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Le Royaume-Uni est loin de reconnaître un Etat palestinien J Forum
Matthew Gould tente de dissiper les craintes. Selon lui, le Royaume-Uni est loin de reconnaître l’indépendance de la Palestine
L’ambassadeur britannique s’est exprimé lors d’une réunion des Européens en faveur d’Israël, menée au siège de l’Agence juive, à Jérusalem. Une visite inédite pour un ambassadeur de son pays.
Sous mandat britannique, l’Agence juive était le noyau stratégique de la résistance juive contre les Britanniques.
La question de la reconnaissance de la Palestine a été soulevée suite à l’annonce de la visite de William Hague. Le ministre britannique des Affaires étrangères rencontrera, cette semaine, une délégation palestinienne.
Selon Gould, "il ne s’agit nullement d’une étape vers la reconnaissance d’un Etat". Et de préciser que le but est de réengager le dialogue. "Il s’agit d’un conflit qui ne pourra être résolu que par un règlement négocié", assure le diplomate.
Autre sujet abordé : l’antisémitisme au Royaume-Uni. Si Gould a tenté de minimiser la gravité de la situation, il a concédé que 120 cas de violences antisémites avaient été déplorés l’année dernière. Le pays qu’il représente, clame-t-il toutefois, n’est fondamentalement pas antisémite ou hostile aux Juifs."
Et de compléter : "Le Royaume-Uni s’oppose à des désinvestissements, sanctions et autres boycotts économiques." Selon lui, "dans tous les cas, ces actions s’avèrent inefficaces". Preuve à l’appui : le commerce entre la Grande-Bretagne et Israël a augmenté de 30 % l’an dernier, tandis que les exportations israéliennes vers le Royaume-Uni ont grimpé de 40 %.
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Comment Israël pourra révolutionner le secteur mondial de l’énergie Des Infos
Par Dore Gold | Jerusalem Post
samedi 12 mars 2011
Personne ne sait combien durera l’instabilité interne au Moyen-Orient, mais selon le département de l’énergie des USA, on s’attend à ce que sa part dans la fourniture totale de pétrole dans le monde augmente dans les années à venir.
Simplement, le monde utilise les réserves de pétrole hors du Moyen-Orient plus rapidement. De plus, sur les milliards de barils de réserves prouvées qui restent, selon la CIA, environ 800 milliards de barils doivent être trouvés au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, en particulier en Arabie saoudite, en Iran et en Irak.
Les implications pour Israël de la dépendance croissante de l’Occident au pétrole du Moyen-Orient sont préoccupantes pour plusieurs raisons. Pourtant, il existe deux nouveaux développements dans notre secteur de l’énergie qui pourraient bien effacer ces courants et finalement modifier notre statut dans le monde, en particulier en ce qui concerne l’Europe.
D’abord, les découvertes de gaz en Méditerranée orientale, qui ont commencé de produire des quantités commerciales de gaz naturel en 2004, sont généralement bien connues. Le champ de Tamar, qui doit commencer sa production en 2013, doit fournir tous les besoins domestiques d’Israël pendant au moins 20 ans. Le journal ‘The Economist’ suggérait en novembre 2010 que le champ Leviathan récemment découvert, qui dispose d’une réserve deux fois supérieure à Tamar, pourrait être totalement consacré à l’exportation.
Tous les champs de gaz sous-marins réunis disposent d’environ 7,2 milliards de m³ de gaz, mais le potentiel de futures découvertes est immensément supérieur, selon les estimations de l’enquête géologique des USA, suivant lesquelles il existe environ 35 milliards de m³ de gaz dans tout le bassin du Levant, la plus grande partie relevant de la juridiction d’Israël.
Après la découverte de Leviathan, ces résultats pourraient encore aller au-delà. C’est peut-être pour cette raison que la Grèce à entamé des discussions avec Israël pour créer un centre de transport à travers l’Europe depuis la Méditerranée orientale, qui proviendra de gazoducs sous-marins.
Ce qui est moins bien connu, mais encore plus important, c’est le travail accompli dans sur le pétrole bitumineux du pays. Le Conseil Mondial de l’Energie basé en Grande Bretagne a rapporté en novembre 2010 qu’Israël dispose de pétrole bitumineux à partir duquel il est possible d’extraire l’équivalent de 4 milliards de barils de pétrole. Pourtant, ces chiffres sont actuellement en cours de révision majeure au plan international.
