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Rien à attendre d’Obama en Israël

 

Classé dans: Israël,Présidence Obama |

 

Obama-Palestinians-Suffering
Barack Obama se rend donc en Israël cette semaine. Je ne pourrait commenter son voyage de très près parce que je dois, moi, me rendre aux Etats-Unis pour huit jours, et j’aurai beaucoup à faire. J’ai, dans le dernier numéro d’Israël Magazine, expliqué ce qu’étaient les objets du voyage de Barack Obama. Je renvoie à l’article d’Israël Magazine pour les détails.

Ce que je dirai ici est assez simple : il n’y a rien à attendre de la visite d’Obama en Israël. Strictement rien.

L’objectif primordial d’Obama sera de pousser aussi fortement que possible le gouvernement israélien à ne rien faire qui pourrait déstabiliser la politique d’apaisement suivie par toute l’administration Obama vis-à-vis de l’Iran. Et comme les pressions sur le gouvernement israélien ne suffiront pas, il y ajoutera sans doute des paroles rassurantes et aux apparences fermes destinées à rassurer la population israélienne, qui les accueillera avec le scepticisme requis.

Un autre de ses objectifs sera de suggérer que le processus de paix doit être relancé aux fins que voie le jour la « solution à deux Etats ». Le gouvernement israélien dira qu’il est favorable à la solution à deux Etats et au processus de paix, bien sûr, mais rien ne bougera. Car Mahmoud Abbas et son entourage ne feront aucun pas en direction d’une reconnaissance d’Israël en tant qu’Etat du peuple juif et ne changeront rien à leurs positions : cela, le gouvernement israélien en son ensemble le sait, à la navrante exception de Tzipi Livni. Le peuple israélien sait lui aussi très majoritairement ce que sait le gouvernement israélien.

Un troisième objectif sera pour Obama de proclamer son amitié pour Israël et le peuple israélien. Les dirigeants israéliens devront faire semblant de le croire. Le peuple israélien sera sans doute poli, mais, pour l’essentiel, pas dupe. Dirigeants israéliens et peuple israélien regarderont autour d’eux, et ils verront la réalité : les Frères musulmans au pouvoir en Egypte, en Tunisie, en Libye et au cœur de la guerre civile en Syrie, et les Frères musulmans aux portes du pouvoir en Jordanie. L’Iran plus proche que jamais de l’arme atomique et la Turquie toujours plus profondément embarquée dans sa dérive islamiste.

Ils ne pourront pas ignorer le rôle qu’a eu Obama dans le modelage de cette réalité, modelage qui ne crée pas une situation très saine pour Israël, c’est le moins qu’on puisse dire. Et ils continueront à penser que non, Obama n’est pas un ami d’Israël et du peuple israélien.

Ils regarderont les sondages réalisés aux Etats-Unis et ils verront que le soutien du peuple américain à Israël est plus fort que jamais, malgré Obama.

Ils se diront qu’il ne faut pas froisser Obama aujourd’hui, mais plutôt attendre qu’il s’en aille, et, pendant le temps qui reste à attendre, prendre patience et tenter de limiter les dégâts.

Obama passera. Israël restera.

L’avenir d’Israël est prometteur et fécond.

Les Etats-Unis ont les moyens de se redresser après Obama, et si par malheur ils ne se redressaient pas, il restera la planète, et Israël joue un rôle essentiel dans la globalisation présente.

Israël jouera un rôle plus essentiel encore dans la globalisation dans les années à venir, c’est ce qui compte.

Le monde musulman s’enfonce dans les convulsions et l’effondrement : c’est triste pour ses habitants, mais cela le rendra, à terme, moins dangereux. C’est ce qui compte aussi.

Obama va rentrer dans la phase où il sera un lame duck, un canard boiteux, un Président qui pourrait bien embarrasser les Démocrates, au train où vont les choses, dès l’élection de 2014. C’est ce qui compte encore.

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Du côté républicain, deux candidats à la candidature pour 2016 semblent se dégager : Marco Rubio, issu des tea parties, et Rand Paul, qui, en se rendant en Israël, entre autres, a tout fait pour montrer qu’il était plus rationnel et plus éthique que son père. Il est encore trop tôt pour en dire davantage, mais le camp républicain est porteur d’un sang neuf qui reste assez invisible dans le camp adverse.

Le nouveau gouvernement israélien est un gouvernement où Binyamin Netanyahou est affaibli, et flanqué de deux dirigeants qui sont des quasi vice Premiers ministres, Naftali Bennett et Yair Lapid.

