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Saleh appelle les opposants à quitter le Yémen

LEMONDE.FR

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Le président yéménite Ali Abdallah Saleh, dont l'opposition réclame le départ, a appelé ses détracteurs à quitter le pays, dans des propos reproduits mardi par l'agence officielle Saba. "Je dis à ceux qui demandent aux autres de partir : c'est à eux de s'en aller, c'est aux agents stipendiés de quitter le pays", a lancé à l'adresse de l'opposition M. Saleh, de plus en plus contesté.
 

Le chef de l'Etat est confronté depuis fin janvier à un mouvement de contestation populaire réclamant son départ et qui s'est accentué après la mort, le 18 mars, de 52 manifestants par des tirs attribués à ses partisans. M. Saleh, au pouvoir depuis trente-deux ans, a accusé l'opposition parlementaire de vouloir prendre le pouvoir "grâce au sang versé des jeunes".

"Ils se sont tous ligués pour faire tomber le régime : Al-Qaida, les Houthis (rebelles nordistes), les séparatistes (sudistes) et le Forum commun (opposition parlementaire), a encore dit le président, plaçant tous ses adversaires dans le même panier. Ceux qui veulent le pouvoir doivent se diriger vers les urnes, et si le peuple leur accorde sa confiance, nous leur remettrons le pouvoir", a-t-il ajouté, dans une nouvelle indication de son refus d'un départ anticipé.

150 MORTS DANS L'EXPLOSION D'UNE USINE DE MUNITIONS

Selon des sources politiques, des contacts pour organiser une sortie de M. Saleh la semaine dernière ont échoué. L'une des formules envisagées consistait en un transfert du pouvoir à un conseil présidentiel de cinq membres, dont un général de premier plan qui s'est rallié à la contestation, Ali Mohsen Al-Ahmar.

Par ailleurs, l'explosion lundi dans une usine de munitions dans le sud du Yémen a fait au total 150 morts et plus de 80 blessés, selon un nouveau bilan communiqué mardi par un responsable local. Un précédent bilan faisait état, lundi soir, de 76 tués. Les victimes sont des civils qui sont entrés dans l'usine pour tenter de récupérer des armes ou des munitions, mais les circonstances de l'explosion ne sont pas encore éclaircies.

La veille, des éléments d'Al-Qaida avaient mené une opération-commando contre cette unité de production militaire et emporté des caisses de munitions. La trentaine de personnes cagoulées avait chargé ces caisses à bord de quatre camionnettes avant de quitter les lieux sans être inquiétées.

 

ISRAEL 7

Agression antisémite déjouée

[Lundi 21/03/2011 20:53]

Pour une fois, le BNVCA (Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme) pourra rendre compte d’une agression antisémite dont le dénouement a été bienheureux.

Le professeur des universités Georges Elia Sarfati, linguiste israélien d’origine française et fondateur de l’Université populaire de Jérusalem (voir ici), se trouve actuellement à Paris pour une série de conférences. Jeudi 17 mars, la Journée du jeûne d’Esther, il a été agressé dans le métro par trois jeunes assaillants, apparemment maghrébins. Ces derniers ont immédiatement repéré son chapeau et sa barbe l’identifiant sans ambiguïté comme  Juif observant, ainsi que la tête couverte de son épouse Jessica.

Un des assaillants esquissant un geste agressif, ne s’attendait pas à se faire rouer de coups par la canne de Georges Elia Sarfati. Le professeur Sarfati a rythmé sa prompte réaction par des injures en judéo-arabe de circonstance, non moins répétitives que ses coups de canne. Les trois agresseurs antisémites paniqués, ont pris leurs jambes à leur cou.

Ce n’est pas la première agression antisémite qu’a subi le Professeur Sarfati. Au début des années 2000, alors qu’il alternait son enseignement à l’Université de Tel-Aviv et en France, il a fait l’objet d’une grave attaque à l’Université de Clermont-Ferrand. Ses agresseurs lui ont alors cruellement broyé la jambe. Hospitalisé, le professeur Sarfati en est ressorti avec une infirmité définitive le contraignant depuis à marcher à l’aide d’une canne.

