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Laurent Gbagbo arrêté par les forces spéciales françaises (le Monde).

Laurent Gbagbo a été arrêté à Abidjan

L'ambassadeur de France à Abidjan a annoncé que Laurent Gbagbo a été arrêté. Selon un conseiller du président sortant ivoirien, ce sont les forces spéciales françaises qui sont intervenues dans la résidence présidentielle. (AFP et Reuters)

 

Sarina Cohn, une petite chanteuse juive belge de 16 ans, aveugle, une voix d'or...

Ecoutez la magnifique voix de Sarina Cohn, au service de cette belle chanson mélancolique de Shlomo Artzi, « Cmo beIsland » :

http://youtu.be/W97LLiTVfkc

 

 

 

Sabrina est une petite juive belge de 16 ans. Malvoyante de naissance, elle a dernièrement perdu le peu de vue qui lui restait. Plus que jamais, la musique lui permet de s'exprimer et de rentrer en contact avec le public
Elle chante en français et en hébreu, langue qu'elle domine parfaitement. 
Elle vient d'être sélectionnée comme finaliste pour être représentante de la Belgique au concours Eurovision de la chanson, où elle interprétera une de ses compositions si elle est reçue. 
Elle a une formation classique au piano et au chant et elle compose ses propres chansons, paroles et musiques. Elle joue aussi de la guitare.

Ecoutez-la encore avec "Balada", une chanson en hébreu qu’elle a composée :

 

 

http://youtu.be/aIV2fCI7Wc0

  

 

 

http://youtu.be/DTCSUuLiRpM : une autre chanson, classique cette fois, « Farfala », de André Campra.

 

 

 

 

 

La chanson « rien en apparence », que Sarina souhaite interpréter au concours Eurovision de la Chanson :

 

 

http://youtu.be/Yg8WxY8L1H8

Et en Yiddish ! http://youtu.be/MoPD60xn00I

 

Lybie : les islamistes s'emparent des armes. (News 26)

Libye: Les islamistes profitent du chaos PDF Imprimer Envoyer
Dimanche, 10 Avril 2011 06:15

La situation en Libye se complique. Les islamistes profitent du chaos généralisé pour s'emparer des armes.  Israël et l'Algérie s'inquiètent et estiment que des groupes Islamiques pourraient « s'accaparer un armement lourd et sophistiqué de nature à mettre en péril la sécurité dans cette région et bien au-delà ». - Al-Qaeda semble déjà avoir installé un émirat islamique à Derna, dans l’Est de la Libye.

 

par Jacques Benillouche

Les insurgés ont reçu le renfort de nombreux islamistes libérés par le colonel Kadhafi pour atténuer la pression contre son régime. Le risque islamiste est sérieux dans la région et il a été confirmé par le vice-ministre des affaires étrangères, Khaled Kaim, à l’occasion d’une réunion avec les ambassadeurs de l’Union européenne. Selon lui, il est fortement acquis qu’Al-Qaeda a installé un émirat islamique à Derna, dans l’Est de la Libye.

Le soutien de l’Aqmi

Le gouvernement libyen avait organisé la répression contre les islamistes réunis au sein du Groupe Islamique Combattant en Libye (GICL) et du Mouvement islamique des Martyrs qui se cachaient dans les massifs montagneux du Djebel Al-Akhdar. Soumis à d’intenses bombardements par les forces du colonel Kadhafi, ces groupements ont rejoint Al-Qaeda officiellement en 2007 pour intervenir au cœur du combat politique en réussissant à internationaliser le combat au nom de l’islam.

L'Agmi a officiellement apporté son soutien aux émeutiers libyens dans l’insurrection contre le régime libyen au point où les occidentaux craignent actuellement l’avènement d’une situation incontrôlable comme en Afghanistan. Le colonel Kadhafi avait effectivement annoncé qu’il combattait avant tout Al-Qaeda mais on avait jugé que sa déclaration était une sorte de diversion. Or il semble à présent qu’il y avait une certaine réalité dans cette menace.

Dans ce chaos généralisé, Israël craignait que les islamistes s’emparent de matériels militaires sensibles comme les missiles portables anti-aériens Manpad Sa-7. Ses services de renseignements ainsi que les services de sécurité maliens ont confirmé ces craintes : « Aqmi a profité de la situation pour se procurer des armes lourdes qui ont été transportées dans la zone sahélienne ».

Cette inquiétude est partagée par les Algériens puisque le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, estime que l'Aqmi pourrait « s'accaparer un armement lourd et sophistiqué de nature à mettre en péril la sécurité dans cette région et bien au-delà ». Le risque était grand de voir l’Aqmi s’équiper de ce matériel pour devenir une véritable armée qui apporterait son soutien au terrorisme. 

Israël observait l’émergence de ces nébuleuses islamiques comme un danger potentiel pour sa propre sécurité. Le Daily Telegraph avait d’ailleurs annoncé que des militants islamistes recrutés à Derna par un certain Abdel Halkim al-Hasadi combattaient dans les rangs des rebelles à Ajdabiya. Leur capacité à détourner l’objectif de la rébellion était mesurée aux actions étrangères au combat contre le régime libyen.

