blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

etzbetzion

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Blog dans la catégorie :
Actualités

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

etzbetzion

Comment déformer l'information pour mieux salir l'image d'Israël... Par DESINFOS

27 mars 2011

Palestine et médias internationaux: ou comment déformer l'information pour mieux salir l'image d'Israël...

 

S'il est un fait de plus en plus évident c'est bien celui du parti-pris flagrant des médias internationaux ainsi que des décideurs internationaux quant aux pays arabes, au Moyen-Orient, à Israël et à la situation de Gaza.

Dois-je avoir besoin de rappeler ici aux médias comme aux instances européennes et internationales les dizaines de tués au Yémen, les centaines de victimes en Syrie, un nombre approximativement identique en Jordanie, les centaines de morts et milliers de blessés en Lybie,  les plus de 400 morts en Côte d'Ivoire, les dizaines de morts et centaines de blessés à Bahrein ainsi que les centaines de morts et milliers de blessés en Egypte..?

Quelles réactions - actions de quels états, gouvernements, organisations diverses quant à ces pays déchirés et aux populations en quête d'autres choses hormi des applaudissements pour mieux montrer son approbation aux diverses révoltes du jasmin ? Quelle aide apportée concrètement à ces populations pourtant si applaudies en Occident ?

Si l'on se penche du côté de l'Organisme avec un grand O en charge des droits de l'homme; j'ai nommé: la Commission des droits de l'homme de l'ONU, on découvrira que lors de sa 16e session du 24 et 25 mars dernier pas un mot de la Syrie, de la Lybie, de l'Iran il y a un projet de créer une sous-commission...mais pas une condamnation, et, l'on va y proposer 6 projets de résolutions condamnant Israël..!

Entre autre, on ne va surtout pas omettre de proposer de transférer le dossier " situation dans les territoires occupés" à la Cour internationale de justice...

C'est que la situation dans les territoires "occupés", à Gaza, c'est bien connu par tous, est d'un inhumain impensable, bien au-delà de ce que les populations iraniennes, syriennes...peuvent vivre au journalier ! Bien au-delà des massacres de familles israéliennes, d'attentat contre des civils, de dizaines de roquettes, missiles et obus envoyés sur les maisons de civils israéliens !..

D'ailleurs il suffit de s'intéresser de près au Centre palestinien de Recherche politique de Ramallah et à son dernier sondage effectué entre le 17 et le 19 mars 2011 auprès d'un échantillon de 1270 adultes provenant de 127 localités palestiniennes et s'octroyant une marge d'erreur de 3% pour s'en faire une idée..:

Concernant le désir d'imitation dans leur révolte de leurs frères arabes il s'avèrerait que 36% des habitants de l'Autorité Palestinienne souhaitent un changement de régime alors qu'à Gaza, cette cité qui n'a pas de pire ennemi qu'Israël...le chiffre monterait à 67%...Et quoi, le Hamas n'aiderait-il pas les populations, ne ferait-il pas suivre les millions de dollars reçus par les gouvernements occidentaux aux populations ?? Il s'avèrerait de-même d'après ce sondage que seulement 23% de la population gazaouite estime le gouvernement d'Ismaïl Haniyeh ( Hamas) de "légitime"...

Ce sondage qui je le répète n'a rien à voir avec Israël, les juifs ou des intérêts étrangers aux palestiniens nous apprend que pour 28% des Palestiniens la préoccupation prioritaire est la spirale de la pauvreté et du chômage...Comment se fait-il que l'on parle encore de pauvreté avec les fonds occidentaux énormes versés aux palestiniens ? A moins que ces sommes ne partent ailleurs..?

Mais il ne faut pas s'en faire car le monde n'en parle pas, n'en parlera pas, il n'y aura aucune déclaration d'hommes d'états, aucun entrefilet dans les organes de presse...

Mais là où ce sondage devient réellement intéressant c'est lorsqu'il soulève le problème de "l'occupation israélienne", du blocus israélien, et là que découvrons-nous ?

Il s'avèrerait que seulement 22% des palestiniens seraient interpellés par les problèmes de "l'occupation" et des localités juives de Judée-Samarie...Mais le monde ne cesse-t-il pas d'en appeler Israël à cesser toute construction dans les "territoires" car ce sont bien ces constructions qui empêchent toute avancée vers la paix avec les palestiniens (Abbas) ? Il faudrait peut-être faire connaitre ce chiffre à M. Abbas, à l'International, aux médias pour qu'ils comprennent enfin que 78% des palestiniens n'y voient pas un écueil vers la paix...

