Le deuxième mandat de Barack Obama sa traduira par un lachage d’Israël sur les principaux dossiers sécuritaires
par Gerard Fredj - israel-infos

Il y a quelques jours, Benjamin Netanyahou expliquait dans un entretien télévisé que le gouvernement avait dépensé des milliards de shekels pour doter l’armée israélienne de capacités militaires qui lui faisaient défaut jusqu’à présent; pour le Premier ministre, Israël se devait d’être plus forts que jamais –face à la menace iranienne, aux risques en provenance de Syrie, et à la montée de l’islamisme radical dans la région – pour pouvoir un jour faire la paix.

Dans le même temps, alors qu’Israël exprimait sa préoccupation face aux menaces syriennes d’attaques contre Israël en cas de chute du régime de Bashar Al-Assad(voir notre édition du 18 janvier), ces risques existentiels étaient discrètement poussés dans un coin par le Secrétaire d’Etat à la Défense sortant, Leon Panetta, et Martin Dempsey, le Chef d’Etat-major général de l’armée américaine.

Dans une conférence à Washington, ils expliquaient tous deux que si Bashar Al-Assad décidait d’utiliser des armes de destruction massive – notamment des armes chimiques – il serait « impossible pour les services de renseignements américains de le savoir à l’avance ou de l’arrêter« .

Il n’y a pas si longtemps, en aout dernier, le même Leon Panetta assurait, lors d’une rencontre avec le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak qu’il était certain que si l’Ayatollah Khameini « donnait l’ordre d’assembler une bombe nucléaire, nous le saurons, nos services de renseignements comme le vôtre ».

La dernière déclaration semble amorcer un virage sensible de la position américaine : incapable de détecter l’emploi d’armes de destruction massive en Syrie, comment l’Amérique pourrait-elle effectivement débusquer l’assemble d’ogives nucléaires.
Il semble que l’administration Obama ait déjà répondu à cette interrogation.

Lundi dernier, David Albright, un expert très influent dans les agences américaines de sécurité et de renseignement, a présenté un rapport de plus de 150 pages qui présente une stratégie de moindre implication américaines « dans un moyen orient changeant ».
Il est aussi l’un des coauteurs d’un rapport explicitant les étapes clés, jusqu’à la mi 2014, qui permettront à l’Iran  » de produire assez d’uranium militaire enrichi pour une ou plusieurs bombes nucléaires sans détection par les pays occidentaux ».

Alors que Barack Obama vient de prêter serment pour un second mandat, il prépare également le pays à un changement de stratégie sur le dossier des armes non conventionnelles au Proche Orient : contrairement aux précédentes affirmations, les Etats Unis, sur la base des estimations de ces « experts », déclarent désormais qu’ils sont incapables de détecter ces menaces, et donc d’intervenir.

Ce qui écarte, par la même, toute idée d’opération préventive.
Le monde doit donc s’habituer à l’idée de se réveiller un matin en apprenant que l’Iran a procédé avec succès à un essai nucléaire, ou que Bashar Al Assad a déclenché une attaque chimique.
A ce moment-là seulement, L’administration américaine commencera à se demander comment elle peut agir.

Pour éviter cela, Obama espère que les négociations secrètes qu’il a initiées avec l’Iran le mois dernier, – accompagnées par des sanctions dont on sait désormais qu’elles affectent l’Iran sans ralentir sa course au nucléaire – permettront d’arrêter la république islamique sur le chemin de la bombe atomique.
Pour cela, Albright estime que le Président américain dispose d’au moins de 18 mois.

Mais ni Albright ni Obama ne répondent à une question de plus en plus insistante : que sont devenues les cinq tonnes d’uranium enrichies dont disposait Bashar El Assad pour son réacteur nucléaire d’ Al Kibar, détruit par Israël en 2007.
Le très sérieux Financial Times se faisait l’écho de cette inquiétude dans son édition du 9 janvier, estimant que ce stock d’uranium – suffisant pour produire cinq bombes atomiques – aurait pu être donné à l’Iran.

(NDLR-Le financial times parle de 50 metric tons of unenriched uranium in Syria – 1 metric ton = exactement 1 016 kg, il ne s’agit donc pas de 5 tonnes mais un peu plus de 50 tonnes)

Voir cet article - L’Iran s’intéresse à un stock de 50 tonnes d’uranium syrien

Les nuances du discours de Benjamin Netanyahou laissent entendre qu’il a senti le vent tourner à Washington : au lieu d’affirmer, comme d’habitude, qu’il ne permettrait jamais à l’Iran de produire des bombes nucléaires, il déclare maintenant « investir des milliards pour préparer le pays à faire face à la menace iranienne ».

La nomination de Chuck Hagel au poste de Secrétaire à la Défense ( un fervent partisan du non interventionnisme), tout comme l’attitude de l’administration américaine face à l’intervention française au Mali, montrent que cette nouvelle stratégie est déja en place.

Un regard sur l’année qui vient de s’écouler permet de se faire une image dont la clarté est devenue évidente après les révélations du journaliste américain Jeffrey Goldberg.

