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Egypte: Affrontement religieux, 10 chrétiens assassinés Nieuws 26
Mercredi, 09 Mars 2011 14:44 |
Au moins dix chrétiens coptes ont été tués et 45 ont été blessés, tous par balles, lors d'affrontements religieux avec les musulmans dans la capitale égyptiennne, a déclaré un prêtre copte à l'AFP ce mercredi. "Nous avons à la clinique les corps de six coptes, tous ont été tués par balles," a déclaré le prêtre Samann Ibrahim à l'AFP,en se référant au centre médical attaché à son église. L' église Shahedain (Deux Martyrs) dans la ville provinciale de Helwan Soul, a été incendiée vendredi après des affrontements entre des chrétiens coptes et des musulmans qui ont fait deux morts.
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Libye: Troisième guerre mondiale? Nieuws 26
Mardi, 08 Mars 2011 17:19 |
Une intervention militaire en Libye peut conduire à une troisième guerre mondiale, a estimé le ministre de l'Intérieur italien, Roberto Maroni. Une intervention militaire en Libye peut conduire à une troisième guerre mondiale, a estimé le ministre de l'Intérieur italien, Roberto Maroni, dans une interview, publiée par le journal La Padania. "Je ne suis pas tant préoccupé par le président Obama, que par certains partisans de la guerre qui préfèrent les raccourcis, ignorant qu'une intervention militaire pourrait mener à une troisième guerre mondiale", a indiqué le ministre. "Une action militaire à grande échelle, initiée notamment par les Etats-Unis, ne mènera qu'à la création d'une coalition des états arabes. Les conséquences de cet événement seraient dévastatrices. J'essaierai par tous les moyens d'éviter la réalisation d'un tel scénario en misant sur d'autres possibilités", a poursuivi l'intéressé. Le ministre a souligné l'importance de la participation économique internationale à la stabilisation de l'Afrique du Nord et du Proche-Orient, en reprenant l'idée d'un "nouveau plan Marshall" pour la région. L'ambassadrice américaine auprès de l'Onu Susan Rice a déclaré mardi que les Etats-Unis et leurs partenaires de l'Otan discutaient d'une éventuelle intervention militaire. Cependant, le premier ministre britannique David Cameron a indiqué, pour sa part, que Londres n'excluait pas un recours à la force contre le régime de Kadhafi, tandis que les représentants du Pentagone ont confirmé un regroupement de leurs forces navales et aériennes autour de la Libye. Depuis le 15 février, la Libye est en proie à de violents affrontements. D'après les ONG, les manifestations pour le départ de Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis 42 ans, sont sévèrement réprimées par les autorités. Les accrochages entre les opposants du régime et l'armée, épaulée par des mercenaires africains, ont déjà fait jusqu'à 6.000 morts. |
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Entre le Quai d'Orsay et Israël, la haine Nieuws 26
Lundi, 07 Mars 2011 18:31 |
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En dépit d'une «normalisation» récente, les relations entre la diplomatie française et Israël ont toujours été extrêmement conflictuelles. Le retour d'Alain Juppé au Quai d'Orsay va-t-il marquer un retour au passé? par Jacques Benillouche Au moment où les bouleversements géopolitiques nés des révolutions arabes sont perçus en Israël comme le meilleur ou le pire, les péripéties de la diplomatie française sont aussi suivies avec attention. Le retour d'Alain Juppé au Quai d’Orsay après un court intérim de Michèle Alliot-Marie n'est pas interprété comme une bonne nouvelle, surtout s'il marque un retour au passé. Un gaulliste succède à une autre gaulliste. Et ce qualificatif rappelle à Israël des souvenirs douloureux. Les relations diplomatiques entre la France et Israël ont subi toutes les turbulences d’un couple: l’idylle, la passion, la haine, le divorce et finalement une normalisation née d'une certaine lassitude. Pourtant, la France a été à la source de l’éveil juif puisque le rêve sioniste, y a été imaginé par Théodore Herzl, pour être concrétisé par David Ben Gourion le 14 mai 1948. Mais la France se contenta déjà alors d’une contribution minimum et réticente à la création de cet Etat. Une méfiance qui ne s'est estompée que pendant seulement une dizaine d'année et encore parce que les gouvernements avaient alors tenu à l'écart le Quai d'Orsay.