Mais il y a mieux : ce sondage laisse également savoir que seulement 8% des palestiniens pensent que le blocus de Gaza constitue le problème majeur !!!

A savoir: 92% des palestiniens considèrent qu'ils ont des préoccupations bien supérieures au blocus de Gaza...

Si je comprends bien les chiffres, il s'avère que pour les populations européennes ( étude effectuée par le Centre d'Etudes Al-Jazeera, par le Middle East Monitor et l'European Muslim Research Centre et publiée le 13 mars dernier) le blocus sur Gaza est jugé illégal par 53% des personnes interrogées ( je rappelle ici qu'en tout et pour tout 8% des palestiniens qui connaissent cette situation de près pensent que ceci est leur problème majeur...), il s'avère de-même que 45% des européens interrogés considèrent que le Hamas devrait faire partie du processus de paix alors que seulement 23% des palestiniens interrogés considèrent ce gouvernement du Hamas comme légitime, et de plus il s'avère que s'il y avait des élections palestiniennes aujourd'hui, Abbas obtiendrait 56% des voix alors que Haniyeh (Hamas) n'en aurait que 35%...

D'ailleurs n'y a-t-il pas en préparation une nouvelle flottille internationale "un bâteau pour Gaza" prévue pour juin 2011 avec 15 navires regroupant pas moins de 1000 personnes de 27 nationalités différentes pour "briser le blocus", pour agir comme le déclare Warren Allmand (un des parrains de la flottille) : "quand les gens sont en détresse, on a l'obligation de répondre" ..?

Au vu des ces divers sondages et de ces études (qui je le rappelle ne viennent ni d'Israël, ni de milieux juifs) je ne saurais que recommander aux européens, à l'International, à l'ONU de s'intéresser de près à la réalité d'une situation et de s'occuper des vraies problématiques plutôt que de salir l'image d'Israël à tout va et d'ainsi ne pas voir les problèmes profonds et humains des populations palestiniennes qui en auraient sans l'ombre d'un doute bien besoin, mais sans aucun rapport avec la politique israélienne...

Marc Lev (auteur de "après-demain ?"- Edilivre - "chronique de la planification d'un attentat de masse sur le territoire français...")

Sources: le devoir.com - saphirnews.com, israel-infos.net, Centre Palestinien de Recherche Politique de Ramallah.

 

Les événements en Syrie inquiètent Israël ISRAEL 7

Les événements en Syrie inquiètent Israël

[Dimanche 27/03/2011 9:05]

Les événements en Syrie ne suscitent, pour l’instant du moins, aucune protestation internationale alors que près de 150 manifestants ont déjà été tués par les forces de sécurité locales. L’épicentre de la révolution contre le régime de Bachar El Assad se situe actuellement dans la ville de Deraa, à la frontière avec la Jordanie. Dans la seule journée de vendredi, 20 émeutiers ont perdu la vie au cours des soulèvements. A Damas et à Lattaquié, la révolte gronde aussi et les autorités réagissent avec une main de fer, n’hésitant pas à se montrer particulièrement brutales face à des contestataires aux mains nues.

Il s’agirait, selon les experts, de la crise la plus grave ayant éclaté en Syrie depuis l’avènement au pouvoir de Bachar El Assad, qui dirige le pays depuis la mort de son père Hafez el Assad, survenue il y a onze ans.

En Israël, ce qui inquiète par-dessus tout, c’est que l’Iran et des éléments du Hezbollah aident activement le gouvernement de Damas à réprimer dans le sang cette insurrection. Un haut responsable du ministère des Affaires étrangères a cité les propos de manifestants locaux témoignant qu’une partie des hommes de la sécurité déployés pour disperser les manifestations parlaient entre eux en persan, attestant du lien étroit unissant Damas à Téhéran.

Dans les jours qui viennent, estime-t-on en Israël, on pourra discerner plus clairement l’ampleur de l’intervention iranienne dans les tentatives qui sont déployées pour stopper les masses populaires protestant dans les rues. Et de préciser : « La Syrie est une acquisition iranienne, et il est clair que les Iraniens craignent de perdre tout ce qu’ils y ont investi. C’est pour cette raison qu’ils interviennent davantage dans ce pays que partout ailleurs dans le monde arabe ».

D’après les experts qui ont analysé la situation, l’Occident ne se mêlera pas de ce qui se passe en Syrie, malgré l’assassinat de nombreux manifestants, étant donné qu’Assad jouirait toujours d’une certaine considération. Et même si certains protestent, ils le font discrètement et cela n’a, pour l’instant du moins, aucun impact sérieux.

