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Le Hamas veut faire dérailler le processus de paix Slate.fr

Mercredi 23 mars 2011 -
Le Hamas veut faire dérailler le processus de paix
Sous l'impulsion de l'administration Obama, des négociations discrètes sont en cours entre le gouvernement israélien et l'Autorité palestinienne. Le Hamas entend tout faire pour les torpiller.
 
- Après l'attentat de Jérusalem, le 23 mars 2011.
 
Après une longue accalmie, le Hamas a décidé de réactiver par tous les moyens le front israélien. Le mouvement islamiste craint que la population de Gaza, à l’instar de celle de Cisjordanie, se complaise dans une situation de ni-guerre ni-paix qui démobilise les militants et pire applaudisse à un accord de paix permettant la création d'un Etat palestinien. Il a donc décidé depuis plusieurs semaines de rompre le cessez-le feu tacite, en vigueur depuis la fin de l’opération «Plomb durci» de 2009. Les tirs de roquettes et les attentats se sont ainsi multipliés.

Ainsi à Jérusalem mercredi 23 mars vers 15 heures, en face de la gare centrale d'autobus, un sac contenant une bombe a explosé, faisant un mort et 31 blessés dont deux graves. Le bilan est encore provisoire à l'heure où ces lignes sont écrites. A deux jours près, la liste des victimes aurait pu être plus dramatique puisque, lundi, la ville fêtait Pourim, le carnaval juif durant lequel les enfants se déguisent et défilent dans les rues. Le lieu de l’attentat n’a pas été choisi au hasard puisqu’il s’agissait de faire le maximum de victimes aux arrêts de bus et le maximum de publicité puisque la bombe a explosé à proximité des deux tours abritant toutes les chaînes de télévision étrangères et les services du porte-parole de l’armée.

Chaque jour depuis le début du mois, des roquettes Grad et des fusées Qassam sont lancées sur les villes du sud d'Israël. Dans la seule journée du 19 mars, 54 projectiles ont été lancés depuis la bande de Gaza. L’armée vient de révéler par ailleurs qu’une roquette de type Kornet a été tirée contre un char israélien, prouvant que des missiles de nouvelle génération ont été livrés par l’Iran à travers les tunnels reliés à l’Egypte. Nos informations, confirmées par les fuites de WikiLeaks, avaient en effet révélé que l’Iran envoyait des armes à Gaza via le Soudan. Le 19 décembre, le chef d’Etat-major israélien estimait déjà que «la situation dans la bande de Gaza est volatile. Rien ne nous permet de garantir qu’elle ne va pas de nouveau se dégrader».

Certes des actions de représailles visant les tunnels de contrebande ont été entreprises par l’aviation israélienne qui a aussi lancé des raids contre des bases d’entraînement de la branche armée du Hamas, les brigades Azzedine El-Qassam. La chef de l'opposition Tsipi Livni, qui n’est pas suspecte d’activisme, vient d’assurer que «l'utilisation de la force était le seul moyen de lutter contre le Hamas». Mais il semble qu’Israël ait aussi choisi la voie diplomatique en impliquant, sans conviction, l’ONU afin de donner une portée internationale à l’escalade de la violence.

Stratégie de la violence

Cette stratégie de la violence a été directement dictée par Khaled Mechaal, leader du Hamas à Damas. Les services secrets israéliens avaient révélé qu’une conférence, organisée par l’Iran, s’est tenue en secret à Khartoum au début du mois de mars, réunissant les chefs de toutes les organisations islamistes liées aux Frères musulmans dans le monde arabe, dont le Hamas. Un plan a été élaboré pour réactiver le front israélien par des opérations des deux côtés de la ligne verte (frontières de 1967) et par le lancement de missiles depuis la bande de Gaza, afin de susciter le déclenchement d’une troisième Intifada. Les Israéliens ont précisé que s’étaient déplacés des délégués d’Egypte, de Tunisie, de Syrie, d’Irak, de Jordanie et même de Grande-Bretagne. Mahmoud A-Zahar, ministre des Affaires étrangères de Gaza, conduisait la délégation du Hamas tandis que Khaled Mechaal avait fait le voyage depuis Damas pour représenter la branche syrienne.

