etzbetzion
La sortie de Libye des USA met fin à la zone d’exclusion aérienne (Aschkel.info)
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
La dernière frappe américaine en Libye
Les Etats-Unis ont progressivement retiré leurs atouts aériens et maritimes de Libye et virtuellement mis fin à leur intervention militaire contre les forces armées de Mouammar Kadhafi. Cette (in-) action durant le week-end a mis en lumière que l’OTAN et ses puissances dirigeantes, la Grande-Bretagne et la France sont cruellement à court de capacités aériennes et maritimes suffisantes et nécessaires pour stopper les percées militaires de Mouammar Kadhafi, maintenir une zone d’exclusion aérienne sur toute la surface qu’il contrôle ou assurer le blocus des ports libyens.
Les sources militaires de Debkafile rapportent que les AC-10 Thunderbolt et AC-130 de l’US Air Force, qui sont assignés à l'attaque des tanks et d’autres cibles terrestres, ont disparu des cieux libyens, samedi 2 avril. Ils ont été suivi dimanche par le départ de la totalité des 100 bombardiers de combat de l’arène de la guerre en Libye.
En conséquence, le nombre d’attaques aériennes de la coalition occidentale a brutalement chuté d’environ 80%. Les autres alliés de la coalition disposent encore de 143 avions de guerre en action sur la Libye, mais moins de la moitié sont capables de mener des opérations de combat. Tout le reste est utilisé pour la surveillance et l’espionnage et comprend les transports au déplacement lent, qui sont aisément la proie des tirs depuis le sol.
Les experts des forces aériennes occidentales affirment que ce nombre est trop faible pour soutenir les missions effectives de combat de plus de 24 h sur une grande étendue, mais seulement suffisant pour de petites poches de territoire, telles qu’au-dessus des villes de Tripoli, Misrata ou Ajdabiyah – pas assez pour maintenir l’ordre sur les étendues du Golfe de Sidra ou les vastes espaces de l’Est ou de l’Ouest de Tripoli.
Ces experts remarquent que, même quand les avions américains étaient encore en action, cela n’a pas empêché les troupes loyales à Kadhafi de reconquérir des villes tout au long du Golfe de Sidra. La zone d’exclusion, supposée être la pièce maîtresse de la campagne militaire de la coalition contre Kadhafi, n’a jamais été établie au-delà de l’espace aérien des bastions rebelles de Benghazi et Tobrouk, à l’Est. Sans la participation américaine, même cette tâche réduite sera presque impossible à maintenir.
Kadhafi a tiré parti des carences de la coalition pour commencer à déployer sa flotte de 145 gros cargo de transport aérien. Libre sur environ 90% de l’espace aérien libyen, ils sont désormais capables de déplacer des renforts de troupes et de logistique de place en place.
Les sources du renseignement de Debkafile rapportent que depuis la semaine dernière, ces engins de transport ont également été dépêchés à l’extérieur du pays pour recharger, auprès d’un grand nombre de bases aériennes militaires africaines, des munitions et pièces détachées, que le régime Kadhafi a acheté auprès de sources arabes et africaines, autant que par l'entremise de trafiquants d’armes. Les estimations occidentales selon lesquelles une majeure partie de ses forces blindées et terrestres loyalistes avaient été mise hors de combat par les bombardements américains ont fait la preuve de leur optimisme débordant. Plus de 80% de ces forces apparaissent être en « bon » état de marche opérationnelle et le nombre exact de ses troupes qui ont fait défection semble excéder difficilement 1200 hommes.
Alors que les bombardements aériens américains baissaient singulièrement ce samedi, il en allait de même pour les attaques au missile depuis la mer sur les sites stratégiques du gouvernement, alors que les Etats-Unis commençaient à retirer les 12 navires de guerre mouillant au large des côtes libyennes depuis le 19 mars, dont le sous-marin nucléaire d’attaque USS Providence et son escorte de destroyers lanceurs de missiles guidés, qui était le fer de lance de l’attaque navale américaine sur la Libye.
Avec ce retrait des américains, Kadhafi est libre, désormais, de commencer à reconstruire ses défenses aériennes et ses centres de commandement que leurs attaques avaient paralysés ; il est, désormais, en position de mettre par terre la campagne militaire des alliés occidentaux pour l’évincer. Quel qu’en ait été le sens militaire, cette campagne est, bel et bien, un flop.
Le régime de Kadhafi et sa puissance militaire sortent de la confrontation pleins de contusion et bien cabossés, mais en bien meilleure forme qu’ils ne pouvaient eux-mêmes s’y attendre. L’OTAN, et tout particulièrement Londres et Paris – insistent encore sur le fait qu’ils sont prêts à mener le combat jusqu’à la dernière ligne droite. En fait, depuis le milieu de la semaine dernière, ils ont surtout exploré des canaux diplomatiques pour trouver une sortie de crise.
L’arrivée du Ministre libyen des Affaires étrangères, Moussa Koussa, à Londres, comme faisant défection du régime Kadhafi, a offert à la Grande-Bretagne une ouverture pour lancer la rumeur « qu’au moins 12 responsables de haut rang », proches du tyran libyen cherchaient à déserter le navire en train de couler et à rejoindre Londres. Une autre rumeur a prétendu que le fils de Kadhafi, Saïf al Islam, avait dépêché un messager de confiance, Mohammed Ismaïl à Londres pour sonder le terrain et y organiser, également, sa propre désertion.
