieu, et sans tenir compte d’une importante émigration palestinienne vers Israël et les pays arabes voisins.

Par exemple le rapport du PCBS  pour 2004 a gonflé la taille de la population arabe de Judée-Samarie et à Gaza de plus de 50%.

L’étude BESA et d’autres recherches démographiques indiquent que les préoccupations d’Israël concernant la pression démographique arabe de la Judée-Samarie et de Gaza ont été très largement exagérées.

Selon les projections démographiques de l’ONU, le US Census Bureau, et l’Autorité nationale palestinienne, les Arabes de la Judée-Samarie et de Gaza ont une des croissances les plus rapides au monde – et les résidents sous l’Autorité nationale palestinienne seront plus nombreux que les Juifs israéliens dans un avenir prévisible. Mais ces estimations ne sont pas exactes, puisque basées sur les frauduleux rapports du PCBS..

La réalité est qu’il existe un écart de millions de personnes entre la réalité et les manipulations présentées par l’Autorité palestinienne.

L’Etude rigoureuse du centre Sadate-Beguin  constate des incohérences et des contradictions dans les données de l’Autorité palestinienne qui font qu’il est clair que la taille de la population arabe en Judée-Samarie et à Gaza a été considérablement – et de plus en plus au fil des ans exagérée.

Le premier numéro officiel palestinien pour la Judée-Samarie et la bande de Gaza, publié en 1997 par le Bureau central palestinien de statistique (PCBS), était de 2,78 millions de personnes.

Dans le même temps, le PCBS prévoyait que sa population augmenterait à 5,81 millions de personnes d’ici 2015.

Cette prévision est devenue la base de tous les rapports futurs sur la population publiée par le Bureau central palestinien.

En 2004, suite à son calendrier préétabli  et selon ses hypothèses, le PCBS a rapporté que 3,8 millions d’Arabes vivaient dans les « territoires ». En combinant ce chiffre à 1,3 million d’Arabes israéliens, il a été conclu qu’il y avait 5,1 millions Arabes vivant à l’ouest du Jourdain.

Israël estime en fin d’année 1996, il y avait 2,11 millions Arabes en Judée-Samarie et à Gaza. Le PCBS a émis le nombre de 2,78 millions de personne soit déjà une falsification de 670.000 personnes.

Les chiffres du PCBS ont été gonflés par l’inclusion des résidents vivant à l’étranger et des Arabes de Jérusalem qui font partie intégrante de la population d’Israël. Le PCBS a sans scrupules donné un statut de  résidents de facto à des personnes vivant à l’étranger.

Idem pour les données sur les naissances effectives enregistrées annuellement par le ministère de la Santé et PA corroborées par le ministère de l’Éducation a montré un grand écart entre les prévisions et la réalité.

Idem aussi pour la prévision de  l’immigration, et au contraire c’est l’inverse qui se passe, les enregistrements d’Israël sur les entrées et les sorties réelles des frontières ont montré une nette émigration régulière pour les pays à l’étranger et en Israël.

Tout simplement, les prévisions du  PCBS n’ont jamais été ajustées en ce qui concerne les réelles naissances, les décès et l’émigration annuelle, mais ont plutôt été publiées sous forme de rapports officiels et acceptées sans poser de questions.

L’Autorité palestinienne comptabilise des personnes décédées comme vivant toujours, et des naissances d’enfants qui n’ont jamais vu le jour.

Voici quelques détails:

Rajout d’au moins 325.000 habitants qui vivent à l’extérieur des « territoires ».

En plus de la population de base, le PCBS a développé une projection pour les enfants nés jusqu’en  de 1997 à 2015.

Rajout d’une prévision de 907.000 naissances entre 1997 à 2003. En réalité  Le ministère palestinien des statistiques de santé a montré un taux beaucoup plus faible de naissances dans les « territoires ». Au lieu des 907.000 naissances prévues par le PCBS pour les sept ans à compter de 1997-2003, nous avons trouvé des preuves cohérentes des organismes palestiniens que les naissances réelles sont de 308.000 moins que prévu.

