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Libye news26

Kadhafi veut porter la guerre vers les pays méditerranéens      
Samedi, 19 Mars 2011 23:20

Mouammar Kadhafi s'est exprimé à la télévision Libyenne. Il menace de porter la guerre en Méditerranée, vers les pays de la coalition, en s'attaquant à des objectifs "civils et militaires". Quelques minutes avant, Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, venait de condamner l'ingérence internationale en Libye.

 

Surenchére de provocation? Le leader libyen vient d'annoncer à la télévision libyenne ce soir à 22h45 qu'il porterait la guerre en méditerranée et s'attaquerait à des objectifs "civils et militaires". Il a appelé à la cohésion du peuple libyen contre l'agression internationale en affirmant que "l'agression" conduite par la coalition internationale contre la libye "renforce le peuple libyen". Il a annoncé dans son intervention l'ouverture des dépôts d'armes afin de défendre la Libye, comme aux plus belles heures de la révolution.

De son côté le Hezbollah, par la voix de son leader, Hassan Nasrallah, a lancé un avertissement à la coalition militaire internationale en Libye en déclarant qu'elle ouvrait la voie à une ingérence occidentale "«dans chaque pays arabe, nous ramenant à l'époque des occupations, des colonisations et des partitions. L'intervention internationale pourrait entraîner la Libye dans le jeu des nations. Les rebelles doivent être conscients de cela".



 

Libye Guysen

 

Libye : les rebelles annoncent la mort du fils Kadhafi, Khamis, le pouvoir dément
Khamis Kadhafi, l’un des fils de Mouammar serait mort suite à des blessures subies lors d’un affrontement survenu il y a quelques jours avec un pilote de l’aviation libyenne passé à l’opposition. Le militaire aurait ouvert le feu contre le fils du colonel près de la caserne de Bab al-Aziziya, dans le centre de Tripoli, d’après le site de l’opposition libyenne al-Manara. Le camp du dictateur dément cette information.

 

  

Libye : des F-16 belges font leur première intervention
Un détachement de quatre chasseurs F-16 belges a entamé lundi une première mission dans le cadre de l'intervention de la coalition internationale en Libye, a annoncé devant le Parlement belge le ministre de la Défense, Pieter De Crem. Les avions belges respectent des "règles d'engagement spécifiques pour permettre la protection de la population civile", a-t-il ajouté. La Belgique a décidé vendredi de participer aux opérations menées par une coalition internationale pour protéger les populations civiles libyennes en révolte contre le régime du colonel Mouammar Kadhafi.

 

   

Libye : les fidèles de Kadhafi tuent 11 personnes à Misrata
Au moins onze personnes ont été tuées lundi et des dizaines d'autres blessées par des tirs des forces fidèles au dirigeant libyen Mouammar Kadhafi à Misrata à l'est de Tripoli, a affirmé un porte-parole des rebelles dans la ville. Il a affirmé que les forces de Kadhafi n'avaient pas réussi à reconquérir la ville mais "ont pris position dans la rue principale où elles ont déployé trois chars ainsi que des snipers sur les toits".

 

Libye: Une guerre mondialisée news 26

Libye: Une guerre mondialisée      
Dimanche, 20 Mars 2011 14:57

L'Occident vient de s'approprier une guerre qui ne lui appartient pas. Un combat dont il n'a pas hérité autrement que sous les apparences de l'idéal, de l'aventure et d'une cause qu'il vient tout juste de juger légitime. L'ONU comme caution du droit est une légèreté que l'on a vu en d'autres temps tourner à la catastrophe. Toutes les SDN n'ont jamais guère valu plus que le papier qu'elles imprimaient au sortir de leur réunion.

par Ghislain Allon

Comment transformer les crises de régime, fussent-ils les plus brutaux, en escalades incendiaires voire radioactives? Nous avons sous les yeux un exemple à ne pas suivre. Autant le mélange du politique et du religieux est soumis aux explosions rapides et terribles, autant le mélange de la politique et de la morale est soumis lui à des régles encore plus extravagantes: Celles de la réaction en chaîne et de  l'atomisation des faits de guerre.