Ces rumeurs n’étaient en fait que des signaux envoyés à Kadhafi que le gouvernement Cameron était prêt à un arrangement, pour autant que le dirigeant libyen se montrait d’accord de laisser tomber ses projets de reconquérir Benghazi et faisait montre de bonne volonté pour laisser le contrôle de la province de l’Est, la Cyrénaïque, aux rebelles.
Un tel arrangement permettrait à l’OTAN, la Grande-Bretagne et la France, ainsi qu’aux autres membres de la coalition alliée, de perpétuer l’actuel statuquo en Libye et de quitter le champ de bataille sans perdre la face.
Conscients que leurs parrains sont cruellement en quête d’une porte de sortie, les rebelles ont posé des jalons en vue d’un cessez-le-feu. Kadhafi, pour sa part, teste précautionneusement ses options, après avoir atteint son tout premier objectif : la fin de l’intervention militaire américaine, pendant que ses troupes font pression pour avancer encore.
Commentaires textes : Écrire
Arabes israéliens - Pour rien au monde ils n'abandonneraient leur citoyenneté israélienne (aschkel)
Arabes israéliens - Pour rien au monde ils n'abandonneraient leur citoyenneté israélienne, même le neveu d'Haniyeh du 'Hamas
Arabes israéliens - Pour rien au monde ils n'abandonneraient leur citoyenneté israélienne, même le neveu d'Haniyeh du 'Hamas
Adapté par Aschkel
pour © 2011 www.aschkel.info
Les Arabes savent avoir la haine de l'Etat juif, pourtant quand les choses se gâtent ils préféreraient vivre en Israël que sous une autorité palestinienne quelle qu'elle soit ou sous n'importe quelle autre autorité arabe. Un neveu d'Ismail Hanyeh (le Chef du 'Hamas à Gaza) sert dans l'armée israélienne du fait que sa mère et ses deux autres sœurs, les trois sœurs d'Hanieh donc, sont mariées a des Arabes israéliens ne vivent pas à Gaza, mais en Israël et ont toutes la nationalité israélienne……. Et ce n'est que le début !!!
En fait les récents événements en Tunisie, Yémen, Bahrein, Oman, Syrie (et vous n'avez encore rien vu….) ont renforcé le désir de la rue arabe pour la liberté, et les avantages de la démocratie israélienne.
Les cartes d'identité israéliennes sont très recherchés par les hauts responsables du 'Hamas, de l'OLP et de leurs proches comme les trois sœurs d'Ismail Hanyeh qui vivent maintenant dans le Neguev à Tel Sheva. Deux sont déjà veuves, mais préfèrent sans aucun doute rester dans l'Etat juif que de retourner à Gaza. Le fils de la troisième sert dans l'armée israélienne.
Ah'med Sabri, un des leaders religieux à l'est de Jérusalem qui livre des sermons odieux antisémites et pro terroristes, conserve sa carte d'identité, Hanan Ashrawi de l'OLP, Muh'hammad Abu-Tir du 'Hamas, l'épouse de Jibril Rahoub, et tant d'autres.
Quelques 150.000 Arabes non israéliens de Judée-Samarie sont mariés avec des Arabes israéliens et ont reçu des cartes d'identité israéliennes entre 1993 et 2003.
En outre quelques dizaines de milliers de clandestins arabes préfèreraient résider en Israël que sous autorité palestinienne.
Les Arabes israéliens s'opposent avec véhémence à tout échange de terres entre Israël et l'autorité palestinienne – ce qui serait les transformer de facto en sujets palestiniens
Pour rien au monde ils n'abandonneraient leur nationalité israélienne…….
A méditer !!!
Commentaires textes : Écrire
Paris refuse la requête israélienne d'annulation / Guysen
|
ETZ BETZION: bravo la France! Donc quand un mensonge est devenu "officiel" il doit demeurer une "Vérité" (le grand V est intentionnel). C'est cela la morale laïque et républicaine? Vive les institutions et les procédures, mort à l'élémentaire dignité! Prions que Paris vienne à lire Matthieu 25, v32 et 33 |
Commentaires textes : Écrire
Divers / Guysen
Commentaires textes : Écrire
Divers / Guysen
|
|
|
ETZ BETZION: Ah! le parti pris délibérément anti Israël de cet organisme qui se cache derrière une mécanique procéduriaire et administrative "incontournable", sans autre commentaire. Ce n'est plus "le machin" comme disait De Gaulle c'est un chancre sur la conscience humaine que ce machin onusien. La honte...Il est vrai que nous savons nous qui lisons la Bible que le seul juge digne de ce nom pour régler les affaires du monde, le fera depuis Jérusalem après son retour puisqu'il est écrit qu'il ne jugera pas sur un on dit (encore moins sur un rapport renié par son auteur) et qu'Il jugera donc sur les faits et la vérité connue d'un coeur vrai, d'un regard sans faille et avec conscience infaillible. En ces jours là, Jérusalem, ta lumière poindra plus que tout autre et l'ONU sera un pauvre souvenir de la déchéance morale d'une humanité en fin de parcours, dominée par l'argent du pétrole (entre autres, entre autres) et la dictature de ses nombreux tyrans. |
Commentaires textes : Écrire