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Propagande à la RTBF : la Belgique sous influence de la désinformation à la française

Classé dans: Belgique,Israël |
Un "bon père de famille" du Hamas

Un « bon père de famille » du Hamas

 

• Pour nous informer de la guerre en Somalie, la RTBF (Radio Télévision Belge Francophone) parle des « islamistes », des « islamistes somaliens » et des « Shebab ».

• Quand elle évoque la situation en Afghanistan, elle titre « Taliban », et non Afghans, pour désigner les islamistes.

• A propos de la guerre au Mali, elle utilise les termes « chef islamiste » pour désigner Mokhtar Belmokhtar, bastion islamiste pour les poches de résistance, et « terroristes islamistes » pour qualifier les combattants.

RTBF Hamas

• Direction le Proche Orient, c’est la rupture brutale d’atticisme. Là, plus question d’islamistes, et encore moins de terroristes (j’informe mes confrères de la RTBF – qui sans doute l’ignorent – que leur pays et l’UE ont classé le Hamas parmi les organisation terroristes).

Un terroriste membre du Hamas est tué par l’armée israélienne ? l’Agence Belga parle d’un « Palestinien », comme si la victime était dentiste ou facteur, comme si c’était un père tranquille, un bon père de famille sauvagement assassiné par les méchants sionistes avides de sang humain, un « Palestinien » qui ne faisait aucun mal et ne demandait rien à personne…

Démonstration de la lâche soumission des journalistes belges à la dictature de Paris (1) :

1) Gros titre :
Conflit israélo-palestinien – Un Palestinien tué et 2 blessés par l’armée israélienne en Cisjordanie

2) 2ème titre :
(Belga) Un jeune Palestinien a été tué par balle et deux autres blessés mardi soir par l’armée israélienne près d’Hébron, dans le sud de la Cisjordanie, a-t-on affirmé de sources sécuritaires palestiniennes et militaires israéliennes.

Il faudra attendre le corps de l’article pour apprendre qu’il s’agit d’un islamiste :

3) corps de l’article :
Selon ces sources, Mahmoud Al-Titi, âgé de 23 ans et membre du mouvement islamiste Hamas (on va bientôt nous dire que le Hamas est un club de bridge), a trouvé la mort dans des heurts avec des soldats israéliens dans le camp de réfugiés d’Al-Fawwar, au sud d’Hébron. Donc le Hamas est islamiste, mais pas terroriste islamiste, comme si c’était « moins grave ».

Si la Pravda décide de se reformer, elle n’aura aucun mal à recruter…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 

HINDI KOUCH/ le génocide de 80 millions d'indiens n'est pas un mythe

Hindi Kouch: le génocide de 80 millions d’indiens par l’islam n’est pas un mythe

Classé dans: Inde,Islam,Terrorisme |

 
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Les Sultans Bahmani, qui gouvernaient en Inde centrale, s’étaient fixé de massacrer 100 000 hindous par an et semblent s’y être tenus, explique François Gautier, ancien correspondant en Inde du Figaro et de Marianne, dans « Un autre regard sur l’Inde », édition du Tricorne – Genève 2000 (1).

100 000 hindous massacrés en une seule journée

Mais en 1399, le célèbre Timur fit mieux, il tua 100 000 hindous en UNE SEULE JOURNÉE !

80 millions d’hindous tués entre 1000 et 1525

Le Professeur Kishori Saran Lal dans son livre « La Croissance de la Population musulmane en Inde » estime qu’entre les seules années 1000 à 1525, 80 millions d’hindous furent tués, (sans parler des famines et autres calamités naturelles engendrées par la guerre), « sans doute le plus grand holocauste de l’histoire de l’humanité », affirme-t-il.

Et les propos du professeur Lal, dont la position de Directeur des recherches historiques du Conseil de l’Inde (ICHR) et membre du Comité du Conseil national de l’éducation et de la recherche de l’Inde (NCERT) attestent de sa respectabilité, sont confirmés par de nombreux historiens, tels Alain Daniélou, Will Durant, Sitaram Goel, ou Konraad Elst.

Des villes entières furent brûlées et leurs populations passées au fil de l’épée. Chaque campagne successive fit des dizaines de milliers de victimes et des millions de femmes et d’enfants furent emmenés en esclavage. Chaque nouvel envahisseur bâtissait littéralement sa montagne de crânes hindous.

Ainsi la conquête de l’Afghanistan en l’an 1000 fut suivie par l’annihilation de l’ENTIÈRE population hindoue de cette région, qu’on appelle toujours d’ailleurs « Hindu Kush », le massacre des hindous.

Mais aujourd’hui ce terrible épisode de l’histoire de l’Inde a été occulté : c’est à peine si les nombreuses Histoires de l’Inde, que nous utilisons comme référence, telle celle de Jacques Dupuis (agrégé d’histoire et diplômé de hindi de l’Ecole des langues orientales – 1912-1997), y font allusion.

L’historien et sociologue belge Koenraad Elst (Negationism in India), traite de la négation des atrocités musulmanes en Inde. « Cette négation des atrocités musulmanes, argue Elst, a gommé tout un chapitre capital de l’histoire indienne, le faisant disparaître non seulement des manuels d’histoire, mais aussi de la mémoire des Indiens. »

Qui étaient les révisionnistes ?

Des indiens marxistes, des communistes … à commencer par Nehru lui-même, qui, « pour dénigrer l’identité hindoue de la nation indienne, s’est appliqué à gommer l’horreur des invasions musulmanes en Inde », explique Konraad Elst.

« Ce sont les hindous eux-mêmes qui ont constamment nié le génocide musulman, » confirme Gautier.

Il ajoute : « sous l’impulsion de Nehru, trois générations d’historiens et d’intellectuels indiens marxistes s’efforceront de persuader leurs compatriotes (et le reste du monde) qu’il n’y a jamais eu de génocide musulman sur la personne des Hindous ».

