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Les armées arabes en alerte maximale

 

Les armées arabes en alerte  maximale
par Mylène Sebbah
Un jour après une attaque israélienne dont les objectifs sont encore flous, le journal libanais –prosyrien-, Daily Addiyar, rapporte que les armées au Liban, en Syrie et en Jordanie ont été placées en état d'alerte maximal.

Des unités de l'armée syrienne auraient été déployées en formations de combat sur les hauteurs du plateau du Golan.
Au Liban, le Haut Commandement des Forces armées a ordonné un "niveau 3" d'alerte pour l'ensemble de ses forces.

Et des unités blindées jordaniennes auraient été placées près de la frontière avec Israël, sur la rive-Est du Jourdain.
Un officier du renseignement américain a déclaré au New York Times que l'attaque, prêtée à Israël, avait été menée contre un convoi transportant des armes sophistiquées antiaériennes destinées à la milice terroriste chiite Hezbollah au Liban.

Plusieurs officiels américains ont confirmé qu'Israël avait prévenu les États-Unis de l'imminence de cette attaque.
De son côté, la Syrie a confirmé l'existence de l'attaque mais diffère sur l'objectif qui, selon elle, visait plutôt un centre de recherche scientifique.

Un responsable occidental a déclaré au Wall Street Journal que ces deux types d'attaque ont très bien pu avoir lieu.
Les craintes sur le transfert d'armes syriennes, non conventionnelles ou sophistiquées, au Hezbollah ont considérablement augmenté ces derniers jours.
Certains media arabes affirment même que celui-ci aurait déjà eu lieu au début de l'année 2012 (voir notre article).

Mardi, le commandant en chef des forces aériennes israéliennes, Amir Eshel, avait déclaré qu'Israël devait devenir plus proactif dans la lutte contre les menaces dans la région : "Nous ne pouvons pas attendre que la guerre éclate. Nous devons investir dans le développement de nouvelles ressources. (…). Nous ne pouvons pas être mal préparés.".

Depuis la semaine dernière, et dès le lendemain des élections israéliennes, mercredi dernier, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou a réuni à plusieurs reprises le cabinet de sécurité sur la question de l'arsenal militaire syrien. Aucune information n'en a filtré, de même que, jusqu'à présent, une censure totale est appliquée sur le sujet des frappes aériennes en Syrie.


 

     

 

 

Ces égyptiens qui veulent reconquérir Eilat

Ces égyptiens qui veulent reconquérir Eilat
par Gerard Fredj
Quelques trente et un ans après le retrait d'Israël du Sinaï lors de la signature du Traité de paix entre les deux pays, soixante quatre ans après la prise d'Eilat durant la guerre d'Indépendance, des voix de plus en plus nombreuses se font entendre en Egypte pour réclamer le retour de cette ville du sud d'Israël sous souveraineté égyptienne.

Ainsi, l'avocat Otoman al-Hafanawi, impliqué dans le procès civil intenté à Hosni Moubarak, a lancé un acte d'accusation contre les responsables du régime égyptien sous l'ère Moubarak, (y compris contre celui-ci) les accusant de "navoir rien fait pour rétablir la souveraineté egyptienne sur Eilat" (Umm Al-Rashrash en arabe).

L'accusation vise notamment, outre l'ancien Président, l'ancien conseiller de Moubarak, l'actuel ministre des Affaires étrangères.
Le document comporte d'ailleurs une erreur, stipulant que la ville avait été conquise en 1967, durant la guerre des Six jours (elle l'a été en 1949) et affirme que la ville avait une "identité chrétienne judaïsée par la suite par Israël".

L'opération Ovda est la dernière opération militaire menée par Israël durant la guerre d'Indépendance : le 5 mars 1949, les brigades Neguev et Golani prirent, sans combats, la ville d'Umm Al-Rashrash.

Les deux unités n'ayant aucun drapeau à leur disposition, elles ont hissé sur le poste de police de la ville un morceau de tissu sur lequel elles avaient tracé à l'encre deux bandes entourant une étoile de David.
Une opération qui s'est avérée majeure dans la définition des frontières du jeune état dans le Néguev.

 

Israël, les priorités du nouveau ministre de la défense Yaalon, et le larbin du Hamas: Abbas

Moshe Yaalon

Le nouveau ministre de la Défense Moshe « Boogie » Yaalon et ses priorités. Abbas et sa ‘ »résistance pacifique » terroriste. Le Hamas et nous c’est la même chose ! Abbas n’est autre que le larbin du Hamas qui parle aux Occidentaux

Sa priorité numéro 1 est l’Iran.

