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Syrie : manifestations (le Monde)

Syrie : la ville d'Alep gagnée à son tour par la contestation

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 13.04.11 | 17h24

 
Une manifestation appelant à des réformes politiques s'est déroulée, mercredi 13 avril sur le campus de la plus grande université de Syrie, à Alep, rapportent des défenseurs des droits de l'homme en contact avec les étudiants. Jusqu'à présent, Alep, deuxième ville de Syrie et carrefour commercial stratégique à proximité de la Turquie, n'avait pas été gagnée par la vague de contestation contre le régime de Bachar Al Assad qui a débuté mi-mars.
Près de 500 étudiants ont manifesté mercredi à la faculté de lettres de la ville. "Les forces de l'ordre ont dispersé par la force cette manifestation d'étudiants en faveur de la liberté, qui ont exprimé leur solidarité avec les victimes de Deraa et de Banias", a indiqué à l'AFP Radif Moustapha, président du Comité kurde pour les droits de l'homme (Rased). "Les forces de sécurité et les étudiants en sont venus aux mains. Quatre étudiants ont été arrêtés", selon le militant. La répression des manifestations a fait entre vendredi et dimanche une trentaine de morts, en particulier à Deraa, à 100 km au sud de Damas, et Banias, à 280 km au nord-ouest de Damas. Mardi, "entre 150 et 200 personnes" ont par ailleurs été arrêtées mardi à Baïda et des dizaines d'autres à Banias, toujours encerclée par l'armée, a affirmé mercredi Rami Abdel Rahmane, président de l'Observatoire syrien pour les droits de l'homme.

A Damas, une cinquantaine d'étudiants ont manifesté mercredi à la faculté de droit, scandant des slogans pour la liberté, selon le président de la Ligue syrienne de défense des droits de l'homme, Abdel-Karim Rihaoui. "Les forces de l'ordre sont intervenues rapidement pour les disperser en les frappant avec des bâtons. Il y aurait des arrestations parmi les étudiants", a-t-il affirmé.

 

La lettre hebdomadaire de Revive Israel.

 
Pour le réveil en Israël et dans les nations.
13/4/2011
 
  "Le Messie est Dieu" dans le judaïsme hassidique  
 
 

Article de Tal Robin

La semaine dernière, des annonces ont été placées dans les deux journaux à plus gros tirage en Israël (Maariv et Yediot) par Meir Barnes de la secte « meshichist » au sein du mouvement Chabad-Loubavitch de Brooklyn à New York. Leur grand rabbin, Menachem Schneerson, est décédé en 1994. Après sa mort, une scission a eu lieu : le groupe modéré croit que Schneerson pourrait être le messie parce que ses enseignements touchent le monde entier ; le groupe radical (meshichist ou «messianique») croit qu'il est vraiment le Messie et qu’il est ressuscité spirituellement d'entre les morts.

Cette nouvelle annonce contient la proclamation surprenante que le rabbin Schneerson est Dieu, qu'il est «le Saint, le Roi des Rois, l'essence du Bienheureux, la Lumière éternelle ». L'annonce précise que «Dieu lui-même s’est revêtu du corps du Messie. » Citant les écrits mystiques juifs selon lesquels Moïse était « mi-Dieu et mi-homme », Meir Barnes souligne que le rabbin Schneerson est « totalement Dieu ». La publicité montre une photographie de Schneerson avec la citation d'Isaïe 25:9 : « Voici, c’est ici notre Dieu. »

Suite à ces annonces, le rabbin Menachem Brod de Chabbad a lancé une contre-publicité traitant Meir Barnes de malade mental.

Le concept que le Messie peut être Dieu existe aussi dans le mouvement hassidique Breslav, disciples du rabbin Nachman de Breslav (1772 - 1810).Ils en parlent en ces termes : « le messie est un avec Dieu qui était avant la création, celui qui est parfait et digne de s'asseoir sur le Trône, l'Homme haut placé selon la vérité. Le rabbin Nachman a créé le monde parce qu'il est au même niveau que le Bienheureux lui-même. »

Certains adeptes de Breslav sont prompts à expliquer que l’on ne peut pas comprendre les citations concernant le rabbin Nachman de façon simpliste. Ils ne nient pas que le rabbin Nachman ait dit ces choses sur lui-même mais ils ne sont pas d'accord sur l'interprétation.