Nehru, rappelle Elst, « premier leader de l’Inde indépendante, était un grand admirateur de l’URSS. C’est lui d’ailleurs qui initia l’étatisation de l’Inde sur le modèle soviétique ». Admirateur de la Russie aux 100 millions de morts, presque un aveu…

Ainsi le négationnisme en Inde, qui est d’inspiration marxiste, s’est appliqué à gommer des livres d’histoire écrits après l’indépendance indienne de 1947, toute l’horreur des invasions musulmanes et à dénigrer l’identité hindoue de l’Inde, en s’attaquant aux partis politiques, tel le Jana Sangh, (l’ancêtre du Bharata Janata Party), qui au début des années 20 s’efforcèrent de contrebalancer l’influence grandissante de la Ligue Musulmane qui commençait déjà à réclamer la création d’un état séparé pour les musulmans indiens.

Ainsi l’écrivain révolutionnaire et activiste communiste Manabendra Nath Roy dit M.N. Roy : « L’islam a rempli en Inde une mission d’égalitarisme et qu’en cela il fut bien accueilli par les castes défavorisées. » Et il continue : « C’était une question de lutte des classes tout à fait justifiée entre des forces progressives (les musulmans) et les forces féodales (les hindous de haute caste). »

Du négationnisme au biais islamisant de l’indianisme français

L’historien français Alain Daniélou, qui avait vécu l’Inde du dedans, résidant pendant vingt ans à Bénarès, où il apprit le sanskrit et la musique indienne, se plaignait souvent du « biais islamisant de l’indianisme français ».

L’historien belge Konraad Elst renchérit :

« L’indianisme français du XXème siècle semble s’être fortement inspiré de ce négationnisme-là, témoin « L’’Histoire de l’Inde Moderne », paru en 1994 chez Fayard et qui fait référence aujourd’hui chez nous. Dans le chapitre « La splendeur moghole », Marc Gaborieau, Directeur du Centre d’Études de l’Inde et de l’Asie du Sud, parle en termes élogieux de l’empereur Aurangzeb, lequel avait la réputation – même aux yeux des musulmans indiens – d’avoir été le plus sanguinaire et le plus pervers des Moghols : « Aurangzeb a concentré sur sa personne la haine des Hindous militants qui lui attribuent des destructions systématiques de temples et des conversions forcées massives… cette image manichéenne doit être sérieusement corrigée ».

« Malheureusement, continue Konraad Elst, Aurangzeb était si fier de ses actes, qu’il les avait fait dûment archiver et qu’ils sont parvenus jusqu’à nous ». M. Elst rappelle donc qu’Aurangzeb (1658-1707), ne construisit pas seulement une énorme mosquée sur le plus vénérable temple de Bénares, la ville sainte hindoue, temple qu’il avait auparavant fait raser, il ordonna les destruction de TOUS les temples en Inde, dont le Kashi Vishvanath, un des plus sacrés du pays, celui de Krishna à Mathura, le temple de Somanath au Gujurat, ou le temple Treka-ka-Thakur à Ayodhya, et fit construire des mosquées à leur place. Le nombre de temples détruits par Aurangzeb se compte non pas en centaines mais en milliers. Aurangzeb ne se contenta pas de détruire des temples, il fit aussi éliminer les païens : « Ahmed Khan fit savoir à sa Majesté que 2 000 Hindous furent exécutés parce qu’ils continuaient leurs abominations religieuses », rapporte une chronique de l’époque. Le gourou sikh Tegh Bahadur fut décapité parce qu’il protestait contre les conversions forcées d’Aurangzeb. Et même le propre frère de l’empereur, Dara Shikoh, fut exécuté pour s’être intéressé à la religion hindoue. »

l’Hindouisme a fait montre d’une remarquable tolérance

La réalité, c’est que « tout au long de son histoire, l’Hindouisme a fait montre d’une remarquable tolérance, permettant aux Chrétiens de Syrie, aux marchands arabes, aux Parsis de Zoroastre, aux Juifs de Jérusalem, persécutés chez eux, de s’établir en Inde et d’y pratiquer leur religion en toute liberté » écrit Daniélou.

Peut-on en dire autant des musulmans ?

« On ne dira jamais assez l’horreur que furent les invasions arabes en Inde. Les ignorer parce qu’elles appartiennent au “passé” est ridicule, car elles se répercutent encore dans les événements politiques d’aujourd’hui », appuie Konraad Elst dans son livre « Le négationnisme en Inde » (Voice of India, New Delhi) (3).

Ici encore la réécriture de l’histoire accomplit un travail soigneux au bénéfice d’une idéologie criminelle et totalitaire. Des similitudes ne seront pas difficiles à trouver, les complices non plus – ce sont toujours les mêmes.

L’indianisme français continue à défendre un faux théorème

Et de nombreux observateurs estiment aujourd’hui « que l’Indianisme français doit se remettre en question, car ses bases reposent sur des données archéologiques et linguistiques qui datent du XIXème siècle » soutient Gautier. Le magazine indien « India Today », que l’on ne peut accuser de « nationalisme », vient par exemple de publier un grand dossier racontant comment des récentes découvertes archéologiques et linguistiques prouvent – entre autre – qu’il n’y a jamais eu d’invasion aryenne en Inde. Or, l’indianisme français continue à défendre ce théorème, comme c’est le cas à Pondichéry, par exemple.

Le journaliste français ajoute : « malheureusement, se plaint un chercheur indien qui a été associé à l’EFEO, les Français semblent mépriser l’hindouisme en tant que religion ».

Ce sera ma conclusion, François Gautier cite un autre chercheur : « Voilà une arrogance bien française que de tenter d’appliquer à l’Inde des paramètres qui ne sont valables qu’en France, en l’occurrence la séparation de l’Église et l’État », s’offusque un chercheur indien. Il faudrait donc que l’indianisme français de Pondichéry remette aussi de l’ordre dans sa maison : l’École Française d’Extrême Orient et l’Institut français collaborent rarement ensemble ; et l’EFEO s’est scindée en deux pour cause d’incompatibilité de ses chercheurs.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 

Un Général prédit la guerre civile en France

 

 
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La nouvelle guerre civile est une guerre d’idées

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Michel Garroté, réd en chef –- Le Général Jean Delaunay écrit, dans une analyse, détaillée et engagée, de la France d’aujourd’hui (extraits adaptés ; voir le lien vers la source en bas de page) : De la St Barthélémy à la Vendée et à la Commune, les guerres civiles ont laissé en France un horrible souvenir tant les haines s’y sont déchaînées entraînant massacres et destructions. Celle qui se déroule sous nos yeux n’est apparemment pas sanglante mais elle fait et fera beaucoup de mal, d’autant plus qu’elle divise un peuple déjà affaibli moralement et vulnérable. Cette nouvelle guerre civile est une guerre d’idées. Elle vise nos cœurs et nos cerveaux, sa composante majeure est psychologique. Les médias y jouent un rôle essentiel. Nos adversaires utilisent à leur manière certains des procédés mis au point par les experts ès conquête des foules. De Lénine à Mao, Ho Chi Minh et Castro, ceux-là ont su chacun, à partir d’une minorité réduite mais active, imposer leur vision du monde à leur peuple fragilisé. Ils y ont réussi, en utilisant à la fois l’intimidation et la propagande du type matraquage permanent.