Le nouveau ministre de la Défense a donné au public un aperçu de ses priorités, ce dimanche, en postant un sur Facebook à la liste des priorités auxquelles il va s’attaquer.

La première d’entre elle est  bien entendu, le programme nucléaire iranien, qui menace Israël, le Moyen-Orient, et la sécurité mondiale dans son ensemble.

Selon des informations non confirmées mais cependant répandues, Yaalon a, jusqu’à présent, été dans le camp de ceux qui s’opposent à une frappe militaire contre le programme nucléaire de l’Iran, préférant laisser les Etats-Unis prendre les devants.

Cependant, même si ces informations sont exactes, la position de Ya’alon pourrait changer à la lumière de nouveaux renseignements ou de nouveaux développements.

Deuxièmement, Yaalon a fait référence à l’instabilité au Proche et Moyen-Orient qui secoue presque tous les voisins d’Israël.

Sous la direction d’Ehud Barak, l’armée israélienne a fait de bons progrès en se concentrant  sur les menaces terroristes qui pourraient venir  de la Syrie – Syrie qui abrite un arsenal d’armes chimiques –

Autre priorité –  la péninsule du Sinaï.

Ya’alon cherchera à poursuivre les préparatifs pour contrer ces menaces.

Le Hezbollah au Sud-Liban et le Hamas dans la bande de Gaza sont des menaces qui ne peuvent pas être séparés de l’instabilité régionale.

Le Hezbollah, armé de plus de 60.000 roquettes et ses terroristes bien formés, reste l’ennemi le plus redoutable dans la zone immédiate d’Israël.

L’armée israélienne a passé ces dernières années à se préparer de manière intensive si une nouvelle confrontation devait avoir lieu avec le groupe terroriste chiite, qui actuellement planifie  de cibler des civils israéliens à l’étranger.

La dernière des priorité citée par Ya’alon sont les pourparlers israélo-palarabe au point mort

La position de Ya’alon sur cette question est bien connue – il estime que la direction palestinienne à Ramallah n’est pas un partenaire de paix viable en ce moment.

Et comme il a raison !

Il y a un peu plus de semaine Abou Mazen – Abbas – a appelé à des manifestations massives pour la venue d’Obama, manifestation appelées « résistance pacifique » joli mot pour le benêt occidental, mais nous savons tous ce que cela signifie, nous en avons eu la démonstration la semaine dernière dés l’appel lancé ; une mère de famille et ses filles ainsi qu’un conducteur de camion ont été blessés, une petite fille de 2 ans lutte actuellement contre la mort, ils ont été caillassés.

Ce minable d’Abbas a donné une interview à Russia Today il affirme haut et fort qu’entre le Fatah et le Hamas il n’y a aucune différence.

Le Hamas le dit et le redit il n’a et ne changera pas d’un iota. Pas de reconnaissance de l’Etat d’Israël et « résistance  armée, autrement dit terrorisme jusqu’à la totale libération par les Juifs des terres juives.

Abbas lorsqu’il ose parler de colonisation, ne dit pas autre chose, son souhait dans un premier temps est de rendre les terres ancestrales du peuple Juif la Judée Samarie vidée de toute présence Juive. c’est à dire Judenrein .

Voici en résumé le contenu de cette interview.

RT: Aujourd’hui, le Hamas, se pencherait plus vers une solution politique « du problème » plutôt que militaire. Avez-vous remarqué un changement?

MA: Oui,. De plus, c’est quelque chose que nous avons convenu.Un certain nombre de membres du Hamas soutienne cette position. C’est ce que nous avons convenu lors de notre rencontre au Caire, et il y a quelques mois lors du sommet de l’Organisation de la Coopération islamique, nous avons réaffirmé que le peuple palestinien a un droit de résistance non-violente.

Nous allons revenir sur le processus de négociation (entre Hamas et Fatah).

Il n’y a pas de désaccord sur cela entre nous et les dirigeants du Hamas, même si certains continuent à dire qu’ils n’excluent pas la lutte armée.

Mais ce discours a été arrêté à la réunion du Caire, qui a été parrainé par les Etats-Unis et l’Egypte. Maintenant, c’est la position officielle du Hamas.