Armes de destruction massive

Les services de renseignement israéliens ont révélé que les insurgés avaient réussi à s’emparer des installations militaires libyennes et des stocks d’armement qu’ils contenaient. Mais l’attention était portée sur les armes non conventionnelles. Les rebelles ont accepté en effet de vendre au Hezbollah et au Hamas, pour plusieurs millions de dollars, des milliers d’obus chimiques constitués de gaz moutarde et de gaz neurotoxique. Avec leurs moyens électroniques et satellitaires, les israéliens suivent à la trace les convois de ces armements spécifiques, escortés par des militants islamistes venus directement du Liban pour conduire leur chargement dans une première étape au Soudan avant la destination finale du Liban et de Gaza.

Les israéliens s’inquiètent de l’usage qui pourrait être fait de ces bombes chimiques à leurs frontières d’autant plus que le Hezbollah vient d’acquérir des drones fournis par l’Iran. Des envoyés iraniens ont participé à une réunion secrète à Benghazi avec les chefs rebelles, la plupart issus de l’armée régulière, pour négocier et chiffrer le transfert de ces armes de destruction vers leurs alliés. Ces informations ont été corroborées par l’amiral américain commandant suprême des forces alliées en Europe, James Stavridis, qui a annoncé le 29 mars devant le Sénat américain qu’il avait détecté « des signes révélateurs de la présence d’insurgés islamiques dirigés par Al-Qaeda et le Hezbollah aux côtés des rebelles libyens ».

Il est fort improbable que les militaires israéliens permettent à un armement de destruction massive de parvenir à destination. Un missile lancé par un drone non identifié en provenance de la mer Rouge, le 5 avril,  a détruit un véhicule Hyundai en tuant ses deux passagers à Kalanaeeb, au sud de port Saïd. Il visait des représentants du Hamas, basés au quartier général des Gardiens de la Révolution à Port Soudan. Ils étaient chargés de la transaction de la cargaison d’obus chimiques à destination du Hezbollah et de la bande de Gaza. Le Soudan, qui négocie la suspension des sanctions à son encontre et son retrait de la liste des pays soutenant le terrorisme craint que Washington utilise cet incident pour renoncer à l’inclure dans les pays fréquentables.

Le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Igal Palmor, a refusé de commenter cette action attribuée à Israël par le ministre soudanais Ali Karti : «  Il s’agit absolument d’une attaque israélienne ». Des raids similaires avaient déjà eu lieu en 2009 au Soudan contre des convois d'armes à destination du mouvement islamiste Hamas, et ils avaient aussi été attribués à Tsahal.

Selon des sources arabes, le raid aérien pourrait avoir été effectué sur la foi d'informations fournies par l'ingénieur du Hamas, Dirar Abou Sissi, actuellement détenu en Israël et suspecté d'être le « père des Quassam ». Un missile a touché le véhicule dans lequel se trouvaient un haut militaire iranien et le responsable de l'armement de la branche armée du Hamas et successeur d'Al Mabhouh, lui-même éliminé à Dubaï l'année dernière.

En Israël, tous les journalistes sont convaincus que l’Etat d’Israël est derrière cette dernière action grâce aux fuites qui sont distillées. Il semble qu’en fait un commando de Tsahal est arrivé par voie maritime et a lancé un missile de surface sur le véhicule dont les passagers étaient arrivés par la route, depuis la ville Atbara au nord-Soudan. Les certitudes de l’implication d’Israël tiennent au fait que la méthode opérationnelle est typique d'éléments militaires de haut niveau, capables d’avoir une logistique pour agir à longue distance de leurs bases. En effet, aussitôt après l’attaque, un hélicoptère a récupéré le commando pour le déposer sur un navire naviguant sur la mer Rouge en longeant les côtes du Soudan.

www.benillouche.blogspot.com


 

Faillite du Portugal (News 26)

Faillite du Portugal PDF Imprimer Envoyer
Jeudi, 07 Avril 2011 05:50

Le dernier domino en date de la zone euro vient de tomber. Comme prévu, le Portugal s'est placé sous le "parapluie de sauvetage" européen. Et déjà les paris sur les prochains candidats à la faillite sont ouverts: Espagne ou Belgique? Jusqu'à quand les pays donateurs de la zone Euro, notamment l'Allemagne et la France, seront-ils encore capables de payer ?

Michaela Heine pour news 26

Après quelques hésitations, le Premier ministre du Portugal José Socrates a confirmé que son pays,  lourdement endetté, souhaite demander l'aide fiinancière de l'UE. Son gouvernement aurait «décidé de demander à la Commission européenne une aide financière", a dit Socrates dans la soirée à la télévision. Il avait tenté d'éviter de demander des fonds de sauvetage grâce à un plan d'austérité rigide.

