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Japon / Le Monde

Le Japon relève de 4 à 5 le niveau de gravité des accidents dans les réacteurs 1, 2 et 3 de Fukushima

Le niveau 5 de l'échelle des événements nucléaires et radiologiques, qui en compte 7, correspond à un accident "entraînant un risque hors site". Par contre, la situation dans le réacteur n° 4 a été réévaluée à la baisse, au niveau 3. De leur côté, les autorités françaises ont classé l'accident survenu à Fukushima au niveau 6.

 

Libye / Le Monde

L'état des forces libyennes

LEMONDE.FR

 

Véhicule de l'armée libyenne, le 16 mars 2011, à Ajdabiya.

Véhicule de l'armée libyenne, le 16 mars 2011, à Ajdabiya.REUTERS/AHMED JADALLAH

Avant l'insurrection en cours, qui implique une partie de son armée, le colonel Mouammar Kadhafi disposait, sur le papier, de quelque 100 000 militaires, appuyés par de l'artillerie lourde, des blindés, des avions de combat et une petite marine de guerre. S'il est difficile de mesurer les capacités militaires de la rébellion, il est toutefois clair que les unités les mieux équipées et entraînées sont restées fidèles au "guide" de la révolution libyenne, au pouvoir depuis plus de 41 ans. L'armée compte 76 000 militaires d'active, auxquels s'ajoute une réserve de 40 000 miliciens.

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Armée de terre : elle compte 50 000 hommes, dont 25 000 appelés, 800 chars, dont beaucoup seraient inutilisables, 120 véhicules de reconnaissance, un millier de blindés de combat, presque autant de transports de troupes et plus de 2 400 pièces d'artillerie. L'armée de terre compte aussi un demi-millier de mortiers et plus de 420 missiles sol-air. Mais ces évaluations théoriques doivent être nuancées par l'impact des sanctions internationales infligées à la Libye dans les années 1990 et le mauvais entretien de ces armements. Selon les analystes, Kadhafi s'est efforcé de marginaliser son armée pour éviter que ses chefs puissent rivaliser avec les membres de sa famille ou de sa tribu, à la tête d'unités de "protection du régime". Il ne pourrait compter en dernier ressort que sur 10 000 à 12 000 militaires fidèles, dont ceux de la 32e brigade commandée par son fils Khamis.

Marine : elle compte 8 000 hommes — garde-côtes compris —, deux sous-marins de patrouille, trois bâtiments de surface et une quinzaine de vedettes rapides. Les deux sous-marins à propulsion classique de conception soviétique de la classe Foxtrot ne seraient plus opérationnels, selon la revue spécialisée Jane's.

Aviation : l'armée de l'air compte sur le papier 18 000 hommes et 394 avions de combat, dont beaucoup ne seraient plus opérationnels. Parmi eux figurent sept bombardiers Tu-22, 187 chasseurs MiG 23 et 25, 180 avions d'attaque au sol Mig-21 et 23, Mirage F1 et Su-17 et 24. Il faut y ajouter sept MiG-25 de surveillance, 85 avions de transport militaires. La flotte d'hélicoptères compte 35 appareils d'attaque de conception russe, 11 appareils de reconnaissance maritime, et 90 hélicoptères de transport ou de transport-reconnaissance de divers types. Les analystes estiment que la plupart des appareils à réaction libyens ne sont plus en état de voler. En outre, l'aviation en aurait perdu six depuis le début de l'insurrection. Deux pilotes de Mirage ont fait défection avec leurs appareils à Malte, trois avions ont été abattus par les insurgés et un autre s'est écrasé après que son pilote se fut éjecté en refusant de bombarder une cible rebelle.

Commandement de la défense aérienne : ce corps d'armée possède au moins 216 missiles sol-air. Mais, là encore, leur maintenance laisse à désirer au point que la plupart des analystes ne prévoient pas d'obstacle majeur à l'instauration éventuelle d'une zone d'exclusion aérienne.

Armes chimiques : selon l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OPCW), la Libye aurait détruit tout son stock d'armes chimiques dans le cadre de sa tentative de rapprochement avec l'Occident, en 2004. Mais l'OPCW estime qu'elle a conservé près de dix tonnes de gaz moutarde sur un site secret dans le désert. Sa capacité à l'utiliser reste toutefois douteuse.

 

Libye Guerre en Méditerannée en vue?

La Libye extrêmement menaçante avant le vote de l'ONU

LEMONDE.FR

 
 

 

Une image de la ville d'Ajdabiya, bombardée jeudi 17 mars par les forces kadhafistes.

Une image de la ville d'Ajdabiya, bombardée jeudi 17 mars par les forces kadhafistes.AP

Un mois jour pour jour après le début de l'insurrection libyenne, la situation est toujours aussi tendue sur le terrain. Après une journée marquée par une succession d'annonces et de démentis de la part des forces kadhafistes et des insurgés, Mouammar Kadhafi a annoncé jeudi 17 mars une offensive imminente contre Benghazi, fief des insurgés.