Par Shraga Blum

Je ne suis pas un adepte des théories du complot, mais j’affirme par contre qu’il existe une convergence d’intérêts qui relie la gauche israélienne, l’Union Européenne et les Etats-Unis, qui voient en Binyamin Netanyahou et ses « alliés naturels » un obstacle coriace à leur vision idyllique et naïve du Proche-Orient. Peu leur importe que le Premier ministre israélien et sa coalition représentent la majorité de la population du pays.

Depuis de longs mois, toute une série de personnalités israéliennes se sont prononcées dans des termes peu amènes contre la politique du gouvernement israélien dans deux domaines touchant à la sécurité et la géopolitique du pays : l’Iran et le conflit israélo-arabe dans sa version « palestinienne ». Ils ont pour nom Meir Dagan, Youval Diskin, Gaby Ashkenazy, Ehoud Olmert et Tsipi Livni. Et s’ils ont choisi de le faire principalement dans des forums et des médias internationaux c’était à dessein, comme le résumait le ministre Gilad Erdan il y a quelques jours : « Alors qu’Israël tente de mobiliser la communauté internationale contre l’Iran, des politiciens israéliens mus par des intérêts obscurs s’acharnent à mobiliser la communauté internationale contre Israël ».

Mais dès lors qu’il fut clair que cette tactique n’avait eu que peu de prise sur l’opinion israélienne, cette constellation est passée à la vitesse supérieure : après avoir tenté de susciter en coulisses « un front de gauche », le président Pérès, idole de tous les adversaires de Netanyahou – en Israël comme à l’étranger – s’est immiscé de manière grossière dans la campagne électorale, et fidèle à sa réputation « d’éternel intrigant », a notamment accusé le gouvernement Netanyahou d’être par avance responsable d’une nouvelle Intifada qui pointe son nez « à cause du refus de ce gouvernement d’avancer de manière audacieuse vers la paix». Ne parlons pas de l’apologie que Pérès a faite du chef terroriste Abou Mazen qui étale pourtant sa haine d’Israël sur chaque tribune. Les propos de Shimon Pérès ont certes provoqué de nombreuses réactions, indignées à droite et enthousiastes dans une gauche d’ordinaire si respectueuse de la séparation des pouvoirs, mais ils n’ont apparemment pas modifié non plus les intentions de vote du corps électoral israélien.

Parallèlement, l’ancien directeur du Shin Bet, Youval Diskin, probablement vexé de ne pas avoir obtenu l’effet escompté après sa « prestation » lors du Forum Sabban aux Etats-Unis, a accordé une interview au vitriol à « Yediot Aharonot », porte drapeau des médias « anti-Bibi », dans laquelle il décrivait la manière désinvolte et inconvenante dans laquelle selon lui se seraient déroulées les réunions au plus haut niveau sur les questions sécuritaires les plus sensibles. Là aussi, l’effet politico-médiatique n’a pas fait long feu, et cette attaque peu commune n’a pas eu de conséquences sur les sondages.

D’autres milieux se sont également joints à cette offensive généralisée, et il semble clair que le choix du jury des Oscars d’Hollywood de nominer deux films israéliens nettement…anti-israéliens pour la consécration suprême relève aussi de cette volonté de délégitimer le gouvernement israélien et promouvoir des idées opposées à celles exprimées dans les urnes par la majorité de la population. Les réalisateurs de « Five Broken Cameras » et « Gatekeepers » ne s’y sont d’ailleurs pas trompés et ont chacun compris le choix du Jury comme étant « une sévère critique de la politique israélienne envers les Palestiniens », ce qui était d’ailleurs leur intention première en réalisant ces documentaires.

Enfin, est venue « la cerise sur le gâteau », à une semaine du scrutin, le « joker » espéré, avec la « fuite » savamment publiée par le journaliste Jeffrey Goldberg sur des propos extrêmement durs qu’aurait prononcé le président Obama en cercle fermé à propos de Binyamin Netanyahou. Peu importe que le locataire de la Maison Blanche soit effectivement ou non l’auteur de ces propos offensants envers le dirigeant d’un pays allié, l’absence de démenti de la part de la Maison-Blanche indique que l’Administration américaine adhère à le teneur des propos tenus, ce qui prouve une ultime tentative de la part des Etats-Unis de modifier les résultats des élections israéliennes. Et ce ne serait pas la première fois que des porte-voix de la Maison Blanche diffusent des messages assassins sur Netanyahou à travers de grands médias américains. Tsipi Livni, qui tente de freiner sa baisse dans les sondages, ne s’est pas fait prier pour s’engouffrer dans la brèche et alerter sur tous les plateaux « qu’Israël risquait un isolement international total si Binyamin Netanyahou poursuivait la même politique après sa réélection ».

Toutes ces tentatives, concertées ou non, ne réussiront cependant pas à provoquer l’effet escompté, elles auront même probablement un effet inverse puisque de nombreux israéliens sont rétifs aux tentatives d’ingérence de pays étrangers, fussent-ils amis, dans les affaires intérieures du pays.

Mais la question qui se pose, comme l’écrivait à juste titre Shmouel Trigano récemment, c’est la remise en question de la souveraineté et de la démocratie israélienne tant par l’opposition israélienne, quand elle est de gauche, que par des pays étrangers, particulièrement ceux qui se disent « amis d’Israël » et qui avec condescendance savent mieux que nous ce qui est bon pour nous.