Ces annonces ont suscité une bataille entre la secte Meshichist de Chabbad et les adeptes de Breslav, chaque mouvement essayant de disqualifier le rabbin de l’autre. Ces luttes représentent une percée historique dans le développement de la pensée religieuse juive en ce qu’elles annoncent que le Messie est réel, qu’il a des qualités divines et qu’on peut même le considérer comme étant Dieu lui-même.

Au fil des ans, l’une de nos difficultés dans l’annonce de l'Évangile a été le refus de notre peuple d’accepter la divinité du Messie. Le concept même d'un Messie divin était considéré comme "non-juif. "

En ces derniers jours, tandis que les juifs ultra-orthodoxes recherchent avec ferveur la venue du Messie, certains découvrent ces anciennes vérités bibliques au sujet du Messie. Prions pour qu’ils soient délivrés de la foi en ces faux messies "morts" et qu’ils viennent à la foi dans le vrai Messie "vivant", Yeshoua, qui est ressuscité des morts, fils de David et fils de Dieu.

Si les juifs hassidiques peuvent revendiquer que leurs faux messies sont Dieu, nous n’avons plus aucune raison d’hésiter à déclarer que Yeshoua est Dieu (Jean 1:1, 14 ; Jean 14:9 ; Jean 20:28 ; Romains 9:5 ; Philippiens 2:6 ; Colossiens 1:15-17 ; Colossiens 2:9 ; 1 Timothée 3:16 ; Hébreux 1:3, 9 ; 1Jean 5:20 ; Apocalypse 1:8).

La question de la divinité du Messie a été remise à l'ordre du jour quotidien dans le monde juif religieux et même dans les médias israéliens modernes. Ce phénomène souligne également une autre vérité biblique : à la fin des temps, beaucoup de faux messies et de faux prophètes se lèveront (Matthieu 24:24-26).

  Le Japon et les Temps de la fin  
 
 

Article de Ariel Blumenthal

Je veux vous faire part de quelques-unes de mes expériences pendant mes 12 jours au Centre de la Mission Mondiale à Iwaki, juste à la limite de la zone d’évacuation du réacteur nucléaire de Daiichi Fukushima. Jusqu'à il y a un mois, la plupart d'entre vous n'aviez jamais entendu parler de Fukushima - maintenant ce nom est devenu tristement célèbre, comme "Tchernobyl" il y a une génération.

Je crois que le Seigneur a choisi cette ville d'Iwaki pour commencer le réveil spirituel tant attendu pour le Japon. Pour la suite de ce rapport, voir: Pray for Japan

   
 
 

 

  Le système Iron Dome serait-il la fin de la menace des roquettes palestiniennes ?  
 
 

Article de Mati Shoshani

Le week-end dernier, le système "Iron Dome" a été déployé pour la première fois avec succès. Le système de missiles anti-roquettes a été rapidement mis au point par les entreprises de défense israéliennes en réponse aux tirs de roquettes depuis Gaza contre les villes israéliennes.

Le système reconnaît la roquette dès qu’elle est lancée, calcule sa trajectoire et la détruit en plein vol si nécessaire. Déployé autour de Beer-Sheba et d’Ashkelon, il a détruit huit roquettes en direction de zones fortement peuplées.
En réduisant la menace des roquettes de tuer des civils dans les villes, le système en a éliminé l'effet démoralisant sur l'opinion publique israélienne.

"Dôme de Fer" est une technologie de pointe qui donne aux décideurs israéliens le temps nécessaire pour prendre la bonne décision dans la réalité explosive du Moyen-Orient.

  Soulèvement civil en Syrie  
 
 

Article de Mati Shoshani

Trente-sept civils syriens auraient été tués au cours du week-end dans les affrontements entre forces de sécurité et manifestants.

Dès la fin des prières du vendredi, les manifestants sont descendus dans les rues de la Syrie, continuant la vague de manifestations auxquelles le président Assad fait face ces derniers mois. Comme les manifestants refusent de revenir sur leurs exigences de démocratie et d'égalité, Assad a intensifié le niveau de violence utilisée contre eux. Il semble que, d’un côté comme de l’autre, personne ne soit prêt à faire de concession, ce qui conduira inévitablement à encore plus de sang versé.

 

Gbagbo protestant et Ouattara le musulman (Jforum).