Satellite de l’URSS En 1948, l’URSS et les pays de l’Est fournissaient en armes Israël qui était alors considéré comme un satellite soviétique tant les doctrines communistes y avaient trouvé une application locale forte et tant le bloc de l'est se réjouissait de voir l'empire britannique perdre pied. Les alliés des bolchéviques pouvaient difficilement avoir l’agrément du Quai d’Orsay parce que les armes sionistes étaient retournées contre le mandataire britannique, allié de la France. Le Quai d’Orsay ne souhaitait pas la création d’un Etat juif et il voulait s’opposer au vote historique à l’ONU du 29 novembre 1947. Le ministre des Affaires étrangères, Georges Bidault, trouvait justifiés les arguments de son administration qui prônait la préservation des relations avec la Syrie et le Liban. Mais les pressions de Léon Blum feront basculer le vote de la France qui eut cependant du mal à digérer l’indépendance d’Israël. Elle mit d’ailleurs plusieurs mois avant de reconnaître le nouvel Etat. Alors que le Etats-Unis et la Russie reconnurent Israël, «de jure», dès le 15 mai 1948, le gouvernement de la République française décida de reconnaître le Gouvernement provisoire d’Israël comme gouvernement «de facto» le 24 janvier 1949. Ben Gourion avait évalué le danger d’un alignement sur l’allié soviétique et saisit la première occasion pour opérer un changement stratégique en appuyant les Etats-Unis contre la Corée en 1953. Ce soutien sonna alors le glas des relations avec les pays de l’Est en mettant Israël dans une situation d’isolement au moment où ses besoins en armement devenaient vitaux face aux attaques des fedayins contre le territoire israélien.
Idylle stratégique Le conflit algérien et les manœuvres de l’Egyptien Gamal Abdel Nasser changèrent la donne et marquèrent une véritable idylle franco-israélienne qui durera de 1957 à 1967. Nasser, champion du panarabisme, avait fomenté un coup d’Etat le 23 juillet 1952 puis décida de s’immiscer dans le problème algérien et de nationaliser le canal de Suez et tous les biens franco-britanniques en juillet 1956. Les dirigeants français, embourbés dans la guerre d’Algérie, étaient persuadés que la clef du FLN était au Caire et qu’ils pouvaient mater la révolte algérienne s’ils abattaient le président égyptien. Les Anglais et les Français songèrent alors à une riposte militaire pour laquelle ils n’avaient ni les moyens et ni les bases militaires. Ils songèrent alors à mêler Israël à l’opération après avoir trouvé une oreille attentive auprès du jeune et fougueux général Moshe Dayan. L’armée israélienne obtint alors le matériel qui lui manquait: 200 chars, 72 chasseurs bombardiers Mystère, 10.000 roquettes antichars et 40.000 obus mais ces fournitures avaient été effectuées à l’insu du Quai d’Orsay qui abritait des diplomates issus d’une vieille aristocratie catholique profondément pro-arabe. Le ministre de la Défense Bourgès-Maunoury était cependant à l’origine de la rancœur du Quai à l’égard d’Israël parce qu’il avait décidé qu’en « raison de nos litiges et nos chicanes avec le Quai d’Orsay, il fut convenu que, dans la politique relative à Israël, l’Administration du Quai n’y serait en aucun cas mêlée». Les fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères n’apprécièrent pas leur mise à l’écart et n’eurent de cesse de se venger.