Les porte-paroles du Likoud tout comme Naftali Benett expriment la même idée lorsqu’ils affirment qu’avec tout le respect dû à l’Europe ou aux Etats-Unis, la politique israélienne se décide à Jérusalem, par un gouvernement légitimement élu, et en fonction des intérêts du pays et non de ceux de pays étrangers qui ne sont pas confrontés aux défis que connaît Israël. L’exemple français est sur ce point éloquent, quand on compare les arguments invoqués aujourd’hui par les dirigeants français pour justifier leur offensive anti-islamique au Mali alors que la diplomatie française avait été particulièrement consternante et méprisable envers Israël lors de l’Opération anti-terroriste « Colonne de Nuée ».

Toutes ces tentatives de délégitimation et de pressions reprendront avec plus de force encore après les élections et la formation d’un nouveau gouvernement. Le test sera alors dirigé vers Binyamin Netanyahou : saura-t-il maintenir le cap malgré les pressions et les critiques, ou va-t-il comme certains le souhaitent – ou au contraire le craignent – vouloir donner des gages de « bonne volonté » en formant une coalition destinée à « rassurer la communauté internationale » ?

Cela dépendra beaucoup de la répartition des mandats à l’issue du scrutin, d’où l’importance de renforcer le parti qui privilégie les intérêts nationaux de la…maison juive !

Shraga Blum – rédaction - israel-flash

L’avènement de l’Etat d’Israël n’a absolument pas inversé la donne. La victime, le peuple juif, ne s’est pas transformée en bourreau, et les bourreaux ne sont pas devenus des victimes, ni réelles ni potentielles. La seule différence, bien sûr non négligeable, c’est qu’Israël peut aujourd’hui se défendre et faire subir de lourdes pertes à ses agresseurs à l’heure où sévit l’islam, ce qui n’a malheureusement pas été le cas à l’heure où sévissait le nazisme.Par Yéochoua Sultan

Certains prétendent que l’Etat juif doit éviter de faire subir aux Arabes ce que les Allemands ont fait aux Juifs. Mais la réalité n’a pas changé et elle exige qu’il se défende des intentions arabes de reprendre et parachever le travail des nazis, qui avaient juré d’anéantir tout le peuple juif. Ce n’est pas pour rien que le mufti des musulmans était l’allié d’Hitler pendant la seconde guerre mondiale.

Et ce n’est pas un hasard si les populations arabes ne fuient pas l’Etat juif et si les populations juives ont fui en masse les pays arabes. Aujourd’hui encore, la trop grande tolérance d’Israël vis-à-vis de ses «minorités» permet trop souvent au cauchemar de se répéter. Ces quelques images montrent mieux que de longs discours toute l’actualité d’une problématique inchangée, bien que l’antisémitisme s’habille différemment selon les époques.

Il importe de ne pas se bercer de l’illusion d’une trop grande puissance qui serait censée nous rendre indulgents envers ceux qui ne vivent que par leur haine du Juif, en cette avant-veille d’élections.

Yéochoua Sultan rédaction israel-flash

 

La secte des Frères musulmans de façon méthodique investit l’Occident en utilisant un message de modération et en profitant de la candeur et de la démocratie pour se révéler un jour sous son vrai visage. Un des véritables fléau du XXIème siècle.

Propos de Morsi sur Israël : Washington condamne

La diplomatie américaine a vivement condamné des propos anti-israéliens et antisémites tenus en 2010 par Mohamed Morsi et lui demande de retirer ces remarques.

« Le langage utilisé est profondément injurieux (…). Nous pensons que ces commentaires doivent être retirés et qu’ils doivent l’être de manière ferme », a déclaré la porte-parole du département d’Etat Victoria Nuland.

La diplomate fait référence à une vidéo rendue publique par l’Institut de recherche sur les médias au Moyen-Orient basé à Washington dans laquelle M. Morsi, alors président des Frères musulmans, qualifiait les Israéliens d’ »occupants de la Palestine (…) de sangsues bellicistes et de descendants de cochons et de singes ».

Dans cette interview en 2010, M. Morsi appelait à « toutes formes de résistance en Palestine contre les criminels sionistes ».

« Nous voulons voir le président Morsi dire absolument clairement à son propre peuple et à la communauté internationale qu’il respecte les personnes de toutes les confessions et que ce type de rhétorique n’est ni acceptable, ni productif de la part d’un président dans une Egypte démocratique », a expliqué Mme Nuland, précisant que Washington avait fait part au Caire de sa « préoccupation ».

La diplomate a toutefois ajouté que M. Morsi était certes jugé sur ce qu’il « disait », mais aussi sur ce qu’il « faisait ».

« Depuis qu’il est président, le président Morsi a réaffirmé, encore et encore, l’engagement de l’Egypte à l’égard du traité de paix (de 1979 avec Israël), l’engagement à travailler avec nous et avec Israël sur des objectifs communs, y compris le cessez-le-feu à Gaza » scellé en novembre, selon Mme Nuland.source

Tout d’abord il ne s’agit pas d’une vidéo, mais de plusieurs et Mohammed Morsi, frère musulman ne fait que de dire au grand jour et langue arabe quelle est exactement l’idéologie de sa secte et ce sur quoi elle se fonde.