Moins connu mais plus subtil, du fond de sa prison, Gramsci voulait au contraire changer la société en modifiant peu à peu et insensiblement les repères culturels des gens. Ce que nous subissons, derrière la fumée de la référence affectée à la démocratie et aux droits de l’homme, c’est la combinaison des deux stratégies. Sous l’effet de l’accélération du progrès technique (de la pilule à Internet) et du matérialisme consécutif, des habitudes nouvelles avaient été prises, les mœurs avaient changé – depuis 1968 notamment – et des concepts nouveaux avaient vu le jour pour justifier cette évolution. Mais depuis un an, notre pays est entré dans une ère nouvelle. Parvenu au pouvoir, le « camp du progrès » (autoproclamé) dispose des moyens d’agir à tous les échelons et il exploite à fond l’orientation idéologique des médias et le soutien de beaucoup d’intellectuels. Du coup, il s’arroge le droit non seulement d’accréditer les changements de mentalité précédents (déplorables, selon nous) mais encore de les dépasser en affichant officiellement sa volonté de changer la société, de transformer la civilisation.

Il l’a clairement exprimé lors de la préparation de la loi dite « le mariage pour tous », et mis en œuvre à cette occasion des procédés qui s’inspirent de ceux des régimes totalitaires. C’est très inquiétant pour la démocratie et, à nos yeux, inacceptable. En face, l’opposition, complexée, voire honteuse, incertaine quant à ses valeurs, et divisée de surcroît, mène un combat défensif qui minimise la réalité et l’enjeu de cette nouvelle guerre civile. Entre les deux, le marais est d’habitude partagé entre la méconnaissance des problèmes, l’indifférence à leur égard, l’attentisme, l’indignation et l’impression d’être désarmé pour agir. Fait nouveau cependant, les silencieux d’hier ont pris conscience du véritable viol qu’ils étaient en train de subir et ont commencé à réagir : les centaines de milliers de manifestants et de pétitionnaires démontrent qu’une réaction de santé est en marche. Pour mener ce combat difficile, il faut connaître les moyens et la tactique de l’adversaire. C’est cet examen que je vais maintenant esquisser.

Le contexte

Ce que j’appelais « le Cancer », c’est l’effondrement de nos Valeurs de vie. Depuis des années, le mal prolifère. La crise économique l’aggrave mais l’essentiel est ailleurs. Les gens ont perdu leurs repères et de mauvais maitres leur mettent des idées folles en tête. La famille et la société sont en crise. Le suicide est la première cause de mortalité des jeunes. La pornographie est à l’origine de nombreux crimes sexuels. Les violences urbaines deviennent quotidiennes et les affaires en tout genre remplissent les journaux. Les causes de ce phénomène sont diverses. Les matérialistes le relativisent et ne veulent y voir qu’une irréversible évolution des mentalités née des révolutions techniques. Nous, nous y discernons d’abord le résultat des trois grandes tentations de l’homme, aussi anciennes que le monde, celle de Prométhée, la révolte de l’homme contre son Créateur, celle de Faust, la glorification du facteur matériel, et celle de Lucifer, le règne du mensonge.

Sous leur effet combiné, l’obsession de l’instant domine nos médias, le désir de manipuler les gènes étreint nos modernes apprentis-sorciers et le culte de la jeunesse caractérise notre société où la mort est taboue. En effet, pour posséder, consommer, dominer et jouir, il vaut mieux être jeune et bien portant que vieux et malade… d’où une vision égoïste de la sexualité et le refus fréquent de s’engager et de donner la vie. Le confort nous a rendus à la fois « accro » à des tas de « machins » hyper assistés et souvent indifférents à autrui. Beaucoup d’hommes ont les moyens de vivre mieux mais ils en oublient de se préoccuper de leurs raisons de vivre. Notre société est vulnérable. Le phénomène est amplifié, aggravé et exploité par des hommes qui cherchent à renverser l’ordre établi et le remplacer par un autre. 1 / Les terroristes utilisent les bombes comme moyen majeur d’intimidation et d’action. 2/ Le communisme se meurt mais les trotskystes ont conservé leur prédilection pour la lutte des classes et l’agit prop. 3/ D’autres, les plus dangereux, pratiquent une méthode plus subtile et plus sournoise.

Offensive culturelle

Les intellectuels de gauche et beaucoup d’écolos travaillent depuis des années à renverser les valeurs anciennes, à lancer de nouvelles valeurs, à créer de nouveaux héros, à promouvoir un nouveau type d’art, de musique, d’architecture, de mode vestimentaire. Bref à changer la façon de vivre et de penser des hommes et des femmes. Il est impossible de trier ce qui, dans la situation actuelle, résulte de l’évolution naturelle des idées et ce qui relève de leur volonté de casser la baraque.

Le traitement du passé

Sous prétexte de rajeunir l’enseignement de l’histoire, ils ont supprimé la chronologie au profit de l’étude de thèmes. Cela permet aux militants d’orienter l’enseignement, en mettant au placard ce qui leurs déplait et de dénigrer et déformer le Moyen Age, l’œuvre des Rois et la colonisation, quand ce n’est pas Henri IV et Napoléon. Non seulement les manuels scolaires mais encore beaucoup de films et d’émissions TV donnent l’impression de vouloir nous donner honte de notre passé qu’ils nous présentent comme synonyme de mal.