325.000 + 308.000

Les hypothèses d’immigration sont aussi un aspect important de la prévision palestinienne. L’hypothèse de départ était que des gens immigrent au rythme de 50.000 personnes par an, à partir de 2001. Cette hypothèse permet à  l’Autorité palestinienne de prévoir les taux de croissance les plus élevés au monde

Cependant, l’activité réelle aux frontières a montré une immigration nette de seulement 10,000-20,000 personnes par an depuis 1997. De 1997-2003, le Bureau central palestinien a projeté 236.000 nouveaux entrants, alors que les registres des frontières d’Israël montrent qu’il y a eu 74.000 entrants soit une différence de 310.000.

325.000 + 308.000 + 310.000

La migration vers Israël à travers la Ligne verte est également une considération importante. Selon le ministère israélien de l’Intérieur le rapport, 105.000 personnes ont changé leur statut de Palestiniens et sont devenus Israéliens le cadre des programmes de regroupement familial depuis 1997, mais sont tout de même comptabilisés dans le rapport.

325.000 + 308.000 + 310.000 + 105.000 + toutes les personnes décédées comptabilisées comme vivant toujours.

Contrairement au 3,8 millions d’arabes comptabilisés par le PCBS en 2004: 2,4 millions en Judée-Samarie  et 1,4 million dans la bande de Gaza, notre étude a produit un chiffre de population nettement plus faible de 2,49 millions de personnes: 1,4 millions en Judée-Samarie  et  1,1 million dans la bande de Gaza à la mi-2004

Soit une différence de 1 million 300.000 personnes, que les arabo-palestiniens ont comptabilisés en plus.

Toujours selon une prévision le PCBS avance un taux de croissance de 4,7% pour la bande de Gaza et de 4,4% pour la Judée-Samarie, mais le taux de croissance réel a été de 2,9 % pour la bande de Gaza et de 1,8% pour la Judée-Samarie.

A noter que le taux de fécondité de la population juive d’Israël est un des plus élevés des pays occidentaux, qu’il reste stable et bénéficie même selon les années d’une légère augmentation, à l’inverse le taux de fécondité chez les femmes arabes a tendance à baisser

En fin de compte, contrairement à la croyance populaire, il y a eu une grande stabilité dans l’équilibre démographique de la région, qui, sauf migrations à grande échelle, restera stable au cours des vingt prochaines années.

Ainsi, nous constatons que les préoccupations d’Israël concernant la pression démographique, en particulier ceux de la Judée-Samarie, ont été très largement exagérées.

En vérité, tandis que le résultat à long terme pourrait changer de toute façon en fonction de la fécondité et de la migration, les défis démographiques dans la société israélienne restent similaires aux niveaux observés depuis 1967.

Par ailleurs, les chiffres falsifiés du PCBS ont influencé la planification des infrastructures, y compris l’eau et l’utilisation des terres, et ont servi de base à l’aide étrangère américaine et internationale à l’Autorité palestinienne.

Résumé par Aschkel pour israel-flash

Etude complète en anglais du Centre Bésa - Falsification démographique par l’Autorité palestinienne



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2013/01/palestiniens-escroquerie-demographique/#ixzz2GuqMF9PO

 

UNESCO : Commission demandée par les « Palestiniens » pour rectifier les évangiles falsifiés....

 

Humour du jour1

Ça vous étonne ? En fait c’est bien une des prochaines farces que les usurpateurs arabes du peuple inventé pourraient proposer.

Depuis 3 ans  et à chaque Noël maintenant la propagande arabo palestinienne bat son plein sur ce thème, normal ils surfent sur la petite phrase de Benoit XVI lors de sa venue en Terre sainte d’Israël qui avait dit

« Avec angoisse, j’ai été le témoin de la situation des réfugiés qui, comme la Sainte Famille, ont été obligés de fuir de leurs maisons… » Benoit XVI

Eh oui, ça apporte de l’eau au moulin de la Cause, aujourd’hui on peut même oser la sainte trinité Jésus, Arafat, Abbas – Merci Benoit

Alors reprenons !