Depuis 1928, cette confrérie a pour base idéologique la détestation de l’Occident et la haine du Juif. Ce sont deux principes fondamentaux de la philosophie des Frères musulmans.

Voici ce que dit un penseur libanais Joseph Bishara source en anglais

Il réagit à l’annonce publique d’Issam Al-Aryan membre éminent des Frères musulmans et également membre du parlement éyptien qui avait le 6 anvier fai la déclaration publique suivante

« Nous invitons les Juifs égyptiens à retourner en Egypte pour laisser de la place aux « palestiniens »"

Spolliés, considérés comme des traîtres  les derniers juifs d’Egypte ont été expulsés en grande partie par Nasser, les autres ont quitté l’Egypte les années suivantes.

5 raisons sont évoquées par Joseph Bichara pour expliquer que ces déclarations sont un gadget pour épater la galerie.

• Tout d’abord l’idéologie des Frères musulmans est raciste et antisémite. La haine du Juif est une question de principe religieux, qui est au cœur de la croyance des Frères musulmans et ne peut être modifiée, révoquée ou ignorée.
• Deuxièmement, les frères musulmans qui ont pris le pouvoir dans des circonstances obscures, tentent  de cacher leur vraie nature d’extrémistes violents par une apparence souriante, amicale et tolérante, ce qui n’est qu’un masque.
• Troisièmement, ces déclarations étaient destinées à alléger la pression internationale sur le confrérie du fait des positions unilatérales et immorales qu’elle avait prises dans la rédaction et la ratification de la Constitution, et en raison de ses positions regrettables concernant le système de justice. (application de la Charia)
• Quatrièmement, les Frères musulmans cherchent leurs revanche l’idéologie laïque nassériene,  pilier philosophique de l’opposition, et veut transférer la responsabilité juridique et morale de l’expulsion des Juifs d’Egypte sur l’ancien président Gamal Abd El-Nasser
• Cinquièmement, ils veulent distraire l’opinion publique sur une question secondaire.(Méthode habituelle des dirigeants des pays arabo-musulmans, la haine du Juif est si pathologique et obsessionnelle qu’elle a détournée des millions de cerveaux de la populace)

Inutile de préciser que la tolérance envers l’autre n’a pas sa place dans le programme des Frères musulmans racistes et détestant les Juifs et tous ceux qui croient dans le judaïsme. Ceci est une partie incontestable de son credo et se reflète dans les directives extrémistes qui apparaissent dans les écrits de ses plus grands penseurs.

Cette haine n’a pas émergé au 20ème siècle ou après la renaissance d’Israël en 1948. Cette haine est historique, avec des racines remontant à la création de l’islam. La confrérie fonde sa haine des Juifs sur le verset coranique:

Sourate 5.82 – Tu trouveras certainement que les Juifs et les associateurs sont les ennemis les plus acharnés des croyants.

Sayyid Qutb (il fut responsable des publications du mouvement des Frères musulmans)  explique que la description coranique des Juifs est immuable et ne dépend pas des circonstances de temps et de lieu, l’animosité entre juifs et musulmans est éternelle, et ne finira jamais. Al Banna le fondateur de la secte va jusqu’à prétendre que si les Allemands ont brûlé les Juifs dans les fours crématoires c’est la seule faute des Juifs.

Or les Frères musulmans ont joué un rôle clé dans la transformation en cauchemar de la vie pour les citoyens Juifs égyptiens par des délations, des accusations contre eux, niant leur patriotisme, les dépeignant comme des conspirateurs et des traîtres, et en demandant un boycott économique contre eux.

Il n’est pas étonnant que Morsi s’inspire du Coran lorsqu’il décrit les Juifs comme des singes et des porcs, prenant ainsi exemple sur son prophète.

Alors évidemment Memri ayant dévoilé ces vidéos, Morsi se sent comme un gamin pris la main dans le sac.

Il faut rappeler que si les Occidentaux étaient au courant de ce qui se dit en arabe,ils auraient certainement une autre impression face à ces extremistes. Un maitre en la matière, l’égyptien Yasser Arafat.

Et voici ce que Morsi nous sort

Pour Morsi, ses propos sur les « sionistes » ont été sortis de leur contexte

Ben voyons !

Le président égyptien Mohamed Morsi a déclaré que les propos sur Israël qu’il a tenus avant son élection et qui ont été dénoncés comme « profondément injurieux » mardi par les Etats-Unis avaient été sortis de leur contexte.

« Le président a assuré que (ces propos) ont été extraits de déclarations faites sur l’agression israélienne contre les Palestiniens dans la bande de Gaza, et a insisté sur la nécessité de remettre les remarques dans leur véritable contexte », selon un communiqué de la présidence égyptienne publié après une rencontre de M. Morsi avec le sénateur américain John McCain.

Dans son communiqué mercredi, le président Morsi a « insisté sur la nécessité de faire la différence entre d’un côté le judaïsme et ses adhérents et de l’autre (ceux qui commettent) des actes violents contre les Palestiniens ».