Ne faites pas attention aux membres du Hamas qui disent des choses différentes.

RT: Est ce que ces voix dissidentes affectent le processus de réconciliation?

MA: Non, c’est un sujet complètement différent. Nous nous sommes entendus sur tous les aspects politiques de la réconciliation. La principale chose – et nous nous sommes convenus sur ce point – sera de mettre en place un gouvernement intérimaire que je dirigerai.

Alors, voici le compromis: Suite à la démission du  gouvernement de Fayyad, qui est ce que le Hamas voulait, je prendrais la tête du nouveau gouvernement, et le Hamas n’a aucune objection à cela. Ce sont eux qui ont insisté pour que je dirige le gouvernement intérimaire indépendant et technocratique. La prochaine étape sera d’organiser une élection générale. Ce sont les deux principales étapes du processus de réconciliation, et elles seront menées simultanément. C’est ce que nous avons accepté, et je ne sais pas ce qui nous empêchera de lancer le processus. C’est tout ce que j’ai à dire sur cette question.

RT: Si L’UE, envisageait de retirer le Hamas de la liste des organisations terroristes. Pensez-vous que cela pourrait être une tentative de légitimer le gouvernement du Hamas?

MA: Je ne le pense pas mais après les développements récents, les chances sont très élevées que le gouvernement du Hamas puisse être reconnu comme légitime. Si le Hamas s’engage ouvertement de s’en tenir à la résistance populaire pacifique, je ne vois pas beaucoup de différence entre leur politique et de la nôtre . Dans ce cas, il n’est pas nécessaire de les étiqueter comme une organisation terroriste.

Abbas a raison – Les entités terroristes soutiennent les attaques terroristes contre des civils. Et Abbas  n’est que le porte-parole official du Hamas devant les occidentaux. A ce jour les sites du Fatah et du Hamas glorifient comme « martyrs » ceux qui ont commis des opérations sanglantes et meurtrières contre les civils israéliens. Resistance pacifique !!!!!

Abbas est vraiment méprisable.

rt.com jpost



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2013/03/israel-les-priorites-du-nouveau-ministre-de-la-defense-yaalon-et-le-larbin-du-hamas-abbas/#ixzz2NudIOHVA

 

Syrie – Vers un régime islamiste totalitaire ?

 

 

Syrie-djihad-2

Syrie : les méchants baassistes contre les méchants islamistes.

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Michel Garroté, réd en chef –- Nombre d’informations – sur la Syrie – véhiculées par les médias francophones sont fausses, car elles s’appuient exclusivement sur des médias musulmans impliqués dans la guerre de l’info, telle la télévision al Jazeera et autres médias financés par le Qatar et l’Arabie Saoudite, des puissances sunnites qui soutiennent les rebelles djihadistes en Syrie.

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Syrian Christians pray at special mass held to support Lebanon at Lady of Damascus Catholic Church

La fin de la Chrétienté en Syrie

Depuis juillet 2012, les chrétiens syriens sont de plus en plus pris pour cibles, chassés de leurs maisons et de leurs quartiers, par les rebelles djihadistes. Quelque 138’000 chrétiens ont fui Homs terrorisés après que leurs églises ont été pillées et occupées par les forces rebelles islamistes. Au moins 9’000 chrétiens ont fui la ville de d’al-Qusayr, à l’ouest et proche d’Homs après que les chefs d’une faction rebelle ont lancé un ultimatum qui a été répété depuis les minarets des mosquées.

Dans les zones contrôlées par les rebelles, la ligne dure du sunnisme fondamentaliste rend impossible la coexistence islamo-chrétienne. Pour les djihadistes, la neutralité n’est pas une option et les chrétiens qui refusent de soutenir le djihad sont torturés, expulsés et assassinés. Dans une fatwa, le religieux sunnite Adnan Arour a menacé ainsi : « Nous allons vous découper en morceaux et vous jeter à manger aux chiens ».

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SYRIA-CRISIS

Les organisations terroristes infiltrent l’opposition syrienne

L’opposition armée au régime de Bachar el-Assad est hétéroclite : aux côtés de l’Armée Syrienne de Libération (ASL), formée en partie par des militaires déserteurs, l’on trouve aussi les djihadistes du Front al-Nosra. Et ces derniers tendent à prendre l’ascendant sur les autres composantes de la rébellion (extraits adaptés ; cf. les deux premiers liens en bas de page).

