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Depuis le blog de Marc Lev
30 mars 2011
Le monde pourrait bien s'effondrer que l'obligation de proclamation d'un état palestinien serait encore présente...
Nous suivons tous les avancées de la situation en Lybie où "les bons" - les forces armées occidentales se tapent sur l'épaule, s'envoient des fleurs pour ce qui semble une réussite assurée: la chute du dictateur Khadafi ! S'il y a un but commun c'est bien celui de vaincre Khadafi, en cela de se donner des airs de bienfaiteurs de l'humanité, de sauveteurs d'une population en quête de liberté et de démocratie. Ne parlons pas ici des intérêts propres ( ah ces pétro-dollars !..) mais entendons malgré tout certaines voix, certains bruits qui laisseraient entendre que les manifestants lybiens auraient quelques "relations" concrètes avec Al-Qaïda... comme des frères égyptiens, tunisiens...en avaient avec les Frères Musulmans, avec les intégristes armés...
Pourrait-on s'attendre à une "libération" occidentale pour laisser place à des mouvances d'Al-Qaïda ? La chose serait-elle même imaginable pour la logique des dirigeants occidentaux venus "libérer" le peuple lybien ? Se pourrait-il que des régimes extrémistes religieux prennent les pouvoirs délaissés par des dictateurs ?
Quoiqu'il en soit l'Occident fait de son mieux pour: ou bien s'ingérer dans des conflits comme l'exemple des palestiniens et d'Israël et d'ajouter pour le moindre de l'huile sur le feu, ou bien de laisser comme touché d'un aveuglement soudain les dictateurs massacrer leurs peuples...
Alors que la décision de Mahmoud Abbas de proclamer officiellement la création d'un état palestinien en septembre 2011 a déjà largement fait son chemin sur l'International, comme si la chose se voulait d'évidence, qui se souvient encore ce jour que l'idée de demander le gel total des implantations en Cisjordanie et à Jérusalem a été émise en premier lieu par...B. Obama ? Qui a en mémoire la conclusion "logique" de B. Obama lors d'un entretien avec des dirigeants juifs américains par laquelle il déclara que le problème était que l'état d'Israël n'avait fait aucune concession territoriale sérieuse..?
Mais il me semble ici intéressant de reprendre les résolutions du Conseil de Sécurité quant à ce fameux état palestinien et qui ne cessent de revenir au-devant des discussions comme par obligation... jusqu'à une nouvelle condamnation d'Israël par Ban Ki-Moon hier à l'ONU:
Vous avez d'abord l'ensemble des résolutions ( 242, 338, 1397) qui mettent l'accent sur le fait que des territoires ont été occupés en 1967 et comme tels n'appartiennent pas à l'état d'Israël, mais...
La résolution 242 (1967) en appelle "au retrait de territoires" (tel que la chose est écrite dans sa version anglaise), et non pas "des territoires" comme cela a été traduit dans la version française: chose qui entrainerait une toute autre interprétation, qui laisserait bien évidemment entendre "la totalité des territoires".
De-même cette résolution 242 n'omet pas d'exiger : " le respect et la reconnaissance de la souveraineté de l'intégrité territoriale et de l'indépendance politique de chaque état de la région, et leur droit de vivre en paix"...
La résolution 338 (1973) en appelle à "un cessez-le-feu et à des négociations en vue d'instaurer une paix juste et durable au Moyen-Orient"...Serait-ce là la recherche de M. Abbas qui se refuse même à reconnaitre officiellement l'état d'Israël d'où son refus avéré de négociations directes ?
Quant à la résolution 1397 (2002), celle-ci reconnait pour la première fois l'appellation d'un état de Palestine.
Alors qu'Israël semble se diriger vers un pas de plus d'importance quant aux palestiniens de Gaza ( projet visionné ce jour aux informations israéliennes) en prévoyant un projet d'île artificielle rattachée à Gaza par un pont et sur laquelle seraient construites des infrastructures (aéroport, port de livraisons, de plaisance, centrale électrique...), et que M. Abbas n'a aucunement trouvé l'occasion de s'asseoir avec Netanyahou en tête à tête ( à l'encontre de ces "frères" du Hamas...), la proclamation unilatérale d'un état palestinien semble ne plus faire aucun doute; à nous de démontrer que les diverses résolutions quant à la question de territoires ont une explication simple: celles-ci laissent entendre que l'état juif ne doit pas se cloisonner aux frontières établies par l'armistice de 1949 et se doivent d'être pour l'état d'Israël : sûres et reconnues...
Le monde a tout d'une marmite bouillonnante, de manifestations en révoltes, de révoltes en révolutions, de révolutions en gouvernements qui tombent, en dirigeants qui fuient...et grâce à l'Occident, et s'il en est un sujet qui ne tombe pas en désuétude, c'est bien celui de cet état palestinien...