Il a également « souligné son engagement vis-à-vis des principes sur lesquels il a toujours insisté, notamment le total respect des religions et la liberté de culte et des pratiques religieuses, en particulier les religions monothéistes ».

Sortis également de son contexte lorsque Morsi à la Mosquée prie et répond Amen lorsque le prédicateur demande à Allah de déchirer, de jeter la malédiction sur les Juifs et leurs alliés.source

Et vive la Taqqiya , surtout quand il s’agit de milliards de dollars. L’Egypte est devenue un pays de mendiants, la misère est partout. Le pays économiquement est au bord du gouffre.

Pour l’EU c’est plus de 5 milliards d’euros, il est vrai que l’Europe est en pleine forme économiquement !

L’Union européenne et d’autres institutions financières ont offert à l’Egypte des aides d’un montant de plus de cinq milliards d’euros pour faciliter la transition démocratique du pays, a annoncé dimanche le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy.

« L’Union européenne et des institutions financières associées ont offert un montant de plus de cinq milliards d’euros, ou plus de 6,5 milliards de dollars, en dons, prêts à taux réduit et prêts pour la période 2012-2013 afin de soutenir la transition démocratique ????? en Egypte », a-t-il déclaré à l’occasion d’une visite au Caire.

Harman Van Rompuy a exhorté les dirigeants égyptiens à rapidement conclure les négociations en cours avec le Fonds monétaire international sur l’octroi d’un prêt de 4,8 milliards de dollars source

Pour le FMI  4.8 milliards de dollars donc et le Qatar met à disposition de la secte islamiste qu’il a mis au pouvoir 5 milliards de dollars (1 million de don, et 4 milliards de prêts)

Et un petit cadeau en prime les USA livrent des avions de chasse F16 et des blindés.

Conclusion : les Occidentaux financent les extremistes et les terroristes, pourquoi viendrait-on se plaindre après que ces barbares se retournent contre nous !!! Il ne s’agit pas d’être paranoïaques, les faits sont là pour le prouver. Juste quelques petits exemples

850.000 Juifs ont été forcés après spoliation, humiliations, pogroms, expulsion, une présence juive présente depuis plusieurs millénaires et bien avant que Muhammad ne crée sa religion, éradiquée des terres arabo-musulmane

Un Ben Laden financé et armé par les USA pour contrer les soviétiques en Afghanistan avec pour remerciements le 11 septembre et de multiples attentats sanglants à travers la planète, ou encore en Libye « libérée » et remise aux mains des barbares islamistes avec pour remerciement la mort de l’ambassadeur américain et ses collègues.

Sans parler de la supercherie palestinienne qui vise a créé un état terroriste au sein même de l’Etat d’Israël.

Par Aschkel – rédaction israel-flash

 Nous parlons ici des Etats-Unis, car pour l’Europe complètement vautrée, dhimmie et à la solde des arabes, son sort semble scellé  comme le dit si bien les adeptes de la secte des frères musulmans. La conquête de l’Europe, « le ventre mou » de l’Occident est pratiquement achevée.

Des alliances avec le diable.

Ces vidéos n’ont pas fait grand bruit pourtant depuis deux ans avant que l’Amérique ne réagisse enfin, Richard Behar nous explique pourquoi

QUESTION : Pourquoi le président Morsi est-il un sujet tabou dans les salles de rédaction américaines ?

Fin octobre, Mohamed Morsi, le président égyptien, a qualifié, haut et fort,  les Juifs de « singes et de porcs », ce qu’il avait déjà fait, par ailleurs, en 2010, lors d’une interview en langue arabe,  deux ans donc  avant  d’assumer la  présidence.

Il va sans dire que cette nouvelle fit grand bruit dans les médias de masse américains ! Eh bien non ! Tout au contraire ! (Toc toc, NEW YORK TIMES ? Y-a-t-il quelqu’un ?). En fait pour être honnête,aucun organe de presse ne l’a relevé. Ni L’AP, ni Reuters. Ni CBS News, ni CNN. Ni lt Times Magazine ou l’U.S. News& World Report. Ni le Washington Post, le Wall Street Journal, ni l’USA Today.

Les médias américains auraient dû s’emparer de cette sortie, or elle ne reçut  aucun écho dans la presse à quelque niveau que ce soit.

Pourquoi?

Tâchons d’en comprendre ici la raison.

Aussitôt proférée, l’étrange diatribe Singes-Porcs de Morsi fit la une du Jérusalem Post et mieux encore,  MEMRI (Institut de recherches des médias du Moyen-Orient), une organisation  américaine de renommée, présidée par Oliver « Buck » Revell, ancien directeur-adjoint du FBI chargé du contre-terrorisme la diffusa de par le monde et la posta sur YouTube.

Il ne fait aucun doute que les bureaux des grands organes de presse américains du Caire et de Jérusalem ont repéré l’histoire. or cette information ne toucha que peu de lecteurs et de téléspectateurs aux U.S.A.  les jours suivants et ce, seulement par le truchement des forums juifs ou conservateurs.