Entente amicale Alors que la France et la Grande-Bretagne préparaient les plans d’offensive, Ben Gourion hésitait à donner son feu vert à l’opération contre Nasser car il ne voyait pas l’intérêt d’Israël à interférer dans un conflit qui lui était étranger. Les Français l’invitèrent secrètement, le 21 octobre 1956? dans une villa à Sèvres pour le persuader de participer à l’opération. Contrairement à sa réputation, Ben Gourion n’était pas un va-t-en-guerre et pensait qu’Israël avait tout à perdre à entrer dans une guerre mal préparée. Mais il finit par céder. Hubert Beuve-Méry, directeur du journal Le Monde, laissa entrevoir entre les lignes les mobiles du revirement israélien motivés par «les sérieuses assurances qui avaient été données au chef du gouvernement de Jérusalem». Lors de cette réunion secrète, le ministre des Affaires étrangères Christian Pineau avait été écarté sous le prétexte d’une mission à Londres car Guy Mollet et Bourgès-Maunoury voulaient monnayer, dans son dos, la participation militaire des Israéliens en échange d’un engagement secret du gouvernement français de donner la bombe nucléaire à Israël. «Surtout pas un mot au Quai d’Orsay», avait imposé le ministre de la Défense français. Cette relation inédite, qui ne fit pas l’objet d’un traité, ne survivra pas à l’arrivée à la présidence du général de Gaulle. Son ministre des Affaires étrangères, Maurice Couve de Murville, fut le seul qui réussit à mettre au pas le Quai d’Orsay. Il décida, dans son souci d’éliminer les partisans de l’Algérie française et de vider son ministère des amis d’Israël. Une nouvelle vague de diplomates s’acharna à défaire en quelques mois les liens amicaux tissés avec l’Etat juif. A leurs yeux, la fin de la guerre d’Algérie ouvrait la voie à la reconquête du monde de l’islam, abandonné à la seule Grande-Bretagne.
Revanche programmée Couve de Murville chercha ensuite à mettre un terme à la coopération nucléaire franco-israélienne. Shimon Pérès fut alors mandaté à Paris pour contester la décision du ministre français qui lui assurait que «la France ne divulguerait rien, ni les grands traits ni les détails de l’arrangement de Sèvres». Disposant d’un écrit gribouillé sur un coin de table à Sèvres, Shimon Pérès lui répondit «que si la France en dénonçait unilatéralement l’essence même, nous ne serions pas en mesure de sauvegarder ce qu’il souhaitait sauvegarder, c’est-à-dire la clause de non-publication». Autrement dit en termes moins diplomatiques: si la France arrête la centrale de Dimona, alors nous, Israéliens, nous dévoilerons tout. «Vous marquez un point», dut reconnaître le ministre du général de Gaulle. Mais la revanche du Quai était inscrite dans l’Histoire. Le général de Gaulle n’avait rien innové en 1967 car les fonctionnaires du ministère l’inondaient, depuis 1963, de notes conseillant l’arrêt de la coopération nucléaire et l’interdiction des livraisons d’armes. Couve de Murville confirma cette stratégie en apostrophant en 1966 le ministre israélien Aba Eban:
Le président français n’était pas un personnage influençable mais il subit inconsciemment le travail de sape de ceux qui voulaient mettre fin aux amitiés israéliennes. Ainsi, malgré ses engagements, il fermera les yeux en 1967 sur le blocage du détroit de Tiran par Nasser et étranglera l’armée israélienne en décrétant un embargo sur les exportations d’armes au moment le plus crucial où Israël devait défendre son existence. On reconnaît d’ailleurs l'influence du Quai dans le discours du 28 novembre 1967 quand le Général définit Israël comme «un Etat guerrier résolu à s’agrandir» et s’en prit aux juifs comme «peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur». Lorsque de Gaulle perdit le référendum de 1969, l’ambassadeur à l’ONU, Armand Bérard, exprima l’émotion du ministère des Affaires étrangères en s’exclamant: «C'est l'or juif qui en est la cause!»