Une nouvelle évaluation a été publiée à la fin de l’an dernier par le Dr Youval Bartov, géologue en chef pour les initiatives d’Israël, au symposium annuel de la prestigieuse Ecole des Mines du Colorado. Il a présenté des données sur nos réserves de pétrole bitumineux qui sont en réalité équivalentes à 250 milliards de barils (à comparer avec les 260 milliards de barils des réserves prouvées d’Arabie saoudite). Des analystes indépendants de l’industrie pétrolière ont examiné soigneusement le schiste, et n’ont pas réfuté ces nouvelles découvertes. Par suite de ces nouvelles estimations, nous pourrions devenir le troisième plus grand gisement de pétrole bitumineux, après les USA et la Chine.
L’exploitation du pétrole bitumineux était une activité sale qui utilisait des quantités énormes d’eau et d’énergie. Pourtant, des nouvelles technologies, développées pour le pétrole de schiste israélien, cherchent à séparer le pétrole de la roche de bitume 300 mètres sous terre ; ces techniques produisent en réalité de l’eau, plutôt qu’elles n’en consomment.
La technologie sera testée dans un projet pilote suivi par une étape de démonstration ; Il sera critique de démontrer que la séparation souterraine du pétrole et du bitume est fiable sur le plan environnemental avant de passer à une production à grande échelle. L’objectif actuel est de produire des quantités commerciales d’ici la fin de la décennie. Ce projet particulier a une portée mondiale.
Car si Israël développe une méthode unique de séparation du pétrole du bitume dans le sous-sol profond, qui n’a pas les effets négatifs des essais précoces antérieurs du pétrole bitumineux, cette technologie peut être mise à la disposition du monde entier, modifiant entièrement le marché pétrolier mondial. L’effet de l’extension de cette technologie serait de faire glisser le centre de gravité du pétrole mondial loin de l’Iran, de l’Arabie saoudite et du Golfe persique vers des Etats plus stables qui n’ont pas d’antécédents de soutien au terrorisme ou aux causes islamiques radicales. (Dans le monde arabe, la Jordanie et le Maroc ont les gisements bitumineux les plus significatifs).
Quand l’Occident commencera-t-il à traiter Israël comme un puissant géant de l’énergie et pas comme un Etat client faible qu’il faut pressurer ? Dans le cas des Saoudiens, quand les USA ont réalisé la véritable extension de leurs réserves de pétrole, après que les réserves de l’Amérique au Texas et en Oklahoma furent épuisées par la Seconde Guerre Mondiale, ils ont cherché à élever leurs liens militaires et diplomatiques avec le royaume saoudien, y compris avant que sa capacité de production ne soit pleinement exploitée. La liaison USA - Saoudiens a augmenté alors que des investissements d’infrastructures massifs pour transporter le pétrole saoudien vers les marchés occidentaux étaient réalisés. Comme l’Oléoduc TransArabie (TAPLINE).
On avait besoin de davantage de capitaux pour le projet pétrolier saoudien. Des compagnies américaines, comme la Standard Oil du New Jersey (aujourd’hui Exxon = Esso), et la Standard Oil de New York (Mobil) s’adjoignent Texaco et la Standard Oil de Californie, détenteur original de la concession pétrolière saoudienne, pour créer le consortium ARAMCO à la fin des années 1940. Les dirigeants d’ARAMCO en vinrent à être des invités réguliers du département d’Etat, où ils pouvaient représenter le point de vue saoudien.
Avec le temps, le statut de l’Arabie saoudite croissait à mesure que sa position à venir dans le monde du pétrole s’appréciait.
Dans le cas d’Israël, des rapports internationaux mis à jour vérifiant les vraies dimensions aussi bien de son gaz sous-marin, que de son sol bitumineux doivent arriver l’an prochain.
Beaucoup d’autres compagnies internationales manifesteront certainement de l’intérêt dans le secteur de l’énergie à ce moment là. De plus, la pleine exploitation de ces ressources d’énergie requerra un investissement massif en infrastructures pour des oléoducs, des usines de gaz naturel liquéfié, et de nouvelles installations d’exportation de pétrole en Méditerranée et en Mer Rouge.
Israël dispose d’une situation unique de par sa position géographique et est capable de diriger ses exportations d’énergie soit vers l’Europe, soit vers la Chine et l’Inde. Il peut ne pas disposer du capital pour bâtir cette capacité d’exportation, mais la participation d’investisseurs étrangers dans ces projets donnera aux banques européennes et américaines de nouveaux intérêts en développements.
La politique occidentale ne changera pas du jour au lendemain. Néanmoins, Israël doit détailler toute l’histoire de son nouveau rôle émergent dans le secteur de l’énergie mondiale s’il veut commencer de modifier la manière dont il a été traité au plan international.