Le gouvernement israélien s’attendait à une reprise des tirs et des attentats qui ont pour but de mettre un terme aux négociations de paix qui semblent faire des progrès dans le secret des échanges entre Israël et l’Autorité palestinienne. Pour le vice-ministre de la Défense, Matan Vilnaï, «nous sommes au début d'une guerre d'usure à la frontière avec la bande de Gaza». L’objectif du Hamas est d’empêcher Mahmoud Abbas de retrouver autorité et prestige en parvenant à un accord avec le gouvernement israélien sous l'égide de l'administration Obama. Benjamin Netanyahou a intégré l’idée de rétrocéder à l'Autorité palestinienne une grande partie des territoires occupés et cette approche nouvelle inquiète le Hamas qui a construit sa légitimité sur une guerre à outrance contre Israël.

Temporisation

Le débat est par ailleurs ouvert au sein des forces armées israéliennes. Certains responsables modèrent la gravité de la situation. Selon le commandant militaire de la région sud, «les tirs d’obus de mortier provenant de la bande de Gaza ne signifient pas forcément que la situation risque de se dégrader prochainement dans la région». Il ne croit pas à une volonté immédiate d’embraser le front sud car le Hamas tire profit de l’accalmie relative de ces deux dernières années, après l’opération Plomb durci, pour se consolider, pour se réarmer et pour renforcer son potentiel.

D’autres laissent entendre que Tsahal devrait intervenir pour faire cesser ces attaques régulières contre les agglomérations israéliennes et pour mettre fin aux attentats. Ils se sentent appuyés par la chef de l’opposition qui exige des mesures fortes immédiates: «Ce n’est pas le problème d’Israël que de savoir quelle est l’organisation terroriste qui se cache derrière les tirs. C’est le Hamas qui règne dans la bande de Gaza et c’est à lui d’assumer la responsabilité de ces agressions.» La réinstallation de check points rassurera la population civile encore traumatisée par l’assassinat d’une famille entière à Itamar mais pénalisera les déplacements des Palestiniens qui avaient vu leur situation s’améliorer.

Alors resurgit à nouveau la thèse du général Yoav Galant qui avait commandé les troupes israéliennes de l’opération Plomb durci et qui n’avait pu faire admettre alors à son gouvernement le projet d’envahir la totalité de la bande de Gaza pour en extirper les dirigeants du Hamas et les remplacer par un interlocuteur privilégié d’Israël, Mohammed Dahlan, ancien homme fort de Gaza. Celui-ci estime que Mahmoud Abbas n’est plus l’homme de la situation alors qu’il faut, selon lui, en découdre avec le Hamas pour restaurer le pouvoir bafoué de l’Autorité palestinienne. Les secrets révélés par WikiLeaks attestent de l’intérêt des Palestiniens de Cisjordanie pour cette possibilité.

Le ministre Matan Vilnaï a fait allusion à une éventuelle action du gouvernement israélien en déclarant cette semaine qu’Israël choisirait le jour et la méthode de son intervention parce qu’il «semble que le Hamas n’a pas totalement assimilé la leçon de la guerre de Gaza». Ces déclarations font craindre que la modération dont fait preuve à l’heure actuelle le gouvernement israélien cache en fait des préparatifs d'envergure. La région risque à nouveau de s’embraser. Mais le Hamas aurait ainsi atteint son objectif de s’opposer à tout dialogue pouvant mener à la paix.

Jacques Benillouche

 

L'Iran derrière le regain de violences au Proche-Orient DESINFOS

L'attentat de Jérusalem et le regain de tensions entre Israël et la bande de Gaza visent à détourner l'attention des révolutions en cours dans les pays arabes. Avec comme objectif: provoquer un conflit et unir le monde arabe contre Israël.
 
 
Avec l'attentat de Jérusalem du 23 mars, les groupes islamistes ont bien l'intention de réaffirmer leur puissance et prouver à l'Etat hébreu qu'il n'est pas invincible. L’attentat n’a pas encore été revendiqué, mais le Djihad islamique et le Hamas se sont félicités de cette attaque. Deux hauts responsables du mouvement terroriste Djihad islamique viennent d’être arrêtés ce jeudi, par les services de sécurité de l’Autorité palestinienne. Qu’en est-il des dizaines de tirs d’obus de mortier tirés sur Israël? Le Hamas cherche à raviver les tensions avec l’Etat juif. Le mouvement islamiste prouve ainsi que sa capacité de nuisance reste intacte.