Très difficile pour les arabes se faisant appeler palestiniens de supporter de n’avoir aucune histoire, il faut donc en créer une de toutes pièces, et pourquoi pas même en étant la risée de toute personne au moins un peu cultivée.

Le peuple inventé en 1964, par les arabes et le KGB, ne sait plus comment faire pour se créer une histoire qui serait enracinée sur la terre des Juifs.

Problème ! Ces imbéciles incultes usurpent l’histoire, la manipule, et au diable les anachronismes.

Technique déjà utilisée par le fondateur de la secte des Mahométans, qui s’était également mélangé les pinceaux, et qui n’a cessé de pomper dans les écrits des Chrétiens, des Juifs et dans les traditions des polythéistes  de l’époque, mélangé à un peu de sable, et d’air du désert, et cela donne des prophéties du fameux dieu Allah, un des 360 dieux du panthéon pré-islamique.

Un Coran, pas falsifié du tout , et c’est tant mieux car cela donne une idée de l’ampleur de la supercherie, un Coran qui n’a jamais été écrit par Muhammad puisque écrit après sa mort.

Un des exemples.

On se souvient de la sourate 19 – Myriam (Marie) sœur d’Aaron mère de Jésus.

Un Guinness pour cette Myriam coranique qui a eu Jésus à l’âge d’environ 1250 ans !!!

Pas facile dés lors d’expliquer cet anachronisme,  Ah mais si nous dit-on, Muhammad aurait fait une confusion volontaire, ben voyons !

638 conquête islamique de  la Palestine, une terre qui ne connaissait rien de l’Islam, religion crée par Muhammad et ses successeurs donc.

Depuis cette conquête des groupes d’Arabes sont restés sur cette terre, les bédouins nomades eux se sont sédentarisés que bien plus tard.

A l’aube du 19ème siècle il restait encore de ces familles arabes issues de cette conquête, des clans répartis ça et là sur cette terre, ce n’est qu’avec le retour des Juifs sur leur terre à cette même période, qu’une invasion par vagues régulières d’immigrants arabes des pays limitrophes (des centaines de milliers)*, venus profiter de la manne sioniste, que la population musulmane a augmenté considérablement, ces fameux immigrants n’ayant rien à voir avec cette terre et qui se font aujourd’hui appeler palestiniens, ou réfugiés palestiniens.

Nous vous préparons un article détaillé sur l’invasion arabe de la Palestine au 19 ème siècle

Les Abbas and co sont des arabes point ! Et à supposer qu’Abbas né à Nazareth , ne soit pas descendant des hordes d’arabes venus trouver salaire auprès des Juifs qui faisaient refleurir le désert alors il ne serait qu’un descendant de ces arabes qui conquirent la Palestine en 638.

Reprenons les récentes déclarations

Jibril Rajoub membre du comité central du Fatah :
« Le plus grand Palestinien dans l’histoire depuis Jésus est Yasser Arafat  »
[PA TV (Fatah), Nov. 29, 2011]

Notre pauvre Rajoub a visiblement un gros problème avec l’histoire !

L’empereur Hadrien en 135 rebaptise la Judée du nom de Palestine (nom provenant des philistins, eux-mêmes non originaires de cette terre et ennemis jurés du peuple Juif) afin d’effacer tout lien des Juifs avec leur terre. Un Bukova de l’Unesco de l’époque en quelque sorte.

En 135, cette terre prend le nom de palestine, en fait les Chrétiens sont des gros farceurs et nous cachent le fait que Jésus est né donc après l’Empereur Hadrien, les palestiniens ont raison, il faut réécrire tous les évangiles !!!!