Quel rôle a joué la France dans l’arrestation de Gbagbo le protestant au bénéfice de Ouattara le musulman ?

 
 

Les partisans des Gbagbo et de Ouattara s’opposent sur la place exacte de la force Licorne dans le dispositif qui a permis d’arrêter le président sortant.

L’annonce est venue du camp Gbagbo. Le président sortant "a été arrêté par les forces spéciales françaises et remis à des chefs de la rébellion", annonce Alain Toussaint, un de ses proches conseillers, peu après 15h, heure française. Peu de temps avant cette déclaration, des blindés français et de l’Onuci sont entrés dans le secteur de la résidence de Laurent Gbagbo. Résidence partiellement détruite dimanche par les bombardements également menés par la force Licorne et l’Onuci.

Rapidement, la France et le camp Ouattara précisent leur version des faits : ce ne sont pas les forces spéciales françaises qui ont arrêté Gbagbo, selon une source diplomatique française. "A aucun moment" elles n’ont pénétré "dans les jardins ou la résidence présidentielle", où il s’était réfugié, ajoute le porte-parole de l’état-major, le colonel Thierry Burkhard. Le Premier ministre de Ouattara, Guillaume Soro, lui aussi déclare sur France 24 ce sont les hommes de son président qui ont arrêté son rival avant de le conduire à l’Hôtel du Golf. Mêmes propos, enfin, tenus par l’ambassadeur ivoirien en France, Ali Coulibaly.

Licorne a agi "à la demande de l’Onuci", selon Paris

Alors où et comment la France est-elle intervenue, avec la force Licorne ? Le ministre français de la Défense, Gérard Longuet, a avancé lundi après-midi que les forces pro-Ouattara avaient reçu le "soutien" de l’Onuci. Et c’est "à la demande" de celle-ci que la force française "Licorne a été amenée à apporter un concours".

Interrogé sur le type de soutien fourni par Licorne, Gérard Longuet a indiqué qu’il s’agissait d’"un soutien aérien", au travers de quatre hélicoptères Gazelle. Les hélicoptères qui ont contribué aux bombardements de dimanche, donc, accélérant sans doute l’issue de l’offensive pro-Ouattara, menée depuis une dizaine de jours.

Il a insisté sur le fait qu’il s’agissait là d’une "affaire qui restaure l’autorité de la Côte d’Ivoire, de son président élu bénéficiant du soutien des Nations Unies. (...) C’est une opération in fine entre Ivoiriens". Le chef d’état-major des armées, l’amiral Edouard Guillaud, a ajouté qu’il n’y avait eu "aucun rôle particulier des forces spéciales" françaises "ni hier, ni aujourd’hui" (dimanche et lundi). Selon lui, les forces pro-Ouattara "nous ont dit que Laurent Gbagbo s’est rendu à la porte de sa résidence", où elles l’ont capturées.

Quand bien même elle s’est effectuée sous strict couvert onusien (voir ci-dessous), pour les partisans de Gbagbo, c’est bien Paris qui a téléguidé les opérations de lundi. "Si la France n’avait pas agi, Gbagbo n’aurait pas été arrêté", a estimé Guy Labertit, un proche du président sortant, sur iTélé. La France "n’a pas d’autre objectif (que) d’assassiner le chef de l’Etat", avait même accusé le porte-parole de son gouvernement, Ahoua Don Mello, plus tôt au cours de la crise ivoirienne. Et d’appeler à "résistance" contre la France "pour faire barrage à ce énième coup de force", "car en définitive c’est l’armée française qui nous attaque".

Et les zones d’ombre qui entourent les conditions de l’engagement français n’ont pas fait taire ceux qui regrettent que Nicolas Sarkozy ait soutenu aussi ouvertement le camp Ouattara, malgré ses promesses de prudence et de "réserve" vis-à-vis des ex-colonies de la France. Selon une source proche du dossier, Paris devait encore fournir ces jours-ci plusieurs tonnes de matériel militaire pour les troupes de Ouattara.

"C’est une erreur monumentale que de s’afficher aussi ouvertement à côté de Ouattara", juge un fin connaisseur du continent. Ouattara risque ainsi d’apparaître comme "un homme de la France, ce qui n’est pas idéal pour pacifier le pays", malgré son appel immédiat à la réconciliation nationale.