Mais derrière ces groupes armés, c'est l'Iran qui tire les ficelles. Avec deux objectifs: faire échec au processus de paix, discuté secrètement entre Israël et l’Autorité palestinienne, mais aussi provoquer un conflit avec Israël, afin de détourner l’attention des révoltes dans les pays arabes. Il n'est plus à prouver que le régime des Mollahs aide financièrement et militairement le mouvement islamiste à Gaza. Au-delà du clivage islamique entre l'Iran chiite et le Hamas sunnite, leurs relations sont le fruit d'une alliance stratégique face à l'ennemi commun, Israël.

L’Iran aux portes d’Israël

Le 15 mars dernier, un commando de la marine israélienne a intercepté en Méditerranée, en dehors des eaux territoriales israéliennes, le Victoria, un cargo transportant 50 tonnes d'armes. Des armes destinées au Hamas, selon le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. Ce bateau battant pavillon libérien serait passé par le port syrien de Lattaquié, où apparemment les armes ont été chargées à bord, selon Tsahal. L'Iran a aussitôt démenti avoir envoyé des armes à Gaza. Selon des experts militaires israéliens, ces armes, dont le Hamas ne disposait apparemment pas, sont susceptibles «de bouleverser l'équilibre stratégique» dans la région. Une jolie prise pour les services de renseignements israéliens, qui mettent en exergue le jeu irano-syrien pour déstabiliser le Proche-Orient.

Quelques jours plus tard, ce sont des armes et des munitions qui ont été découvertes par les autorités turques dans un avion cargo iranien forcé d'atterrir au sud-est de la Turquie. L'avion était en route pour la Syrie. Israël soupçonne que les armes venaient d'Iran, via la Syrie et la Turquie, à destination du port égyptien d'Alexandrie, d'où elles auraient été infiltrées dans la bande de Gaza. Information aussi démentie par Téhéran. 

Autre apparition de l'Iran dans la région: deux navires de guerre iraniens ont regagné la mer Rouge, via le Canal de Suez, le 22 février, à quelques milles nautiques des côtes israéliennes. Des navires qui revenaient d'une visite en Syrie. De quoi susciter l'inquiétude d'Israël. La Syrie est devenue une plaque tournante du trafic d'armes vers Gaza, mais aussi le Liban.

Le Hamas, mais aussi le Hezbollah libanais, bien encadrés par la Syrie et l'Iran, sont de plus en plus déterminés. Très puissants militairement, ils disposent de moyens financiers de plus en plus importants. Les services secrets israéliens avaient révélé qu’une conférence, organisée par l’Iran, s’est tenue en secret à Khartoum au Soudan au début du mois de mars. Une réunion en présence des chefs de toutes les organisations islamistes liées aux Frères musulmans dans le monde arabe, dont le Hamas.

La stratégie iranienne

Derrière l'attentat de Jérusalem et d'Itamar, le Hamas cherche à faire échec au processus de paix, discuté secrètement entre Israël et l'Autorité palestinienne. En cas d’accord de paix, le Hamas perdrait tout légitimé puisque son idéologie repose sur la lutte contre Israël.

D’autant qu’un éventuel accord de paix placerait l’Autorité palestinienne au premier plan. Une Autorité hostile au mouvement islamiste et qui n’a pas hésité à condamner fermement l’attentat de Jérusalem. Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité palestinienne, prévoit de convoquer des élections palestiniennes dans les six prochains mois. Mais il a indiqué qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat. Mahmoud Abbas, poussé par l'administration Obama, cherche une porte de sortie honorable, avant un éventuel retrait politique. Il semble aussi s’inquiéter du vent de changement plein d’incertitudes, qui souffle sur le monde arabe. Des élections qui restent toutefois conditionnées à une réconciliation interpalestinienne. Le président de l'Autorité palestinienne s'est dit, pour l'occasion, prêt à dialoguer avec le Hamas. 