Dans la crise libyenne, devenue depuis quelques heures une guerre internationale voire mondialisée, la moindre étincelle, le moindre écart risquent de déclencher pour le coup, une guerre rien de moins que mondiale. Kadhafi, dont on connait les ressources et la folie, se laissera-t-il tondre et détruire par une panoplie d'engins de guerre dont il posséde les mêmes exemplaires fabriqués et vendus en série par les forces de la coalition?

Il s'en prendra demain aux pays bordant la méditerranée comme il vient d'en brandir la menace. Kadhafi deviendra-t-il sur ses vieux jours, à l'instar des belles heures de sa jeunesse, le héros du front anti-occidental? Le cataclysme inespéré de tous les peuples "enchaînés" aux désirs d'un Occident qu'ils vomissent? Nul besion d'être grand clerc, ni grand philosophe pour le deviner. Nous ne sommes ni dans les Balkans ni en Irak. Nos frontiéres risquent d'être directement menacées par le délire d'une guerre de trop.

Les coalisés attendaient, nous dit-on, l'alliance des pays "arabes" pour ce faire. Or de qui s'agit-il? Le Quatar, la Jordanie et le Maroc, des régimes chancelants sur lesquels personne ne miserait plus un sou sur la pérennité.

Faire une guerre, c'est jouer avec le feu. Celle-ci écarte la notion de jeu et engage immédiatement les brûlures les plus vives. Nos sociétés. à bout de souffle économiquement, risquent d'y laisser leur peau. Et il ne s'agit pas seulement des soulévements intérieurs prévisibles, sinon prévus, comme nous l'espérons par les différents gouvernements de la coalition, mais de la vanité de nos régimes eux-mêmes corrompus et malades se donnant comme porteurs de valeurs morales à coups de bombes, de morts et de malheurs.


 

Et si le Hamas ne visait pas Israël (Israel-infos)

Numéro 996 - 21.03.2011 - 15 AdarII 5771 

Si le Hamas ne visait pas Israël...
par Gerard Fredj
Le tir de cinquante obus sur le sud d'Israël, samedi, ceux sur Ashkelon dimanche, la dizaine tirée vendredi, constituent le plus important bombardement que le pays ait subi depuis l'opération Plomb durci : près de 65 obus sont tombés sur le pays en 48 heures.

Et c'est la première fois que le Hamas en assume publiquement la responsabilité, alors qu'il déclare inlassablement depuis janvier dernier, avoir décrété une trêve unilatérale des tirs sur Israël.

Officiellement, les islamistes présentent ces tirs comme une réponse aux raids israéliens de mercredi dernier sur un camp d'entrainement du Hamas (les raids intervenant eux-mêmes après un tir de roquettes dans la région de Sdérot).

Pour le Hamas, Israël ne jouerait pas" le jeu" en bombardant un centre du Hamas, alors que le tir était le fait d'un groupe radical et marginal.

Pourtant, en dépit des apparences, le Hamas pourrait ne pas chercher une escalade, et les tirs du week-end auraient plus une "visée interne" qu'ils ne seraient une déclaration de guerre à Israël.

En effet, sur le terrain, le Hamas sent de plus en plus la situation lui échapper et doit restaurer un leadership vacillant.

De réunions de concertations en déclarations menaçantes, il peine à contenir les groupes radicaux qui lui échappent de plus en plus et pourraient, à terme, transformer la bande de Gaza en poudrière, et ébranler la main mise de l'organisation islamiste à leur profit.

Par ailleurs, en dépit des craintes de répression, les manifestations pour réclamer autant la démocratie que la fin des divisions dans le camp palestinien, gagnent du terrain.

Les démonstrations de cette fin de semaine en témoignent et, après avoir fait mine de s'y associer, des policiers en civil s'en sont violemment pris aux manifestants et aux journalistes, à un point tel que le ministre de l'Intérieur du Hamas a du publier ce dimanche, en catastrophe, un communiqué s'engagement à "garantir la liberté de la presse" - après une rencontre houleuse avec les organisations professionnelles locales et la presse étrangère.