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Dans quel cadre a agi la France ?

L’Elysée affirme avoir agi dans le cadre strict de la résolution 1975 du Conseil de sécurité de l’ONU. Voté le 30 mars, ce texte demande à Laurent Gbagbo de se retirer et donne mandat à l’Onuci d’utiliser "tous les moyens" pour "protéger les civils" et "prévenir l’usage d’armes lourdes". L’ordre d’ouvrir le feu a été donné aux troupes françaises pour "neutraliser les armes lourdes utilisées contre la population civile", après les "attaques" et les "exactions" des derniers jours attribuées au camp Gbagbo, a fait savoir l’Elysée qui ajoute être intervenu à la demande expresse du secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon.

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La Côte d’Ivoire enterrera-t-elle ses conflits ethniques et religieux ?

 

"Toutes les instances de la communauté internationale, Nations unies en tête, soutiennent Ouattara, le musulman élu à la majorité. [...]

Pour comprendre le fonctionnement de Gbagbo, il faut savoir que la Côte d’Ivoire est née du soutien de la France aux populations animistes en guerre contre l’empire de Samory, conquérant esclavagiste musulman.En 1898, nos troupes mirent un terme à ses ambitions. Mais la jeune Côte d’Ivoire n’en englobait pas moins, au nord, une forte minorité musulmane, au sud et à l’est, une population animiste en voie de christianisation. À cette réalité s’en juxtapose une autre, celle des tribus.

Installé dans le sud et l’est, le groupe des Akans, fortement christianisés, constitue 40% de la population et compte dans ses rangs la puissante tribu des Baoulés (25% des Ivoiriens). [...] Félix Houphouët-Boigny [...] sut [...] éviter les conflits interethniques.

Gbagbo n’a pas les mêmes scrupules. Élu à la Présidence en octobre 2000, il instrumentalise les différends tribaux et religieux. Ainsi, converti, comme sa seconde épouse, Simone, au protestantisme des missionnaires américains, il est aussi l’enfant chéri du Parti socialiste français. On peut penser son radicalisme anti-musulman destiné à se rallier les Akans, pour compenser la faiblesse numérique de sa tribu d’origine, les Bétés, qui ne représentent que 5,7% de la population du pays.

Ce comportement suscitera une rébellion du Nord, à majorité musulmane, en septembre 2002. Il faudra l’intervention diplomatique de la France et l’envoi de 4600 soldats français placés en force d’interposition pour ramener la paix.

Gbagbo comptait bien sur l’animosité des Akans, plus particulièrement des Baoulés, contre les musulmans, pour se faire réélire. Mais, ancien Président et d’ethnie Baoulé lui-même, Konan Bédié, un autre candidat vaincu au premier tour, ne l’entendait pas de cette oreille. Il a appelé ses électeurs à voter pour Ouattara. Cette affaire présente des aspects positifs. D’une part dans un pays d’Afrique noire, le Président n’est pas élu avec 95% des suffrages, voire plus. D’autre part, des électeurs ont dépassé leurs clivages ethniques, en votant pour un représentant de l’ennemi du passé, un musulman.

Reste l’amour du pouvoir, qui guide Gbagbo au point de s’aliéner la planète entière et de mettre son pays en danger."

 

Nouvelles d'Israël (Guysen)