La question qui se pose et à laquelle aucun état n'est prêt à répondre: un état palestinien à côté ou à la place d'Israël..? Mais finalement quelle importance pour l'Occident à partir du moment où celui-ci sera allé au bout de ses incompréhensions d'une réelle situation..?
Sources: Article de René Schwok "les juifs de Diaspora peuvent-ils critiquer Israël ?" - http://nuitdorient.com
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Le blog de Danilette
Une page Facebook fermée aussitôt remplacée par d'autres !
C'est vraiment l'hydre aux nombreuses têtes !
Merci à Marc de m'avoir signalé le premier lien : http://www.facebook.com/Rassoul.Allaah
Voici une copie d'écran où l'on peut voir qu'il y a plus de 3 millions d'adhérents ! En fait la page d'accueil a du être remplacée. N'étant pas inscrite sur Facebook, je n'ai pas accès à tout mais apparemment il y a de très nombreux liens, du matériel, des photos et images pour illustrer etc., alors Monsieur Edelstein, remuez-vous ! Et nous tous, faisons circuler, signalons la page etc.
Autres liens :
http://www.facebook.com/MarchToPalestine
http://www.facebook.com/Palfada
http://www.facebook.com/maseera2011
http://www.facebook.com/palatora
http://www.facebook.com/Allah.Howa.Ela3ly
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Incitation au meurtre ! Et on peut lire en bas de l'image d'un poing serré sur un poignard "no more ignorance" |
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On peut voir la clé de la maison laissée en Israël selon le narratif palestinien endoctrinant cette masse de gens. Et les clés du million de Juifs des pays arabes qui eux, ont laissé des biens et propriétés considérables qui dépassent les 20 000 pauvres km² de terres incultes achetées à prix d'or et surtout payés par un prix exhorbitant de victimes juives tuées ou massacrées. C'est bien intéressant de laisser des masures insalubres (du genre de l'habitat des arabes de Jerusalem avant la "colonisation" juive qui leur a apporté voiries, égouts et electricité) et de vouloir récupérer un pays moderne, organisé, innovant et beau ! La terre appartient à celui qui la cultive. Les Arabes qui étaient bien implantés sur cette partie de la Palestine du Mandat britannique (Israël 20% de la Palestine qui rappelons-le encore et encore comprend la Jordanie) ne sont pas partis et n'ont pas quitté leurs villages en 1948, ils constituent aujourd'hui plus d'1 million d'Israéliens ; les autres, ceux qui ont fui étaient pour la plupart des travailleurs misérables, journaliers exploités par leurs seigneurs arabes qui habitaient en Egypte ou ailleurs, ou des immigrés récents ayant afflué de tous les pays limitrophes attirés par la croissance économique. Il faut signaler aussi puisque c'est l'UNRWA elle-même qui l'avait déclaré que de nombreux arabes se sont fait inscrire comme réfugiés pour toucher les aides. Il suffisait d'ailleurs de dire qu'on avait résidé 2 ans dans le pays pour bénéficier de ce statut ! 2 ans, pourquoi donc si peu ? C'est bien la preuve qu'il s'agissait souvent de travailleurs immigrés sinon on aurait exigé bien plus d'années de résidence ! Mais est-ce si difficile à faire comprendre à des français moyens qui pourraient comparer avec l'afflux d'immigrants de pays sous-developpés vers l'Europe developpée, le phénomène n'est pas récent et s'est toujours produit au cours de l'histoire même s'il atteint des proportions inégalées de nos jours. L'Algérie aussi avait été mise en valeur par les "colons français" n'en déplaise aux gauchistes au cerveau rigidifié, est-ce que les Algériens ont su mettre à profit toutes les infrastructures laissées par les Français ? Qu'en ont-ils fait ? |
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MediArabe.com - Syrie : Bachar Al-Assad a parlé pendant 45 minutes pour vendre du vent à son peuple
La veille, il a obligé le peuple à lui manifester son soutien
Syrie : Bachar Al-Assad a parlé pendant 45 minutes pour vendre du vent à son peuple
Les opposants dénoncent un discours creux et l’absence de décisions. La contestation y trouve un nouvel élan
mercredi 30 mars 2011 - 15h01, par
Devant les députés syriens aux applaudissements généreux, le président Assad a prononcé un discours de plus de 45 minutes, pour évoquer la situation dans son pays, mais sans rien annoncer pour calmer la population. Au contraire, il a laissé au peuple le loisir de choisir entre le pain et les réformes
Assad a remercié le peuple qui s’est mobilisé, hier par millions, pour défendre l’unité du pays. Mais le président n’a pas dit mot sur les ordres adressés par fax depuis le ministère de l’Administration locale aux entreprises et autres administrations afin d’obliger leurs employés à manifester [cliquez ici pour voir un exemplaire de la circulaire adressée à l’administration de Deraa et cliquez ici pour voir l’exemplaire émanant des autorités de la province de Tartous]. Assad a affirmé, une nouvelle fois, que « la Syrie fait face à un complot, mais que la vigilance du peuple l’a déjoué. Ce complot a été préparé depuis plusieurs mois, avec la campagne de mobilisation sur internet et dans les télévisions satellitaires, prenant des revendications sociales légitimes et des réformes une couverture pour semer la discorde (Fitna) ».
