etzbetzion
Commentaire messianique de la Parasha de la semaine, Pequoudé, par Soucat David.
Peqoudé.pdf |
Cliquez sur le lien ci-dessus et vous pourrez lire le commentaire messianique de l'oeuvre Soucat David sur la parasha de la semaine.
Bonne lecture à tous !
Commentaires textes : Écrire
La bataille pour la Libye toujours indécise (le Monde)
La bataille pour la Libye toujours indécise
LEMONDE.FR | 04.03.11 | 21h19 • Mis à jour le 04.03.11 | 22h37
Des insurgés opposés à Mouammar Kadhafi font le signe de la victoire, à quelques dizaines du kilomètres de Ras-Lanouf, vendredi 4 mars.AFP/ROBERTO SCHMIDT
Les combats ont fait rage entre opposition et forces loyales au colonel Mouammar Kadhafi, vendredi 4 mars, tandis que la confusion régnait dans le pays sur l'état des forces en présence.
Les insurgés, maîtres de l'est du pays, ont continué leur progression vers l'ouest. En début de soirée, après avoir lancé une vaste attaque, ils ont revendiqué la prise de la ville de Ras Lanouf, important terminal pétrolier dans le golfe de Syrte, à 600 km à l'est de la capitale Tripoli, contrôlé par l'armée régulière. Les violents affrontements, marqués par des bombardements intenses et des tirs d'artillerie, se sont soldés par "de nombreux morts et blessés", selon des témoins et des médecins. A Tripoli, le vice-ministre des affaires étrangères, Khaled Kaïm, a toutefois contesté les affirmations des insurgés, et a affirmé que les forces gouvernementales contrôlaient bel et bien la ville.
La ville de Zaouïa était toujours l'objet de combats intenses en début de soirée. Les forces loyales au régime ont en effet lancé dans la journée une offensive pour reprendre le contrôle de cette localité située à 50 km à l'ouest de Tripoli. Environ deux mille rebelles ont été repoussés vers la place centrale. "La place est sûre mais (les forces gouvernementales) nous attaquent de l'est et de l'ouest. Nous combattrons jusqu'au bout. Ils essaient de pénétrer dans la ville pour la reprendre", a déclaré un porte-parole de l'insurrection, Youssef Chagan. "Cette ville est en état de siège, elle a été encerclée par l'armée", a confirmé la journaliste de Sky News, Alex Crawford.
Des combattants rebelles libyens font la prière avant d'affronter les forces pro-Kadhafi près de Ras Lanouf, vendredi 4 mars 201.AFP/ROBERTO SCHMIDT
Peu avant, la télévision libyenne avait annoncé que la ville avait été reprise par le colonel Kadhafi et que le "chef du groupe terroriste" de la ville, Hussein Darbouk, et son second avaient été tués. La situation restait donc incertaine, de même que le bilan des affrontements. La chaîne de télévision Al Arabiya parlait d'au moins treize personnes tuées, tandis que Al-Jazira en évoquait plus de cinquante et trois cents blessés.
Une grosse explosion a par ailleurs détruit un dépôt d'armes près de Benghazi, fief de l'insurrection, dans l'est du pays, a déclaré un porte-parole de l'opposition. Les hôpitaux de la ville recensaient vendredi soir au moins dix-sept morts et vingt-six blessés.
>> Lire : Le récit des événements de la journée
L'opposition affronte la police à Tripoli. Profitant de la prière du vendredi, les opposants ont tenté de se soulever dans plusieurs quartiers. A Tajoura, dans l'est de la capitale, des affrontements ont opposé une centaine de manifestants scandant des slogans contre le régime aux forces de l'ordre, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser les protestataires.
Sur la place Verte, dans le centre de la ville, une centaine de pro-Kadhafi ont manifesté leur soutien au "Guide de la révolution". Peu après, des heurts ont éclaté entre des petits groupes de manifestants pro et anti-Kadhafi. Des habitants de Tripoli décrivent à la BBC la situation dans la capitale : "Beaucoup de personnes ont été arrêtées ; nous ne savons pas où elles sont emmenées. C'est très effrayant. La place du centre est remplie d'étrangers, enrôlés par Kadhafi. Ils contrôlent la situation en ce moment."
Interpol lance une alerte sur Kadhafi. L'organisation policière a alerté les polices de ses cent quatre-vingt-huit Etats membres sur le colonel et quinze de ses proches, afin de faciliter la mise en œuvre des sanctions de l'ONU et l'enquête ouverte par la Cour pénale internationale.
En émettant une "notice orange", destinée à alerter sur "les événements qui sont susceptibles de constituer une menace pour la sûreté publique", Interpol ne demande pas l'arrestation de ces seize Libyens, considérés comme impliqués "dans la planification d'attaques, y compris de bombardements aériens, sur les populations civiles", mais met à disposition des informations les concernant.