Si je voulais voir le verre à moitié vide, je dirais que le camp conservateur semble affaibli, ce qui n’est pas nécessairement positif pour la Judée Samarie.

Si je veux voir le verre à moitié plein, je dirai qu’une possibilité de voir se régler le contentieux existant avec les ultra orthodoxes est à même de se dessiner, que les orientations économiques en direction de la libre entreprise sont à même d’être renforcées, que le sort des classes moyennes est à même de s’améliorer et que les courants de la gauche aveugle sont marginalisés.

Je préfère voir le verre à moitié plein quand je regarde Israël, et je reviendrai bientôt sur le sujet.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info

 

L’Iran soudoie des universtaires américains

 

pot de vin

Effrayant !

Les universitaires ne sont pas incorruptibles. Des régimes totalitaires, dictatoriaux, autocratiques ou théocratiques  achètent une attitude indulgente ou favorable des élites universitaires du Monde Libre – la vénalité n’a pas de frontières – la même chose se produit en France, Allemagne, Grande Bretagne etc.. 
 
Ici , il s’agit de l’Iran aux USA et du Canada.

 

Suite à l’audition de Chuck Hagel, pour le poste de secretaire d’Etat à la defense,  par le Senat des USA , Stephen Schwartz rappelle que la Republique Islamique d’Iran finance un lobby pro-iranien dans les universités Nord-Américaines. L’université Harvard a réçu en 9 ans 345 000$ de la fondation Alavi…
Alavi est sous le coup d’une enquête féderale pour avoir  caché ses liens avec la banque publique iranienne Melli. Hagel a participé à une confèrence financée parAlavi en 2007.

Cette enquête montre que la Fondation Alavi basée à New York et accusée par les enquêteurs américains de servir d’association écran pour des services financiers à l’Iran, a fait des dons s’élevant à un total de 3.1 millions de dollars aux universités ou  écoles d’Amérique du nord entre 2000 et 2008.

 

Ci-desous une liste des instituts d’enseignement supérieur américains qui ont reçu des fonds de cette fondation soupçonnée d’avoir tenté d’acheter ainsi des soutiens académiques à la république islamique d’Iran dans les milieux universitaires, bien que le but déclaré soit la promotion des études d’iranologie ou des programmes éducatifs sur l’Islam, plus particulièrement sur l’Islam chiite.

En novembre, les autorités américaines avaient procédé à la saisie des biens de la fondation, dont un immeuble de 36 étages sur la 5ème avenue à Manhattan et quatre mosquées, mettant pratiquement fin à ses activités.

Appelée à l’origine Fondation Pahlavi et créée par le dernier chah d’Iran dans les années 1970, elle a été confisquée par la République islamique d’Iran en 1979. Le gouvernement américain l’accuse d’avoir acheminé de l’argent à la Bank Melli Iran, soupçonnée à son tour d’être impliquée dans le financement des programmes nucléaires et balistiques du pays. Accusé d’obstruction à la justice pour avoir fait disparaître des documents réclamés par le tribunal, le président de la fondation, Farchid Djahedi, 55 ans, a été arrêté fin 2008. Il a été condamné à trois mois de prison après avoir plaidé coupable concernant deux chefs d’accusation.

Cette enquête révèle également que les activités de la fondation étaient, en réalité, dirigées par Djavad Zarif, ancien ambassadeur d’Iran auprès des Nations Unies.

D’après les documents du dossier de la Fondation Alavi auprès de l’Internal Revenue Service (service fiscal américain), celle-ci a fourni des fonds substantiels à de nombreuses institutions d’enseignement supérieur, dont les Universités Columbia et Harvard.

Des experts estiment qu’une telle largesse était destinée à encourager des universitaires à rédiger des articles ou discours contre un durcissement de la politique dure à l’égard de l’Iran et en faveur d’une attitude de conciliation et de dialogue.