Ah oui ! Le sanguinaire Arafat est un égyptien, né le 24 aout 1929 dans la ville du Caire, difficilement acceptable lorsqu’on se lance en affaire (création d’un peuple palestinien), alors idem on invente. Arafat a tenté de faire croire qu’il était né à Jérusalem en 1929, ce qui lui a été réfuté en pleine face. Pour appuyer le tout ce dernier se disait de la famille du Mufti Al Husseini le nazi, et cousine de Leila Shahid qui elle l’est (peite fille de nazi), ce qu’elle n’a jamais certifié ni même nié – et oui les besoin de la cause !

Bref Arafat n’était pas un palestinien, mais un bon égyptien cairote.

 Dans le quotidien officiel de l’AP :
“Jésus est Palestinien, celui qui s’est sacrifié pour nous , Yassar Arafat , est Palestinien, Mahmoud Abbas le messager de la Paix sur Terre est Palestinien…Comme est grande cette Nation de la sainte Trinité !  »
[Al-Hayat Al-Jadida, Nov. 30, 2012]

La « sainte trinité », les chrétiens vont adorer !!!! Jésus à 2000 ans d’intervalle collaborateur de deux terroristes, il doit se retourner dans sa tombe retrouvée évidemment vide parce ressuscité et Messie, venu sauver le monde apparemment très calme aujourd’hui.

Le Cheikh Muhammad Hussein, Mufti de Jérusalem et des Territoires palestiniens :
« La Nation Palestinienne est enracinée dans cette Terre depuis les Cananéens et les Jébuséens .
La présence arabe – Chrétiens et Islamiques- sur cette Terre a été ininterrompue.
Jésus est un Palestinien par excellence ».
[PA TV (Fatah), Nov. 30, 2012]

Encore très drôle ! Les cananéens et les Jébuséens (en fait des philistins installés à Jébus – Jérusalem), idolâtres et adeptes des sacrifices humains, belle insulte à l’Islam ! En fait les palestiniens sont des apostats à l’Islam puisqu’ils sont descendants d’idolâtres et le revendiquent. Sentence pour les apostats dans l’Islam- la mort. Pour un Mufti ça la fout mal !

De plus en se disant descendants des Philistins nos braves usurpateurs de l’Histoire prouvent par là qu’ils sont donc bien des envahisseurs, puisque les fameux philistins n’étaient autres, qu’un des groupes des « peuples de la mer » – Mer Egée – venus envahir 5 villes de la côte ( Gaza, Ashkelon, Ashdod, Ekronet Gath) de la terre de Canaan de l’époque.

Pire les Philistins, descendent de deux groupes qui se mélangèrent (échangisme-bâtardise)

Misraim fut la souche des Loudim, des Anamim, des Lehabim, des Naftouhim, des Pathrousim, des Kaslouhim (d’où sortirent les Philistins) et des Kaftorim (Genèse section Noah’ verset 14/15).

La Bâtardise, une honte dans la société de l’époque, il durent fuir l’Egypte et se trouver un petit coin tranquille dans une des île de la mer Egée, et devinrent une des composantes des « peuple de la mer »

Donc les palestiniens ont le choix :

  • soit être les descendants d’envahisseurs bâtards, les philistins depuis bien longtemps disparus,
  • soit être les descendants de peuples également disparus les cananéens idolâtres,  
  • soit être pour les descendants pour une minorité d’entre eux d’arabes issus de la conquête islamique 638,
  • et pour la majorité d’entre des crève la faim, venus chercher pitance auprès des pionniers sionistes.

Dans les 4 cas des envahisseurs.

Le Gouverneur de Ramallah, district Leila Ghannam :
« La peine et la joie palestinienne ne font qu’un. Nous sommes tous en droit d’être fièrs que Jésus est Palestinien et que la Palestine est le lieu de naissance des religions »
[Al-Hayat Al-Jadida, Dec. 24, 2012]

Tant pis pour la Mecque ! et sa jolie météorite..