Après avoir décrit le contexte des événements, Assad a affirmé que « les réformes ne doivent pas se préparer dans la précipitation », rappelant que « plusieurs projets de lois, examinés par le parti Baas, depuis le 10ème congrès général (2005) sont dans les tiroirs. Ils seront ajustés, puis examinés par les députés, après concertation avec le peuple (plusieurs mois) ». Il a promis de donner, dans un mois, un calendrier des réformes à venir.
Assad a joué le rôle du bon père de famille. Il a en effet rappelé que depuis son arrivée au pouvoir, « ses priorités ont été modifiées en fonction des besoins. Car, on peut retarder une réforme politique, mais on ne peut pas priver un enfant de nourriture. On peut repousser une loi sur les partis politiques, mais on ne peut pas tolérer les douleurs d’un enfant qui n’est pas soigné... » ; Durant cette période, la Syrie a été soumise à des pressions extérieures qui ont nécessité un changement des priorités : le 11 septembre 2001, l’invasion de l’Irak, la situation au Liban, la guerre israélienne de 2006, l’attaque contre Gaza... Tous ces événements n’ont pu agenouiller la Syrie. Ce qui a obligé ses adversaires à inventer de nouvelles méthodes inspirées de la nouvelle mode en vogue dans la région : les révolutions. Mais Assad a affirmé que « cette mode ne passera pas en Syrie », et que « si les ennemis de la Syrie veulent la guerre, les Syriens sont prêts ». Enfin, le président a conclu son discours en criant à « la gloire de la Syrie, le pays de la résistance, qui restera la forteresse arabe pour défendre toute la nation ».
Aujourd’hui, le président s’est encore une fois moqué de son peuple et du monde entier. Il a parlé sous les applaudissements pendant 45 minutes pour vendre du vent aux Syriens. Reste à savoir si la patience du peuple correspond aux promesses du président, étalées dans le temps ? Apparemment non, puisque les commentaires sur les sites de l’opposition et sur les pages Facebook sont de plus en plus enflammés. La mobilisation ne fait que commencer, préviennent les opposants.
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Libye : la réunion de Londres divisée. Des secousses à venir ailleurs (Par DESINFOS)
La conférence de Londres divisée sur la Libye. De nouvelles secousses à venir au Bahreïn, Egypte, Yémen et Syrie.
Adapté par Marc Brzustowski
Pour © 2011 lessakele
La Conférence de Londres à laquelle ont assisté 40 Ministres des affaires étrangères et de nombreuses délégations, s’est achevée mardi 29 mars, par une scission entre, d'un côté, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, favorables à l’idée d’armer les rebelles libyens, et, de l'autre, la France et l’Italie se prononçant contre. Elle a aussi transmis le contrôle de l’offensive de la coalition à un « groupe de contact », avec la mission floue de définir un schéma directeur pour l’avenir de la Libye.
Par conséquent, cette Conférence a surtout renvoyé le conflit Libyen au même destin incertain que les autres soulèvements arabes, qui atteignent des paroxysmes toujours plus sanglants, en marche vers des résultats imprédictibles
Les analystes de Debkafile, néanmoins, discernent une demi-douzaine de critères déterminants, qui sont loin de porter à l’optimisme, dans ce brouillard d’incertitudes :
1. Le contrôle de la guerre libyenne s’est pratiquement échappé des mains de l’OTAN, de l’ONU et du Conseil de Sécurité pour être transmis à un « groupe de contact » multilatéral qui devra se rencontrer au Qatar et en Italie. Il n’est pas difficile de prédire les conséquences d’une guerre conduite par une commission internationale disposant d’un mandat flou –particulièrement quand, depuis ses prémisses, ses membres se refusent à envisager ses objectifs les yeux dans les yeux. Cette Tour de Babel fournira donc à Mouammar Kadhafi un nombre considérable d’occasions de manœuvrer.
2. En dépit des efforts des puissances occidentales, le Qatar, dont la principale richesse est le pétrole, avec sa chaîne de télévision (Al Jazeera) et ses seulement 70 000 habitants, peut difficilement être tenu pour représenter le soutien panarabe aux efforts de guerre occidentale en Libye. Chaque tentative d’obtenir un tel soutien s’est soldée par un refus poli.