Nous publions ci-dessous une liste des instituts d’enseignement supérieur qui ont reçu des fonds de la Fondation Alavi entre 2000 et 2008. Les montants sont en dollars USA :

Iran Focus a publié en 2010 ces chiffres basés sur les déclarations obligatoires auprés des impôts américains (IRS) :

Total des sommes versées sur 9 ans  (200 / 2008) : 3.110.000 $ selon les documents déposés auprès de l’IRS.
2008 :
Université Columbia : 50.000
Harvard Seminary : 17.500
Université Harvard : 41.000
Université Kutztown : 4000
Université McGill : 40.000
Fondation de l’Université d’Etat de Portland : 16.750
L’Université du Sacré C’ur : 5000
Université de l’Etat à San Diego : 40.000
Université d’Alberta : 5000
Université de Michigan : 16.000

2007 :Université Carleton : 10.000
Catholic University of America : 45.000
Université Columbia: 100.000
Faculté de Droit de Harvard: 17.,000
Université Harvard : 41.000
Hunter College : 6.000
Université Kutztown : 5.000
Lake Forest College : 20.000
Université McGill : 80.000
Fondation de l’Université d’Etat de Portland : 32.500
Université Rutgers : 72.500
Sacred Heart University : 39.000
Université d’Etat à San Diego : 48.000
Le City College de New York : 1000
Université de Californie, Berkely : 30.000
Université de Californie, Los Angeles : 10.000
Université de Maryland : 50.000
2006 :
Université Binghamton : 7500
Catholic University of America : 60.000
City of Knowledge (Islamic Schools) [Cité des Savoirs (écoles islamiques)]: 50,000
City University of New York (Université de la Ville de New York): 1,000
Université Columbia : 20.000
Université Harvard :  36.000
Hunter College : 6000
Université Kuntztown :3000
Université de New York: 350
Université d’Etat de Portland : 20.000
Université Rutgers : 40.500
Sacred Heart University : 60.000
Université d’Etat d’Ohio : 3.000
Université de Michigan : 16.000
Université de Pennsylvanie : 5.000
University of Southern California (Université de la Californie du sud) : 3.000
2005 :
Université Binghamton : 5.000
Université d’Etat de Californie, Los Angeles : 2.000
Catholic University of America : 75.000
City of Knowledge (Cité des Savoirs) : 30.000
Université Harvard: 36.000
Hunter College: 6.000
Université McGill: 30.000
Fondation de l’Université d’Etat de Portland : 47.500
Fondation Rutgers : 75.000
Université Rutgers : 163.600
Sacred Heart University : 10.000
Université de Pennsylvanie : 40.000
University of Southern California : 10.000
2004:
Catholic University of America: 75.000
City of Knowledge: 20.000
Université Columbia: 50.000
Université d’Etat de Géorgie: 13.000
Université Harvard : 41.000
Hunter College : 14.000
Université d’Etat de Portland : 18.000
Université Rutgers : 137.500
Sacred Heart University : 3000
Université d’Etat à San Diego: 3000
Université d’Alberta : 5000
Université de Californie, Berkeley : 30.000
Université de Californie, Los Angeles : 10.000
2003 :
Bard College : 3.000
Université d’Etat de Californie, Fullerton : 3000
Catholic University of America : 45.000
City of Knowledge : 48.750
Université d’Etat de Géorgie: 16.000
Université Harvard: 30.000
Hunter College : 2500
Université Rutgers : 81.000
L’Université d’Arizona : 22.000
Université d’Akron : 3000
Université de Californie, Berkeley : 13.000
Université de Pennsylvanie : 25.000
Université d’Utah : 5.000
Université de Virginie : 25.000
Université de Wisconsin : 6.000
2002 :
Brigham Young University : 3.000
Catholic University of America : 75.000
City of Knowledge: 29.250
Drew University: 3.000
Université Harvard: 54.000
Hunter College: 5.000
Université McGill: 12.000
Université Rutgers: 75.000
Université d’Arizona: 15.000
Université de Michigan : 32.000
Université d’Utah : 3.000
Université de Virginie : 6.000
Université de Wisconsin, Madison : 19.500
2001 :
Université Binghamton : 3.000
City of Knowledge : 20.000
Université Harvard: 23.500
Hunter College: 5.000
Université Rutgers: 30.000
L’Université d’Arizona: 35.000
Université de Texas : 10.000
Université d’Utah : 5000
Université de Virginie : 15.000
Université McGill : 24.000
Université d’Alberta : 5000
2000 :
Université Columbia : 32.000
Université Harvard : 23.500
Université d’Etat d’Ohio : 20.000
Université d’Arizona : 51.800
Université d’Utah : 3000
Université de Virginie : 21.000

 



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2013/03/liran-soudoie-des-universtaires-americains/#ixzz2NuTnMsgg

 

Israël /Arabie : leur priorité – l’Iran alors Obama le perfide offre 1 an aux Mollah

.

Obama's doctrine : continuer à poignarder nos alliés

Obama sait que la priorité d’Israël ainsi que de l’Arabie Saoudite est de résoudre au plus vite la menace nucléaire iranienne, alors Obama exempte 11 pays de sanctions sur le pétrole iranien, enlève un porte-avion du Golfe et offre sur un plateau 1 an de temps aux Mollah pour peaufiner leurs bombinettes.