Le magazine « Commentary » (Commentaire), American Thinker (Penseur Americain) et Breitbart (organe de presse) ont traité du sujet avec doigté. La Jewish Telegraphic Agency ( JTA, Agence Télégraphique Juive), la Jewish Talk Radio (Station Radio Juive) et les stations audiovisuelles chrétiennes ont aussi trouvé bon de couvrir le fait. Et plus extraordinaire encore, un important journal national, l’Investor’s Business Daily (Quotidien des Investisseurs) en fît de même. Que  Sean Hannety, un des présentateurs de la chaîne Fox, ait sauté sur l’occasion n’a rien d’étonnant!….

L’UPI (United Press International-Agence de Presse Américaine) qui n’est plus que l’ombre d’elle-même, en a, elle aussi, fait mention……..

The Times of Israel a publié un article à ce sujet en y ajoutant que MEMRI avait capté Morsi sur une autre vidéo, le montrant en train de prier avec ferveur  dans une mosquée à l’Ouest de l’Egypte, en Octobre dernier, articulant silencieusement le mot « Amen », aprés que le prédicateur ait exhorté Allah de « détruire tous les juifs et leurs partisans ». (Fait pour ainsi dire ignoré par tous les organes de presse importants.)

J’ai suivi tout au long de la semaine passée le cheminement et la trajectoire  de l’histoire « Singes-Porcs ». Je l’ai fait en compagnie de Sue Radlauer, directeur des Services de Recherche pour Forbes. Nous avons attendu sept jours pour voir si les médias de masse  (expression péjorative qui trop souvent obscurcit plus qu’elle ne révèle  allaient  consacrer quelques phrases au  sujet du sermon de la haine et les imprimer. Mais non..rien, même pas en dernière page!

Il est vrai que la démonisation des Juifs est monnaie courante et  de rigueur dans les médias arabes ( fait non rapporté donc ignoré des Américains). le fait que Morsi (Morsy ou Mursi) soit allé jusqu’à associer génétiquement Juifs et animaux, rend cette omission de la part des médias particulièrement monstrueuse.

Les enregistrements de Morsi, que vous pouvez voir et entendre, le montre réclamant l’arrêt des négociations pour une solution de deux états entre Israéliens et Palestiniens, en blablatant que  tout le pays appartient à ces derniers. Il demande aussi le boycott des produits américains  puisque l’Amérique apporte son soutien à Israël.(Il oublie bien sûr de mentionner que les contribuables américains ont versé plus de 70 billions en aide à l’Egypte depuis que cette dernière a fait la paix avec Israël, en 1979, et que le robinet d’aide continue à couler pour le moment.) Il est allé même jusqu’à qualifier l’Autorité Palestinienne d’entité « créée par les ennemis Sionistes et Américains dans le seul but de contrer la volonté et les intérêts du peuple Palestinien. »

Singes et porcs mis à part, Morsi avertit ses auditeurs  que les Juifs n’ont jamais fait preuve de gentillesse, et laisse échapper qu’  » ils ont attisé les flammes des conflits sociaux partout où ils se trouvaient et ce tout au long de l’histoire.  » « Ils sont de nature hostile. » ( Nous pouvons presqu’imaginer Jon Stewart lancer un regard glacial avant de  lancer une réplique telle: » Petit séjour à Louxor. Y-t-il des intéressés? »)

Si ceci ne suffit pas pour donner quelque notoriété aux enregistrements de Morsi, notons que l’économie égyptienne est au bord de la faillite et son gouvernement, aux abois, voudrait emprunter  4.8 millions de dollars au FMI. Entretemps, cela fait belle lurette que le premier voyage officiel du président égyptien a été prévu pour le mois de mars à Washington, où il dînera avec le président Obama. Jusqu’à maintenant, le Département d’Etat n’a manifesté aucune inquiétude au sujet des enregistrements ; et pourtant il serait temps de le faire avant  (et non après) la remise des gros chèques.

Qu’en est-il vraiment? Lundi j’ai soulevé la question du langage employé par Morsi en 2010 auprès de Michael Oren, l’ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis. »C’est sûr qu’ils (les Frères Musulmans) ne détiennent pas le monopole des remarques antisémites au Moyen-Orient » a déclaré Oren qui est né et a été élevé en Amérique et qui est l’auteur de best-sellers ayant pour sujet l’histoire du Moyen-Orient.  » Ces commentaires  sont alarmants, font preuve d’intolérance et donnent sérieusement matière à s’inquiéter. Il nous faut toutefois faire la distinction entre actes et paroles. Nous attendons des  peuples qu’ils fassent  preuve de responsabilité et de transparence. Le fait que Morsi et son gouvernement ait, de nos jours, joué un rôle constructif pour obtenir un cessez-le-feu (avec Hamas au mois de Novembre), voilà l’important-des vies ont pu ainsi être sauvées. »

 (NDLR – Et ‘est bien là que réside le problème, on ne peut justement pas faire la distinction entre acte et parole, comme dirait leur prophète, lorsque vous êtes en position de faiblesse (besoin de l’aide américaine) faites une Houdna (trève). Concernant les terroristes du Hamas (également Frères musulmans) ils sont encore en place, et si des vies ont été sauvées comme le dit Oren à court terme, cela coûtera encore combien de vies à long terme ?)