Le renversement des valeurs traditionnelles

Pour empêcher le retour d’un soi-disant ordre moral, ils raillent, comme obscurantistes et réactionnaires des notions simples et éprouvées comme la famille fondée sur le mariage et celui-ci fondé sur l’engagement définitif d’un homme et d’une femme, ils privilégient le droit par rapport au devoir et la liberté par rapport à la responsabilité. Pour eux, le sens de l’honneur et le patriotisme sont aussi dépassés que l’usage du rasoir.

Ensemencement de nouvelles valeurs

Ce travail de sape a abouti à une véritable déprogrammation des cerveaux. Elle est encore facilitée par l’effondrement de la foi et de la pratique religieuse, ce qui fait que beaucoup de jeunes de tous milieux n’ont plus aucune idée du Bien et du Mal. Nos adversaires en profitent pour promouvoir de nouvelles valeurs à travers la radio, la TV et le net, les BD, les magazines, les films et romans à la mode. La musique et la chanson leur sont d’un puissant secours en créant de nouvelles idoles dont le comportement a valeur d’exemple. Tout cela est toléré ou encouragé par une large partie du personnel politique qui craint par- dessus tout de passer pour ringard. C’est ainsi qu’on a mis notamment à la mode des valeurs cool : la tolérance et la sincérité (tout est semblablement bon, du moment qu’on est sincère: la vérité n’existe plus… ) , les droits de l’homme considérés comme un absolu ( y compris les droits des enfants d’échapper à l’autorité des parents et le droit pour ceux-ci de se désintéresser, le cas échéant, de leurs enfants pour pouvoir mieux s’éclater), le refus de toute discrimination (d’où l’apologie permanente de la diversité), l’égalitarisme forcené qui tue l’émulation, la liberté de tout dire, de tout faire et de tout montrer, au risque de provoquer beaucoup de dégâts.

Sémantique

L’art d’utiliser les mots joue un rôle important dans cette guerre des idées. A preuve, le verlan que les jeunes immigrés pratiquent systématiquement dans les cités pour faire un pied de nez à notre langue française et à notre pays dont ils ne veulent pas faire réellement partie. Dans le langage courant, des mots comme fasciste, raciste et homophobe sont devenus de véritables « armes à tuer ». D’autres mots sont simplement destinés à faire rire et à abaisser car la dérision est une arme terrible. D’où des appellations comme franchouillards appliquées aux patriotes et réactionnaires attardés aux catholiques. A l’inverse, de nouveaux vocables sont volontairement déchargés de tout contenu affectif, pour déculpabiliser ceux qui pourraient se sentir coupables: l’avortement devient ainsi IVG, l’assassinat exécution, le vol récupération et l’euthanasie droit de mourir dans la dignité.

Deux thèmes d’actualité

Deux domaines, entre autres, sont largement exploités dans une volonté marquée de fausser les esprits. L’anti racisme est ainsi devenu le nouveau vecteur du message révolutionnaire. Sous prétexte que tous les hommes sont égaux en droit, nos faiseurs d’opinion ont réussi à rendre tabou toutes les questions relatives à l’immigration. Prononcer ce mot, c’est encourir le risque d’être traité d’extrémiste. A fortiori, si on dit : l’immigration non contrôlée est une menace pour l’identité française; la concentration des immigrés représente un fléau social à cause du fort taux d’illettrisme, de chômage et de délinquance qu’elle entraîne dans les banlieues (Je parle, moi, de cela d’autant plus librement que j’ai consacré une partie notable de mon temps à aider, en prison, des noirs et des maghrébins). A cet égard, nos adversaires sont champions dans l’art de nous donner mauvaise conscience et nos hommes politiques tombent souvent dans le panneau. On l’a vu récemment à l’occasion de la campagne contre l’homophobie.

Le thème de la libération sexuelle continue aussi à déstabiliser la société. Gardiennes naturelles des Valeurs, les femmes sont principalement visées à travers des mots d’ordre comme la femme est maîtresse de son corps; l’avortement est un acquis social; la femme au foyer n’est qu’un légume et autres slogans féministes et libertaires souvent repris par les magazines féminins. Les jeunes sont la 2e cible de cette offensive, notamment à travers les campagnes dites « d’éducation sexuelle ». Ce qu’on leur diffuse surtout, c’est une vision sanitaire, presque vétérinaire de l’amour humain d’où tout sentiment et toute poésie sont exclus. Sous prétexte de santé publique, nos adversaires ont obtenu la diffusion de documents qui banalisent, non seulement les rapports sexuels précoces mais aussi les déviances sexuelles. Le lobby gay exerce à cet égard une grande influence. Très actives dans les milieux de l’art, des médias et de la politique, ses associations ont obtenu d’être accréditées pour mener les campagnes d’information sexuelle à l’école et de prévention du SIDA. Déjà à l’origine du PACS, elles sont en pointe pour exiger le mariage pour tous (à noter que des homosexuels honnêtes et discrets tiennent à se démarquer des militants minoritaires qui paradent dans les rues).

Cas particulier de la campagne actuelle autour de la loi Taubira

Cette loi recouvre bel et bien une véritable opération de guerre civile destinée à changer la société. En témoignent les déclarations et actions suivantes : consignes du Ministre de l’Education Nationale aux recteurs : « s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités, notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles ». La même Ministre recommande aux jeunes d’aller chercher un complément d’information sexuelle sur des sites à nos yeux infréquentables. En d’autres temps, cette attitude aurait été réprimée comme une incitation à la débauche. Une déclaration à la Chambre : « Vous vous cramponnez aux racines judéo-chrétiennes de notre civilisation, elles sont périmées. Vous représentez le passé. Nous voulons balayer tout cela. Nous sommes l’avenir ». Une déclaration au Sénat en commission des lois : « La loi ne s’appuie pas sur un ordre naturel. Elle s’appuie sur un rapport de forces ». Voilà qui nous rappelle Robespierre. Lors de la préparation de la Loi en commission à la Chambre, les auditions d’associations ont été soigneusement programmées pour que les délégations favorables puissent s’exprimer à loisir alors que les opposants en soient réduits à ne faire que de la figuration. Le représentant de l’Eglise catholique a été particulièrement mal traité.