 

Netanyahou n’a eu de cesse d’expliquer qu’un Iran nucléaire serait une catastrophe pour le Moyen-Orient et pour le monde, et de plus une menace existentielle pour l’Etat hébreu au vu des déclarations génocidaires des fous de Téhéran contre Israël. Obama lui n’a eu de cesse de mettre en garde l’Etat hébreu de vouloir se prémunir contre cette menace bien réelle, et de supllier les Mollah de négocier.

Les Iraniens n’ont cessé depuis des années de rouler tout le monde dans la farine, et depuis quelques mois ils ont eu la chance d’avoir une alliée de poids en la personne de Catherine Ashton qui ne comprend rien à rien sauf à monter au créneau de façon virulente lorsque les Juifs construisent dans leur capitale où sur leurs terres ancestrales.

Obama, coutumier des coups lâches et des couteaux dans le dos annonce une semaine avant sa visite en Israël, que l’Iran disposerai encore d’une bonne année avant que celui-ci n’assemble une bombe nucléaire, alors que l’AIEA tire la sonnette d’alarme et que tous les services de renseignements font de même. Aschkel

« Nous pensons que cela prendra un peu plus d’un an ou à peu près avant que l’Iran ne développe une arme nucléaire, mais évidemment nous ne voulons pas attendre le dernier moment », a affirmé M. Obama à la deuxième chaîne de télévision privée israélienne.

« Quand je dis que toutes les options sont sur la table, toutes les options sont sur la table et les Etats-Unis ont bien sûr des capacités significatives ».

« Notre objectif est de s’assurer que l’Iran ne possède pas une arme nucléaire susceptible de menacer Israël ou de déclencher une course aux armements dans la région qui serait extraordinairement dangereuse au moment où il y a déjà beaucoup de choses qui s’y passent ».source

Si Obama arrive sans cadeau empoisonné, cette fois-ci comme il en a l’habitude pourtant, c’est-à-dire avec un plan de paix aux pressions multiples pour Israël et des faveurs pour les entités terroristes de Ramallah et Gaza. Il n’aura pas hésité avant son départ à couper l’herbe sous le pied à Israël qui n’a que pour but de tenter d’éviter le chaos dans la région du fait d’un Iran nucléarisé. Un Iran nucléarisé qui pourrait menacer à sa guise ses voisins et exercer des chantages au pétrole inimaginables sur le reste de la planète.

D’ailleurs les Saoudiens et autres pays du Golfe ne si trompent pas.

Comme le dit Dore Gold

Toute concession rapproche l’Iran de la bombe atomique 

 

Les informations médiatiques sur les dernières négociations des pays occidentaux (« P5+1 ») avec l’Iran, tenues récemment au Kazakhstan, ont été positives de manière surprenante. Le Washington Post du 27 février dernier en soulignait le ton positif tandis que Saad Jalili, le représentant iranien, déclarait aux correspondants étrangers que les deux parties étaient arrivées à « un tournant » dans les négociations. Cet optimisme béat est-il vraiment justifié ?

Jalili défend bien entendu les intérêts iraniens, mais il a expliqué que les Etats-Unis font actuellement de nouvelles concessions qui les rapprochent de Téhéran. Selon le Wall Street journal, le comportement iranien autour de la table des négociations a été influencé par la décision de Washington de réduire à un seul le nombre de porte-avions américains dans le Golfe persique, ce qui affaiblit le pouvoir de l’Occident à négocier.

Le Washington Post a également adopté une ligne critique à l’égard de l’administration Obama. Dans son éditorial publié le 28 janvier, il se pose la question en ces termes : « les Etats-Unis s’agenouillent-ils devant l’Iran ? » Le journal rappelle qu’au cours des précédentes négociations, tenues à Bagdad en mai 2012, le forum des Etats « P5+1 » a exigé de l’Iran de fermer définitivement l’installation souterraine de Fordue, spécialisée dans l’enrichissement de l’uranium. Les puissances occidentales avaient aussi insisté sur le fait que l’Iran retire toutes ses réserves d’uranium enrichi à 20% pour les acheminer hors du pays. Cependant, lors des négociations au Kazakhstan, les pays occidentaux se sont contentés de suspendre l’activité de l’installation à Fordue sans exiger sa fermeture. Selon certaines informations, l’Iran pourra également garder une partie de l’uranium enrichi à 20%.