La fuite en avant vers un plan de sauvetage de l'Europe serait «une décision responsable," a déclaré le commissaire européen Olli Rehn. La Commission européenne a salué l'annonce du gouvernement portugais d'accepter l'aide de Bruxelles et du Fonds monétaire international (FMI): "C'est une décision responsable pour assurer la stabilité financière de la zone euro", a précisé le commissaire monétaire Olli Rehn dans une interview avec le Financial Times Allemagne (édition du jeudi).

Entretemps, les paris sur les marchés financiers sont ouverts: quel pays sera le suivant?  Avec  l'accès du Portugal aux fonds de sauvetage il devient désormais clair que l'Union Européenne s'est transformée en une union de transfert financier. Les prochains candidats sont la Belgique et l'Espagne. Mais la question est combien de temps les pays donateurs, notamment  l'Allemagne et la France, seront-ils encore en mesure d'aider à coups de milliards avant de perdre leur propre solvabilité.

Aucun montant financier n'a été dévoilé, ni à Bruxelles, ni à Lisbonne mais lors du dernier sommet européen, le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, avait évoqué une "assistance" de 75 milliards d'euros. Les besoins de financement du pays sont estimés entre 12 et 15 milliards d'ici à la fin juin.

L'étape suivante sera une réduction des dettes des candidats "sauvés" de la faillite. Cela devrait définitivement détruire l'illusion des pays donateurs de revoir un jour leur argent. (lisez à ce sujet:
Le FMI pousse à la restructuration de la dette grecque)

Les conséquences pour la France se font déjà fortement sentir: les taux d'intérêts des obligations d’Etat à 10 ans de la France ont augmenté depuis Septembre 2010 de près de 50%. Au 1er septembre de l'année dernière le taux d'intérêt était de 2,6%. Aujourd'hui, la France doit payer près de 3,8% pour les obligations à dix ans. Il s'agit là d'une véritable explosion des intérêts dans un court laps de temps. Tendance à la hausse. Une nouvelle augmentation des taux d'intérêt devrait mettre la France en difficulté. A 7% la France serait à bout - l'Etat serait en faillite.

 

Côte d'Ivoire : Vergès menace de porter plainte contre la France pour crime contre l'humanité.

Côte d'Ivoire: Vergès menace de porter plainte contre la France PDF Imprimer Envoyer
Dimanche, 10 Avril 2011 16:21  News 26

Jacques Vergès menace de porter plainte contre la France pour crime contre l’humanité et crimes de guerre. Selon lui, Ouattara est "le chef d’une bande d’assassins".

 

La situation en Côte d'Ivoire est de moins en moins claire et les deux camps s'affrontent à la fois sur le terrain et sur l'arène internationale. Les décisions onusienne et française d'intervenir sont largement commentées et remises en question.

Apparemment Jacques Vergès a l'intention de porter plainte contre la France pour crime contre l’humanité et crimes de guerre. "Si la complicité de la France avec la bande d’assassins s’avérerait prouvée, je serais le premier à porter plainte et à plaider pour les victimes contre les militaires qui se seraient rendus coupables", a déclaré Vergès dans une interview avec le Nouvel Observateur.

Révolté par l'intervention militaire de la Fance en Côte d'Ivoire, le célèbre avocat accuse le président élu et reconnu par l'ONU de massacres perpétrés par ses troupes et le prend lui-même à témoin: "Alassane Ouattara dit dans la presse que sur la totalité des morts comptés, il est peut-être responsable de la moitié. C’est fantastique comme aveu! Il dit aussi que les personnes tuées étaient des combattants. Ce qui est encore plus grave parce qu’on ne tue pas des combattants, on les fait prisonniers," a-il précisé dans cette interview.

Il n'est plus le seul à villipender les positions françaises. La Russie vient de protester contre la manière dont a été faite l’entrée à Abidjan des pro-Ouattara, l'Angola vient de reconnaître Laurent Gbagbo comme seul chef légitime. Manifestement, la situation est en train de changer et l’opinion internationale est en train de renverser la tendance.

Ainsi que le commente l'agence de presse russe Ria Novosti: "Le président français Nicolas Sarkozy est un insatiable va-t-en guerre. Le monde n’a pas encore eu le temps de se faire à la décision impulsive du président français de reconnaître le Conseil national de transition (CNT) libyen et de s'habituer aux bombardements du territoire libyen par les pays de l'Otan sous l’égide de l’armée de l’air française, que l'on assiste à une nouvelle guerre. Les Français se sont ingérés dans le conflit armé dans leur ancienne colonie la Côte d'Ivoire."

Jacques Vergès évoque la figure de Ouattara de façon détonante: "Aujourd’hui, on voit un homme qui appelle l’armée française à tirer sur les troupes de son pays. Un homme qui est le chef, au moins nominal, d’une bande d’assassins qui a tué à la machette et au pistolet 600 ou 700 personnes dans l’ouest du pays. Son image s’est clairement dégradée."

 

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