D’accord. Mais les bons journalistes chevronnés  se doivent  de mettre Morsi sur le gril après de tels commentaires, en les rapportant s’ils ne peuvent l’interroger directement à leur sujet.

Il ne fait aucun doute que si le président de n’importe quel pays au monde avait diffamé tout un peuple de cette manière, et ce deux années seulement avant d’accéder au sommet par-dessus le marché, ce fait aurait fait  l’objet de quelques colonnes. Or Morsi, lui, a bénéficié d’un laissez-passer.

« A mon avis, il est essentiel de savoir si cet homme d’une importance certaine veut vraiment pousser  les choses à l’extrême,  d’autant plus que (Leon) Panetta et (Hillary) Clinton ont tous deux affirmé le contraire aprés leurs visites. »

C’est ce qu’a déclaré Elliott Abrams, le directeur du conseil d’administration de MEMRI qui sous la présidence de Reagan et de George W.Bush  a occupé de hauts  postes dans l’administration. «  Vous avez raison. Si un tel enregistrement émanait de Poutine, d’Erdogan (Turquie) ou de Kirchner (Argentine) , etc., etc.,.  A tous les coups, cela ferait la une ! Et si cela ne la fait pas  c’est parce que les MSM (Main Stream Media- les Médias Principaux) ne font que déclarer :  Bon, que diable, nous savons que TOUS les Musulmans font preuve d’une haine fanatique envers les Juifs, et alors ? »

Dimanche, Wolf Blitzer de CNN a passé une heure au Caire avec Morsi pour une interview exclusive selon la chaîne. Ce fut un bon entretien, et ce week-end, nous aurons droit à une émission spéciale d’une heure de durée consacrée a son interview de même durée et à son périple en Egypte. Blitzer est l’un de mes présentateurs préférés du moment. (il est honnête, quelque peu ennuyeux parfois et  ne fait jamais preuve de condescendance vis-à-vis de ses téléspectateurs. Avec lui, je n’ai jamais l’impression d’être mené par le bout du nez.)

Il est un fait que Wolf aurait pu faire preuve de plus d’agressivité et lancer quelques pointes singe-porc dans la direction de Morsi d’autant plus que son équipe de reporters devait être au courant des enregistrements publiés dans le Jérusalem Post sinon ailleurs.

Pourquoi ne pas avoir posé la question suivante à l’anthropologue suprême: « Etes-vous toujours persuadé que les Juifs sont des porcs?

Vous avez cité le Coran et déclaré que  les Sionistes descendent du porc, mais puisque les Sionistes n’existaient pas du temps de votre prophète, cela signifie-t-il que TOUS les Juifs descendent  du porc, ou bien certains seulement?

Croyez-vous encore que l’Amérique doive être boycottée?

En serait-il de même pour les espèce sonnantes et trébuchantes américaines? ou bien devrions ignorer votre diatribe et  mettre son excentricité  et son insouciance sur le compte de la jeunesse…humm …QUI DATE DE IL Y A DEUX ANS?

(NDLR – Que nenni 2 ans – En Octobre 2012, Morsi prie à la mosquée (vidéo) pour la disparition des « infidèles »)

Pendant plusieurs jours, j’ai essayé  d’avoir une conversation avec Blitzer sur les bienfaits et les méfaits de la couverture médiatique au Moyen-Orient. Mais son agent de presse m’a fait savoir qu’il était trop occupé pour  même répondre par e- mail  à une simple question avant cette publication.

Le New York Times ne touche que rarement au sujet. De fait, un très long rapport, une  critique dure de la couverture médiatique  de ce journal au Moyen-Orient vient d’étre publié par le Committee for Accuracy in Middle East Reporting in America (CAMERA- Commission chargée de vérifier la véracité de la couverture médiatique du Moyen-Orient en Amérique. ) Peu réjouissant pour le Times.  » Le Times en négligeant de couvrir l’endoctrinement à la haine montre l’exemple en quelque sorte. » C’est ce que m’a confié Andréa Levin, hier, la directrice de CAMERA. « Le fait qu’ils y attachent si peu d’importance montre la voie aux autres. Et pour nous cela représente l’une des dérélictions les plus grandes de la couverture médiatique actuelle du conflit. »

 (NDLR : en Europe c’est l’AFP, agence pro-palestinienne qui dirige de façon biaisée l’info)

Il est vrai que même à l’âge de l’internet,  la plupart d’entre nous doit admettre que le Times est encore en tête de file et donne le ton aux médias de pointe. En fin de compte, c’est le meilleur journal, une vraie merveille du monde. Mais il semble éviter toute couverture de l’incitation islamiste contre les Juifs  (et les Chrétiens) comme la peste.

Pour  donner un aperçu du ton du discours odieux de la haine que les organes de presse comme le Times ignorent pour ainsi dire totalement dans leurs informations, Mon article paru dans Forbes en novembre donne un échantillon du poison que disséminent les médias et les manuels scolaires officiels de l’Autorité Palestinienne soit-disant plus modérée et  donne aussi un aperçu du ton du discours odieux de la haine que les organes de presse comme le Times ignorent pour ainsi dire totalement dans leurs informations,

Ma propre judéité troublerait-elle mon jugement médiatique?