Parallèlement à ces violences contre ses opposants, Assad tente malgré tout de faire preuve d’une certaine clémence en libérant par exemple, ce samedi, 260 prisonniers politiques. Il a décidé en outre de prendre des mesures sociales, en annonçant une hausse des salaires chez les fonctionnaires.

Reste à savoir comment évoluera la situation dans les jours et les semaines qui viennent…

 

Assad doit endiguer les troubles au sein de sa majorité Sunnite... Par Desinfos

 
Dimanche 27 mars 2011 7 27 /03 /Mars /2011 12:03

  ... Avant qu'ils ne contaminent son armée.  

Adapté par Marc Brzustowski

  Pour © 2011 lessakele  et © 2011 aschkel.info

Sa minorité alaouite mise au défi par la majorité sunnite

 

 

Les protestations contre le régime de Bashar al-Assad s’étendent. Elles se sont répandues depuis son premier épicentre de Deraa, la ville du sud, vendredi 25 mars, vers de nouveaux centres urbains : Homs, Alep, Lataqieyh et certains quartiers de Damas. Elles ont rapidement atteint une échelle jusqu’alors jamais imaginée par le régime, celle d’un soulèvement populaire de la majorité sunnite de la population (74%) contre la loi imposée par la minorité alaouite (15%).

 

Les soldats de troupe de l’armée ont tiré sur les manifestants dans ce que les témoins ont appelé un massacre, atteignant des taux de centaines de blessés, qui ont provoqué des appels criants, de la part de l’opposition, à une intervention internationale.

 

 

Le nombre de tués et de blessés ne peut être déterminé de façon vérifiable. Les sources du renseignement de Debkafile rapportent que les forces spéciales de sécurité syriennes ont assigné à des unités de faire disparaître les corps aussitôt qu’ils s’effondrent sous les balles.

 

Les autorités ont été prises au dépourvu par la vague de rassemblements dans les rues qui ont immédiatement fait suite aux prêches dans des centaines de mosquées sunnites, appelant leurs fidèles à sortir dans la rue et à renverser le pouvoir des Assad et de la minorité alaouite. Les services secrets syriens n'ont pas su détecter la main des Frères Musulmans dans l’organisation de cette éruption de masse dans les rues. L’appel le plus vibrant au rassemblement est venu du prêcheur radical égyptien le plus influent, Youssouf al Qaradawi, qui a appelé la communauté sunnite syrienne à se lever pour faire valoir ses droits en tant que majorité.

 

 

Parce que la 4ème division de son armée, commandée par Maher Assad, le frère de Bashar, qui est la seule unité composée d’Alaouites, est occupée à mettre un terme aux émeutes qui se déroulent dans la ville de Deraa, au Sud, et que la majorité de ses troupes dans les autres bataillons sont des Sunnites, Assad se trouve à court de contingents de confiance pour défendre âprement son régime. Il pensait bien que de nouvelles explosions de violence à Deraa risquaient d’enflammer le reste du pays, et c’est bien pourquoi il a ordonné à la 4ème Division de se maintenir sur place. Mais cela n’a pas empêché que les troubles s’étendent à d’autres villes essentielles, suivant des slogans appelant à la solidarité avec les martyrs de Deraa et qui menacent ses centres de pouvoir à Damas même et au-delà.

 

En aucune façon, les mesures de conciliation de jeudi, ni la répression féroce de la sécurité contre les manifestants n’ont réussi à étouffer le ressentiment ni à évacuer les tensions critiques.

 

Le climat de défiance est toujours de rigueur à Deraa même, alors que les manifestants se sont fait tirer dessus à balles réelles. La mosquée Al Omari, prise d’assaut par les forces de sécurité, dans la nuit de jeudi, est retombée entre les mains des insurgés, d’après les reportages.

 

L’heure de vérité, pour le régime Assad, qui tient depuis 11 ans (et qui a pris la suite de celui établi par son père, par un coup d’état militaire) est, par conséquent, très proche ; à moins qu’il ne sache prendre la bonne décision ou qu’il ne reçoive un soutien extérieur.

 

Il peut encore, par exemple, opter pour une solution à la Kadhafi, ou suivre l’exemple du Roi du Bahreïn.

  

Depuis l’éclatement de la révolte libyenne, en février, Mouammar Kadhafi a choisi d’abandonner l’Est et de concentrer son effort militaire sur la préservation de ses centres de pouvoir à Tripoli et dans les villes environnantes. Après avoir stabilisé son régime, il a conçu le plan visant à progresser et à reprendre le reste du pays aux mains des rebelles, ses opposants.

 

Jusqu’à présent, ce risque calculé a été couronné de succès. Les rebelles, soutenus par la coalition des forces internationales, ne sont pas parvenus à le renverser.