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Itamar
Netanyahou au grand-père de la famille assassinée : ’’Tout Israël est avec vous"
Guysen.International.News
dimanche 13 mars 2011
Shimon Pérès : les terroristes d’Itamar n’ont pas de visage humain Le président Shimon Pérès a déclaré que le meurtre de la famille Fogel à Itamar est ’’l’un des évènements les plus graves et les plus abjects que nous ayons connu’’. ’’C’est un acte qui traduit l’absence de visage humain. Aucune religion ou croyance dans le monde ne permet ces actes horribles. Il n’y a pas de mots pour consoler’’, a-t-il ajouté.
Assassinat à Itamar : le Hamas dément toute responsabilité Ezzat Al-Rashak, un membre du cabinet politique du Hamas, dément que son mouvement soit responsable du meurtre des 5 membres de la famille Fogel à Itamar. ’’Ce n’est pas la politique du Hamas et des factions de la résistance palestiniennes d’attenter à des enfants’’. Selon lui, ’’il ne faut pas exclure que des colons aient eux-mêmes commis l’acte, pour des motifs criminels’’.
Assassinat à Itamar : entretien Netanyahou-Abbas. Le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a téléphoné ce samedi soir au Premier ministre Binyamin Netanyahou pour lui faire part de ses condoléances pour l’assassinat de la famille Fogel à Itamar. M. Netanyahou a pour sa part souligné ’’qu’il ne faut pas se contenter de telles condamnations. Il faut stopper l’incitation à la violence et éduquer le peuple palestinien à la paix’’. Et d’ajouter que ’’le meurtre de bébés dans leur sommeil n’est motivé que par la volonté de tuer’’.
Assassinat à Itamar : Ban Ki-moon condamne ce meurtre ’’choquant’’. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a condamné le meurtre « choquant » d’’une famille israélienne composée de cinq personnes, dont trois enfants, à Itamar. Ban Ki-moon a appelé à poursuivre les responsables de ce crime et a exhorté toutes les parties à faire preuve de retenue.
Assassinat à Itamar : le grand rabbin d’Israël condamne . Le grand rabbin d’Israël, Yona Metzger, a vivement condamné les assassins ’’cruels’’ de la famille Fogel à Itamar en plein shabbat, jour saint et de repos dans le judaïsme. ’’Les dirigeants spirituels et les dignitaires religieux qui incitent à la violence, portent aussi la responsabilité’’ de ce crime horrible dont les auteurs ’’ne seront pas absous’’, a-t-il ajouté.
Assassinat à Itamar : Ehoud Barak exige une condamnation très ferme des Palestiniens. Le ministre de la Défense Ehoud Barak affirme que ’’ce grave attentat (ndlr- l’assassinat de la famille de 5 personnes à Itamar) nécessite une condamnation ferme de tout pays ou gouvernement aspirant à l’ordre et au calme. Cet attentat appelle aussi à une vive condamnation de la part de l’Autorité palestinienne, en parallèle d’un traitement adéquat contre les racines desquelles germent la haine et l’incitation à la violence’’.
Assassinat à Itamar : les habitants de Judée-Samarie en veulent au gouvernement. Itzhak Shedmi, un ami de la famille Fogel, assassinée ce shabbat à Itamar a indiqué que les habitants des implantations ’’en veulent au gouvernement qui pourchasse les juifs, et ne les laisse pas vivre et construire, principalement au ministre de la Défense qui dirige le Premier ministre comme s’il était son frère jumeau’’.
Assassinat à Itamar : Netanyahou exige une condamnation internationale. Le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou a appelé dans une allocution radio-télévisée la communauté internationale à condamner l’assassinat d’une famille israélienne à Itamar. ’’Il n’y a aucune justification, aucun prétexte et aucun pardon pour l’assassinat de bébés. J’ai noté que plusieurs pays qui se sont empressés de saisir le Conseil de sécurité de l’Onu pour condamner Israël et l’Etat des juifs pour avoir planifié la construction d’une maison à un endroit quelconque, tardent à condamner vivement l’assassinat de bébés juifs’’. "Nous renforçons l’esprit de nos frères qui vivent dans les implantations. Tout le peuple est avec vous", a poursuivi le chef du gouvernement.
Assassinat à Itamar : la France condamne ’’très fermement’’. Paris a condamné dans les termes les plus vifs l’assassinat de la famille israélienne à Itamar. Dans un communiqué le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, écrit : ’’La France condamne avec la plus grande fermeté l’assassinat de cinq membres d’une famille israélienne hier dans la colonie d’Itamar, en Cisjordanie. Parmi les victimes de cet acte barbare se trouvent trois enfants, dont un bébé. En ces circonstances tragiques, j’adresse mes condoléances aux proches des victimes ainsi qu’aux autorités israéliennes. La France condamne tout acte de violence dans les territoires occupés et appelle à la plus grande retenue afin d’empêcher la dégradation de la situation. La recherche de la paix par la négociation doit prévaloir’’.
