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Mystérieuse disparition du directeur de la centrale électrique de Gaza en Ukraine (Israel-infos)
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Numéro 994 - 15.03.2011 - 9 AdarII 5771 |
Mystérieuse disparition du directeur de la centrale électrique de Gaza en Ukraine, Israël soupconné |
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Israel-Infos : 160 000 Palestiniens pour une 3è intifada dès le 15 mai...
Numéro 994 - 15.03.2011 - 9 AdarII 5771 |
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Japon Edition abonné / Le Monde
Deux explosions se sont produites lundi au niveau du réacteur 3 de la centrale nucléaire de Fukushima 1, accidenté à la suite du séisme de magnitude 8,9 de vendredi au Japon. Le réacteur a résisté, a assuré peu après l'opérateur, Tepco. Une explosion similaire avait eu lieu samedi sur son réacteur 1. Elle a produit des rejets radioactifs "très importants", selon l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire français. Une autre centrale, celle de Tokai 2, a aussi connu hier des problèmes de refroidissement, sans dommages selon les autorités. L'autre priorité des autorités est le secours aux victimes et la recherche des personnes portées disparues après le tsunami provoqué par le séisme. Le dernier bilan de la police nationale faisait état de 688 morts, 642 disparus et 1 570 blessés. Mais le chef de la police de la préfecture de Miyagi a dit qu'il fallait s'attendre à ce qu'il dépasse 10 000 morts dans cette seule région. Le Japon a mobilisé 100 000 soldats, tandis que de nombreuses équipes de sauveteurs étrangers arrivaient sur les lieux. Le PM, Naoto Kan, a affirmé que le pays faisait face à "sa plus grave crise en 65 ans, depuis la seconde guerre mondiale". La Bourse de Tokyo a chuté lundi.
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Japon Le Monde
Deux explosions se sont produites lundi au niveau du réacteur 3 de la centrale nucléaire de Fukushima n° 1, accidenté à la suite du séisme et du tsunami de vendredi dans le nord-est du Japon, rapporte l'opérateur Tokyo Electric Power Co. (Tepco). La possibilité d'importantes fuites radioactives est "faible" après les explosions d'hydrogène, a déclaré le porte-parole du gouvernement japonais, Yukio Edano.
Un autre problème est apparu dans la nuit de dimanche à lundi dans une centrale de la préfecture d'Ibaraki, à seulement 120 km au nord de Tokyo. Une pompe du système de refroidissement du réacteur n° 2 a cessé de fonctionner. Cette centrale, Tokai, avait connu un accident nucléaire en 1999. Le premier ministre Naoto Kan, l'air sombre, a estimé lors d'une conférence de presse que ce séisme et ses conséquences – tsunami, accident nucléaire – représentaient la crise la plus grave depuis la seconde guerre mondiale pour l'Archipel, mais il a souligné que cela n'était en rien un nouveau Tchernobyl.
Près de deux millions de foyers sont privés d'électricité dans le nord du pays, où les températures sont hivernales, et 1,4 million d'habitations n'ont plus d'eau courante. Des centaines de milliers de personnes ont été évacuées des zones sinistrées, dont 140 000 aux abords de la centrale de Daiichi, après le séisme. Cent mille soldats japonais ont été mobilisés pour participer aux secours, soit le double du chiffre précédemment annoncé.
Une nouvelle secousse sismique, d'une magnitude de 5,8 selon l'Institut de géophysique américain (USGS), a frappé le Japon lundi peu après 10 heures locales (2 heures à Paris), moins de trois jours après le plus fort séisme enregistré dans son histoire (magnitude de 8,9). L'épicentre de ce nouveau séisme, fortement ressenti à Tokyo, est situé en mer, à 150 km au nord-est de la capitale, au large de la préfecture d'Ibaraki. Le niveau de la mer a été légèrement modifié mais il n'y a pas de risque de tsunami, selon l'agence météorologique japonaise.
Près de 70 pays ont proposé ou d'ores et déjà envoyé une aide au Japon. Une dizaine de nations ont dépêché des équipes de sauveteurs, et 17 autres équipes se tiennent prêtes à partir. De France devait partir dimanche soir ou dans la nuit un avion transportant des pompiers venus d'Istres, dans les Bouches-du-Rhône, et du matériel. Par ailleurs, les autorités françaises ont recommandé à leurs ressortissants de s'éloigner de la région du Kanto, autour de Tokyo, en raison du risque de répliques et de l'incertitude sur la situation nucléaire. Neuf mille Français vivent dans l'archipel nippon.
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Japon
Le bilan du séisme s'alourdit au Japon
LEMONDE.FR
Les secours tentent de rechercher des survivants dans la province de Miyagi, l'une des plus touchées par le séisme.AP/Shuji Kajiyama
Les secours ont fait la macabre découverte, lundi 14 mars, de 2 000 corps sans vie sur les côtes de la province de Miyagi, a annoncé la chaîne de télévision japonaise NHK. L'agence AP, qui relate également ces faits, parle pour sa part d'un millier de cadavres recensés. Alors qu'il est toujours très difficile d'établir un bilan précis du nombre des victimes du séisme et du tsunami de vendredi au Japon, l'estimation qui prévaut à ce jour s'élève à 10 000 morts.
Des dizaines de milliers de personnes sont toujours portées disparues dans le nord du pays. Dans le port de Minamisanriku, on est sans nouvelles de près de la moitié des 17 500 habitants. Dans la ville d'Otsuchi (préfecture d'Iwate), ce sont 12 000 des 15 000 habitants qui sont portés disparus.
Des centaines de milliers de rescapés attendent d'être secourus dans les régions frappées par le séisme. Les équipes de sauveteurs étrangers et japonais, aidés par 100 000 soldats japonais s'activent ce lundi pour tenter de retrouver des survivants. Plus de 450 000 personnes ont été évacuées des zones sinistrées par le tremblement de terre et le raz-de-marée. Un chiffre auquel s'ajoutent 80 000 personnes évacuées d'une zone de 20 km de rayon autour de la centrale de Fukushima Dai-Ichi.
La tâche des secours risque d'être compliquée par les problèmes d'alimentation d'électricité. Dans le nord du pays, où les températures sont hivernales, près de deux millions de foyers sont toujours sans électricité, et 1,4 million sont privés d'eau courante.
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