 

 

Assad décidera t-il, après ce vendredi sanglant, qu’il dispose de suffisamment de forces loyales pour imposer sa loi à l’ensemble de la Syrie, ou choisira t-il de se retirer dans ses retranchements et de se concentrer pour sauver Damas ?

 

Alors que le soutien de la majorité de son armée n’est pas acquis, le dirigeant syrien pourrait opter pour le remède bahreïni – à savoir, faire appel à une aide extérieure, comme l’a fait le Roi Hamid al Khalifa, qui a demandé le soutien de Riyad, de façon à ce que les forces saoudiennes viennent l’aider à défendre son trône contre l’insurrection menée par les Chi’ites.

 

Les alliés qui viennent à l’esprit, dans le cas d’Assad, sont l’Iran, le Hezbollah libanais, les groupes palestiniens pro-iraniens basés à Damas –le Hamas, le Jihad islamique et le Front populaire palestinien d’Ahmad Jibril-Commandement Général.

 

Il ne prendrait pas plus de quelques heures à Téhéran pour envoyer des avions bourrés d’unités des Gardiens de la Révolution sur Damas. Une structure de Commandement iranien est déjà positionnée dans les quartiers-généraux de l’armée syrienne à Damas. Pourrait aussi être très utile à Téhéran de déléguer une milice chi’ite irakienne, celle de l’armée du Mahdi de l’imam radical Moqtada Sadr, un très grand ami personnel, aussi bien d’Hassan Nasrallah du Hezbollah que d’Assad.

 

Samedi, on s’est livré à des spéculations croissantes, selon lesquelles Téhéran ferait son maximum pour venir à la rescousse du tyran syrien, qui n’a que récemment ouvert le port de Lataqiyeh en tant que base iranienne.

 

Donner au Hezbollah un pied à terre en Syrie est plus compliqué, étant donnée la rivalité inavouée entre le dirigeant syrien et lui et ses réserves quant à la puissance militaire émergente du second, ainsi que ses capacités terroristes et de renseignement. Assad devrait assurément prendre en compte qu’une fois que le Hezbollah aurait obtenu une assise confortable en Syrie, il serait bien difficile de l'en déloger.

 

Remettre le destin du régime Assad entre les mains des organisations radicales palestiniennes serait également imprudent, et pire, ceci constituerait une véritable humiliation pour Damas.

 

Cela ouvrirait aux Palestiniens leur seconde porte au cœur d’un soulèvement arabe, le premier ayant donné au Hamas un levier de commande inespéré en Egypte.  

 

Assad pourrait même mettre en scène une attaque contre Israël, pour se construire une tactique de diversion désespérée afin de se sortir des troubles qui agitent son propre pays. 

 

"Nous devons retourner à Gaza" DESINFOS

"Nous devons retourner à Gaza"

Par BEN HARTMAN
27.03.11
   

"Terrifiant." Pour Gabi Tatarov, habitant d'Ashdod, les durs moments connus avant l'Opération plomb durci sont de retour ; et la crainte l'accompagne. "Les sirènes hurlent à tout moment", explique-t-il. Les classes ont été suspendues et son fils de neuf ans a pour consigne de rester à l'abri à la maison.

Des pompiers démontent une roquette à Ashkelon, mercredi.
Photo: Eliram Moshe , JPost

Jeudi, dans l'après-midi, une roquette de type Grad a explosé dans des dunes de sables situées au nord de la ville. Tatarov se précipite à la maison et trouve l'enfant caché dans la cage d'escaliers. "Ma femme et moi travaillons alors il est seul durant la journée. Nous lui avons expliqué quoi faire en cas d'alerte, mais il a préféré se réfugier avec les voisins dans la cage d'escaliers plutôt que dans la chambre forte."

L'expérience que traverse la famille Tatarov est partagée par de nombreux habitants du pays. A Ashdod, Ashkelon, Beersheva, les roquettes pleuvent.

Au centre commercial d'Ashkelon, jeudi, les mamans ne sont pas rassurées et gardent un oeil vigilant sur leur progéniture, prêtes à réagir en cas d'alerte. En mai 2008, une quinzaine de clients avaient été blessés quand une roquette s'était écrasée sur le plafond du centre commercial. Le plafond n'est toujours pas fortifié, et constitué de larges panneaux de verre. "Nous ne sommes pas en sécurité ici, et nous commençons à paniquer", confie Sarit Halavia. Mais elle travaille dans le centre et n'a nulle part où laisser ses trois enfants. "Ils ont de bons réflexes", se rassure-t-elle. "Meilleurs que les nôtres !"