Lorsqu’il montre sa canne, le professeur Sarfati a l’habitude de dire « Ça, c’est le résultat de la démonisation antisioniste dans les universités françaises ». De résultat dramatique d’agression antijuive, cette canne s’est transformée dans les mains du professeur Georges Elia Sarfati, en repoussoir d’agresseurs antisémites. C’est exactement le thème de la fête de Pourim : retourner l’agresseur antijuif en agressé.

Riche de ces expériences, Georges Elia Sarfati affirme : « C’est une nécessité de ne pas se laisser faire », et de commenter cette dernière agression antisémite: « C’est d’une banalité effrayante en France. »

Toutes nos félicitations au professeur Georges Elia et à Jessica Sarfati. Souhaitons-leur un retour rapide et dans de bonnes conditions à Jérusalem où beaucoup d’amis les attendent.

 

ISRAEL 7

Colère en Israël contre la Pologne

[Lundi 28/03/2011 17:55]

Le Premier ministre polonais Donald Tusk, qui a effectué récemment un voyage en Israël, a pris une décision qui suscite à juste titre la colère dans le pays. Il a en effet annoncé que son gouvernement reportait les démarches devant aboutir à la restitution des biens juifs spoliés pendant la Shoah. Cette information a provoqué immédiatement la réaction de l’Union des Juifs originaires de Pologne en Israël.

La présidente de cette organisation, Lily Haber, a écrit une lettre à Donald Tusk dans laquelle elle a souligné de prime abord que ces mesures auraient permis de rendre enfin justice aux victimes de la Shoah. Elle a ajouté qu’il s’agissait de biens appartenant aux membres de la plus grande communauté juive ayant vécu en Europe pendant des centaines d’années, qui avait contribué largement au développement de la vie culturelle de la Pologne en l’aidant tant sur le plan matériel que spirituel.

Lily Haber a ajouté : « Cette communauté a été massacrée sur la terre de Pologne. Sur trois millions et demi de Juifs, seuls 350 000 ont survécu et tout ce qu’ils possédaient, dans l’immobilier, en biens financiers, en objets d’art etc. leur a été volé et ne leur a jamais été rendu, au cours des 65 ans qui ont suivi la fin de la guerre ».

Mme Haber a encore indiqué à Donald Tusk : « Vos déclarations ont causé une grande douleur aux personnes originaires de Pologne qui ont survécu à la Shoah. Pendant des dizaines d’années, nous avions le sentiment que la Pologne faisait des efforts sincères pour que ces biens soient restitués à leurs propriétaires comme l’ont fait les pays européens éclairés. Mais aujourd’hui, il s’avère que le gouvernement polonais n’a pas l’intention de parvenir à un accord digne, d’un point de vue moral, qui permettrait aux victimes de récupérer ce qui leur appartient ». 

Lily Haber ne perd pas espoir et c’est pour cette raison qu’elle a rédigé son message. Elle a donc prié le chef du gouvernement polonais de reconsidérer sa décision en demandant que son gouvernement « entreprenne une démarche historique en œuvrant pour réparer la terrible erreur commise par le passé, en faisant  un acte hautement moral ». A la fin de sa lettre, Mme Haber a communiqué la requête de l’Union des Juifs originaires de Pologne en Israël qui a émis le souhait de  rencontrer Donald Tusk ou un membre de son gouvernement  « afin de régler cette question douloureuse et embarrassante ».

 

ISRAEL 7

« Poursuivre le menteur jusqu’à sa porte »

[Lundi 28/03/2011 22:15]

Yohann Taïeb et Jonathan Curiel, deux activistes juifs antiracistes, ont voulu mettre en relief la « sincérité » de Stéphane Hessel dit l’«indigné ». Ils l’ont rencontré au salon du livre le 18 mars dernier. Jonathan Curiel tenait la caméra. Yohann Taïeb s’est adressé à Hessel. Ce dernier rompu à la correction diplomatique a feint d’écouter Yohann tout en tentant de l’interrompre et de dévier la discussion. Sur un ton posé, Yohann Taïeb s’en est tenu strictement à ce qu’il avait à dire à Hessel, à savoir lui faire le grief d’avoir associé indûment « Juifs » à « crimes de guerre ».