L’historien palestinien Khalil Shoka :
“La religion chrétienne est née ici (à Bethlehem) . Le Monde entier a les yeux fixés sur cette ville à cause de son rôle historique et traditionnel…à cause, en fin de compte ,du fait que Jésus est un Palestinien »
[PA TV (Fatah), Dec. 16, 2012]

S’il est communément admis que Jésus est un Juif galiléen dont la famille est originaire de Nazareth, le lieu de sa naissance n’est pas connu avec certitude, et les historiens hésitent entre le berceau familial de Nazareth, où il passera toute sa jeunesse, et la ville de Bethléem en Judée, ville du roi David de la lignée duquel le Messie attendu par les juifs doit descendre, selon la prophétie de Michée.

L’année de sa naissance n’est pas non plus connue précisément. Les dates retenues peuvent osciller entre 9 et 2 avant l’ère commune. Les évangiles selon Matthieu et selon Luc la situent sous le règne d’Hérode Ier le Grand dont le long règne s’achève en 4 avant l’ère commune. L’estimation généralement retenue par les historiens actuels va de 73 à 5 avant  l’ère commune.

Le Pape Benoit XVI  parle dans son dernier ouvrage du doute qui persiste sur le lieu et la date de naissance de Jésus. Bethléhem, ça fait bien car c’est la cité de David, et donc permet de conforter la thèse qu’il est né dans la ville du Messie et donc la thèse du « vérus Israël » ou thèse de la substitution.

Dur ! Dur ! si le Pape n’est même pas sûr. ! Un sacré cafouillage de ce coté là aussi !

Le quotidien official de l’AP:
“Nous pouvons être fiers, Oh fils de Marie, du fait que vous soyez la première Palestinienne à avoir libéré le genre humain »
[Al-Hayat Al-Jadida, Dec. 25, 2012]

source citations palwatch

Oui un peu de cirage à l’adresse des chrétiens, au moins cela pour avoir subtilisé l’identité du personnage central du Christianisme qui dans les évangiles est décrit comme un Juif.

Alors puisque selon l’Islam, les écrits des Chrétiens et des Juifs ont été falsifiés, ben oui il faut bien faire la promotion du livre de la nouvelle religion de PAIX et d’AMOUR du Gourou Muhammad, il ne serait pas étonnant que les chouchous de l’Unesco demandent une commission spéciale pour faire rectifier les évangiles bourrés d’erreurs, et pourquoi pas la Torah qui parle des envahisseurs philistins en long et en large.

Mais pourquoi parler de l’Islam en fait puisque nos braves palestiniens descendent d’envahisseurs idolâtres adorateurs de statues, et adeptes de sacrifices humains, (philistins et Cananéens) ce qui ne serait pas étonnant vu les tendances génocidaires ataviques de ces derniers, qui ne voient aucun problème à se servir de boucliers humains (enfants, vieillards, femmes) une forme moderne de sacrifice humain.

Pauvres de nous avec tous ces farfelus ! Allez bon courage !

Aschkel pour israel-flash

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Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/12/unesco-commission-demandee-par-les-palestiniens-pour-rectifier-les-evangiles-falsifies-par-les-chretiens/#ixzz2GupnWvoK

 

Abbas : pathétique, paranoïaque,looser et accusé de tortures sur des civils par une ONG

 

Abbas le looser

Il y a quelques jours Abbas a menacé Netanyahou en déclarant vouloir lui remettre les clefs de l’Autorité palestinienne si après les élections israéliennes, les Israéliens ne faisaient pas d’efforts pour relancer les pourparlers (sic), d’autre part un rapport cinglant d’une ONG arabe accuse le petit protégé de l’ONU, de tortures et de sévices sur des civils..

pendant ce temps l’Emir du Qatar pose un lapin à Abbas, et le Hamas attend impatiemment de prendre la relève du Fatah, en Judée-Samarie. Les arabes ne donnent plus un sou à l’entité terroriste de Ramallah alors le mendiant en chef Mazen blâme les Etats-Unis.

