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Irak – Le génocide lent des chrétiens continue

Irak – Le génocide lent des chrétiens continue

Classé dans: Chrétienté,Géopolitique,Irak,Islam,Moyen-Orient,Religion |

 

Irak-carte

 

Michel Garroté, réd en chef – La police de Mossoul, dans le nord de l’Irak, a découvert le corps sauvagement mutilé de Shdha Elias, enseignante chrétienne irakienne de 54 ans. La victime vivait seule ce qui faisait d’elle une proie facile pour les criminels. Un autre scénario catastrophe a ébranlé Mossoul. Devant le supermarché al-Alamia, l’explosion d’une voiture piégée a provoqué la mort immédiate d’un étudiant chrétien irakien, Ayyoub Al Sheikh et blessé une dizaine d’autres. Ces deux dernières semaines, l’atmosphère de la ville s’est dégradée.

Seraient en cause l’état de santé défectueux du président de la République irakienne, Jalal Talabani, hospitalisé suite à une attaque cérébrale ; les tensions politiques entre le Premier ministre chiite Nouri al-Maliki et la minorité sunnite ; et l’incapacité du gouvernement central de Bagdad à faire face aux attaques terroristes. Mossoul est un bastion sunnite dans une région kurde frontalière de la Turquie. L’objectif des sunnites de Mossoul, liés à l’Arabie saoudite, est de mettre en place un État fondé sur la charia, avec le Coran et la Sunna comme base de la législation.

Dans un tel système, les non-musulmans peuvent choisir entre la conversion ou l’exil. La communauté chrétienne a perdu plus de la moitié de ses membres. De nombreuses familles chrétiennes ont fui, ayant perdu confiance en tout. Le problème, c’est que lorsqu’elles se sont réfugiées en Syrie, elles ont dû se réfugier au Liban, lui-même contrôlé par le Hezbollah, la Syrie et l’Iran.

La présence chrétienne en Irak se concentre désormais au Kurdistan irakien dans le nord u pays (Ankawa, Erbil, Dohuk, Zakho, Shaqlawa) et dans la Plaine de Ninive, également située dans le nord du pays (Karakosh, Bartalla, Karamles, Alqosh).

Le retrait prématuré des troupes américaines, imposé par Obama, a réduit à néant la pacification du pays, qui avait débuté en 2006, et, duré jusqu’en 2008, après trois années, 2003 – 2006, d’attentats chroniques perpétrés par Al-Qaïda.

Reproduction autorisée

Avec mention www.dreuz.info

Et source :

http://www.aed-france.org/actualite/irak-une-chretienne-egorgee-et-un-etudiant-chretien-tue/

 

Arafat : il n’avait pas le sida, mais ce qu’on a découvert n’est pas mal…

Dépouille d’Arafat : il n’avait pas le sida, mais ce qu’on a découvert n’est pas mal…

Classé dans: Moyen-Orient |

Au Liban en 1974

Au Liban en 1974

 

Arafat n’avait pas le sida. C’est une mauvaise nouvelle. Mais ce qui ressort du rapport médical que nous publions (ci dessous) ne vous déplaira pas…

Il s’agit du dossier authentique remis à son épouse et au neveu d’Arafat, Nasser al-Qidwa, constitué d’un compte-rendu d’hospitalisation de 13 pages, ainsi que d’un rapport d’analyses, visant à détecter des traces de produits médicamenteux ou de métaux qui pourraient le cas échéant signaler un empoisonnement.

De quoi est mort Arafat ?

Le rapport détruit la thèse sur l’empoisonnement au polonium, avancée par sa veuve. Il détruit aussi, hélas, l’hypothèse sida. On aurait tant aimé que Arafat soit mort d’avoir trop tripoté des jeunes garçons. Pas le sida, pas le polonium, les causes de la mort d’Arafat sont en fait très banales pour un occidental. Beaucoup moins pour un islamiste…

Arafat est en effet décédé de troubles graves de la coagulation liés à une chute des plaquettes (des cellules du sang impliquées dans la coagulation) associée à une perturbation importante des fonctions hépatiques et des troubles digestifs.

Or l’empoisonnement au polonium provoque des symptômes différents.