L’origine du Front al-Nosra est mal connue, de même que sa composition. Classé par le département d’Etat américain parmi les organisations terroristes, certains pensent que ce mouvement est une filiale de l’Etat islamique d’Irak (ISI), lui-même inféodé à al-Qaïda. Ce qui apparaît comme établi est que des combattants irakiens sont partis faire le coup de feu en Syrie. D’autres pensent que s’il n’y a sans doute pas de lien organique entre les deux structures, elles partagent cependant la même idéologie.

Quoi qu’il en soit, la montée en puissance du Front al-Nosra est bien évidemment loin de réjouir la CIA. Selon le Los Angeles Times, la centrale de Langley cherche à recueillir des renseignements sur ses responsables en vue de les éliminer ultérieurement par des frappes ciblées réalisées au moyen de drones.

En effet, explique le quotidien, le service de contre-terrorisme de la CIA, qui supervise le programme de frappes ciblées au Pakistan et au Yémen, a formé une unité chargée de traquer les responsables du Front al-Nosra, avec notamment des analystes ayant déjà travaillé sur les opérations menées contre al-Qaïda en Irak. En outre, des liens étroits ont été établis avec les services de renseignement jordaniens et saoudiens.

Pour le moment, le président Obama n’aurait pas encore autorisé d’attaques de drones en Syrie. Il s’agirait d’une des options envisagées pour répondre aux menaces liées à la situation syrienne. Comme l’est aussi celle du Pentagone visant à saisir, voire à détruire, l’arsenal d’armes chimiques du régime de Bachar el-Assad si, d’aventure, il venait à tomber entre de mauvaises mains.

Pour le moment, les Etats-Unis refuseraient de livrer des armes aux insurgés syriens, contrairement à ce qu’ont l’intention de faire la France et le Royaume-Uni pour ceux qui n’ont pas de liens avec la mouvance djihadiste. Officiellement, Washington n’apporte qu’une assistance médicale et alimentaire à certains rebelles (fin des extraits adaptés ; cf. les deux premiers liens en bas de page).

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Syrie-djihad

De la dictature laïque à la dictature islamique

Les horreurs de la Syrie d’aujourd’hui – la répression, la guerre civile, la barbarie – ont résulté de nombreux évènements, l’un des plus importants a eu lieu il y a 50 ans aujourd’hui (extraits adaptés ; cf. le troisième lien en bas de page). C’est alors que le comité nommé de façon pédante « Comité militaire de la Direction régionale syrienne du Parti Baath » (parti socialiste du renouveau arabe), dont le leadership comprenait Hafez al-Assad, a pris le pouvoir à Damas lors de ce qui a fini par être connu, encore une fois de façon pédante, comme « la Révolution du 8 mars ».

Le parti Baath a depuis, gouverné le pays, d’abord sous Hafez (1970-2000), puis sous son fils Bachar (depuis 2000). Avant la révolution du 8 mars, la Syrie avait été exceptionnellement instable : depuis le premier coup d’état militaire du pays près de 14 ans plus tôt, en avril 1949, elle avait connu une série de coups d’Etat ; en effet, rien que l’année 1949 avait connu trois changements de régime.

Puis vint la lourde emprise des baathistes. A part certains remaniements internes (le coup d’Etat alaouite de février 1966 et le coup d’Etat d’Assad de novembre 1970), cela a été par la suite le même régime morne, étatiste, totalitaire qui n’a jamais cessé, étouffant l’expression individuelle et ethnique, corrompant les esprits, empêchant le développement de l’esprit d’entreprise de la population, et conduisant finalement à la violence déchaînée il y a trois ans qui a déclenché le conflit actuel, et qui pourrait amener le prochain régime totalitaire, celui des islamistes (fin des extraits adaptés ; cf. le troisième lien en bas de page).

Bachar al-Assad est alaouite, une branche du chiisme. Les alaouites représentent 11% de la population syrienne, les sunnites 75%, les chrétiens 10% et les druzes 4%.

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OCI

La Grande-Bretagne et la France transfèrent des armes aux rebelles syriens

La Grande-Bretagne et la France vont transférer, via la Jordanie, des armes aux rebelles syriens combattant al Assad. Le roi de Jordanie Abdallah a décidé de se joindre à la décision anglo-française d’armer les rebelles syriens, après y avoir été vigoureusement encouragé par l’Arabie Saoudite et les Emirats du Golfe, qui pensent qu’à moins de stopper les djihadistes actifs en Syrie, ceux-ci partiront à la conquête de territoires non en seulement Syrie, mais également en Irak et aux portes de la Jordanie.