Il semble que les Iraniens cherchent à atténuer les positions des pays principalement européens afin de pouvoir exercer des pressions sur Washington pour qu’elle fasse des concessions supplémentaires. La chargée des Affaires étrangères de l’Union européenne, Catherine Ashton, utilise d’ailleurs un langage différent de celui du Secrétaire d’Etat américain John Kerry, qui déclarait que « le temps presse pour une solution diplomatique ».

Au cours d’une Conférence pour les Affaires sécuritaires tenue à Munich au début du mois dernier, Ashton a refusé d’adopter une position claire et ferme à ce sujet. Il semble qu’elle reflète une vision européenne commune, selon laquelle les négociations avec l’Iran doivent se poursuivre à tout prix, même si elles ne pourront conduire à des résultats concrets.

La position israélienne sur ce sujet est bien connue mais celle de l’Arabie Saoudite est aussi intéressante et claire. Lors d’une conférence de presse commune tenue le 4 mars dernier à Riyad avec John Kerry, le prince Saoud al-Faysal, ministre des Affaires étrangères d’Arabie saoudite, a déclaré que les pourparlers avec l’Iran ne peuvent pas durer éternellement, et a-t-il ajouté : « les négociations doivent s’achever à un certain moment ».

Il a souligné que les Iraniens manquent de sérieux dans leurs discussions avec l’Occident et précisé : « ils poursuivent leurs négociations uniquement pour les maintenir. Nous nous trouverons un jour face à des armes nucléaires, et donc nous ne pouvons permettre que cela se produise. »

La vision réaliste des Saoudiens est liée sans doute à leur position stratégique : l’Arabie Saoudite est entourée de satellites chiites bénéficiant d’un soutien direct de Téhéran.

Rappelons certains faits : au Yémen, un troisième navire transportant des missiles et des katiouchas en provenance d’Iran destinés au rebelles chiites a été arraisonné et la cargaison confisquée. En Irak, le Premier ministre Nourri al-Maliki est considéré par l’Arabie Saoudite comme un agent des Ayatollahs. Et au Bahreïn, les forces de sécurité viennent d’accuser les Gardiens de la Révolution de la planification d’attaques terroristes dans le pays, situé à 25 kms seulement de la province orientale de l’Arabie Saoudite.

Dans ce contexte, et face aux tentatives des Ayatollahs de semer la terreur au sein même de l’Arabie Saoudite, il n’est pas surprenant que les Saoudiens parlent en connaissance de cause. Ils connaissent parfaitement la ruse iranienne et la technique de négociation qui permet de gagner du temps et de progresser ainsi vers l’arme atomique.

De nombreux experts estiment à ce sujet que Téhéran adopterait la même stratégie que la Corée du Nord puisque elle rejette la supervision de l’Agence internationale d’énergie atomique (AIEA) et agit en conséquence pour pouvoir achever rapidement l’enrichissement de l’uranium à un niveau militaire.

C’est justement pour ces raisons que le Premier ministre Benyamin Netanyahou a défini une ligne rouge en ce qui concerne l’uranium enrichi à 20%, quantité qui permet la fabrication d’une bombe (d’environ 225 kgs).

L’Iran poursuit donc son projet dans le cadre d’une nouvelle stratégie qui permet l’installation d’un nombre considérable, et sans précédent, de centrifugeuses dans l’usine de Natanz. Certaines sont sophistiquées pour accélérer la production d’uranium enrichi et produire plusieurs bombes.

Téhéran a donc réussi à ce jour à obtenir des Européens des concessions supplémentaires face à la fermeté américaine et israélienne.

Il est clair qu’en observant les manigances de l’Iran dans notre région, toute concession de la part de l’Occident encouragera le comportement agressif de l’Iran.

Dore Gold

 

Cet Olibrius nous arrive en pleins préparatifs de la fête de Pessah, ce qui va nous coûté des millions de shekels, un bazar terrible,  espérons qu’il fera sa « sortie d’Egypte », en référence à son discours du Caire, qu’il prendra sous le ciel d’Israël et celui de Jérusalem la capitale indivisible et éternelle du Peuple Juif un peu de plomb dans la tête. Et si par miracle c’est le cas, alors nous pourront lui dire « l’an prochain à Jérusalem », à moins que les Mollah n’aient leur bombe avant grâce à lui.