Pour m’assurer des faits, j’ai fait appel à Gene Foreman, un des rédacteurs les plus respectés dans le monde de la presse, et ce depuis plus d’un demi-siècle.( Il se trouve qu’il est méthodiste, ce qui en aucun cas devrait obscurcir son jugement quant à l’intérêt médiatique  d’une information.) Foreman est l’auteur  du « THE ETHICAL JOURNALIST » (l’éthique du journaliste): PRENDRE DES DECISIONS RESPONSABLES LORS DE LA CHASSES AUX INFORMATIONS-

Ce livre paru en 2009 est « le GPS des décisions judicieuses. » Ajoutons que son bon sens est précieux pour tout reporter en herbe: Gene a réussi entre autre à assumer  la direction de la salle de rédaction du PHILADELPHIA INQUIRER (l’investigateur de Philadelphie) pendant 25 ans au cours desquels le journal s’est vu décerner 18 Prix Pullitzer.

Aprés avoir lu le JERUSALEM POST et sa couverture à la une des enregistrements de Morsi, Gene me rassure  »Je crois que vous êtes sur la bonne piste » « A première vue, cela vaut la peine d’être diffusé. Ce sont des interviews de Morsi qui datent de deux ans mais qui montrent bien son mode de pensée, l’état d’esprit d’un des acteurs-clés au Moyen-Orient. Il est légitime de demander aux reporters qui couvrent le Moyen-Orient si ils avaient pris connaissance de cet article dans le POST et si oui pourquoi ils ne l’avaient pas repris et approfondi? »

J’ai essayé. Jusqu’à présent, je n’ai reçu aucune réponse officielle. Et les réponses officieuses n’ont aucun sens, du moins pour le moment.

Quant à Yigal Carmon, le président de MEMRI, cela fait 15 ans, depuis la création du groupe, qu’il mène un combat à contre-courant pour faire en sorte que les médias occidentaux accordent plus d’attention à ce genre d’incitation et de haine génocidaire. « C’est du déjà vu » dit-il en mentionnant le  manque de couverture de toute sa  documentation sur Morsi de la part des grands médias. « des journalistes bien intentionnés m’ont dit qu’exposer ce genre d’affaire au grand jour profite aux ennemis de la paix. Je suis d’avis contraire. Vous ne servez pas la cause de la paix en étouffant une affaire; il faut bien au contraire l’exposer au grand jour. »

Note : Cette histoire n’est pas finie, et espérons que l’aide américaine sera conditionnée sur un comportement viable de ce Morsi, ce dont selon ce qui est exposé ci-dessus est douteux d’une part, et d’autre part la complaisance du crypto-musulman Obama peut aussi nous faire craindre le pire.

Traduction par Dominique Kahtan – rédaction israel-flash

Notre bon point du jour

Philosémitisme

Un écrivain juif néerlandais refuse de payer ses impôts pour protester contre l’aide de l’UE à l’Egypte

Algemeiner: Un célèbre écrivain néerlandais a déclaré qu’il ne paiera pas d’impôts pour protester contre le soutien financier de son pays et de l’Union européenne à l’Égypte.

Leon de Winter, qui est juif, a fait savoir dans un éditorial qu’il était dégoûté par les propos du président égyptien Mohamed Morsi qualifiant que les Juifs de  »descendants des singes et des porcs », une qualification antisémite prisée par les islamistes. De Winter décrit Morsi comme  »un antisémite chevronné et leader d’un groupe politico-religieux qui ne peut pas être décrit autrement que comme un mouvement islamo-fasciste ».

Morsi a fait cette déclaration dans une entrevue 2010 avec Al-Quds. La vidéo de l’interview a récemment attiré l’attention suite à sa traduction en anglais. Dans la vidéo Morsi est cité comme disant:  »Soit [vous acceptez] les sionistes et tout ce qu’ils veulent, soit c’est la guerre. C’est ce que ces occupants de la terre de Palestine savent – ces suceurs de sang qui attaquent les Palestiniens, ces fauteurs de guerre, descendants des singes et des porcs. »

De Winter a écrit que  »Morsi est souvent très clair lorsqu’il parle en arabe mais pas quand il parle au téléphone avec le président Obama ». Tant que le gouvernement néerlandais fournira une aide à l’Egypte, De Winter refuse de payer ses impôts.  »Les décisions judiciaires et les huissiers de justice c’est ce que peut me valoir mon refus », a-t-il dit.  »Ainsi soit-il. La honte ne réside pas dans mon refus, la honte est du côté de nos élites politiques qui ferment les yeux sur les idées malades de l’islamisme. Nous finançons un mouvement en Egypte que entretien des rêves d’exterminations des et de la chute de l’Occident ».

En voilà une idée qu’elle est bonne… une idée que l’on devrait étendre à la « Palestine ». On devrait tous retrancher la part de nos impôts qui partent vers l’Union Européenne, cette UE qui s’évertue à reverser une partie de nos impôts aux Palestinazis de l’Autorité Palestinienne, ceux-là même qui viennent d’honorer l’imam d’Hitler et d’appeler à un grand Califat avec Jérusalem pour capitale. Aussi, à quand un PalesTea Party ? Sil

La haine de Morsi