  • « L’intoxication au polonium provoque une irradiation générale, avec des troubles précis que l’on connaît bien », explique au Figaro le professeur Roland Masse, membre de l’Académie de médecine, spécialiste de la radioactivité.
  • « Les premiers symptômes surviennent en moyenne une semaine après l’intoxication et se traduisent par une ulcération de la muqueuse de l’intestin avec des pertes d’eau et des diarrhées sanglantes ». ajoute-t-il.
  • L’autre signe majeur de l’irradiation, c’est la destruction de la moelle osseuse, qui fabrique les cellules du sang : « L’irradiation interne atteint la moelle osseuse et provoque alors une anémie, avec une chute précoce du taux des globules blancs dans le sang », complète le professeur Roland Masse.
  • Les examens biologiques ne montrent pas d’anémie ni de chute des globules blancs. Par ailleurs, une ponction de moelle osseuse effectuée ne met pas en évidence d’aplasie médullaire (chute du nombre de cellules de la moelle osseuse qui sont les précurseurs des globules blancs et rouges).
  • De plus, le polonium est une substance radioactive qui se désintègre rapidement avec le temps.
  • « Si les faibles doses retrouvées sur ses effets personnels sont la trace d’une contamination d’il y a dix ans, il faudrait que la dose administrée à l’époque ait été massive de l’ordre de 500.000 fois supérieure, pour qu’elle soit encore détectable aujourd’hui », explique le professeur André Aurengo, chef du service de médecine nucléaire à l’hôpital Pitié-Salpêtrière.
  • «Or une dose massive aurait donné des anomalies hématologiques que l’on ne retrouve pas dans son dossier. », conclut-il.

Comment expliquer les traces de polonium sur ses effets personnels ?

En supposant qu’il n’a pas été déposé après sa mort, « le polonium est partout à faibles doses dans l’environnement, dans la terre, la fumée de cigarettes. Quand on les cherche, on en retrouve facilement », précise le professeur Masse.

Ivrogne, vous avez dit ivrogne ?

Les médecins consultés penchent vers une grave atteinte du foie qui aurait été fatale au chef terroriste.

Le dossier médical met en évidence d’importantes anomalies biologiques au niveau hépatique, « ces anomalies pourraient expliquer la thrombopénie et les troubles de la coagulation qui ont été relevés dans le dossier », suggère le professeur Stanislas Pol, chef de service d’hépatologie à l’hôpital Cochin, à Paris.

Officiellement, personne n’a pris le risque de délivrer un diagnostic, mais en privé, beaucoup évoquent une cirrhose. On comprend mieux alors le refus de l’entourage de publier le diagnostic médical, en 2004 : il serait mort des conséquences de son alcoolisme.

Et l’on comprends encore mieux, cette cause de mort étant scandaleuse pour un leader musulman, on comprend mieux donc, l’insistance de sa veuve pour l’inhumation et les nouveaux tests, afin de tenter d’officialiser le scénario de l’empoisonnement au polonium par les services secrets israéliens, qui permettra au delà de la mort de l’ivrogne supposé de focaliser toutes les haines contre les juifs.

Les experts de l’agence fédérale médico-biologique russe espèrent livrer les premiers résultats de leurs examens des restes d’Arafat en février. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info et sources.

Sources :

(1) http://www.yasserarafat.ps/yaf/web_files/news_file/The_Medical_Reports_0.PDF

http://www.actuj.com/actualite2.html

 

Les cousins juifs des Talibans!!!!!!!!!!!!!!!!!

par Gerard Fredj
La découverte récente de parchemins hébraïques vieux de plus de 1000 ans dans les zones talibanes de l'Afghanistan, écrits par les communautés juives habitant cette région pourrait modifier quelques perceptions géopolitiques dans la région.

Selon Jere Van Dyck, un journaliste et écrivain spécialiste du Pakistan et de l'Afghanistan (il enquête et écrit depuis plusieurs décennies sur ces pays, est reconnu comme un expert des populations de ces régions; il a même passé un mois et demi en captivité chez les talibans avant d'être libéré).
D'après Van Dyk, ces documents pourraient éclairer de manière plus précise la relation des communautés juives avec les autres groupes ethniques de la région.

"Si vous parlez avec les pashtouns d'Afghanistan ou du Pakistan, les trois quarts d'entre eux vous diront qu'ils descendent des tribus perdues d'Israël ou sont, en quelque sorte, juifs.