Changement dans la continuité Les présidents Georges Pompidou et Valéry Giscard d’Estaing ne changèrent rien à la stratégie gaulliste à l’égard d’Israël. Les deux chocs pétroliers imposaient des relations privilégiées avec les potentats arabes et toute la politique de la France se trouvait alors fondée sur un pragmatisme économique dans lequel Israël avait peu de place. Chirac raconte dans ses mémoires que Giscard d’Estaing, économiste, ne comprenait rien à la diplomatie ni au monde musulman. Son erreur de vision du Moyen-Orient était flagrante et il ne mesura pas sa responsabilité dans la révolution iranienne. Conseillé par ses amis du Quai d’Orsay, il avait abandonné le Shah et donné l’asile politique à l’ayatollah Khomeiny. Il mettra ensuite à sa disposition son avion personnel, le 1er février 1979, pour lui permettre d’arriver en grand libérateur à Téhéran. L’arrivée de François Mitterrand au pouvoir en 1981 donna une espérance aux Israéliens qui voyaient « un ami d’Israël », doté d’une admiration pour le peuple juif et sa culture. Mais au Quai d’Orsay, Claude Cheysson, ministre des Affaires étrangères, ne cachait pas son hostilité vis-à-vis d’Israël et son amitié profonde pour les représentants de l'OLP auxquels il déclarait:
Quand il partit, son successeur Roland Dumas s’inscrivit dans la même lignée en 1984 en affirmant: «La piraterie aérienne était le seul moyen qu’avait la résistance palestinienne de briser l’indifférence internationale». Il justifiait ainsi ouvertement le terrorisme. Mitterrand ne parvint pas à moduler la politique pro-arabe de la France mais s’efforça de renouer des liens distendus durant la période gaulliste et de décrisper les relations. Mais il ne changea pas de stratégie et les positions du Quai d’Orsay restèrent les mêmes. Le député Claude Goasguen nous avait affirmé lors d’une interview:
Amélioration Jacques Chirac, élu en 1995, avait tissé d’excellentes relations avec les juifs de France mais était totalement réservé à l’égard d’Israël. Il fit siennes les idées de ses prédécesseurs gaullistes qui estimaient que, sur le conflit israélo-arabe, il n’y avait aucun sentiment à éprouver. Cependant il finit par comprendre que le déséquilibre de sa politique affaiblissait son influence dans la région et lui enlevait toute possibilité de se poser en arbitre dans le dialogue israélo-arabe. Il décida alors, dès 2002, d’améliorer les relations bilatérales en mandatant en Israël son ministre Dominique de Villepin afin de proposer la création d’un haut comité qui eut des conséquences positives sur les plans scientifique, économique, commercial et culturel. Les conseillers politiques du président avaient fini par intégrer l’idée qu’une politique plus équilibrée pouvait maintenir les intérêts de la France dans la région. L’élection de Nicolas Sarkozy s’inscrivit dans la continuité sur le plan des relations entre les deux pays. Peu de changements au début de son quinquennat. Mais il a poussé les politiques à se parler puis à expliquer et justifier, chacun de leur côté, des positions diamétralement opposées. Les officiels ont repris langue tandis que les diplomates israéliens étaient à nouveau invités dans les salons du Quai d’Orsay. Israël considérait, contrairement à sa conception passée, que la France était un partenaire indispensable dans le processus de paix en raison de ses relations amicales avec les pays arabes. Reste à savoir si retour d’Alain Juppé au Quai d'Orsay marque le retour à la tradition dans une période qui s'annonce à très hauts risques au Moyen-Orient. |
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Quand la GAUCHE FRANCAISE était le vivier de la COLLABORATION. J Forum
80% des collabos venaient de la gauche ! Eh oui, ça fait mal, la vérité dérange. Il est temps que l’on lève le voile posé par les historiens des années 70 et 80 qui se sont largement employés à revisiter l’histoire pour sauver leurs meubles !
Simon Epstein est économiste et historien, auteur de plusieurs ouvrages sur le racisme et l’antisémitisme, vit à Jérusalem depuis 1974. Il a publié en 2001 un ouvrage remarquable sur Les Dreyfusards sous l’Occupation.
“Un paradoxe français” est un livre d’histoire qui détruit plusieurs mythes et autres mensonges.