Un rebelle libyen menace de son pistolet un homme qu'il soupçonne d'être un loyaliste près de Ras Lanouf. REUTERS/GORAN TOMASEVIC
Des journalistes ont été retenus à Tripoli. Les envoyés spéciaux des médias étrangers à Tripoli ont été retenus dans leurs hôtels, sans accès à Internet, par les autorités libyennes, pour les empêcher de couvrir les manifestations antigouvernementales de la journée.
"Tout journaliste sortant dans la rue sans permission sera arrêté. C'est un jour spécial. Des éléments terroristes veulent provoquer des violences et la présence de journalistes ne peut qu'aggraver cette situation", a déclaré dans la matinée un porte-parole du gouvernement pour justifier la mesure.
Des étrangers seraient empêchés de fuir la Libye. Le nombre de personnes franchissant le poste-frontière de Ras Ajdir a fortement diminué vendredi par rapport aux journées précédentes. Des travailleurs seraient empêchés de fuir en raison d'un contrôle accru de cette zone par des "forces pro-régime lourdement armées", indique le haut commissariat de l'ONU pour les réfugiés.
Au total, plus de 172 000 personnes ont franchi les frontières de la Libye vers la Tunisie et l'Egypte au cours de la semaine écoulée, selon l'ONU. L'Italie redoute un afflux massif d'immigrants. Elle a annoncé vendredi être prête à mobiliser "près de 1 milliard d'euros" pour le développement des pays de la rive du sud de la Méditerranée.
Commentaires textes : Écrire
Cameron
|
|
Commentaires textes : Écrire
Nightmare Or Prophecy
Etz Betzion: Ueli nous transmet cette ancienne prophétie qui semble prendre cadre avec la situation actuelle...Il nous emble donc correct de la diffuser. Avec regrets nous ne disposons pas d'une traduction...
Nightmare Or Prophecy
by Chuck Colson
A New Year's Dream: Nightmare Or Prophecy?
January 3, 2006
Something very strange happened to me this past week. I was seated in my library chair, mulling over current events, trying to make a few New Year's predictions, which is the custom for commentators. I was concentrating hard, when suddenly, I saw before my eyes a headline from the New York Times. It read, "Congress Votes to End War; Troops Ordered to Abandon Iraq."
The view changed. Just as in Vietnam three decades ago, I saw Americans clinging to helicopters, trying to get themselves out of Baghdad along with friendly Shiite Muslims. There was massive confusion, bombs going off in the background.
And then, I saw pictures out of Afghanistan. Al Qaeda had toppled the new Afghan government. Marines and soldiers again were hurriedly boarding choppers. It can't be real, I thought - but it was.
The next thing I saw was a picture of Palestine, where most of the al Qaeda terrorists had now gone. The Israeli government was in disarray, reeling under a series of huge bomb blasts in Jerusalem.
Country after country was falling to the Islamic fascists: Saudi Arabia. Turkey. Egypt. For the most part, the terrorists simply refused to ship oil, and what they did ship was priced at over $150 a barrel. It was a worldwide crisis. Europe quickly signed a non-aggression pact with al Qaeda in exchange for oil.
Then came the most devastating picture of all: panic in the streets of Washington, D.C. as a dirty bomb exploded not a quarter of a mile from the Capitol. Huge sections of the city were cordoned off, uninhabitable. Even people with the best protective equipment suffered serious radiation burns. Projections were that the area would be off-limits for years. Then came the bombing of the Holland Tunnel, connecting New York and New Jersey, then the collapse of the pillars of the Golden Gate Bridge.
The government threatened retaliation, of course-but there was no one to retaliate against. The Islamo-fascists were spread throughout the world, and it was impossible to strike against all the countries that were harboring them or being run by them. Osama bin Laden himself appeared on Al Jazeera, boasting that he had known all along that the Americans wouldn't fight.
By now, most American television was not operating. But I could still get one channel. Talking heads were arguing frantically over how this could have happened. One man's voice stood out when he said, "It was all so foreseeable. Once you rule religion a private matter, and declare all religions alike, no one in this country could understand the dimensions of a great religious struggle. No one understood the clash of civilizations or the evil of Islamo-fascism. We didn't even have the language to describe religious beliefs anymore. Destruction was inevitable."
And that's when I woke up in a cold sweat.
It was 5:00 a.m. I went immediately to the front door. Good-the newspaper was there. I flipped it open. There was nothing in the headlines, except the confirmation fight over Alito and more quibbling over Iraq-all the usual banter that goes on endlessly in the press. But as I walked into the house, my knees were still shaking.
It was only a dream. We're okay, I told myself.
Or are we?
<link href="http://o.aolcdn.com/cdn.webmail.aol.com/33166/css/microformat.css" type="text/css" rel="stylesheet" />
Commentaires textes : Écrire