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Mystérieuse disparition du directeur de la centrale électrique de Gaza en Ukraine (Israel-infos)

 
Numéro 994 - 15.03.2011 - 9 AdarII 5771 

Mystérieuse disparition du directeur de la centrale électrique de Gaza en Ukraine, Israël soupconné
par Gerard Fredj
Depuis bientôt un mois, Derar Abou Sisi a disparu, et beaucoup de monde le cherche.


Abou Sisi, d'origine jordanienne, demeure à Gaza.Ingénieur, il dirige la centrale électrique qui alimente la bande de Gaza.

Selon le ministre de l'Intérieur ukrainien qui a ouvert une enquête "la disparition est mystérieuse".

Pour sa sœur, Suzanne Abu Sisi, qui vit aussi à Gaza, son frère est parti en Ukraine, pays d'origine de sa femme, pour demander la nationalité Ukrainienne. Il aurait été vu pour la dernière fois dans un train entre Kharkov et Kiev, dans lequel, toujours selon sa sœur, il aurait été kidnappé.

Elle a ultérieurement précisé que, selon des témoins, amis de l'ingénieur, il avait été enlevé par six hommes qui s'étaient emparés de lui ajoutant qu'elle "sait qu'il est actuellement détenu en Israël".

Selon l'agence Reuters qui aurait interrogé des associations de drtois de l'Homme, Abou sisi serait détenu à Ashkelon depuis près de trois semaines.

La famille d'Abu Sisi a tenu a précisé que l'homme n'avait aucun lien avec le Hamas, ce qui semble douteux lorsque l'on sait que tout poste à responsabilité à Gaza implique l'affiliation au Hamas, et Abu Sisi occupait un poste hautement stratégique, puisqu'il dirigeant la seule centrale électrique de la bande de Gaza.
Ses collègues décrivent d'ailleurs Abou Sisi comme un fervent supporter des islamistes.

Sa femme, Veronika, accuse Israël d'avoir enlevé son mari pour saboter la centrale électrique de Gaza, ajoutant "qu'elle a toute confiance en son mari".

Vendredi dernier, le porte parole du ministre Hamas de l'Intérieur Hamas confirmait l'information, accusant les autorités ukrainiennes (avec qui Israël entretient d'excellentes relations) d'être complice, ou tout au moins d'avoir laissé faire".

L'agence de l'ONU pour les réfugiés en Ukraine, porte les mêmes accusations.

Les autorités israéliennes se refusent à tout commentaire, se retranchant derrière une obligation de confidentialité, les autorités ukrainiennes restent laconiques.

 

Israel-Infos : 160 000 Palestiniens pour une 3è intifada dès le 15 mai...

Numéro 994 - 15.03.2011 - 9 AdarII 5771 

Facebook : 160 000 palestiniens pour une 3è Intifada le 15 Mai
par Gerard Fredj
Les récents évènements du Moyen Orient ont fait des réseaux sociaux, notamment de Facebook,

les incubateurs de la révolte sociale. Les palestiniens semblent décidés à utiliser, à leur tour, et pour leur compte, la puissance considérable de ce réseau.

La semaine dernière, une page Facebook appelant au lancement d'une 3è Intifada dans la bande de Gaza et dans les territoires gérés par l'Autorité palestinienne a été créée; en dix jours, près de 166 000 personnes ont adhéré à la page (au rythme de 20 000 par jour environ et le mouvement s'accélère) , et les organisateurs visent le million d'ici à quelques semaines.

Les créateurs de la page, malgré les demandes des internautes, refusent de révéler leur origine, indiquant simplement qu'ils sont palestiniens.

Loin du discours non violent tenu par Mahmoud Abbas et ses déclarations sur la résistance pacifique, les créateurs du compte appellent à attaquer les implantations juives, et demandent au Hezbollah de tirer des roquettes sur Israël.

Ils appellent également à l'application de la résolution 194 de l'ONU, votée en 1948, qui reconnaît le droit au retour de tous les réfugiés qui le souhaitent ou leur indemnisation.

Même si ceux-ci appellent à participer aux rassemblements organisés mardi pour demander la réconciliation du Fatah et du Hamas, ils semblent clairement distincts des organisateurs du groupe Facebook pour la réconciliation.

Un responsable du Fatah interrogé par Yediot Ahahonot a déclaré douter que "Facebook puisse amener à une 3è Intifada" estimant qu'il n'y a pas de force organisée derrière ce groupe, et que "la situation était sous contrôle".

Tout au plus concède-t-il que le groupe pourrait provoquer un ou deux jours d'affrontement "avant le retour au calme". Comme le disaient Moubarak, Ben Ali, Saleh ou Kadhafi.

La date fixée par le pour le début de la 3è Intifada est fixé au 15 mai prochain.

