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Libye, Israël, France Guysen

 
  Projet d’île artificielle au large de Gaza, "une coupure totale" avec l’enclave palestinienne (Katz) (Guysen.International.News)
Israël examine un projet de construction d'une île artificielle au large de Gaza, équipée d'un port et un aéroport, pour ne plus être responsable des échanges commerciaux de ce territoire", a indiqué mercredi le ministre des Transports Yaakov Katz à la radio militaire. "Ce projet vise à une coupure totale avec la bande de Gaza, alors qu'aujourd'hui Israël continue à être responsable des échanges de cette région car nous n'avons pas permis l a création d'un port et d'un aéroport", a-t-il affirmé. "J'ai cherché une solution qui permette de rompre toute relation avec Gaza tout en conservant notre maîtrise de la sécurité en mer grâce au blocus, qui est critique pour empêcher un trafic d'armes", a ajouté le ministre, à l'origine du projet. "L'Autorité palestinienne pourrait être partenaire de ce projet", a ajouté M. Katz.
 
Licra : Le débat sur la Laïcité "renforce le discours haineux du Front national sur l’islamisation de la France" (Guysen.International.News)
La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) a critiqué aujourd’hui le débat sur la laïcité voulu par l’UMP. "Ce qui dérange aujourd’hui la Licra est son opportunité (du débat), plus partisane que politique, la confusion et les amalgames qui l’entourent et le contexte de tensions sociales et identitaires dans lequel il s’inscrit", déplore l’organisation. Se disant "profondément attachée au principe de la ïcité", la Licra "s’oppose fermement à une circonscription du débat à nos concitoyens musulmans, qui reviendrait à laisser penser qu’ils ne respectent pas les règles de la République", selon un communiqué. "Une telle contre-vérité contribue à renforcer le discours haineux du Front national sur l’islamisation de la France", poursuit-elle. La Licra affirme par ailleurs qu'elle récusait "l’appel inepte lancé lundi par Abderahmane Dahmane, ancien conseil du Président de la République, qui par la confusion des genres et sa méconnaissance de l’Histoire résonne comme une injure faite aux victimes et aux rescapés de la Shoah". M. Dahmane a lancé hier une opération qui consiste à distribuer ses "étoiles vertes" aux musulmans "dans les banlieues", pour protester contre le débat voulu par l'UMP
 

 

Israël envisage d'annexer la Judée-Samarie Guysen

Israël envisage d'annexer la Judée-Samarie
Par Diane Fink - Mercredi 30 mars 2011 à 15:10


Israël considère la possibilité d'annexer les grands ensembles de villes juives de Judée-Samarie si les Palestiniens venaient à déclarer, de manière unilatérale, un Etat palestinien. Depuis quatre décennies, aucune mesure dans ce sens n'a été prise, ni même envisagée.


L'annonce par les responsables israéliens d'annexer les grands blocs de Judée-Samarie si les Palestiniens continuent leurs demandes de reconnaissance d'un Etat montre leur préoccupation quant à la campagne de reconnaissance sur la scène internationale sans passer par des négociations de paix avec Israël. Depuis quelques temps, les Palestiniens n'ont en effet de cesse de réclamer la reconnaissance d'un Etat dans les frontières de 1967.

Les Palestiniens ont lancé cette campagne de tentative de reconnaissance suite à l'enlisement des pourparlers de paix, auxquels ils ne cessent d'ajouter de nouvelles conditions de reprise. Mardi le ministère israélien de l'Intérieur a précisé qu'il déciderait le mois prochain de l'approbation, ou non, de 1 500 nouvelles constructions dans deux quartiers juifs dans la partie orientale de Jérusalem.

Depuis des années, Israël a pris soin de ne pas annexer la Judée-Samarie bien que près de 300 000 Israéliens vivent parmi les Palestiniens. Cependant il est largement admis que lorsqu'un accord de paix sera atteint, l'Etat juif conservera les grands blocs d'implantations construits au cours de ces 44 dernières années. Les Palestiniens, qui oeuvrent pour l'isolement international d'Israël, exigent de leur côté la Judée-Samarie ainsi que la Bande de Gaza soient parties intégrantes de leur futur Etat.

Le représentant du gouvernement ayant annoncé la possibilité envisagée d'annexer la Judée-Samarie a toutefois précisé qu'il ne savait pas à quel point le gouvernement envisageait d'agir de la sorte. Il a déclaré que "l'adoption de mesures unilatérales n'est pas une voie à sens unique", ajoutant que d'autres options étaient actuellement à l'étude.

Le Bureau du Premier ministre israélien n'a encore fait aucun commentaire concernant ses déclarations. Les grandes puissances internationales n'ont toujours renoncé à l'idée d'une solution négociée en dépit du pessimisme affiché. Les pourparlers étant toujours dans l'impasse, les responsables palestiniens sont entrés en campagne dans l'espoir de faire reconnaître un Etat palestinien. Si la majeure partie des pays occidentaux estiment qu'il est trop prématuré pour se prononcer sur un tel Etat, pratiquement tous les pays d'Amérique latine se sont alignés ces derniers mois et ont reconnu un Etat palestinien dans les frontières de 1967.