Dans une allocution retransmise par la télévision libyenne, le dirigeant lybien a menacé : "Nous arrivons ce soir ! Pas de pitié !", tout en promettant le pardon aux rebelles qui rendraient les armes. "Celui qui rend son arme et prend la fuite ce soir ne sera pas inquiété. Nous ne le poursuivrons pas", a assuré le colonel Kadhafi. Le n°1 libyen a ajouté que les habitants qui n'ont pas d'armes n'avaient rien à craindre mais que toutes les maisons seraient fouillées.

Jeudi soir peu après minuit, trois fortes explosions ont été entendues dans la ville, suivies immédiatement des tirs de la défense anti-aérienne dans le même secteur. L'origine des explosions n'était pas cependant pas connue dans l'immédiat, aucun avion n'ayant été entendu dans cette même zone. Du côté des rebelles, le commandement à Benghazi a appelé jeudi soir les insurgés à prendre position pour défendre la ville. "L'état-major de l'armée libyenne libre appelle les réservistes à rejoindre au plus vite leurs postes d'artillerie et de lance-missiles", a indiqué Radio Benghazi.

DES ANNONCES CONTRADICTOIRES

Dans la journée, les forces kadhafistes avaient annoncé, sur la télévision d'Etat, avoir pris le contrôle de la ville de Misrata, dans l'Ouest, et pénétré dans les faubourgs de Benghazi. Un médecin de l'hôpital de Misrata, cité par Reuters, a déclaré que le bilan des combats de mercredi était passé à 18 morts et 42 blessés. Le précédent s'élevait à onze morts.

"On en est maintenant au stade final, a assuré un porte-parole du gouvernement libyen. Des volontaires locaux chassent des rues les tireurs [rebelles] embusqués, ils vérifient que toutes les mosquées sont sécurisées". Quelques minutes plus tard, le commandement des insurgés démentait la chute de Misrata, et indiquait que les combats continuaient à Ajdabiya, à 160 km au sud de Benghazi.

L'armée libyenne a décrété l'arrêt, à partir du dimanche 20 mars, de ses opérations militaires contre l'insurrection, et ce pour donner une chance aux "terroristes" de déposer leur armes afin qu'ils puissent profiter d'une grâce.

 

Abou Mazen derrière l'attentat d'Itamar ? (Israel7)

Abou Mazen derrière l’attentat d’Itamar ?

[Jeudi 17/03/2011 22:09]

 

Dans les milieux du Renseignement qui sont chargés de l’enquête à propos du massacre d’Itamar, d’après des éléments déjà recueillis, il semblerait que l’attentat contre la famille Fogel ait été préparé conjointement entre le Hamas et le Fatah d’Abou Mazen.
Les spécialistes constatent également que cet attentat a été commis alors qu’Abou Mazen préparait sa visite à Gaza et devait « donner des gages » au Hamas dans le domaine du terrorisme. Un expert militaire a dit « que cet attentat pourrait bien être le test de confiance passé par Abou Mazen à qui le Hamas et d’autres factions terroristes reprochent d’être beaucoup trop mou voire complice d’Israël ». Et pour pouvoir négocier à « armes égales » avec Ismaïl Hanyeh, Abou Mazen se devait de montrer qu’il est encore capable de commanditer de telles atrocités. C’est la règle dans ces groupes terroristes et mafieux.
Le chef terroriste de l’AP sait qu’il perd chaque jour un peu plus de crédit dans la rue arabe palestinienne, et ce genre d’acte de « bravoure » est de nature à le rehausser auprès du Hamas. Son prédécesseur, Yasser Arafat avait adopté la même tactique, et ce n’est que bien plus tard que les Israéliens avaient réussi à découvrir que des attentats meurtriers avaient été organisés depuis la Moukataa.
Cette implication d’Abou Mazen dans l’attentat d’Itamar n’est pas en contradiction avec ses déclarations de ces derniers jours, très relayées par les médias israéliens, et dans lesquelles il condamne l’attentat. Dans la tradition arabo-musulmane, le mensonge est considéré comme une arme de guerre et il n’y a aucun problème à commanditer un acte barbare et le condamner simultanément. Dans ce domaine aussi, Yasser Arafat était un expert en la matière. Le double-langage est la duplicité sont de règle dans la mentalité des dirigeants arabes palestiniens : dimanche dernier, le jour où l’on enterrait les malheureuses victimes de l’attentat, une cérémonie officielle se déroulait à El-Bireh, lors de laquelle était inaugurée une place au nom de la terroriste Dalal El-Moughrabi, « héroïne » palestinienne car elle avait participé à un attentat en mars 1978, faisant 37 morts israéliens dont 13 enfants. Abou Mazen avait pris soin de n’envoyer aucun membre de son cabinet à cette manifestation, qui n’aurait pu se faire sans son accord.