Le chef d’Etat-Major jordanien, le général Al Zaben s’est envolé vers Bruxelles, à bord d’un avion affrété par l’armée britannique, le 14 mars dernier (extraits adaptés ; cf. le quatrième lien en bas de page). Le général jordanien s’est assis avec les responsables de l’armée et de la sécurité britannique pour planifier les détails du transfert d’armes britanniques à travers son pays ; et il a décidé à quelles unités rebelles syriennes elles seraient attribuées (fin des extraits adaptés ; cf. le quatrième lien en bas de page).

Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info

http://www.opex360.com/2013/03/17/la-cia-cherche-a-cibler-les-responsables-jihadistes-de-la-rebellion-syrienne/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+ZoneMilitaire+%28Zone+Militaire%29

http://www.latimes.com/news/nationworld/world/middleeast/la-fg-cia-syria-20130316,0,3989647.story

http://fr.danielpipes.org/blog/2013/03/enfer-syrien

http://debka.com/article/22829/France-Britain-flout-US-objections-on-arms-to-Syrian-rebels

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Dans le Coran, l’amour du prochain n’existe pas, le mot amour est oublié

 

Classé dans: Islam |

 

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Par Alain Franquignon

Agrégé de lettres, j’ai réalisé une étude sur les occurrences de mots dans le Coran. C’est un livre très clair… (mais là je vous livre en partie mes conclusions)

Le Coran, un livre ennuyeux et méchant.

C’est un livre de combat, de guerre, et quelle caution, quelle cause serait plus digne d’être défendue que celle de son Dieu.

Je me suis demandé très tôt dans la lecture des « paroles du prophète » pourquoi ce livre n’était pas interdit au même titre que Mein Kampf de Hitler … Il n’en diffère guère que par le préchi-prêcha insipide qui enveloppe ses agressions verbales incessantes.

C’est probablement le plus mauvais livre que j’aie jamais lu, mauvais dans les deux sens du terme : ennuyeux et méchant.

Ennuyeux à cause des reprises incessantes des mêmes idées, répétées ad nauseam tout au long de toutes les sourates, sans exception, et méchant parce qu’il se dégage de cette lecture l’impression que l’homme qui a écrit ce livre n’était pas « bon », mais « méchant ». C’est du moins MA lecture du Coran.

Cette méchanceté se traduit le plus souvent sous la forme de la MENACE

Le Coran est un livre menaçant, et comme il vous menace, vous, pauvre lecteur, vous devez, pour vous affranchir de cette menace, devenir le sujet et non plus l’objet de la menace, et faire vôtre la parole menaçante, la reprendre à votre compte pour être du côté du menaçant, et non plus du menacé.

Mais c’est une conversion incomplète : en lisant le Coran, on est toujours sous la menace en même temps qu’on y met autrui. C’est pourquoi le Coran est un livre violent dans son essence même. L’auteur exerce une violence verbale continue (voire l’occurrence des mots) tout au long de chacune des sourates. Il nous apparaît comme un être épris de pouvoir, voulant à tout prix régner sur les autres, les dominer, les écraser, les châtier et les éliminer si besoin …

Extrême pauvreté du message

Par ailleurs, ce qui m’a frappé en lisant le Coran, c’est l’extrême pauvreté du message, pauvreté qui s’exprime par la répétition incessante de la même idée de soumission à Dieu, mais aussi par l’absence complète de deux choses fondamentales pour une religion : une morale universelle et une cosmologie.

  • Une morale universelle fondée sur la notion de Bien et du Mal qui seraient au-delà de l’islam lui-même et qui vaudrait pour tous les hommes (comme condamner le meurtre, le mensonge, le vol, le viol, parce qu’ils sont le Mal en soi). Or ces mauvaises actions ne sont pas du tout condamnées lorsqu’elles s’exercent sur l’autre, le non-musulman.
  • Une cosmologie. Pas de création du monde ni d’explication (mythologique bien sûr) sur la nature des choses, ni sur l’origine de la différence entre l’homme et la femme.
  • Pas d’éloge du travail ni de l’enrichissement par la multiplication des troupeaux ou par la culture des champs (comme on en trouve dans la bible, et dans l’antiquité grecque avec « les travaux et le jours » d’Hésiode », ou dans l’antiquité romaine avec les « Géorgiques » de Virgile). Par contre une Sourate sous-titrée « Le Butin ».
  • Ainsi le mot « travail » et ses dérivés n’apparaît qu’une demi-douzaine de fois, et toujours associé à l’idée que de pauvres gens (ou des esclaves) y sont contraints pour survivre

Les occurrences de mots sont-elles révélatrices, mais l’absence d’occurrence de mots l’est aussi.