 

Depuis le site de l'Ambassde d'Israël en France et DESINFOS

Israël ou le mythe de l’occupation, par Danny Ayalon

  • 30 mars 2011 7 h 51 min

Wall Street Journal – mars 2011

L’assassinat récent de cinq Israéliens, noyau d’une famille à Itamar, nous a tous profondément choqués. Un terroriste fait irruption dans la maison des Fogel avant de poignarder à mort les deux parents, Udi et Ruth, et d’étrangler leurs enfants Yoav, 11 ans, Elad, 4, allant presque jusqu’à décapiter Hadas, qui n’avait que trois mois.

 

Il y a eu, depuis, très peu de protestations de la communauté internationale. De nombreux pays -pourtant tellement habitués à condamner la construction d’appartements au-delà de la Ligne verte- restent silencieux sur cet assassinat sadique. Pendant ce temps, les quelques correspondants internationaux qui ont couvert le massacre l’ont délibérément placé dans le contexte de la politique de construction en cours et de ce qu’ils qualifient « d’occupation ».

Toutefois, indépendamment de ces opinions sur la Judée et la Samarie, ou Cisjordanie, il s’agit là d’une déformation historiquement inexacte de prétendre que c’est l’occupation qui engendre ce type de violence. Si ce fantasme était vrai … alors avant l’occupation, il n’y aurait pas eu de violence. Ce qui va à l’encontre des archives historiques.

En 1929, la communauté juive d’Hébron, dont la présence sur ces terres remonte à des millénaires (bien avant la création de l’Islam, la conquête arabe qui a mené à l’occupation de la région) a été brutalement attaquée. Les Juifs qui vivaient en paix avec leurs voisins musulmans ont été massacrés dans un sanglant carnage, inspiré par le Mufti Haj Amin al-Husseini, qui s’est illustré plus tard en acolyte génocidaire d’Hitler pendant la Shoah. En deux jours, 67 Juifs ont été battus à mort. Des enfants juifs ont été décapités et les femmes juives ont été éventrées. Leurs membres et organes ont été arrachés, qu’ils soient morts ou qu’ils aient réussi à survivre.

En visitant les lieux peu après le massacre, le Haut-Commissaire britannique pour la Palestine, John Chancellor, a écrit à son fils: «Je ne pense pas que l’histoire ait enregistré de telles horreurs dans les cent dernières années.”

D’autres événements similaires à ces pogroms, se sont déroulés non seulement avant l’ “occupation” de la Judée et la Samarie, mais deux décennies avant la création de l’Etat d’Israël. De 1948 à 1967, la Judée et la Samarie était illégalement occupées par la Jordanie, qui a rebaptisé ce territoire en « Cisjordanie », en référence à la rive orientale du Royaume de Jordanie au-delà du Jourdain. Pas un Israélien n’a été admis dans ce territoire, mais Israël n’a pas connu un jour de paix à cette période au cours de laquelle de brutales attaques ont été lancées à partir de la Cisjordanie contre des civils israéliens.

Une autre preuve contre ce ‘mantra’ visant à faire croire que l’occupation engendre la violence provient de sources palestiniennes. Prenez la Charte fondatrice du Hamas, par exemple : elle ne mentionne ni l’occupation, ni les implantations. Tout ce qu’elle contient sont des appels à la destruction complète d’Israël, jusqu’à son dernier m2, à savoir : “Israël existe et continuera d’exister jusqu’à ce que l’islam la détruise, tout comme il en a effacé d’autres avant lui.” La Charte va même plus loin, aspirant à une ère où il n’y aura plus de Juifs ni en Occident, ni où que ce soit dans le monde.

Pendant ce temps, l’OLP -actuellement dirigée par le président Mahmoud Abbas- note dans sa Charte fondatrice que “cette organisation n’exerce aucune souveraineté régionale sur la Cisjordanie,” tout en appelant à une «libération de sa patrie ». Ceci a été écrit en 1964, soit trois ans avant la conquête par Israël de la Cisjordanie au cours de la Guerre des Six Jours.

Il est confortable de dire que la violence et la terreur subies par les Israéliens aurait à voir avec « l’occupation » ou les implantations. Même si ce mythe n’a aucun fondement historique, il reste facile à proclamer à ceux qui ont peu de compréhension du conflit.

Pourtant, ces canards stupides n’ont que faire de notre conflit si difficile à résoudre.

Le récent massacre d’Itamar met en évidence l’incitation à la haine permanente de l’Autorité palestinienne par la violence diffusée à travers ses médias, ses lieux de culte et son système éducatif. À ce stade, les paramètres fondamentaux du processus de paix ont besoin d’une révision. Si notre objectif est de parvenir à un règlement pacifique, alors simplement mettre fin à l’ « occupation » serait loin de garantir notre sécurité, comme l’histoire l’a montré.

Israël a été assuré dans le passé du soutien de la communauté internationale dès lors qu’elle se retirerait de Gaza et du Liban : la paix serait florissante et la violence prendrait fin. Dans les deux cas, cet espoir s’est avéré mortel et des millions d’Israéliens ont été soumis à des attaques incessantes depuis ces territoires au lendemain du retrait.

Car il ne s’agit pas d ‘«occupation» d’un territoire, ce qui est significatif : c’est la coexistence. Ce n’est que lorsque les causes profondes des conflits idéologiques mèneront Israéliens et Palestiniens à faire les concessions douloureuses nécessaires à la paix que nous y parviendrons.

L’auteur, Danny Ayalon, est l’actuel vice-ministre israélien des Affaires étrangères

 

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