Mais l'enjeu véritable pourrait être la pression qui s'exerce pour mettre fin à la rivalité entre l e Fatah et le Hamas, la division entre l'Autorité palestinienne qui gouverne les territoires palestiniens de Cisjordanie, et le gouvernement du Hamas qui dirige la bande de Gaza.

En dépit des déclarations appelant à restaurer l'unité palestinienne, l'invitation lancée par le Premier ministre du Hamas, Ismail Hanyeh, à Mahmoud Abbas ne fait pas l'unanimité.

Hanyeh aurait agi sans consulter les véritables dirigeants du Hamas, notamment Khaled Meshaal, réfugié en Syrie, ni sa branche militaire, les brigades Ezzedine al Qassam.

Ceux-ci voient la visite d'Abbas, une possible réconciliation et les futures élections générales palestiniennes comme une menace; sentant son influence décroitre, le Hamas craint de perdre son influence sur Gaza.

Dimanche, un des porte paroles des islamistes, Fawzi Barhoum, accusait le Fatah d'exploiter les appels à l'unité pour déstabiliser l'autorité du Hamas dans la bande de Gaza.

La violente répression contre les journalistes palestiniens et étrangers, visait à les empêcher de filmer les manifestations revendicatives des jeunes de Gaza.

Et d'imaginer leur pire cauchemar : une manifestation de masse pour accueillir Mahmoud Abbas à Gaza, manifestation que le Hamas ne pourrait ni contenir, ni interdire, ni réprimer.

Abbas, qui a renoncé à négocier avec Israël et cherche à obtenir une reconnaissance unilatérale d'un état palestinien par l'ONU, sait qu'il n'a une chance d'y parvenir que si il représente tous les palestiniens, et pas seulement ceux des territoires qu'il administre.
L'unité palestinienne est la clé de voute de la légitimité politique de son projet.

Mais le préalable à cette unité –énoncé par Abbas non par humanisme mais par un calcul politicien pragmatique - passe, notamment pour les américains et les européens (pour qui le Hamas reste inscrit sur la liste des organisations terroristes), par une renonciation de la violence des islamistes sur le sud d'Israël- qu'il s'agisse des tentatives d'attentat ou des tirs de roquettes.

Le Hamas ne peut s'opposer publiquement à l'unité palestinienne, il peut la rendre impossible en intensifiant ses tirs sur Israël.

Israël a révélé que s'est tenue au Soudan, début mars, une conférence, financée et organisée par l’Iran, réunissant les leaders des organisations islamistes fondamentalistes du monde arabe.
Le Hamas y était représenté au plus haut niveau par Khaled Meshaal.

L'objectif était la réactivation du front sud d'Israël pour torpiller toute tentative de relance des négociations entre Israël et les palestiniens sous médiation américaine.

Huit jours plus tard, la famille Fogel était massacrée à Itamar, et Israël annonçait une relance de son plan de constructions dans les principales implantations juives.

 

Syrie

Syrie : les hommes du régime auraient achevé, à l’hôpital de Damas, des manifestants blessés lors de la répression

jeudi 17 mars 2011 - 23h26
 
 
 

Selon le site « Free-Syria », de violents accrochages auraient eu lieu ce jeudi à Damas, entre des manifestants qui réclamaient la liberté, et les forces de sécurité chargées de réprimer tout rassemblement. Les affrontements se seraient notamment déroulés dans le quartier Al-Midane, dans la capitale syrienne. Un manifestant aurait été tué et une vingtaine d’autres auraient été blessés, dont trois, sérieusement atteints, auraient été admis à l’hôpital public de Damas. Or, des policiers se seraient précipités dans l’établissement pour achever deux des blessés à coups de couteaux et enlever le troisième, tout en scandant des slogans élogieux à l’égard du président Bachar Al-Assad.

Bien entendu, ces informations, publiées par un site de l’opposition, ne sont pas encore confirmées. Des internautes les ont commentées sur le site « Free-Syria » en accusant leur auteur de les avoir fabriquées. Certains commentaires regrettent la diffusion de mensonges susceptibles de verser l’huile sur le feu. D’autres, au contraire, affirment que le régime dictatorial de Damas avait commis des massacres collectifs de plus grande ampleur, et n’hésitera pas à achever des opposants blessés.

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