 

Japon Edition abonné / Le Monde

Peur de catastrophes nucléaires au Japon
Deux explosions se sont produites lundi au niveau du réacteur 3 de la centrale nucléaire de Fukushima 1, accidenté à la suite du séisme de magnitude 8,9 de vendredi au Japon. Le réacteur a résisté, a assuré peu après l'opérateur, Tepco. Une explosion similaire avait eu lieu samedi sur son réacteur 1. Elle a produit des rejets radioactifs "très importants", selon l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire français. Une autre centrale, celle de Tokai 2, a aussi connu hier des problèmes de refroidissement, sans dommages selon les autorités. L'autre priorité des autorités est le secours aux victimes et la recherche des personnes portées disparues après le tsunami provoqué par le séisme. Le dernier bilan de la police nationale faisait état de 688 morts, 642 disparus et 1 570 blessés. Mais le chef de la police de la préfecture de Miyagi a dit qu'il fallait s'attendre à ce qu'il dépasse 10 000 morts dans cette seule région. Le Japon a mobilisé 100 000 soldats, tandis que de nombreuses équipes de sauveteurs étrangers arrivaient sur les lieux. Le PM, Naoto Kan, a affirmé que le pays faisait face à "sa plus grave crise en 65 ans, depuis la seconde guerre mondiale". La Bourse de Tokyo a chuté lundi.

 

Japon Le Monde

Deux explosions se sont produites lundi au niveau du réacteur 3 de la centrale nucléaire de Fukushima n° 1, accidenté à la suite du séisme et du tsunami de vendredi dans le nord-est du Japon, rapporte l'opérateur Tokyo Electric Power Co. (Tepco). La possibilité d'importantes fuites radioactives est "faible" après les explosions d'hydrogène, a déclaré le porte-parole du gouvernement japonais, Yukio Edano.

Un autre problème est apparu dans la nuit de dimanche à lundi dans une centrale de la préfecture d'Ibaraki, à seulement 120 km au nord de Tokyo. Une pompe du système de refroidissement du réacteur n° 2 a cessé de fonctionner. Cette centrale, Tokai, avait connu un accident nucléaire en 1999. Le premier ministre Naoto Kan, l'air sombre, a estimé lors d'une conférence de presse que ce séisme et ses conséquences – tsunami, accident nucléaire – représentaient la crise la plus grave depuis la seconde guerre mondiale pour l'Archipel, mais il a souligné que cela n'était en rien un nouveau Tchernobyl.

Près de deux millions de foyers sont privés d'électricité dans le nord du pays, où les températures sont hivernales, et 1,4 million d'habitations n'ont plus d'eau courante. Des centaines de milliers de personnes ont été évacuées des zones sinistrées, dont 140 000 aux abords de la centrale de Daiichi, après le séisme. Cent mille soldats japonais ont été mobilisés pour participer aux secours, soit le double du chiffre précédemment annoncé.

Une nouvelle secousse sismique, d'une magnitude de 5,8 selon l'Institut de géophysique américain (USGS), a frappé le Japon lundi peu après 10 heures locales (2 heures à Paris), moins de trois jours après le plus fort séisme enregistré dans son histoire (magnitude de 8,9). L'épicentre de ce nouveau séisme, fortement ressenti à Tokyo, est situé en mer, à 150 km au nord-est de la capitale, au large de la préfecture d'Ibaraki. Le niveau de la mer a été légèrement modifié mais il n'y a pas de risque de tsunami, selon l'agence météorologique japonaise.

Près de 70 pays ont proposé ou d'ores et déjà envoyé une aide au Japon. Une dizaine de nations ont dépêché des équipes de sauveteurs, et 17 autres équipes se tiennent prêtes à partir. De France devait partir dimanche soir ou dans la nuit un avion transportant des pompiers venus d'Istres, dans les Bouches-du-Rhône, et du matériel. Par ailleurs, les autorités françaises ont recommandé à leurs ressortissants de s'éloigner de la région du Kanto, autour de Tokyo, en raison du risque de répliques et de l'incertitude sur la situation nucléaire. Neuf mille Français vivent dans l'archipel nippon.

 

Japon

Le bilan du séisme s'alourdit au Japon

LEMONDE.FR

 
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Les secours tentent de rechercher des survivants dans la province de Miyagi, l'une des plus touchées par le séisme.

Les secours tentent de rechercher des survivants dans la province de Miyagi, l'une des plus touchées par le séisme.AP/Shuji Kajiyama

 

Les secours ont fait la macabre découverte, lundi 14 mars, de 2 000 corps sans vie sur les côtes de la province de Miyagi, a annoncé la chaîne de télévision japonaise NHK. L'agence AP, qui relate également ces faits, parle pour sa part d'un millier de cadavres recensés. Alors qu'il est toujours très difficile d'établir un bilan précis du nombre des victimes du séisme et du tsunami de vendredi au Japon, l'estimation qui prévaut à ce jour s'élève à 10 000 morts.

Des dizaines de milliers de personnes sont toujours portées disparues dans le nord du pays. Dans le port de Minamisanriku, on est sans nouvelles de près de la moitié des 17 500 habitants. Dans la ville d'Otsuchi (préfecture d'Iwate), ce sont 12 000 des 15 000 habitants qui sont portés disparus.

Des centaines de milliers de rescapés attendent d'être secourus dans les régions frappées par le séisme. Les équipes de sauveteurs étrangers et japonais, aidés par 100 000 soldats japonais s'activent ce lundi pour tenter de retrouver des survivants.  Plus de 450 000 personnes ont été évacuées des zones sinistrées par le tremblement de terre et le raz-de-marée. Un chiffre auquel s'ajoutent 80 000 personnes évacuées d'une zone de 20 km de rayon autour de la centrale de Fukushima Dai-Ichi.

La tâche des secours risque d'être compliquée par les problèmes d'alimentation d'électricité. Dans le nord du pays, où les températures sont hivernales, près de deux millions de foyers sont toujours sans électricité, et 1,4 million sont privés d'eau courante.

 

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