Le journal semi-officiel du Fatah Palestine Press rapporte que les dirigeants arabes palestiniens accusent les Etats-Unis pour le fait que les pays arabes ne respectent pas leurs engagements monétaires à l’AP.

Selon cette logique bizarre, les États-Unis auraient  été tellement bouleversés !!!par le soutien arabe à l’ONU pour améliorer le statut de la «Palestine» qu’ils punissent aujourd’hui les nations arabes pour leur vote et les forcent  à renier leurs promesses d’envoyer des centaines de millions de dollars à l’Autorité palestinienne.

Le Vice-Secrétaire général du Front Populaire pour la Libération de la Palestine, Abdel Rahim Mallouh, un membre du Comité exécutif de l’OLP, dit qu’il y a une pression américaine exercée sur les pays arabes pour assiéger  l’ Autorité palestinienne et étouffer financièrement le peuple inventé.

Ahmad Assaf, porte-parole du Fatah, a déclaré que les dirigeants arabes étaient censés se rendre à Ramallah pour confirmer leur soutien financier à l’Autorité palestinienne, mais ont changé d’avis, et il a entendu dire que c’était à cause de la pression des Etats-Unis. Il dit que les pays arabes n’ont pas envoyé d’argent depuis deux mois.

Le secrétaire général du Front de libération de la Palestine et membre du Comité exécutif de l’OLP, le Dr Wasel Abou Youssef, affirme que les Etats-Unis et Israël imposent un blocus économique sur l « Etat palestinien », et  empêchent les pays arabes et les pays donateurs de soutenir financièrement les Palestiniens, en disant que ces pays ont cédé à la pression américaine.

Aucun d’entre eux n’a expliqué pourquoi les nations arabes ont renié leurs engagements depuis bien des années avant le vote de l’ONU. Les pays arabo-musulmans se moquent de leurs frères arabes palestiniens et de leur « cause ». Alors il est plus facile de blâmer les Etats-Unis.

C’est surtout que les Arabes savent très bien à quel genre d’escrocs ils ont a faire.

Le plus drôle, c’est que même leurs amis arabes ne sont pas prêts à leur dire carrément, que les décisions des dirigeants palestiniens arabes eux-mêmes ont conduit à la désillusion. Ils auraient pu accepter les plans de paix proposés par le passé, au lieu de commencer une guerre terroriste contre Israël qui a ouvert la voie au Hamas parmi leur peuple.

Les dirigeants arabes voir les choses très clairement, et ils ne veulent pas  jeter de l’argent par les fenêtres dans une direction qui a une capacité zéro à diriger.

Alors évidemment le Hamas a sauté sur l’occasion et propose à Abbas d’effectivement dissoudre l’Autorité palestinienne, Hamas qui n’attend que de prendre en charge la direction à Ramallah

Encore une tentative pathétique de ce Mahmoud Abbas pour tenter de renforcer sa position.

Marzouk du Hamas pose alors la question: «Pourquoi Abbas veut remettre le pouvoir à Netanyahu? » Qu’il donne le contrôle au Hamas alors ce serait un succès pour une   »réconciliation » ainsi  le Hamas pourrait contrôler l’ensemble des villes arabes en Judée-Samarie et ainsi proclamer la « victoire » sur Israël.

 

Abbas a montré une fois encore que ses capacités de leadership sont nulles, et sa tentative pathétique de recourir à la menace ne fait qu’aider ses adversaires politiques qui, inévitablement, lui succéderont.

Enfin une bonne nouvelle, en provenance d’une organisation arabe des droits de l’homme basée à Londres qui a fait son boulot cette fois à l’inverse de l’ONU qui a pris le 29 novembre la décision de célébrer un « état terroriste » n’ayant que pour objectif la destruction de l’Etat d’Israël.

Cette ONG a publié vendredi un rapport cinglant accusant l’Autorité palestinienne de pratiques inhumaines et de violations des droits humains contre des civils.