3. Washington navigue encore entre deux eaux, sur la question de savoir s’il faut ou non reconnaître le Conseil National Intérimaire des rebelles à Benghazi et fournir des armes à ses combattants. La seule chose vraiment claire, c’est que ces deux propositions ont rencontré l’opposition inflexible des décideurs du plus haut niveau de la hiérarchie du Commandement et de la Défense américaine, qui ne font pas mystère de leur vision des choses.
L’Amiral James Stavridis, commandant des forces américaines au sein de l’Otan, s’en est expliqué mardi 29 mars, devant une Commission du Sénat US, en parlant de « signes révélateurs de la présence d’insurgés islamistes menés par Al Qaeda et le Hezbollah », dans le camp des rebelles de la guerre en Libye. Il a admis que les puissances occidentales maintiennent une surveillance étroite pour obtenir une meilleure compréhension du « contenu, de la composition, des personnalités concernant qui sont ces dirigeants des forces d’opposition ».
Quoi qu’il en soit, les fervents partisans de la guerre, la Secrétaire d’Etat américaine au Département d’Etat, Hillary Clinton et l’Ambassadrice à l’ONU, Susan Rice sont fermement en faveur de l’armement du CNI. Clinton a établi une présence diplomatique américaine permanente à Benghazi. Le Président américain Barack Obama n’a pas pris clairement parti dans cette controverse qui agite Washington. Lors de sa dernière interview, il a déclaré : « Je ne l’exclue pas, mais je n’en fais pas non plus une règle ».
4. Aucune puissance autre que les USA ne possède les capacités militaires pour assurer des résultats tangibles pour la guerre libyenne. La Grande-Bretagne et la France, divisées sur l’essentiel, ont surtout donné l’impression palpable, lors de la Conférence de Londres, mardi, que leurs options militaires n’étaient guère plus que symboliques.
C’est devenu évident, mardi, lorsque se déroulait la conférence de Londres : les frappes aériennes et de missiles américains ont été suspendues pendant à peine quelques heures, les rebelles confrontés aux forces loyalistes de Kadhafi, se sont trouvés sans ce recours et ils ont immédiatement perdu la majeure partie du terrain qu’ils avaient reconquis avec le soutien américain et ont été contraints de battre en retraite plus loin vers l’Est.
Moins de 12 heures plus tard, quand le Président Obama s’est adressé à nouveau à la télévision, l’offensive américaine avait été relancée. C’était un message à Mouammar Kadhafi pour lui faire comprendre que l’Amérique ne se relevait pas de son engagement militaire, mais au contraire, qu’elle pouvait l’intensifier ou baisser de régime à sa guise.
C’est bien ainsi qu’Obama présentait les choses : “Kadhafi est considérablement affaibli. Il ne peut conserver le contrôle de la majeure partie de la Libye, à ce stade, et, ainsi, si nous continuons à maintenir la pression, je pense, cela nous donnera l’espace et le temps suffisant pour forger le genre de solution politique qui s’impose ».
5. Les sources moyen-orientales de Debkafile remarquent : “- Que le président américain l’ait exprimé de façon intentionnelle ou non – la dernière partie de son commentaire, s’agissant “d’espace et de temps”, convenait parfaitement pour parler des situations qui se déroulent actuellement au Bahreïn, en Egypte, en Syrie et au Yémen.
Les convulsions qui agitent tous ces pays augmentent leur instabilité bien plus qu’elles ne vont en les réduisant. Et toutes sont en proie à des vagues de bouleversement qui continueront de secouer la région durant des années.
Bahrain. Téhéran, bien que temporairement contenu par l’intervention militaire saoudienne, est à nouveau en train de perturber les populations chi’ites pour les inciter à se dresser contre le trône. Ce royaume insulaire riche en pétrole est confronté à de plus en plus de manifestations qui se transforment vite en émeutes. Là encore, la main déstabilisatrice du Hezbollah a laissé ses empreintes.
Egypte. Les élites politiques et religieuses se jettent à la gorge les unes des autres. Ensemble, elles sont en train de saper les efforts de la junte militaire qui a pris les affaires en main après l’éviction d’Hosni Moubarak, en tentant d’affirmer son autorité.
Yemen. Cette nation stratégique de la Mer Rouge est en train de sombrer plus profondément que jamais dans une guerre civile sanglante et interminable.
Syrie. Les efforts du Président Bachar el Assad pour offrir des concessions, parmi lesquelles d’avoir congédié son gouvernement mardi 29 mars, comme on tend un os à ronger, de façon à apaiser sa majorité sunnite, n’a fait qu’obtenir l’effet inverse. Le tempérament des groupes en désaffection en Syrie n’en est devenu que plus fébrile, en renforçant une volonté plus largement répandue de braver la répression féroce et les arrestations de masse. La Syrie commence à tomber dans le même genre de soubresauts balançant d’un côté et de l’autre que la Libye.
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