Par Aschkel – redaction http://www.israel-flash.com/#axzz2Np0vLRvN



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2013/03/israel-arabie-leur-priorite-liran-alors-obama-le-perfide-offre-1-an-aux-mollah/#ixzz2NuSngHMh

 

Israël /Arabie : leur priorité – l’Iran alors Obama le perfide offre 1 an aux Mollah

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Obama's doctrine : continuer à poignarder nos alliés

Obama sait que la priorité d’Israël ainsi que de l’Arabie Saoudite est de résoudre au plus vite la menace nucléaire iranienne, alors Obama exempte 11 pays de sanctions sur le pétrole iranien, enlève un porte-avion du Golfe et offre sur un plateau 1 an de temps aux Mollah pour peaufiner leurs bombinettes.

 

Netanyahou n’a eu de cesse d’expliquer qu’un Iran nucléaire serait une catastrophe pour le Moyen-Orient et pour le monde, et de plus une menace existentielle pour l’Etat hébreu au vu des déclarations génocidaires des fous de Téhéran contre Israël. Obama lui n’a eu de cesse de mettre en garde l’Etat hébreu de vouloir se prémunir contre cette menace bien réelle, et de supllier les Mollah de négocier.

Les Iraniens n’ont cessé depuis des années de rouler tout le monde dans la farine, et depuis quelques mois ils ont eu la chance d’avoir une alliée de poids en la personne de Catherine Ashton qui ne comprend rien à rien sauf à monter au créneau de façon virulente lorsque les Juifs construisent dans leur capitale où sur leurs terres ancestrales.

Obama, coutumier des coups lâches et des couteaux dans le dos annonce une semaine avant sa visite en Israël, que l’Iran disposerai encore d’une bonne année avant que celui-ci n’assemble une bombe nucléaire, alors que l’AIEA tire la sonnette d’alarme et que tous les services de renseignements font de même. Aschkel

« Nous pensons que cela prendra un peu plus d’un an ou à peu près avant que l’Iran ne développe une arme nucléaire, mais évidemment nous ne voulons pas attendre le dernier moment », a affirmé M. Obama à la deuxième chaîne de télévision privée israélienne.

« Quand je dis que toutes les options sont sur la table, toutes les options sont sur la table et les Etats-Unis ont bien sûr des capacités significatives ».

« Notre objectif est de s’assurer que l’Iran ne possède pas une arme nucléaire susceptible de menacer Israël ou de déclencher une course aux armements dans la région qui serait extraordinairement dangereuse au moment où il y a déjà beaucoup de choses qui s’y passent ».source

Si Obama arrive sans cadeau empoisonné, cette fois-ci comme il en a l’habitude pourtant, c’est-à-dire avec un plan de paix aux pressions multiples pour Israël et des faveurs pour les entités terroristes de Ramallah et Gaza. Il n’aura pas hésité avant son départ à couper l’herbe sous le pied à Israël qui n’a que pour but de tenter d’éviter le chaos dans la région du fait d’un Iran nucléarisé. Un Iran nucléarisé qui pourrait menacer à sa guise ses voisins et exercer des chantages au pétrole inimaginables sur le reste de la planète.

D’ailleurs les Saoudiens et autres pays du Golfe ne si trompent pas.

Comme le dit Dore Gold

Toute concession rapproche l’Iran de la bombe atomique 

 

Les informations médiatiques sur les dernières négociations des pays occidentaux (« P5+1 ») avec l’Iran, tenues récemment au Kazakhstan, ont été positives de manière surprenante. Le Washington Post du 27 février dernier en soulignait le ton positif tandis que Saad Jalili, le représentant iranien, déclarait aux correspondants étrangers que les deux parties étaient arrivées à « un tournant » dans les négociations. Cet optimisme béat est-il vraiment justifié ?

Jalili défend bien entendu les intérêts iraniens, mais il a expliqué que les Etats-Unis font actuellement de nouvelles concessions qui les rapprochent de Téhéran. Selon le Wall Street journal, le comportement iranien autour de la table des négociations a été influencé par la décision de Washington de réduire à un seul le nombre de porte-avions américains dans le Golfe persique, ce qui affaiblit le pouvoir de l’Occident à négocier.