Mythe n°1 : l’extrême droite française, collaborationniste pendant la seconde guerre mondiale était majoritairement l’extrême droite d’avant la guerre. C’est tout l’inverse. La majorité des premiers résistants était issue de l’Action Française qui prônait le “nationalisme intégral” et était germanophobe.
Mythe n°2 : la gauche pacifiste, antiraciste, philosémite a majoritairement composé la Résistance. C’est tout l’inverse. Les pacifistes ont continué, dans leur majorité (à l’image des dreyfusards) de l’être sous la botte nazie.
Que le pacifisme fut le vecteur principal de la collaboration, que les pacifistes furent nombreux à collaborer, et qu’ils fournirent de très nombreux collaborateurs, que la gauche fut dominante dans la collaboration parce qu’elle fut dominante dans le pacifisme - toutes ces vérités dérangeantes échapperont aux politiciens, aux polémistes et aux historiens soucieux d’inculper “toutes les droites” et de leur faire porter le chapeau exclusif des erreurs, des trahisons et des crimes qui ont endeuillé, à jamais, les années 1940-1944.
Ils chargeront Maurras (Action Française) de forfaits commis par des gens, qui, pour beaucoup, étaient des antimaurrassiens endurcis. Ils s’acharneront sur La Roque (les Croix de Feu), qui vraiment n’y était pour rien. Ils débusqueront des “fascistes” un peu partout y compris là (et surtout là) où il n’y en avait pas, et ils ignoreront ces pacifistes, intransigeants et candides à la fois, qui se fascinèrent pour l’Allemagne de Hitler (…)”.
Simon Epstein expose à l’aide de fiches biographiques précises, de leur mise sous lumière de l’Histoire, dans cet ouvrage dense, exégétique, une réalité historique très éloignée des multiples propagandes et oublis nés dans l’après-guerre.
Les nombreuses sources d’informations puisées notamment chez Bernard Lacache qui fut le président de la LICA (ancêtre de l’actuelle LICRA) qui dénonça tous ces traîtres qui, ayant milité au sein de ce mouvement pacifiste, de gauche, philosémite se convertirent à la collaboration et à son opposé, Henry Coston, l’extrêmiste de droite de toujours, qui dénonça ces “convertis” qui après-guerre quittèrent pour leur carrière politique cette extrême droite collabo, donnent de cette page d’histoire de France à la fois l’image des égoûts les plus puants du racisme, de la honte, du meurtre, et celle des cieux les plus purs de l’héroïsme, de la Liberté, de l’Honneur.
L’auteur enfin explique les raisons qui ont soutenu ces mythes et nous régale par une notice biographique précise de François Mitterrand.
Quelques colles pour les forts en thème :
Si Brasillach était maurrassien, Drieu-La Rochelle était-il d’extrême droite avant guerre ? Non. Il était de gauche et philosémite.
Jean Luchaire, Pierre de Brinon, Alphonse de Chateaubriand : idem, de gauche.
Doriot, Déat ? de gauche
Cocteau, Aymé, Giono ? de gauche
Bergery ? radical de gauche
Bertrand de Jouvenel ? de gauche
Simon Sabiani, Maurice-Ivan Sicard, Paul Perrin, André Grisoni, Paul Rives, Maurice Levillain, Barthélémy Montagnon, René Chateau, Claude Jamet : de gauche
Robert Jospin (le père de Lionel) pacifiste intégral, munichois, proche de Marcel Déat : SFIO
Camille Chautemps, Georges Bonnet, Maurice Papon, René Bousquet : de la gauche radicale !
Robert Hersant : idem
Charles Spinasse, Georges Monnet : encore
Georges Suarez qui fut l’ami de Joseph Kessel dans les années 20, biographe de Clémenceau et de Briand, dont le souci de réconciliation franco-allemande le conduisit sous Vichy au pronazisme le plus effréné, fut le premier journaliste à être jugé pour collaboration : proche de la gauche briandiste.
Alfred Baudrillart, Marc Augier, Jean Balestre : etc.
Camille Planche, Léon Emery, René Gérin, déatistes, provenant de la gauche.