La désinformation à l’œuvre à propos de la loi

Rappel. L’origine du mot est soviétique et le procédé aussi: c’est tout un programme ! La désinformation médiatique a été manifeste pendant cette période. Elle a contribué à troubler les jugements des Français et à fausser leurs esprits. Exemples : – occultation partielle de la vérité et orientation de la description des faits pour les besoins de la cause. Les présentateurs ne parlaient pas ou peu des manifestations organisées par les mouvements qui n’avaient pas leur sympathie. Quand ils en parlaient, ils les commentaient de façon partiale, ne serait-ce qu’en réduisant le nombre des participants annoncés. – Leurs photos-choc et leurs coups de zoom ont renforcé leurs commentaires (exhibition de militantes aux seins nus pendant la manif du 13/1, puis, plus tard, dans la cathédrale de Paris). – Ils ont diffusé, ce jour-là, bien d’autres types d’informations (intervention au Mali et sports) pour détourner l’attention de ce qui était, pour nous l’essentiel. – Nous n’avons cependant pas relevé pendant cette période d’information carrément fausse mais vraisemblable. Cela prend souvent car la majorité des gens gobent n’importe quoi.

En revanche, personne n’a parlé des profanations d’églises catholiques à Toulon et ailleurs. Et, à l’occasion des déclarations officielles et des discours à la Chambre, on a utilisé largement le mensonge (y compris via les statistiques et les sondages), la calomnie et la dérision, armes complémentaires de la désinformation (sans parler des procédés classiques de manipulation comme l’allusion, le soupçon, l’amalgame, la provocation). Plus grave, sur le plan sémantique, on a tordu et trahi la définition classique du mariage. Il en résulte que la Loi a été votée à la Chambre en 1e lecture. Cela avait été annoncé par Martine Aubry dans son livre « Pour changer de civilisation » : Comme je l’ai toujours fait, et à ma façon, j’entends contribuer au renouvellement des idées de la gauche. Voilà pourquoi l’initiative du Laboratoire des idées, appelant à une contribution créative plus de cinquante chercheurs et intellectuels, s’inscrit dans notre mission commune, urgente et indispensable : rendre visible le monde qui vient, aider à le comprendre pour pouvoir le transformer. Justice, respect, vérité. Nos idées ont un futur. La prochaine gauche s’avance, une gauche forte de ses valeurs et forte d’un projet pour changer de civilisation.

Terrorisme intellectuel et politiquement correct

En complément des actions précédentes, le terrorisme intellectuel a essayé d’empêcher nos porte-paroles et les parlementaires acquis à notre cause d’exprimer librement nos opinions en les faisant passer pour réactionnaires, retardataires et homophobes. Dans ce cas, même les plus courageux surveillent leurs propos. C’est ainsi que la langue de bois passe dans nos mœurs, alors que c’est une invention du stalinisme, champion du mensonge toutes catégories (pour ne reprendre qu’un exemple déjà ancien de cette intimidation, personne ne se risque plus à révéler l’identité des jeunes maghrébins et noirs quand ils brûlent les autos, agressent les policiers et pillent les magasins. On ne les désigne que sous le nom de jeunes). On est loin de la parole de Jean Paul II : « La vérité vous rendra libre ». Face à cette menace dorénavant annoncée, il faut absolument savoir et vouloir nous défendre. Nous avons commencé à le faire. Sachons persévérer.

COMMENT NOUS DEFENDRE DANS LA GUERRE CIVILE DES IDEES ?

1/ Prenons conscience du DANGER et DENONCONS-LE. Nous sommes avertis de ce qu’on nous prépare : « Le meilleur des mondes » d’Huxley. A nous de comprendre les déclarations officielles et d’en mesurer l’enjeu. Attention en même temps à ne pas être obnubilés par la subversion au point d’en voir partout. Soyons vigilants mais gardons la tête froide et le sens de l’humour. Evitons aussi de présenter notre défense comme une croisade. Tout ce qui est excessif ne compte pas. Notre force à nous, ce doit être l’appel au bon sens. En revanche, persuadons-nous que la loi du pendule régit l’univers et que les excès finissent par entraîner le rejet des idées fausses et des comportements aberrants. Ce qui a été vrai du nazisme, le sera un jour du mariage pour tous, de la théorie du genre et de l’industrie des mères porteuses. Chrétiens, sachons que le renouveau du spirituel accompagnera et éclairera le retour des valeurs traditionnelles car, plus que jamais, les gens ont besoin de donner un sens à leur vie.

2/ Ayant pris conscience du danger, essayons de renforcer nos DEFENSES IMMUNITAIRES, celles de notre cerveau. Pour cela, aiguisons notre ESPRIT CRITIQUE, vérifions ce que l’on nous raconte, trions et comparons les points de vue. Cultivons notre INDEPENDANCE d’ESPRIT, la vertu cardinale face à la pensée unique. Saisissons toute occasion de dire aux jeunes : tout n’est pas vrai dans ce qu’on vous montre à la télé. Tout n’est pas bien même quand « tout le monde le fait.

3/ Nous sommes en guerre civile. Or, à la guerre, malheur à l’homme seul. Continuons donc à chercher des gens qui partagent une partie de nos points de vue et avec lesquels nous puissions échanger des informations et monter des actions coordonnées.

4/ Cela dit, le plus important, c’est d’avoir du COURAGE. Cette vertu est particulièrement nécessaire aux jeunes, plus que jamais tentés de penser, de parler et de faire comme les autres. Notre courage, en ce moment, c’est celui d’OSER dire « NON » comme nous commençons à le faire. C’est toujours celui d’OSER AFFIRMER NOS CONVICTIONS et de nous comporter comme nous le pensons, même si on nous fait passer pour retardataires attardés. « Ils » disent vouloir transformer notre société et changer notre civilisation. Nous sommes menacés dans ce que nous avons de plus précieux et, cette fois, nos adversaires sont des gens de chez nous. Cette guerre civile met en danger notre vision de l’homme, de la famille et de la vie, en même temps que l’avenir de nos enfants et celui de la France. Défendons-les (fin des extraits adaptés ; voir ci-dessous le lien vers la source).

Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info

 

Tunisie, instauration de la polygamie et de l’excision des femmes, par Ftouh Souhail

Les femmes et  la Charia en Tunisie
 

 

La Tunisie islamiste célèbre à sa manière la Journée internationale des femmes du 8 mars.