Mais l'enjeu pour le Hamas ne se limite pas au processus de paix. A travers le mouvement islamiste, l'Iran cherche à balayer le vent de révolte qui souffle sur les pays arabes. Ou du moins à faire diversion. Si l'Ayatollah Khamenei affirme soutenir publiquement les révoltes arabes, il voit d'un mauvais oeil les défenseurs des droits de l'homme qui se dressent contre le pouvoir du parti Baas en Syrie. La Syrie est elle aussi en proie à un soulèvement interne, depuis quelques jours. S'il s'avérait que le régime de Bachar Al Assad était menacé, le Hamas perdrait un soutien indéfectible et ses dirigeants du bureau politique, Khaled Mechaal en tête, se verraient peut-être obligé de plier bagage. Les intérêts du Hamas en Syrie sont vitaux, tout comme l'Iran qui veille, en arrière plan, au bon fonctionnement des opérations.

Oubliés les droits de l'homme, l'aspiration à la liberté, l'ennemi reste bel et bien l'Etat juif, maux de tous les problèmes au Moyen-Orient. L’Iran a fait de la lutte contre Israël son cheval de bataille. C'est donc le moment opportun de raviver les tensions avec l'ennemi de toujours. Aux attentats et tirs d'obus de mortier sur Israël, succèdent les représailles israéliennes et son lot de victimes palestiniennes. Des images qui ne manqueraient pas de rappeler au monde arabe, la cause palestinienne.

L'Iran cherche à tirer profit des conséquences de ces révoltes arabes, d'étouffer celles qui dérangeraient son pouvoir et de s'imposer comme une puissance incontournable au Moyen-Orient. Il ne manque plus qu'un incident à la frontière nord d'Israël pour voir l'entrée en jeu du satellite iranien au Liban, le Hezbollah.  Un regain de violences qui vise à fédérer les peuples arabes, face à l'ennemi sioniste, au détriment d'une paix hypothétique, qui n'est pas prête de voir le jour.

Kristell Bernaud

 

Al-qaïda au Maghreb DESINFOS

Al-qaïda au Maghreb met la main sur des armes lourdes en Libye

 

Al-Qaïda et l’Iran sont pour l’instant les deux seuls grands vainqueurs des événements en Libye qui commencent à ressembler à un début de guerre mondiale. Aqmi aurait pillé des armes en Libye. Le président tchadien Idriss Deby Itno affirme, dans un entretien à l’hebdomadaire Jeune Afrique à paraître lundi, qu’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a profité du soulèvement en Libye pour s’emparer de missiles sol-air. « Les islamistes d’Al-Qaïda ont profité du pillage des arsenaux en zone rebelle pour s’approvisionner en armes, y compris en missiles sol-air, qui ont été par la suite exfiltrés dans leurs sanctuaires du Ténéré (NDLR : partie centrale du Sahara) », ajoute-t-il.

 

ISRAEL ISRAEL7

 

Roquette dans le sud

[Samedi 26/03/2011 18:20]

 

Après 16 heures de « calme », les tirs des terroristes palestiniens ont repris en direction d’Israël. Une roquette de type « Kassam » s’est abattue dans la région d’Eshkol. On ne signale heureusement aucune victime ni dégâts. Il s’agit de la 3e roquette tirée depuis vendredi. Dans la nuit de vendredi à shabbat, les terroristes avaient tiré deux roquettes dans la même direction, dont l’une avait causé de forts dégâts à deux maisons.

Samedi matin, le Commandant de la Région militaire sud, Tal Russo, s’est rendu sur les lieux de l’impact et a « conseillé aux organisations terroristes de se reprendre avant que la situation ne s’aggrave »!!!! Un ènième avertissement avant une réaction musclée israélienne qui n’arrive pas! Il a ajouté « que l’anarchie régnait dans la Bande de Gaza et que le Hamas n’avait plus le contrôle de ce qui s’y passe ».

 

GAZA DESINFOS

Gaza : réunion des groupes palestiniens pour discuter d’une trêve avec Israël

 

Les principaux groupes palestiniens étaient réunis samedi après-midi à Gaza sous l’égide du mouvement islamiste Hamas pour discuter de l’éventuel rétablissement d’une trêve tacite avec Israël, ont déclaré à l’AFP des participants. Cette réunion dans un hôtel de Gaza survient après presque deux semaines de confrontation armée avec Israël qui ont fait huit morts palestiniens.

 

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