Saint-Loup (alias Marc Augier qui, avant guerre, chantait “Au devant de la vie” avec ses camarades juifs des Auberges), Saint-Paulien (alias Maurice-Ivan Sicard, qui avant guerre vomissait dans son “Huron” le fascisme et les fascistes), Roland Gaucher (ex- Roland Goguillot qui militait aux Etudiants révolutionnaires), François Brigneau (Emmanuel Allot, pacifiste de gauche) : ex-antifascistes, anciens de la gauche et de l’extrême gauche, collabos, militants d’extrême droite après la guerre.
René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy, responsable de la déportation de 54.000 juifs français, l’ami de toujours de François Mitterrand : centre gauche républicain.
Saviez-vous que 12 des 17 ministres SFIO de la fin de la III° République furent exclus de ce parti après guerre pour leur comportement collaborateur pendant ?
Saviez-vous que trois des grands chefs de la collaboration, Pierre Laval amiral Darland Déat (ex-SFIO) furent victimes de deux extrémistes de droite, d’avant guerre ? Fernand Bonnier de la Chapelle, Action Française, assassina Darland à Alger en 1942 et Paul Collette, ex-Cagoulard, blessa par balle Marcel Déat et Pierre Laval en 1941 lors d’une revue des troupes de la LVF. (socialiste révolutionnaire avant la première guerre mondiale), l’ (socialiste) et
Je vous conseille la lecture du livre sur Honoré d’Estienne d’Orves, l’un des premiers resistant français (il a droit à une station de métro !) élève de l’Action Française.
De même que l’histoire de France de Jacques Bainville, issu de l’Action Française, qui avait prévu tout ce qui se passerait après le Traité de Versailles.
Au matin de la guerre Maurras affirmé clairement qu’il s’agissait de défendre la nation avant de se poser la question du régime (la république), appelant ainsi à la résistance.
La QUENELLE
Résumé du livre
Simon Epstein ouvre des dossiers patiemment constitués au fil des ans qui se fondent sur un socle informatif considérable portant sur deux catégories de Français, ceux qui protestèrent contre le racisme et l’antisémitisme dans les années 1920 et 1930, puis, dans les années 1940-1944, s’engagèrent dans la collaboration ; et ceux qui exprimèrent, d’une manière ou d’une autre, à un moment ou à un autre, une hostilité ou un préjugé à l’égard des Juifs, puis qui se retrouvèrent, l’heure venue, dans la Résistance.
Ce livre n’est ni l’histoire du philosémitisme ni celle de l’antisémitisme, il est l’histoire du passage de l’un à l’autre, et, si l’on veut, de l’autre à l’un.
La principale source de Simon Epstein est la presse antiraciste qui ne se contente d’ailleurs pas de polémiquer vertement avec les antisémites et de saluer les détracteurs de l’antisémitisme. Elle observe avec vigilance, tout au long des années 1930, ceux qui changent de camp et qui glissent du philosémitisme à l’antisémitisme.
En 1944 et dans les premières années de l’après-guerre, elle fournira un autre révélateur des dérives en publiant d’impressionnantes listes de ’traîtres’, anciens compagnons de route, anciens adhérents, anciens dirigeants de la LICA qui seront collaborateurs pendant la guerre
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Parole prophétique Partie 3
« Le combat spirituel pour l'Europe..»
par Ueli Surbeck
Nyon, le 17 8.2003
J'aimerais ajouter quelques pensées à cette parole prophétique «.
Le combat spirituel pour l'Europe.. » par Dieter Beständig. Les
paroles prophétiques ont certaines propriétés semblables au vin :
on les récolte le jour où elles sont données, puis on les laisse
reposer des années durant, jusqu'à ce qu'elles atteignent la
maturité, et on va les chercher le jour qu'il faut. Il y a des
vins qu'on fait reposer 3, 5, 10 ou 20 ans, parfois encore
beaucoup plus. J'ai le sentiment que pour cette parole, c'est le
moment qu'on la ressorte. C'est une parole qui décrit d'une
manière très pertinente le développement de l'UE depuis son
origine vers 1956. On peut en reconnaître, d'une manière très
classique, les 5 phases : alliance économique, cadre politique,
puissance militaire, gouvernement par rotation incluant une
présidence, crises qui vont amener l'ensemble à se constituer en
dictature... ce jeu-là, on ne l'a pas déjà connu quelque part ?
oui, c'est bien vrai : la Yougoslavie. Il semble que la vieille
Yougoslavie devrait nous être un avertissement, afin que nous
puissions voir ce qui vient, et nous y préparer aussi...