Le Washington Post a également adopté une ligne critique à l’égard de l’administration Obama. Dans son éditorial publié le 28 janvier, il se pose la question en ces termes : « les Etats-Unis s’agenouillent-ils devant l’Iran ? » Le journal rappelle qu’au cours des précédentes négociations, tenues à Bagdad en mai 2012, le forum des Etats « P5+1 » a exigé de l’Iran de fermer définitivement l’installation souterraine de Fordue, spécialisée dans l’enrichissement de l’uranium. Les puissances occidentales avaient aussi insisté sur le fait que l’Iran retire toutes ses réserves d’uranium enrichi à 20% pour les acheminer hors du pays. Cependant, lors des négociations au Kazakhstan, les pays occidentaux se sont contentés de suspendre l’activité de l’installation à Fordue sans exiger sa fermeture. Selon certaines informations, l’Iran pourra également garder une partie de l’uranium enrichi à 20%.

Il semble que les Iraniens cherchent à atténuer les positions des pays principalement européens afin de pouvoir exercer des pressions sur Washington pour qu’elle fasse des concessions supplémentaires. La chargée des Affaires étrangères de l’Union européenne, Catherine Ashton, utilise d’ailleurs un langage différent de celui du Secrétaire d’Etat américain John Kerry, qui déclarait que « le temps presse pour une solution diplomatique ».

Au cours d’une Conférence pour les Affaires sécuritaires tenue à Munich au début du mois dernier, Ashton a refusé d’adopter une position claire et ferme à ce sujet. Il semble qu’elle reflète une vision européenne commune, selon laquelle les négociations avec l’Iran doivent se poursuivre à tout prix, même si elles ne pourront conduire à des résultats concrets.

La position israélienne sur ce sujet est bien connue mais celle de l’Arabie Saoudite est aussi intéressante et claire. Lors d’une conférence de presse commune tenue le 4 mars dernier à Riyad avec John Kerry, le prince Saoud al-Faysal, ministre des Affaires étrangères d’Arabie saoudite, a déclaré que les pourparlers avec l’Iran ne peuvent pas durer éternellement, et a-t-il ajouté : « les négociations doivent s’achever à un certain moment ».

Il a souligné que les Iraniens manquent de sérieux dans leurs discussions avec l’Occident et précisé : « ils poursuivent leurs négociations uniquement pour les maintenir. Nous nous trouverons un jour face à des armes nucléaires, et donc nous ne pouvons permettre que cela se produise. »

La vision réaliste des Saoudiens est liée sans doute à leur position stratégique : l’Arabie Saoudite est entourée de satellites chiites bénéficiant d’un soutien direct de Téhéran.

Rappelons certains faits : au Yémen, un troisième navire transportant des missiles et des katiouchas en provenance d’Iran destinés au rebelles chiites a été arraisonné et la cargaison confisquée. En Irak, le Premier ministre Nourri al-Maliki est considéré par l’Arabie Saoudite comme un agent des Ayatollahs. Et au Bahreïn, les forces de sécurité viennent d’accuser les Gardiens de la Révolution de la planification d’attaques terroristes dans le pays, situé à 25 kms seulement de la province orientale de l’Arabie Saoudite.

Dans ce contexte, et face aux tentatives des Ayatollahs de semer la terreur au sein même de l’Arabie Saoudite, il n’est pas surprenant que les Saoudiens parlent en connaissance de cause. Ils connaissent parfaitement la ruse iranienne et la technique de négociation qui permet de gagner du temps et de progresser ainsi vers l’arme atomique.

De nombreux experts estiment à ce sujet que Téhéran adopterait la même stratégie que la Corée du Nord puisque elle rejette la supervision de l’Agence internationale d’énergie atomique (AIEA) et agit en conséquence pour pouvoir achever rapidement l’enrichissement de l’uranium à un niveau militaire.

C’est justement pour ces raisons que le Premier ministre Benyamin Netanyahou a défini une ligne rouge en ce qui concerne l’uranium enrichi à 20%, quantité qui permet la fabrication d’une bombe (d’environ 225 kgs).

L’Iran poursuit donc son projet dans le cadre d’une nouvelle stratégie qui permet l’installation d’un nombre considérable, et sans précédent, de centrifugeuses dans l’usine de Natanz. Certaines sont sophistiquées pour accélérer la production d’uranium enrichi et produire plusieurs bombes.

Téhéran a donc réussi à ce jour à obtenir des Européens des concessions supplémentaires face à la fermeté américaine et israélienne.

Il est clair qu’en observant les manigances de l’Iran dans notre région, toute concession de la part de l’Occident encouragera le comportement agressif de l’Iran.

Dore Gold

 

Cet Olibrius nous arrive en pleins préparatifs de la fête de Pessah, ce qui va nous coûté des millions de shekels, un bazar terrible,  espérons qu’il fera sa « sortie d’Egypte », en référence à son discours du Caire, qu’il prendra sous le ciel d’Israël et celui de Jérusalem la capitale indivisible et éternelle du Peuple Juif un peu de plomb dans la tête. Et si par miracle c’est le cas, alors nous pourront lui dire « l’an prochain à Jérusalem », à moins que les Mollah n’aient leur bombe avant grâce à lui.