Pour Charlie Adrian, propriétaire d'un salon de coiffure, il faut riposter. "Nous devons retourner à Gaza. Mais cette fois, nous devons rester jusqu'à finir le travail. Pas comme la dernière fois."

 
 

 

Facebook refuse de censurer la 3e Intifada Guysen

Facebook refuse de censurer la 3e Intifada
Par Marie-Rose Granget - Dimanche 27 mars 2011 à 16:22


Facebook est au centre d'une polémique depuis que le réseau social le plus populaire a refusé de supprimer une page fan appelant les internautes à mener une troisième Intifada contre Israël.


 
Une campagne fait rage sur la toile pour faire pression sur le réseau social le plus populaire afin qu'il supprimer une page appelant ses fans à la troisième Intifada contre l'Etat hébreu. Des groupes pro-israéliens soutenus par des particuliers ont fait part de leur inquiétude croissante à l'égard des citoyens israéliens qui sont menacés par la page Facebook, laquelle appelle clairement à la violence contre les Juifs et Israël.
 
Une femme a été tuée, une autre personne est toujours dans un état critique, et cinquante autres personnes ont été blessées après que des terroristes aient posé une bombe remplie de billes et d'objets pointus à côté d'un autobus mercredi 16 mars en face de la gare routière centrale de Jérusalem.
 
L'attentat est survenu lors d'une semaine où de nombreux missiles Grad ont été tirés depuis la Bande de Gaza et se sont écrasés à Ashdod, Ashkelon ou encore Beer Sheva. De nombreuses autres roquettes de courte portée ont explosé à proximité de villages juifs du Néguev occidental alors que les terroristes continuaient de mener davantage d'attaques dans le sud d'Israël.
 
Aussi, les attaques de jets de pierre semblent suivre la même tendance à la hausse sur les routes de Judée-Samarie, conduisant à rendre vraisemblable l'hypothèse d'une troisième Intifada.
 
Abraham H. Foxman, le directeur de la Ligue anti diffamation a violemment critiqué le site internet Facebook pour ''sa volonté de soutenir'' une page qui promeut la violence contre les Juifs et pour son refus de se conformer à ses propres conditions d'utilisations.
 
Bien que la page soit écrite presque entièrement en arabe, une annonce en gros caractère écrite en anglais sur la page avertit que ''Si Facebook Bloque Cette Page…Tous Les Musulmans Boycotteront Facebook à Jamais !''
 
Dimanche 27 mars la page avait déjà rassemblé plus de 328.000 fans.
 
Abraham Foxman a déclaré que son organisation avait fait une requête au réseau social, demandant que la page soit supprimée. La déception a finalement été au rendez-vous puisque la page, qui est une violation flagrante des conditions d'utilisation, est toujours disponible pour les utilisateurs du site.
 
La page ''Troisième Intifada palestinienne'' exhorte ses lecteurs de copier le lien, de le placer sur leur profil, et de le publier sur toutes les pages, photos et vidéos auxquelles ils ont accès. Une alerte annonce qu'une ''marche pour la Palestine'' débutera des pays voisins le 15 mai, permettant peu de temps après de ''libérer la Palestine''. ''Notre objectif désormais est d'atteindre un million de fans sur cette page avant le mois de mai'', publie la page.
 
La page Facebook contient également des propos incendiaires qui appellent des partisans à prendre exemple sur les deux Intifada précédentes au cours desquelles des terroristes palestiniens ont blessés et tués de nombreux israéliens. Des liens renvoient les lecteurs vers des contenus similaires postés sur les sites Twitter et Facebook.
 
''Cette page Facebook constitue un abus épouvantable de la technologie pour promouvoir la violence terroriste'', a averti A. Foxman.
 
''Nous ne devrions pas être si naïf de croire qu'une campagne pour une troisième Intifada ne laisse pas présager un regain de violence, en particulier dans le contexte actuel où l'on constate une augmentation spectaculaire (du nombre) de roquettes (tirées) depuis Gaza, l'assassinat brutal de la famille Fogel en Judée-Samarie et l'attentat à la bombe à Jérusalem'', a-t-il ajouté.
 
Une pétition exhortant Facebook à supprimer des dizaines de pages qui font la promotion de la haine des Juifs et qui incitent à les tuer a débuté sur la toile à l'initiative de la Yeshiva Aish Ha Torah, basée à Jérusalem. La pétition appelle le réseau social à ''supprimer toutes les pages qui promeuvent la haine à l'égard d'Israël et du peuple juif''.
 

 

 

Minibluff the card game

Hotels