Les Talibans (littéralement les étudiants), qui sont souvent des Pashtouns, n'ont eux, aucune compréhension ni connaissance des 5000 années de tradition ou de culture pashtoun", explique Van Dyk qui rappelle que certains pashtouns mettent au fronton de leur porte " du sang d'animal comme l'ont fait les juifs dans l'ancien temps en Egypte".
Pour l'écrivain, les parchemins, une fois décryptés, pourrait permettre de "faire un pas de géant vers la clarification de ces relations".

Ils pourraient même, pour certains, dater d'avant la fondation de l'islam ce qui, selon lui, "pourrait changer la face de la région" si la première religion présente dans ces régions étaient le judaïsme.

"Les talibans, qui ont été coupés de leur culture et sont aujourd'hui politisés à l'extrême, sont au Pakistan depuis des décennies.
Ils sont religieux à l'extrême, affirmant un islam lui aussi extrême, qui veut chasser les Infidèles de leur terre et prône un pur gouvernement islamiste".

Pour Van Dyk, les parchemins pourraient bouleverser la vision des Talibans si les parchemins révélaient qu'ils descendaient de populations en lutte avec les arabes, alors qu'ils sont aujourd'hui alliés à Al Qaïda.
Un optimisme qu'il tempère cependant de multiples précautions oratoires tant l'extrémisme des Talibans peut aveugler toute vision historique.

Il pense cependant que l'impact sera réel : " dans les années 1980, ils transféraient de l'argent pour soutenir la lutte armée palestinienne; comment gèreraient-ils le fait qu'en toute conscience ils aidaient les ennemis de cousins très proches?"

Le mouvement des Talibans s'est développé dans les années 1990 dans les camps de réfugiés au Pakistan puis a étendu son influence à l'Afghanistan.

 

Égypte : les chrétiens entre peur et craintes de l'avenir (Israël Infos).

par Benjamin Fredj
D'après un porte parole de la communauté copte, l'armée égyptienne a déjoué une attaque contre une église dans le nord du Sinaï, à la veille du Noël copte.

Cette minorité religieuse a célébré son premier Noël sous la présidence de l'islamiste Mohammed Morsi, une célébration entre peur et incertitude de l'avenir.

Le porte-parole des forces armées, le colonel Ahmed Ali, a déclaré que, tôt ce lundi, les patrouilles de l'armée égyptienne ont découvert une voiture transportant des explosifs entre une église et un poste de contrôle militaire en cours de construction. Selon lui, les forces armées "ont déjoué une tentative de bombardement de l'église de Rafah".
Une autre voiture, qui n'avait pas de plaques d'immatriculation et transportait des hommes masqués, leur a cependant échappé.

Dans son sermon dimanche soir dans la cathédrale du Caire, le Patriarche orthodoxe Tawadros II, à la tête de la plus importante communauté chrétienne du Moyen-Orient déclarait devant des fidèles venus en nombre qu'il fallait prier pour l'Egypte.
"L'Egypte est toujours dans nos prières.
Nous ne prions pas seulement pour le pays, nous prions pour le peuple" a-t-il assuré.

La communauté copte, qui rassemble 10% des 82 millions d'égyptiens, s'est longtemps plainte de discriminations sous le régime Moubarak. Ils craignent maintenant une marginalisation accrue par les islamistes, au pouvoir depuis le renversement d'Hosni Moubarak.

 

Jérusalem : la haine au ventre (Israël Infos).

par Gerard Fredj
Jérusalem sous la neige est toujours un peu irréelle.

Alors que les enfants juifs à Jérusalem construisent des bonhommes de neige, s'affrontent en de redoutables batailles de boules de neige ou s'essaient au snowboard, les arabes de Jérusalem ont, eux, trouvé une autre source d'inspiration.

Sur le mont du Temple, un lieu sacré pour les juifs, mais aussi pour les musulmans qui y ont construit la mosquée Al Aqsa et le Dôme du rocher, ils ont utilisé la neige pour rappeler leur attachement aux symboles de haine et de destruction en dressant la réplique d'un missile M-75 – ces missiles de portée moyenne tirés sur Jérusalem et Tel Aviv durant la guerre avec Gaza en novembre.

Une façon de montrer que quoiqu'il arrive, leurs intentions ne changent pas.
Selon nos informations, jeudi en fin de journée – veille de la grande prière du vendredi – le M-75 de neige était toujours dressé, preuve qu'il n'a dérangé ni les fidèles qui se sont rendus à la mosquée, ni les autorités religieuses musulmanes.
 

 

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