Par Aschkel – redaction http://www.israel-flash.com/#axzz2Np0vLRvN



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2013/03/israel-arabie-leur-priorite-liran-alors-obama-le-perfide-offre-1-an-aux-mollah/#ixzz2NuSngHMh

 

Les pierres tuent (Armée de Défense d'Israël).

Les blessures causée par les jets de pierres sont un phénomène courant en Judée-Samarie. Les jets de pierres, les cocktails molotov et les pneus piégés, sont tous des actes terroristes rentrant dans la catégorie de la «terreur populaire». Ces attaques se produisent tous les jours et sont ignorées par les médias traditionnels. Et pourtant, les jets de pierres peuvent être fatals.

 

Jeudi 14 mars, une mère et ses trois jeunes filles voyageaient dans leur voiture près de la ville d’Ariel lorsqu’un chauffeur de camion a perdu le contrôle de son véhicule suite à des jets de pierres le visant. Le camion a percuté la voiture, blessant légèrement la mère et deux de ses filles. La plus jeune d’entre-elles, trois ans, a été grièvement blessée et transportée vers l’hôpital le plus proche. Les médecins travaillent sans relâche pour sauver sa vie.

Mais saviez-vous qu’un simple caillou peut tuer?

29 janvier 1983 : Esther Ohana (21)

Tuée  par une pierre lancée sur sa voiture près du village palestinien de Dahariya alors qu’elle rentrait chez elle à Jérusalem. La pierre atteint sa tête et plonge la victime dans le coma. Après deux semaines dans un état végétatif, elle décède le 12 février.

 

En haut, de droite à gauche : Ester Ohana , Yehuda Haim Shoham , Koby Mandell. Au centre :  Yosef Ishran. En bas, de droite à gauche :  Stf. Sgt. Benny Meisner , Asher Palmer  and his infant son Jonathan, Bachor Jean

En haut, de droite à gauche : Ester Ohana , Yehuda Haim Shoham , Koby Mandell. Au centre : Yosef Ishran. En bas, de droite à gauche : Stf. Sgt. Benny Meisner , Asher Palmer et son enfant Jonathan, Bachor Jean.

 

24 février 1989: SFC Benny Meisner (25)

Benny est tué par un bloc de béton lancé sur sa tête à Naplouse.

6 octobre 2000: Bachor Jean (54)

Tué au cours de la seconde Intifada par des blocs de pierres lancés sur son véhicule lors d’un voyage de Haïfa à Rishon Le’Zion. Les pierres brisent le pare-brise de sa voiture avant de venir s’écraser sur sa poitrine. Son frère, qui était au volant du véhicule, le transporte aussi vite que possible à l’hôpital, mais il est déjà trop tard. Les responsables étaient originaires du village arabe de Jisar-Zarka.

7 mai 2001: Koby Mandell (13) et Yosef Ishran (14)

Lynchés à mort avec des pierres durant une randonnée dans les environs de leur village de Tekoa en Judée-Samarie. Leurs corps massacrés ont été trouvés dans une grotte.

Les auteurs n’ont pas été identifiés.

2 juin 2001: Yehuda Haïm Shoham (5 mois)

Décédé suite à ses blessures après que des pierres lancées sur la voiture de ses parents pendant leur trajet près du village palestinien d’Isawiya. La famille était sur le chemin du retour vers leur maison à Shilo, lorsqu’un bloc de pierre est lancé en leur direction et traverse le pare-brise avant de venir s’écraser sur le bébé.

23 septembre 2011: Asher Palmer (25) et son jeune fils Jonathan (12 mois)

 

La voiture d'Asher Palmer, détruite par les jets de pierres

La voiture d’Asher Palmer, détruite par les jets de pierres

 

Le père et son fils trouvent la mort lorsque leur voiture s’écrase dans un tunnel après que des roches aient frappé leur véhicule près Kirya Arba. Deux Palestiniens du village voisin de Halhul ont admis les faits.

En 1999, le tribunal de Tel Aviv a estimé que les dommages causés par des pierres lancées sur un véhicule devaient être considérés comme un crime de haine et non comme un accident de la circulation.

Les jets de pierres peuvent sembler inoffensifs, mais il s’agit d’une réelle menace de mort légalement définie.

 

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