Il y a eu de nombreux enseignants de la Bible, prophètes, etc.,
pour voir également dans la construction de l'Europe les
« dix royaumes ». Mais c'est quelque chose que je ne peux
personnellement confirmer en aucune façon, aujourd'hui encore
moins qu'il y a dix ans. Il existe pourtant un tel plan, qui
rappelle très fortement Daniel 7,15-28 ainsi qu'Apocalypse 13
c'est-à-dire les dix rois. Ce fut le Club de Rome, un instrument
dirigeant pour globaliser le monde comme pour le diviser en
régions, qui disait de lui-même avoir la solution pour une paix
mondiale et une croissance économique mondiale...
Le 17 septembre 1973, ce club publiait un rapport sous le titre :
Le modèle régional adapté pour un système mondial global. il
avait été mis au point par Mihajlo Mesarovic et Eduard Pestel.
Dans ce document, le Club de Rome révèle qu'il a divisé le monde
en dix régions politico-économiques, qu'ils appellent «royaumes».
Ce rapport est une pièce centrale de la globalisation dans son
ensemble, ce que confirment de nombreuses personnes, notamment
le fondateur du Club de Rome, Aurelio Peccei, dans ses écrits ou
dans ses livres publiés dans les quelques années qui ont précédé
ou suivi.
Ce projet me semble beaucoup plus constituer l'accomplissement
possible de Daniel 7 et de Apocalypse 13,1 ou 17,12. Cela monte
aussi que le bâtiment Europe est une sorte de prototype pour les
neuf autres royaumes. Nous voyons maintenant déjà comment
certaines des autres régions sont an train de se rassembler
selon le même modèle que l'UE, comme par exemple l?'mérique du
Nord, l'Amérique du Sud, l'Afrique, la Ligue arabe, etc. Il
était très intéressant d'observer ce printemps comment le G8
s'est réuni début juin à Evian. Chose intéressante, c'était une
rencontre de « G8 élargi » qui rassemblait 21 nations. De plus,
on pouvait constater que le représentant le plus important sur
le plan politico-économique de chacune des dix régions était
chaque fois présent. Etait-ce un hasard, ou bien la première
rencontre informelle des dix rois ou de leurs substituts ?
Les dix cornes que tu as vues sont dix rois,
qui n'ont pas encore reçu de royaume,
mais qui reçoivent le pouvoir comme rois
pendant une heure avec la bête.
Ils ont un même dessein et donnent leur puissance
et leur pouvoir à la bête.
Ils combattront l'Agneau, et l'Agneau les vaincra,
parce qu'il est Seigneur des seigneurs et Roi des rois.
Et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui,
les vaincront aussi.
Apocalypse 17, 12-14
Ça veut dire qu'on peut reconnaître toujours plus clairement
qu'une construction politique, économique et sociale est en voie
de constitution sur le plan mondial, ce qui semble sans doute
très attrayant, et pourtant se révèle fondamentalement contre
Dieu. Cette construction a pour but de mener l'humanité à un
état de fausse sécurité et de dépendance, pour pouvoir ensuite
la manipuler et la contrôler, en se fondant sur l'humanisme et
sur le droit romain, c'est-à-dire sur l'immoralité et
l'injustice. La question que nous avons toujours à nous poser
est la suivante : à quel royaume est-ce que j'appartiens ? dans
quel camp serai-je, lorsque l'Agneau vaincra les dix rois,
ensemble avec l'Antichrist ? Vais-je tomber dans les pièges du
système moderne des dix rois et de l'Antichrist, ou est-ce que
j'appartiens à l'armée du Roi des rois, pour combattre avec lui
et remporter la victoire, quel qu'en soit le prix ?