Yohann Taïeb, rappelant à Stéphane Hessel son « obsession à condamner Israël », lui a suggéré poliment et fermement de condamner le terrorisme arabe et de bien vouloir regarder les photos des enfants de la famille Fogel : Yoav 11 ans, El’ad 4 ans et Hadass, 4 mois, atrocement égorgés pendant leur sommeil le 11 mars à Itamar. Cette demande a suffi à faire sauter le vernis sur la façade de respectabilité factice pour exposer la violence de Hessel, fondant physiquement sur Yohann Taïeb. Demander à cette icône médiatique de regarder des enfants juifs horriblement massacrés par le terrorisme arabe a eu raison de sa retenue diplomatique, en principe une seconde nature pour Stéphane Hessel, entré dans le corps  diplomatique français il y a plus de 60 ans. Stéphane Hessel aurait probablement poursuivi son assaut sur Yohann Taïeb, le giflant même, si son co-auteur et le chef du stand ne l’avaient pas retenu.

L’ « indigné », usurpant donc ce titre comme il a admis avoir prétendu être l’un des rédacteurs de la Déclaration des Droits de l’Homme, n’a pas condamné le massacre de la famille Fogel, ni l’assassinat de 300 enfants juifs lors des attentats suicides comme cela lui a été suggéré.

Par leur détermination, Yohann Taïeb et Jonathan Curiel ont renoué ainsi avec les plus beaux moments de l’activisme juif. Ils ont réussi mieux que toute une série d’éloquents articles à exposer le visage hideux de tartuffe et de pseudo indigné se parant de la défense de l’opprimé pour calomnier et faire condamner Israël, le peuple et son Etat.

Ce lundi 28 mars à la Place de la Bourse à Paris, alors que le prix de la désinformation est décerné à l’AFP par un collectif de mouvements sionistes, le tandem Yohann Taïeb et Jonathan Curiel a pris une sérieuse avance pour se voir décerner le prix de l’information.

 

 

 

ISRAEL 7

Le Pr Dershowitz n’est pas le bienvenu en Norvège !

[Mardi 29/03/2011 10:01]

Le professeur Alan Dershowitz est un brillant avocat américain qui enseigne le droit à l’université d’Harvard. De passage en Norvège, où il a été invité par le ICEJ (International Christian Embassy in Jerusalem), il a profité de son séjour pour rencontrer des responsables du mouvement Habad d’Oslo qui lui ont réservé un accueil chaleureux et lui ont donné la parole lors d’une réunion. Dans l’allocution qu’il a prononcée, le Pr Dershowitz a indiqué notamment qu’il avait eu la désagréable surprise de se heurter à un refus lorsqu’il avait demandé de rencontrer les dirigeants norvégiens. Et lorsqu’il a émis le souhait de donner une conférence dans les universités d’Oslo et de Trondheim, on lui a fait comprendre qu’il ne serait pas le bienvenu en raison de ses prises de position en faveur d’Israël.

Commentant ces « incidents », le Pr Dershowitz a rappelé : « J’ai pris la parole dans les meilleures universités du monde, que ce soit en Allemagne, en Chine, en Russie et même à Bir Zeit. C’est la seconde fois que je me heurte à un refus. La première fois, c’était en Afrique du Sud, à l’époque de l’Apartheid, lorsque j’étais l’avocat de Nelson Mandela. Et la seconde, c’est ici, en Norvège.

Comme indiqué plus haut, le Pr Dershowitz a répondu à l’invitation du ICEJ et a donné une conférence devant des étudiants du NTNU. Il a lu alors les premières lignes d’une pétition rédigée par des professeurs norvégiens, appelant au boycott d’Israël qui selon les signataires, « occupait une terre palestinienne depuis 1948 ». Il a conclu tout naturellement en soulignant que ce n’était pas seulement « l’occupation » (depuis 1967) qui était dénoncée dans cette pétition mais aussi l’existence même d’Israël.

 

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