Quelques heures après que le Hamas et les responsables du Jihad islamique aient exhorté les Palestiniens à déclarer une troisième Intifada contre Israël, de violentes manifestations ont éclaté vendredi dans plusieurs endroits de Jérusalem, de Judée, de Samarie et dans la bande de Gaza, entraînant des blessures multiples aux israéliens.

Vendredi marquait le 13e anniversaire du déclenchement de la seconde Intifada armée palestinienne contre Israël.

A Jérusalem, trois gardes frontière israéliens ont été légèrement blessés par des jeunes lanceurs de pierres palestiniens lors d’une manifestation près de la porte de Damas. Treize Palestiniens ont été arrêtés au cours des troubles .

Un autre policier a été blessé par des pierres lors d’affrontements dans le quartier arabe de Shuafat. Quatre Palestiniens ont été arrêtés en relation avec cet incident.

Encore vendredi, un soldat de Tsahal a été légèrement blessé par une pierre lancée sur lui près du village de Beit Ummar, au nord d’Hébron. Le soldat a été traité par une équipe médicale militaire à l’endroit même où il a été blessé et n’a pas eu besoin d’une assistance médicale supplémentaire .

Des dizaines de Palestiniens à Hébron ont bombardé un poste de contrôle militaire avec des pierres et allumé des poubelles dans les rues. L’armée israélienne a riposté en tirant des balles en caoutchouc sur les manifestants. Au moins quatre Palestiniens ont été légèrement blessés par des balles de Tsahal.

Plus tard, des lanceurs de pierres ont pris pour cible un véhicule israélien près du village de Ni’lin en dehors de Ramallah. Un citoyen israélien a été blessé. Il a été emmené à l’hôpital Tel Hashomer et soigné pour des blessures mineures.

L’armée israélienne a également indiqué qu’elle avait arrêté deux Palestiniens transportant des bombes incendiaires près de Bethléem.

Les soldats de Tsahal aussi dispersé une manifestation devant la prison d’Ofer, près de Ramallah.

Dans le nord de la bande de Gaza, l’armée israélienne a dispersé une manifestation de Palestiniens qui marchaient en directionde la frontière israélienne . Les troupes ont tiré des gaz lacrymogènes pour disperser la foule d’environ 300 manifestants.

Ce soir, dans tous ces lieux, on se serait cru à Paris pendant les émeutes urbaines…

Par Amos Lerah – JSSNews

TROP C’EST TROP !

Ces derniers temps, nous « les 150 000 Français en Israël » avons constaté une augmentation dramatique d’actes et d’initiatives antisémites et antisionistes provenant de France.

Pour mémoire en voici les dernières en dates :

• La sénatrice UDI Goy-Chavent qui veut absolument interdire l’abattage rituel, conditions pour les juifs de pouvoir consommer de la viande cachère.
• Les gardes frontières israéliens qui interceptent un employé du Consulat Général de France à Jérusalem qui se livrait au un trafic illicite d’argent et de drogue au profit de palestiniens.
• Un pseudo diplomate d’opérette, Madame Fesneau-Castaing, appartenant à une organisation non gouvernementale, protégée par ce même Consulat Général de France à Jérusalem, qui éructe sa haine et boxe un soldat israélien.
• La « Quenelle » – qui est le salut nazi inversé inventé par M’bala M’balaDieudonné – fait par des militaires devant une synagogue, alors qu’ils étaient là pour la protéger des agressions antisémites.
• L’équipe de France de Basket-ball qui remporte le titre de Championne d’Europe, et qui lors de sa réception à l’Elysée laisse planer un doute sur un comportement négationniste.
• Et pour terminer, les clichés antisémites de Sebastien Thoen lors de l’émission Le Grand Journal du 20/9/13.

L’apogée est atteinte par une conférence, financée par une association subventionnée par la France, qui veut prôner le « retour » des réfugiés palestiniens.

Profitant des largesses de la démocratie israélienne, l’UNRWA, avec la complicité coupable d’une ONG israélienne qui se nomme ZOCHROT, et avec un financement français, organise les 29 et 30 septembre une conférence en faveur du retour des réfugiés palestiniens ici en Israël, dans notre pays.

Comble du cynisme, cette conférence se tiendra « à l’endroit où le village Shaykh Muwannis se trouvait jusqu’à la Nakba », c’est à dire au Musée Eretz Israel, 2 Haim Levanon street, Tel Aviv , à l’intérieur du Rothschild Auditorium.

Ainsi donc, la France finance une ignoble propagande pour prévoir l’arrivée en Israël d’environ 5 millions de « Palestiniens », autrement dit pour précipiter l’éradication de l’Etat Juif.

Nous ne resterons pas passifs devant cette nouvelle provocation. Comme nous l’avons fait contre le Consul de France à Jérusalem, nous réagirons.

Mais d’ores et déjà, nous demandons à tous ceux qui se sentent concernés par cette tentative d’expropriation du peuple juif de son pays, d’aller les 29 et 30 septembre à l’Auditorium Rothschild, 2 rue Haim Levanon à Tel Aviv, le dire haut et fort.

Soyez nombreux.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © 150 000 Français en Israël.

Les150000francaisenisrael@gmail.com

A Deir al-Ghosoun, en Judée Samarie, une jeune femme du nom de Thamar Zaidan vient d’être mise à mort. Elle avait 22 ans.

Elle s’était forgée une « mauvaise réputation ». Elle avait bafoué l’honneur de sa famille. Des soupçons planaient sur elle. Un garçon ivre d’un village voisin avait été vu près de chez elle.

Pour laver l’honneur de la famille, son père a publiquement renié sa fille, puis l’a mise à mort, par étranglement.

51 membres de la famille de Zaidan avaient signé une pétition exigeant que si le père ne mettait pas à mort Thamar, il devait quitter non seulement sa maison, mais également la Judée Samarie. Zaidan père a confirmé auprès de Ma’an cette information.

Cette année, rapporte l’agence d’informations palestinienne Ma’an citant le Centre d’aide légal et de Conseil aux femmes palestiniennes, 25 femmes et jeunes filles ont été tuées en Judée Samarie, car leur meurtre par leurs proches est perçu comme ayant la vertu de laver l’honneur de leurs familles.

Ces jeunes femmes n’ont pas été tuées par des israéliens – vous en auriez entendu parler sur toutes les chaînes de télévision de tous les pays, et l’ONU aurait réclamé des sanctions exemplaires ainsi qu’une commission d’enquête – elles ont été tuées par leurs pères et oncles palestiniens.

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Quelques jours plus tôt, une femme a reconnu avoir décapité sa fille de 21 ans, handicapée mentale, après avoir découvert qu’elle était enceinte.

A la demande d’organisations humanitaires palestiniennes, Mahmoud Abbas avait promis en 2011 de changer la loi qui prévoit des peines très légères, quelques mois de prison au plus, pour les criminels qui déclarent que leurs crimes était motivé par le besoin de défendre l’honneur de leurs familles.

Mais Mahmoud Abbas n’en fit rien, son porte parole expliquant que le changement de la loi risquerait de créer « de sérieux problèmes à l’image de l’Autorité palestinienne ».

Je repose ma question: y a t’il des militants pro-palestiniens dans la salle ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=632119