Une triste journée pour les femmes tunisiennes

Le lendemain de cette Journée, officialisée par les Nations unies en 1977, aura été une triste journée pour les femmes tunisiennes malmenées par les leaders des partis politiques de la mouvance islamique qui ont lancé un appel à soumettre les femmes aux exigences de la Sharia.

Certaines voix ont appelé à la restauration de la polygamie, une pratique rétrograde fort appréciée par Mahomet et ses compagnons dans le désert de la péninsule Arabique, il y a quatorze siècles. D’autres prônent l’excision féminine pratiquée aussi à l’époque de Mahomet.

Alors que le peuple tunisien se bat pour le travail, l’emploi, la dignité et les libertés d’expression et individuelles, les islamistes proposent la bigamie voire la polygamie.

Un référendum sur la polygamie

An nom du mariage pour tous, ce dimanche, 10 mars 2013, Mohamed Ali Fakih, le président du parti (Al Rafah) nouvellement créé, à tendance islamiste, soutient pleinement l’appel à un référendum sur la polygamie. Selon lui la polygamie serait la meilleure solution pour réduire le taux de célibat en Tunisie qui est considéré comme un des problèmes sociaux les plus importants. Il prétend, en effet, que le nombre de femmes dans le pays surpasse le nombre d’hommes. Selon lui une femme sur cinq aujourd’hui n’a pas de partenaire potentiel car il n’y a simplement pas assez d’hommes (1).

Inquiétudes pour les droits et libertés des femmes

Ces déclarations qui n’auraient même pas été envisageables à l’époque de l’ancien Président déchu, Zine Abidine Ben Ali, nourrissent toutes les inquiétudes quant à la pérennité des droits et libertés des femmes dans le pays. L’appel à légaliser la pratique interdite de la polygamie suscite actuellement la controverse en Tunisie, en particulier chez les femmes instruites qui craignent d’y voir un coup porté à leurs acquis sociaux.

Sur fond d’une montée du courant islamiste, le débat s’est ouvert depuis la révolte du 14 janvier 2011 alors que le mariage coutumier est encouragé par la mouvance salafiste et se multiplie dans les universités et certains quartiers pauvres de Tunis. Les fondamentalistes s ‘appuient sur le Coran pour cette instauration de la polygamie (2).

La polygamie parmi les thèmes de la formation des médecins

La polygamie a déjà fait son apparition parmi les thèmes de la formation continue des médecins de la santé publique en Tunisie. Un document, suscitant l’indignation des médecins, a été distribué il y a quelque jours dans les centres de santé. Avec comme thème « la polygamie dans la pensée de l’homme et de la femme », le ministre de la Santé, appartenant au parti Ennahdha, cherche à donner plus d’ampleur à ce phénomène en le banalisant dans la société tunisienne. Le gouvernement islamiste veut impliquer la santé publique dans le délire de la polygamie, alors qu’il y a certainement d’autres priorités nationales.

La ministre Chargée de la femme tolère

Quant à Madame la ministre Chargée de la femme, Sihem Badi, qui est supposée veiller sur les droits des femmes, elle considère le mariage coutumier comme une « liberté personnelle » (3) omettant qu’une telle pratique est passible d’emprisonnement, selon les dispositions des articles 31 et 36 de l’état civil et de l’article 18 du code du statut personnel.

Plus grave encore, un des plus importants responsables du parti islamiste au pouvoir,  Ennahdha, vient de donner un avis favorable aux partisans de l’excision, mutilation génitale féminine (MGF). Habib Ellouz, député à l’Assemblée nationale constituante, a révélé dans les colonnes du quotidien arabophone « Al Maghreb », le 10 mars 2013, que l’excision des filles (khitân) est une pratique légitime d’ordre exclusivement esthétique.

S’appuyant sur les théories du prédicateur égyptien Wajdi Ghanim qui a débattu souvent de la question, le numéro deux d’Ennahdha a précisé que l’excision des filles s’apparente davantage à un traitement médical, notamment dans les régions chaudes du globe, et que cela n’est pas un moyen de réduction du plaisir sexuel chez les filles.

En effet, l’excision est actuellement défendue par Ennahda ( la première force politique du pays) alors que ce parti politique a longtemps été interdit en Tunisie par les deux anciens présidents progressistes Habib Bourguiba et Z.Ben Ali.

Le député d’Ennahdha a souligné, en marge de sa défense de l’excision, que les occidentaux ont accordé plus d’importance qu’il n’en faut à cette pratique alors qu’en réalité, il ne s’agit là que d’une « opération esthétique » qui consiste à enlever partiellement ou totalement le clitoris et, souvent, les petites lèvres.

L’excision féminine, qui n’est pas mentionnée dans le Coran, est recommandée par la Sunna, l’enseignement du Prophète. Elle était pratiquée en Arabie à l’époque de Mahomet. Des Hadiths (des communications orales du Prophète) la recommandent :

« Si les deux khitân (parties circoncises) entrent en contact, le bain rituel s’impose. »

On entend par le contact des deux khitân le contact entre l’emplacement de la circoncision chez l’homme et l’emplacement de l’excision chez la femme pendant le coït. Cela suppose que la femme soit circoncise comme l’homme. Le Hadith est rapporté d’après Aicha, la troisième épouse du Prophète.

Un autre Hadith du Prophète suppose que : « La circoncision est une tradition louable (sunnah) pour les hommes et un honneur (makrumah) pour les femmes. »

L’expression « un honneur (makrumah) pour les femmes » signifierait que l’excision fait partie des « us et coutumes à apprécier » concernant les femmes musulmanes.

Dans un Hadith similaire du Prophète, ce dernier a dit à l’exciseuse : « Effleure et n’abuse pas, car cela rend le visage plus rayonnant et est plus agréable pour le mari. » Ce Hadith fut rapporté selon différentes variantes très proches quant à leur sens.

Les mères participent activement aux mutilations de leurs filles

Dans de nombreux cas, on observe que les mères participent activement aux mutilations de leurs filles dans le but d’améliorer leurs chances de faire un « bon » mariage. L’objectif est la préservation de la virginité (considérée comme un idéal féminin au mariage), mais aussi l’interdiction de l’accès à l’orgasme des femmes (considéré comme malsain par les partisans de l’excision).