 

L’Organisation arabe des droits de l’homme a mis le blâme pour les violations des droits de l’homme sur le Président de l’AP Mahmoud Abbas, et a appelé l’ONU, la Ligue arabe et l’Organisation de la Coopération islamique à prendre des mesures urgentes.

L’ONG AOHR a surveillé les pratiques des agences de sécurité de l’AP de Janvier à Juillet 2012 et  accuse l’Autorité palestinienne d’actions arbitraires contre les civils palestiniens en Judée-Samarie – y compris la torture, des détentions injustifiées, d’interrogatoires musclés et intimidations

 

De Juin 2007 jusqu’à la fin de 2011, les forces de sécurité palestiniennes ont détenu 13 271 citoyens palestiniens et 96 % d’entre eux ont été soumis à diverses méthodes de torture, indique le rapport. Cela a entraîné la mort de six détenus et provoqué de graves séquelles chez d’autres.

« Parmi eux, des femmes et des personnes âgées, qui sont souvent forcés d’attendre depuis tôt le matin jusqu’au soir, avant d’être interrogés. »

L’ONGa  également déclaré que l’AP était coupable de torture et de traitements dégradants, avec 18,7 % d’un échantillon de 300 anciens détenus qui ont déclaré qu’ils ont subi de très graves tortures et 99,7% déclarent qu’ils ont été soumis à des traitements dégradants.

60% des participants à cette étude ont expliqué qu’ils souffrent aujourd’hui de maladies chroniques dues à la torture et également du fait des conditions déplorables dans lesquelles ils ont été placés en détention.

 

Sur un autre plan, 60% ont confirmé que la détention répétée les ont réduits à un état de pauvreté extrême.

AOHR explique  que beaucoup ont subi des harcèlements et des intimidations et ont été licenciés de leurs emplois.

Au moins 73 personnes ont été mis au chômage dans cette période, et on estime que près de 3.200 ont été confrontés à la même injustice depuis 2005. Des étudiants sont harcelés et sont incapables de trouver un emploi, acquérir un permis de conduire ou ouvrir une entreprise.

 

Les activités de l’Autorité palestinienne, selon l’ONG, sont régulièrement menées en coordination avec Israël. Il a ajouté, cependant, que les détentions de l’Autorité palestinienne ont dépassé celles des forces de sécurité israéliennes.

 

Un nombre important de détenus sont des personnes âgées de 60 ans et plus, soit 11,3%; femmes représentaient 15,3%, 39,3% sont des étudiants, 38% d’entre eux ont confirmé que leurs études ont été interrompues en raison de leur détention.

 

L’ONG appelle l’Autorité palestinienne à se conformer au droit international et que le futur « Etat palestinien « doit mettre en place des bases réelles construites sur les droits du citoyen palestinien à la vie et à la liberté. »

L’ONG accuse l’Autorité palestinienne de ne pas tirer les leçons vitales « du printemps arabe »

« Il est stupéfiant que l’Autorité palestinienne cultive son propre système d’impunité, au mépris total des exigences de son « peuple » pour la liberté et la dignité.

Abbas semble inconscient des facteurs qui ont conduit à la chute des régimes tyranniques dans la région.

 

« AOHR met l’entière responsabilité de ces violations des droits de l’homme sur Mahmoud Abbas … et appelle les secrétaires généraux de l’ONU, la Ligue arabe et l’Organisation de la Coopération islamique à faire pression sur Mahmoud Abbas afin qu’il cesse de procéder à ces détentions politiques qui nuisent aux intérêts de tous les Palestiniens. « 

 

Basé dans le Nord-Ouest de Londres, AOHR au Royaume-Uni a été fondée en 1993, « pour défendre les droits de l’homme en général et les droits de l’homme arabe en particulier aohr

Adapté par Aschkel pour israel-flash - Source en arabe palpress



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2013/01/abbas-pathetique-paranoiaque-et-looser/#ixzz2GumfzBsV

 

Fil d'infos (Guysen).