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU approuve le recours à la force en Libye (Le Monde)

Le Conseil de sécurité approuve le recours à la force en Libye

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 17.03.11 | 23h51  •  Mis à jour le 18.03.11 | 00h52 

 

 

La résolution de l'ONU sur la Libye a été adoptée avec dix voix pour sur les 15 membres du Conseil de sécurité, et cinq abstentions.

La résolution de l'ONU sur la Libye a été adoptée avec dix voix pour sur les 15 membres du Conseil de sécurité, et cinq abstentions.AFP/MONIKA GRAFF

Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté jeudi 17 mars au soir en faveur d'un recours à la force contre les troupes du colonel Mouammar Kadhafi, ouvrant la voie à des frappes aériennes en Libye. La résolution de l'ONU a été adoptée avec dix voix pour sur les 15 membres du Conseil de sécurité, et cinq abstentions. La Chine et la Russie se sont abstenues mais n'ont pas utilisé leur veto pour bloquer le texte. Alors que Mouammar Kadhafi a annoncé un assaut contre la ville de Benghazi, fief des rebelles, la résolution adoptée par le Conseil autorise "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les civils et imposer un cessez-le-feu à l'armée libyenne.

A Benghazi, une foule en liesse s'est rassemblée pour saluer le vote. Des coups de feu ont été tirés en l'air en guise de célébration tandis que de nombreux pétards étaient allumés dans la ville. Plusieurs centaines de jeunes étaient rassemblés devant le siège du Conseil national de transition, l'instance dirigeante mise en place par les insurgés, et brandissaient les drapeaux de la monarchie en vigueur avant la prise du pouvoir par le colonel Mouammar Kadhafi en 1969. "J'ai vu l'annonce du vote sur Al Jazira, c'est le plus beau jour de ma vie, tous les citoyens sont heureux", a déclaré un habitant à l'AFP.

Le pouvoir libyen a de son côté dénoncé la décision du Conseil par la voix du vice-ministre des affaires étrangères Khaled Kaaim. "Cette résolution traduit une attitude agressive de la communauté internationale, qui menace l'unité de la Libye et sa stabilité", a déclaré M. Kaïm peu après le vote. Le responsable libyen a dénoncé un "complot" de la communauté internationale et "une volonté de pays comme la France, la Grande-Bretagne et les Etats-unis, de diviser le pays". Selon lui, la résolution est un "appel aux Libyens à s'entretuer".

DES FRAPPES AÉRIENNES EN VUE

Peu avant le vote, le ministre des affaires étrangères français Alain Juppé avait souligné avec force l'urgence de la situation. "C'est une question de jours, c'est peut-être une question d'heures", a-t-il dit dans son discours avant la mise aux voix. "Chaque jour, chaque heure qui passe alourdit le poids de la responsabilité qui pèse sur nos épaules. Prenons garde d'arriver trop tard, ce sera l'honneur du Conseil de sécurité d'avoir fait prévaloir en Libye la loi sur la force, la démocratie sur la dictature, la liberté sur l'oppression", a-t-il ajouté.

La France avait auparavant annoncé des frappes aériennes dès l'adoption de la résolution. "Il n'est pas question de faire quelque chose au sol. C'est très clair. L'alternative, elle coule de source: c'est effectivement l'utilisation de la force aérienne", a précisé avant la réunion du Conseil de sécurité Alain Juppé.

DES PAYS ARABES PROBABLEMENT IMPLIQUÉS

Ces opérations devraient, selon toutes probabilité, impliquer la France, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis et plusieurs pays arabes. Interrogé à ce sujet, Alain Juppé avait indiqué que "Oui", il y aurait une participation américaine aux opérations militaires. "Nous avons d'excellentes raisons de penser qu'il y aura une participation des pays arabes" aux opérations contre l'armée de Mouammar Kadhafi, a prédit M. Juppé avant le vote. "C'est une opération en coalition, nous sommes avec d'autres, nous ne sommes pas seuls. Ce n'est pas une opération française, c'est une opération internationale", a-t-il souligné.

Avant la réunion de l'ONU, le ministère de la défense libyen a mis en garde contre toute opération militaire étrangère, menaçant de s'attaquer au trafic aérien et maritime civil et militaire en Méditerranée. "Le Bassin méditerranéen sera confronté à un risque non seulement à court, mais aussi à long terme", a assuré le ministre. Pour le porte-parole du gouvernement libyen, Moussa Ibrahim, toute action militaire autorisée par les Nations unies et dirigée contre la Libye serait "illégale et immorale". "Il s'agit d'une rébellion armée. Tout pays dans cette situation l'aurait combattue", a-t-il déclaré.

 

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