Les savants musulmans (oulémas) considèrent aussi que l’excision des femmes participe à l’amélioration du plaisir sexuel masculin (par le rétrécissement du vagin ou de l’orifice vaginal) ; les savants musulmans sont unanimes sur un point : le mari ne doit pas être privé de plaisir avec sa partenaire car il bénéficie d’un droit qui lui était déjà reconnu par les sources musulmanes, celui de la satisfaction sur le plan intime. D’ailleurs le droit musulman reconnaît comme cause légitimant la répudiation le cas où la femme ne satisfait pas son mari.

 

Alors que les mutilations génitales touchent des millions de femmes musulmanes malgré les mises en garde de l’Organisation Mondiale de la Santé (4), aucune loi n’existe en Tunisie pour réprimer les pratiques des mutilations génitales féminines. Le gouvernement islamiste tunisien continue à ignorer une résolution récente de l’ONU dénonçant ces pratiques sur les femmes (5).

Les députés islamistes d’Ennahda profitent du vide juridique pour tenter d’introduire l’excision des femmes en Tunisie, surtout que, défenseur de cette pratique, Habib Ellouz, est un des faucons d’Ennahdha et l’une des personnes les plus puissantes du parti. Ce dernier est aussi l’un des plus fervents partisans de l’introduction de la Sharia en tant que source de la législation (6). Il avait appelé il y a quelques mois à la décapitation publique de tous les adversaires déclarés de son mouvement.

Deux ans après la révolte, les acquis et les droits de la femme en Tunisie sont en totale régression. Les débats sont axés sur des questions supposées relever de temps révolus tels que la polygamie, les mariages coutumiers et l’excision. La femme tunisienne est menacée par un modèle sociétal d’influence rétrograde. Les islamistes d’Ennahdha ont l’intention de mettre fin à l’application des lois progressistes promulguées par l’ancien président Habib Bourguiba pour préserver et garantir les droits de la femme par rapport au reste des pays arabes.

L’avocate Radhia Nasraoui, présidente de l’Organisation tunisienne de lutte contre la torture, a qualifié la situation de la femme tunisienne de «médiocre» en raison, a-t-elle dit, de la propagation du phénomène de la polygamie et des mariages coutumiers illégaux («ôrfi») dont le nombre s’élève, selon les estimations, à des centaines surtout chez les jeunes. Maître Nasraoui a ajouté que la coalition majoritaire au sein de l’Assemblée nationale constituante (Anc) cherche à vider le Code du statut personnel, promulgué en 1956, de son contenu.

Les islamistes au gouvernement cherchent à adopter, comme en Algérie en 1984, un code de la famille inspiré de la Sharia islamique :

Brièvement, ce code exige de l’épouse d’obéir à son mari et à ses beaux-parents, permet la répudiation, la polygamie, destitue la femme de son autorité parentale, permet à l’époux de corriger sa femme, et en matière d’héritage comme de témoignage, l’inégalité est érigée en système, puisque la voix de deux femmes équivaut à celle d’un homme, tout comme les parts d’héritage.

En Algérie, la réponse après dix ans a été sans équivoque. En 1994 le Front islamique du salut (FIS) a mis à genoux l’Algérie par le feu et par le sang en assassinant des milliers d’Algériens. Les femmes algériennes, kidnappées, violées ou assassinées par les terroristes furent les premières victimes des islamistes pendant la décennie noire. Depuis, beaucoup d’Algériens et Algériennes ont une aversion profonde envers les mouvements islamistes (7).

Les élites laïques tunisiennes craignent que le gouvernement d’Ennahdha entraîne le pays dans un scénario similaire à celui vécu en Algérie. Pour eux les islamistes aux commandes du pays sont incapables de répondre aux attentes des populations. Ces derniers ont au contraire créé une atmosphère étouffante pour les femmes. Aujourd’hui, partout où les mouvement islamistes gouvernent, au lieu d’élargir l’émancipation des femmes, ils se montrent hostiles au progrès des femmes.

Le Président israélien Shimon Pérès avait raison en déclarant, le 4 septembre 2011, dans un entretien à la Repubblica, que les principaux opposants à la démocratie dans le monde arabe sont « les maris » qui refusent d’accorder des droits aux femmes.

La femme n’est qu’un utérus pour fabriquer de petits soldats

Si les enseignements de l’Islam encouragent la polygamie et l’excision des femmes c’est parce qu’en Islam, la notion de dignité de la personne et de destinée individuelle n’ont aucune valeur et ne sont pas reconnues. Seule compte la notion de « Oumma », la communauté des croyants, et son expansion à travers le monde. Dans cette idéologie, l’individu n’est qu’un outil pour l’accomplissement du djihad, et par conséquent la femme n’est qu’un utérus pour fabriquer de petits soldats. Les valeurs occidentales de respect de la personne et de dignité individuelle, que nous connaissons, n’y ont aucun cours.

D’ailleurs l’oppression des femmes musulmanes résulte de diverses règles :

  • le voile, qui doit être grand et cacher efficacement les formes féminines
  • l’ordre de rester chez elle
  • le droit accordé aux hommes de les frapper (8)
  • les règles d’héritage défavorables
  • le droit de témoignage restreint
  • les menstruations, considérées comme un mal
  • le droit accordé aux chefs musulmans de posséder sexuellement autant de femmes esclaves qu’il pourront.

La polygamie ou l’excision, qui sont encouragées en Islam, ne sont en fait qu’une humiliation de plus qu’aucune femme ne devrait subir.