Territoires disputés : Tsahal intensifie les arrestations préventives pour éviter l'éventualité d'une nouvelle intifada
Tsahal a pris une série de mesures ces derniers mois afin d'empêcher l'éventualité d'un soulèvement dans les Territoires disputés, selon un haut responsable sécuritaire israélien qui évoque "un réveil palestinien". Parmi les nouvelles dispositions, l'intensification des arrestations préventives de Palestiniens suspectés de terrorisme. "Nous constatons un certain réveil palestinien et une hausse sensible des actes violents qui nous amènent à prendre des mesures pour enrayer une nouvelle intifada", a déclaré le haut responsable sécuritaire israélien à l'AFP.

Le Caire : Téhéran et les Frères musulmans tentent de prendre le contrôle des services de sécurité égyptiens (journal koweïtien)
Selon de hauts responsables sécuritaires égyptiens, le général Qasem Soleimani, commandant de l'unité d'élite Al Qods des Gardiens de la révolution iranienne, se serait rendu au caire fin décembre pour une visite de 4 jours au cours de laquelle il aurait rencontré issam Al Haddad, conseiller diplomatique du président Morsi pour s'entretenir des moyens en vue de prendre le contrôle des services de sécurité égyptiens, rapporte le journal koweïtien Al Qabas qui précise que la rencontre entre les deux hommes a été organisées par les Frères musulmans et aurait provoqué la colère du ministère égyptien de l'Intérieur.

 

Israël : les deux Grands rabbins lancent une campagne anti-avortement
Les deux Grands rabbins d'Israël Shlomo Amar et Yona Metzger ont appelé dans une lettre les rabbins de leur pays à soutenir Efrat, une organisation qui milite contre l'avortement qualifié de meurtre. "Il faut soutenir les organisations qui apportent une assistance financière aux femmes qui ne veulent pas avorter, car il s'agit d'un meurtre qui ne mérite aucune pitié", a affirmé sur Galeï Tsahal le Grand Rabbin ashkénaze Metzger. La lettre des deux Grands Rabbins affirment que l'action d'Efrat a permis de sauver en un an 4.000 vies humaines. L'avortement est légal en Israël pour les femmes de moins de 17 ans, l'âge légal pour le mariage, pour les femmes de plus de 40 ans, ainsi que dans les cas de viols ou de relations incestueuses. Il peut également être autorisé par une commission médicale en cas de malformation du foetus ou si la poursuite de la grossesse met la vie de la femme en danger physiquement ou mentalement.
 
08:22    Les capacités offensives de l'Iran considérablement affaiblies, selon les Renseignements israéliens
La capacité de Téhéran de répondre à une attaque israélienne sur les sites nucléaires iraniens a baissé de manière significative et considérable en raison de la désintégration rapide du régime syrien et l'affaiblissement du Hezbollah, selon un rapport du Centre de Recherches politiques (les services de Renseignements du ministère israélien des Affaires étrangères). D'après ce rapport, l'armée syrienne ne s'impliquerait pas dans l'hypothèse d'un conflit armé entre l'Iran et Israël. En outre, la probabilité d'une participation du Hezbollah s'est considérablement réduite, car l'organisation terroriste se retrouvera face à une énorme difficulté : prendre part au conflit sans le soutien syrien avec une prise de risque politique énorme au Liban.
 
08:08    Le Caire : rencontre Morsi-Abbas la semaine prochaine pour évoquer la réconciliation Fatah-Hamas
Le président égyptien Mohamed Morsi a invité son homologue palestinien Mahmoud Abbas à se rendre au Caire la semaine prochaine pour une visite de travail, rapporte jeudi l'agence palestinienne Ma'an citant un haut responsable du Fatah. Les deux hommes devraient centrer leur entretien sur la réconciliation entre le Hamas et le Fatah, a précisé le responsable palestinien.

 

 

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