Assassinat à Itamar : l’horreur de 2002 se reproduit.L’assassinat perpétré ce shabbat à Itamar a rappelé à Boaz Shabo de tristes souvenirs : en 2002, sa femme et ses trois enfants avaient été poignardés de façon similaire à la famille Fogel, dans la même localité.
Assassinat à Itamar : un ou deux terroristes l’ont perpétré. Un ou deux terroristes palestiniens ont franchi la barrière de sécurité de l’implantation d’Itamar, près de Shehem (Naplouse) dans la nuit de vendredi à samedi, sont entrés au domicile de la famille Fogel par la fenêtre et ont poignardé les parents, un garçon de 11 ans, un de 3 ans, et un bébé de 3 mois. La fille aînée de 12 ans, qui est rentrée à la maison après une activité d’un mouvement de jeunesse, a vu la scène terrifiante et a pris deux de ses petits frères restés en vie et s’est sauvée chez les voisins.
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Itamar / Attentat : rares réactions à l’étranger. Des Infos
Par Shraga Blum
dimanche 13 mars 2011
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Israël
Le gouvernement isréalien accélère la colonisation en réaction à la tuerie d'Itamar
LEMONDE.FR
Des soldats israéliens gardent la maison où une famille de colons a été assassinée, samedi 12 mars, en Cisjordanie.AFP/JACK GUEZ
Le gouvernement israélien a élevé dimanche 13 mars le niveau d'alerte de la police de crainte de représailles après l'assassinat de cinq Israéliens dans une colonie de Cisjordanie. Par ailleurs, il a donné son feu vert à la construction de centaines de logements dans ce territoire palestinien.
Les funérailles de la famille Fogel, les parents et trois enfants, dont un bébé, poignardés à mort dans leur lit vendredi soir dans la colonie d'Itamar (nord de la Cisjordanie), se déroulait en début d'après-midi à Jérusalem, en présence de milliers de personnes, dans un pays sous le choc. Sur le terrain, soldats et services de sécurité israéliens ont poursuivi leur chasse à l'homme dans la région de Naplouse. Aucune revendication crédible de l'attaque n'a été annoncée.
"En tant que ministre de la défense, je suis certain que la main de fer de l'armée et du Shin Bet va rapidement capturer les meurtriers. Ils seront pris et devront rendre des comptes", a assuré Ehoud Barak. La police israélienne a rehaussé son niveau d'alerte de crainte d'actes de vengeance anti-palestiniens de la part d'extrémistes juifs. Des colons en colère sont entrés dans la nuit de samedi à dimanche dans le village palestinien de Burin, un foyer de tension près de Naplouse, jetant des pierres et incendiant une maison, selon des habitants. Des incidents ont été recensés autour et dans la ville palestinienne d'Hébron.
CENTAINES DE NOUVEAUX LOGEMENTS
Le premier ministre Benyamin Netanyahou a exhorté les Israéliens à faire preuve de "retenue". "J'appelle tous les Israéliens à agir de façon responsable, avec retenue et à ne pas se faire justice eux-mêmes. Lorsque quelqu'un se fait justice, il n'y plus de justice. C'est seulement à l'armée et aux forces de sécurité d'assumer cette responsabilité", a proclamé M. Netanyahou. La situation s'était vivement tendue ces dernières semaines entre paysans palestiniens et colons juifs extrémistes autour de Naplouse, une région agricole où cohabitent, dans un climat permanent de violences, paysans palestiniens et colons juifs, dont certains réputés pour leur extrémisme.
Le Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, UE, Russie et ONU) a condamné "dans les termes les plus forts possibles" la tuerie d'Itamar en qualifiant "d'inacceptables" les attaques contre les civils. Il s'est félicité de "la ferme condamnation de cette attaque" par l'Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas. Sur le front politique, le gouvernement israélien a réagi à l'attaque en donnant son feu vert à la construction de "centaines de logements" dans des colonies de Cisjordanie.
"La commission ministérielle chargée des implantations a décidé hier (samedi) la construction de quelques centaines d'unités de logements à Gush Etzion, Maale Adoumim, Ariel et Kyriat Sefer", a annoncé le bureau de M. Netanyahou dans un communiqué. Ces quatre colonies sont parmi les plus peuplées de Cisjordanie et font partie de ce que les responsables israéliens appellent des "blocs d'implantations" qui doivent, selon eux, être annexés dans tout accord de paix avec les Palestiniens.
Le dirigeant de Yesha, la principale organisation de colons, Danny Dayan, s'est félicité de "ce petit pas dans la bonne direction", en appelant Benjamin Netanyahou à approuver d'autres permis de construire en Cisjordanie occupée. En revanche, l'Autorité palestinienne a "condamné fermement" la décision du gouvernement israélien et averti qu'elle conduirait à de "sérieux problèmes".
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