 © Souhail Ftouh pour www.Dreuz.info

  1. Le ratio homme/femme peut empirer en Tunisie depuis que le gouvernement d’Ennahdha a engagé l’enrôlement de milliers de jeunes en Syrie, pour combattre, aux côtés des terroristes. Prés de 40% des terroristes en action en Syrie sont des Tunisiens.
  1. « Si vous craignez d’être injustes pour les orphelins, épousez des femmes qui vous plaisent. Ayez-en deux, trois ou quatre, mais si vous craignez d’être injustes, une seule ou bien des esclaves de peur d’être injustes. » (sourate 4 verset 3) .
  1. Déclaration au journal « Ashourouq » le 01/02/2012
  1. « Les mutilations sexuelles féminines recouvrent toutes les interventions incluant l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou autre lésion des organes génitaux féminins pratiquées pour des raisons non médicales. Elles ne présentent aucun avantage pour la santé et sont préjudiciables à bien des égards aux jeunes filles et aux femmes. En comportant l’ablation de tissus génitaux normaux et sains ou en endommageant ces tissus, elles entravent le fonctionnement naturel de l’organisme féminin. Cette pratique entraîne des douleurs violentes et a des conséquences immédiates et durables sur la santé, notamment des difficultés lors de l’accouchement qui mettent l’enfant en danger ».Voir le site de l’ OMS: http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs241/fr/index.html
  1. L’Assemblée générale de l’ONU a adopté le 26 novembre 2012 la première résolution dénonçant les mutilations génitales féminines qui affectent quelque 140 millions de femmes dans le monde. A l’occasion de la Journée internationale de la Femme célébrée le 8 mars de chaque année, de nombreuses activités de sensibilisation ont été organisées en Belgique, notamment avec l’exposition : « Excision. Ma façon de dire non » qui rend hommage à travers trente-deux portraits, à tous celles qui osent dire « non » à l’excision. Cette exposition itinérante a pour but de sensibiliser les politiques, les professionnels de la santé et de l’éducation, ainsi que tous les citoyens, d’Europe ou d’Afrique aux modes de résistance contre les mutilations.
  1. L’autre portrait d’un « Faucon » d’Ennahdha : Habib Ellouze

http://directinfo.webmanagercenter.com/2013/03/03/lautre-portrait-dun-faucon-dennahdha-habib-ellouze/

  1. Ce jeudi 7 mars 2013, un rassemblement sur la place de la Grande-Poste, à Alger, a eu lieu à la mémoire des femmes victimes du terrorisme. Les manifestants ont répondu à l’appel lancé par l’association des victimes du terrorisme Djazaïrouna et l’Observatoire des violences faites aux femmes (Ovif). Ils ont brandi une longue pancarte sur laquelle figurent les noms de Fatima Aalim, Rima Assal, Djamila Belkaïs, Salima Bessi, Zohra Koumidi et de centaines d’autres femmes victimes du terrorisme.
  1. L’Islam permet à un homme de battre sa femme, et partout sur Internet on trouve des vidéos de savants islamiques qui nous expliquent comment le faire. Ce sont les mêmes « savants » qui lisent le Coran et les textes islamiques qui l’encouragent.

 

 

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Journée internationale de la femme en Israël : Benny Gantz aux soldates de Tsahal “j’ai confiance en vous”

Le Bataillon Karakal est le seul bataillon de Tsahal qui offre l’opportunité aux filles qui le souhaitent de devenir soldates d’infanterie. En pratique, l’unité est composée majoritairement de filles mais compte également des garçons dans ses rangs.
 

À l’occasion de la journée internationale de la femme, le 8 mars, Tsahal célèbre les soldates de l’armée israélienne. Alors que dans la bande de Gaza les femmes ne sont pas libres de courir un marathon, coté Tsahal, 34 % des soldats sont des femmes, un taux des plus élevés parmi les armées du monde.

Notre réalité compte de nombreux défis” a déclaré lundi soir le lieutenant général Benny Gantz devant une assemblée de Tsahal en l’honneur de la journée internationale de la femme.

“Cette réalité nous oblige, Tsahal et l’État d’Israël, à employer tous les moyens dont nous disposons pour la défense du pays. Naturellement, cela inclut le service de femmes dans l’armée israélienne dans tous les domaines et à tous les niveaux.”

Le chef d’état-major s’est également adressé à des jeunes femmes sur le point de s’engager dans l’armée, les encourageant à avoir confiance en elles et à avoir de grandes ambitions. “Il y a de nombreuses opportunités pour les femmes d’acquérir un savoir pratique, de servir et d’influencer l’armée. Notre organisation tout entière va en bénéficier. J’ai confiance en vous autant que dans tout autre soldat de Tsahal.”

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L’armée israélienne célèbre la journée internationale de la femme chaque année lors d’un congrès où les hauts dirigeants de l’armée discutent des questions relatives aux femmes. Le thème de cette annéeparticulièrement orienté vers l’art, concerne le service des femmes dans des rôles créatifs.. Au vu des coupes budgétaires de Tsahal, l’événement était modeste.

Selon les statistiques de l’armée, 34 % des soldats sont des femmes, un taux des plus élevés parmi les armées du monde. Bien que les combattantes soient moins nombreuses que les combattants, 57 % des officiers du service régulier sont de femmes.

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Seulement 6 % des positions sont réservées aux hommes


Nous assistons à une augmentation significative du nombre de femmes officiers et des femmes qui veulent faire carrière dans l’armée mais il nous reste beaucoup de travail afin d’atteindre notre potentiel”, a déclaré la conseillère du chef d’état-major sur les questions des femmes, la général Rachel Tevet-Wiesel. Alors que 90 % des rôles sont ouverts aux femmes, elles occupent seulement une petite fraction des rôles high-tech de l’armée.

Depuis sa création, les femmes ont servi dans les rangs de Tsahal. Avant l’indépendance du pays, les femmes ont joué un rôle déterminant dans les organisations para-militaires. Au cours des dernières années, Tsahal a pris des mesures pour établir l’égalité complète des sexes au sein de l’armée. En 2000, le corps des femmes a été dissous pour permettre aux femmes de servir dans toutes les unités de l’armée.

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Récemment, de nouvelles positions ont été ouvertes aux femmes : le bataillon Caracal qui garde la frontière sud du pays ou la compagnie de reconnaissance Nachsol qui est la première compagnie composée uniquement de femmes soldates.

Les chiffres de la branche des ressources humaines montrent que ces mesures portent leurs fruits en terme d’égalité des sexes. Aujourd’hui, seulement six pour cent des positions de l’armée sont réservées aux hommes. Et contrairement aux clichés, le nombre de femmes secrétaires à l’armée a diminué de 21.4% à 13.4% entre 2001 et 2012.

Photo : A l'occasion de la Journée internationale de la Femme, Tsahal dédie cette journée à ses soldates. http://ow.ly/iyBQu

source : Armée de défense d’Israël

 

 

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