La traduction du Coran disponible sur internet, et approuvée par la grande mosquée de Paris comporte 86721 mots.

Sur ce total, nous avons écartés tous les petits mots « outils » comme les articles, les prépositions, les verbes être et avoir, les pronoms, les conjonctions, etc. Ces mots outils forment un total de 28519 mots. Nous n’avons donc gardés comme mots signifiants que les noms, les verbes, les adjectifs et les adverbes significatifs. Au total 58562 mots « signifiants » qui transmettent le message du Coran.

Nous nous sommes donc attachés au domaine particulier qui concerne directement Allah et l’obéissance à ses commandements, domaine que l’on peut diviser en 4 sous-domaines :

  • Vérité/mensonge (vraie religion, mensonges des autres religions, croyances, incroyance, etc …) : 2858 mots
  • Récompense/punition (Allah doit être craint car il récompense les croyants, et punit les non-croyants) : 2721 mots
  • Obéissance (avertissements, interdictions, prosternation, autorités …) : 918 mots
  • Dieu (prophète, fidèles, infidèles, saints, menteurs, mécréants …) : 5800 mots

Total de cet ensemble : 12297 mots, sur 58562, …. Soit 21% des mots du Coran.

Et sur les 58562 mots, le mot « amour » n’apparaît que 10 fois, et encore :

  • 3 fois pour parler de l’amour d’Allah pour ses fidèles,
  • 2 fois s’agissant de l’amour des fidèles pour Allah,
  • 4 fois pour parler de l’amour des richesses,
  • mais une seule fois pour désigner l’amour d’une femme pour un homme,
  • et jamais pour évoquer de l’amour de l’homme envers son prochain.
  • Le mot « aimer », conjugué, apparaît 53 fois, presque exclusivement pour dire qu’Allah aime les croyants, les justes, les fidèles, les pieux, ceux qui lui font confiance.
  • Sinon il est employé dans le sens de « souhaiter » ou « apprécier » : ex: « …les Juifs qui aiment bien écouter le mensonge » (S 5, V 41), « les mécréants aimeraient vous voir négliger vos armes … » (S 5, V 102) etc.

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Voilà le score accablant du Coran : nous asséner, ad nauseam, que nous devons obéir à Dieu, être de vrais croyants, nous tenir loin du mensonge des autres religions, sous peine de « châtiment douloureux ».

Un cinquième des mots d’un livre de 1000 pages répètent sans cesse cette même idée.

Pourquoi une telle répétition ? A-t-on besoin d’être autant averti, menacé ? Ne s’agirait-il pas de la déclinaison d’un slogan ? Pour le Coran, ça serait « si on vous menace régulièrement, vous finirez par y croire ». La répétition tient lieu d’argumentation.

Le Coran n’explique pas, il affirme.

L’essentiel de son message est de faire peser sur vous la domination de Dieu, un Dieu que vous devez craindre et faire craindre. Mais son châtiment est pour les vivants, dans ce monde. L’homme de guerre Mahomet reste un homme de guerre …

Il y a bien sûr mille autres choses à dire sur le Coran, comme par exemple la légende de Joseph et de ses frères, si bien racontée dans la Bible, et qui devient un charabia incompréhensible dans le Coran, mais nous avons voulu mettre l’accent sur quelque chose que je n’avais pas entendu ni lu (même dans le livre d’Ibn Warraq) : sa dimension ennuyeuse et menaçante, qui vont de pair.

P.S. : Avec plusieurs amis, qui n’avaient pas lu le Coran, j’ai parié qu’ils pouvaient ouvrir 3 fois le Coran à n’importe quelle page (version papier), et qu’on y trouve au moins une fois sur la page de gauche ou sur celle de droite une variante de la phrase suivante « Dieu le miséricordieux vous réserve un châtiment douloureux si vous n’obéissez pas à ses commandements » …. J’ai toujours gagné.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alain Franquignon pour www.Dreuz.info

 

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