Ci-dessous le modèle des dix royaumes, certainement un
prototype, représenté dans le livre de Gary H.Kah, En route to
Global Occupation
1. l'Amerique du Nord
2. l'Amerique du Sud
3. l'Europe avec Israel
4. le Moyen Orient (les Nation Arabe)
5. l'Afrique
6. l'Afrique du Sud et l'Australie
7. la Russie
8. l'Inde avec les Iles du Pacifique
9. le Japon
10. la Chine
Nous sommes toujours dans un temps de préparation, qui est
maintenant bientôt terminé. Dans cette époque, nous sommes
toujours en danger de nous attiédir, de nous laisser
endormir par les stratégies de l'ennemi et d'entrer dans
des compromis avec ses systèmes piégés politico-économico-
religieux. Nous ne sommes pourtant vraiment pas dans un
temps où nous pouvons nous permettre des compromis. Non,
c'est un temps durant lequel nous avons à prendre à coeur
la Parole :
Sortez du milieu d'elle, mon peuple,
afin de ne point participer à ses péchés
et de ne pas recevoir votre part de ses plaies !
Apocalypse 18,3
Proclamez ceci parmi les nations ! Préparez la guerre !
Réveillez les héros !
Qu'ils s'approchent, qu'ils montent, tous les hommes de guerre !
De vos socs, forgez des épées, et de vos serpes des lances !
Que le faible dise : je suis vaillant !
Dépêchez-vous et venez, vous toutes, nations d'alentour,
et rassemblez-vous !
Là, ô Eternel, fais descendre tes héros !
Que les nations se réveillent
et qu'elles montent vers la vallée de Josaphat !
Car là je siégerai pour juger toutes les nations d'alentour.
Lancez la faucille, car la moisson est mûre !
Venez, foulez, car le pressoir est plein !
Les cuves regorgent ! Car grande est leur méchanceté.
Voici des foules et des foules dans la vallée du verdict ;
Car le jour de l'Eternel est proche, dans la vallée du verdict.
Le soleil et la lune s'obscurcissent, et les étoiles retirent
leur éclat.
De Sion, l'Eternel rugit, de Jérusalem il donne de la voix ;
Le ciel et la terre sont ébranlés.
Mais l'Eternel est un refuge pour son peuple,
un abri pour les Israélites.
Vous reconnaîtrez que je suis l'Eternel, votre Dieu
Qui demeure à Sion, ma sainte montagne.
Jérusalem sera sainte, et les profanes n'y passeront plus.
En ce jour là, le jus de raisin ruissellera des montagnes,
le lait coulera des collines,
Les eaux couleront de tous les torrents de Juda ;
Une source sortira aussi de la maison de l'Eternel
et arrosera le vallon de Shittim.
Joël 4, 9-18
Voici que je fais de toi un traîneau aigu, tout neuf, garni
de pointes ;
Tu écraseras, tu broieras les montagnes
Et tu rendras les collines semblables à de la menue paille,
Tu les vanneras, le vent les emportera,
et un tourbillon les dispersera.
Mais toi, tu te réjouiras en l'Eternel,
Tu te glorifieras dans le Saint d'Israël.
Esaïe 41, 15-16
Il y aura un quatrième royaume, solide comme du fer;
de même que le fer pulvérise et rompt tout,
il pulvérisera et brisera tout,
comme le fer brise tout.
Et comme tu as vu les pieds et les (10) orteils en partie
d'argile de potier (l'humanisme) et en partie de fer
(la loi romaine), ce royaume sera divisé;
mais il y aura en lui quelque chose de la force du fer,
parce que tu as vu le fer mêlé avec l'argile.
Dans les temps de ces rois,
le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais
détruit, et ce royaume ne passera pas sous la domination
d'un autre peuple; il pulvérisera et anéantira tous ces
royaumes-là, et lui-même subsistera éternellement.
Daniel 2, 40 - 41 et 44
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