 
09:09    L'état de l'adolescent blessé par un missile antichar se dégrade
L'hôpital Soroka de Béersheva a indiqué que l'état de l'adolescent de 16 ans, grièvement blessé la semaine dernière par un tir de missile antichar sur un autobus de transport scolaire, se dégrade.
08:55    Gaza : le calme est fragile et pourrait être bref
Le sud d'Israël a été calme lundi sans tirs de roquettes et d'obus de mortier. Toutefois des responsables sécuritaires mettent en garde contre la fragilité de cette accalmie qui pourrait s'avérer très brève.
08:42    Haaretz : Netanyahou envisage un retrait de Tsahal de Judée-Samarie
Selon l'édition en ligne du journal Haaretz ce mardi, le Premier ministre Binyamin Netanyahou envisage un retrait des forces de Tsahal de Judée-Samarie et une série d'autres mesures, pour tenter de stopper le ''tsunami diplomatique'' qui risque de déferler sur Israël en cas de reconnaissance internationale de la Palestine dans les frontières de 67, en marge de l'Assemblée générale de l'Onu en septembre prochain. Pour l'heure, l'évacuation des localités juives de Judée-Samarie ne serait pas à l'ordre du jour.
08:37    Obama empêche un débat du Quartet sur le conflit israélo-palestinien
Selon des diplomates à Washington, le président Barack Obama a empêché un débat sur le conflit israélo-palestinien qui devait avoir lieu vendredi lors d'une réunion du Quartet à Berlin, en marge d'une assemblée ministérielle de l'Otan. Obama s'oppose à l'initiative de la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne, qui voulaient relancer les pourparlers de paix israélo-palestiniens en définissant les grandes lignes d'un accord définitif. Il a estimé que cette initiative n'aboutira pas ''aux conséquences désirées''.
08:24    Syrie : au moins 200 morts dans la répression des contestations
Le bilan de la répression en Syrie s'élève à au moins 200 morts depuis le début du mouvement de contestation contre le régime du président Bachar al-Assad, affirme le principal comité syrien de défense des droits de l'homme baptisé la Déclaration de Damas.
08:17    Israël : Katsav va se pourvoir devant la Cour suprême
L'ex-président israélien Moshé Katsav condamné à sept ans de prison ferme pour viols et harcèlement sexuel entend se pourvoir devant la Cour suprême. Avigdor Feldman, un des avocats de l'ex-chef de l'Etat, a indiqué sur les ondes de Galei Tsahal que ce dernier présentera son appel à l'instance juridique suprême le 7 mai, et demandera à cette occasion le report de son incarcération prévue le lendemain.
 
08:11    Hamas : Shalit ne sera libéré qu'après satisfaction de nos exigences
Alors que de nombreux anciens responsables sécuritaires israéliens ont appelé lundi à élargir des terroristes avec ''du sang sur les mains'' en échange de Guilad Shalit, le ministre Hamas des Prisonniers a tenu à préciser que ''Shalit reviendra sain et sauf chez lui si les pressions exercées sur le gouvernement israélien pour répondre aux conditions des factions palestiniennes se poursuivent''. Atallah Abou Soubah a précisé que les organisations terroristes ne cèderont pas sur leurs exigences, durant les négociations.

 

Espérons que ce ne soit qu'un hypothèse... (sur desinfos.com)

SEPTEMBRE 2011 : LE MOIS DE TOUS LES DANGERS, Shmuel Trigano

 

La stratégie palestinienne : une simulation Shmuel Trigano

Les choses commencent à se préciser. Nous savions déjà que le projet de l’Autorité palestinienne de déclarer unilatéralement l’Etat de Palestine en septembre prochain était coordonné avec un ensemble de manifestations internationales à New York – Durban III, l’Assemblée générale de l’ONU, la réunion du Conseil de sécurité – pour en être l’apothéose. La demande que formule, le 10 avril 2011, auprès du Conseil de sécurité, le président de la Ligue arabe, Amr Moussa, de décréter une zone d’exclusion aérienne au dessus de Gaza, pour empêcher les représailles d’Israël, ne laisse plus de doute sur le coup monté qui vise à acculer Israël dans la situation de la Libye de Khadafi. Voici en condensé, une simulation du processus que l’Autorité Palestinienne projette de déclencher.

21 septembre 2011 : ouverture de la conférence de Durban III à New York. Dès la première séance, l’assemblée unanime condamne le régime d’apartheid israélien

25 septembre 2011 : Ouverture de la 66ème Assemblée générale de l’ONU. Le bloc mené par l’Organisation de la Conférence Islamique met à l’ordre du jour la demande du Conseil des droits de l’homme d’intervenir auprès du Conseil de sécurité pour qu’il mette en œuvre les recommandations du rapport Goldstone et engage une action devant le Tribunal Pénal International.

27 septembre 2011 : Lors de la réunion du Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU remet un rapport examinant le suivi des recommandations du Rapport Goldstone sur la situation à Gaza.

28 septembre  2011: l’Autorité Palestinienne de concert avec le Hamas déclare l’indépendance de l’Etat de Palestine.

29 septembre 2011 : l’Assemblée générale de l’ONU le reconnaît comme un membre de l’ONU, même si elle n’est pas habilitée à le faire. Tous les pays d’Amérique latine, de la Ligue arabe et de l’Union Européenne lui emboitent alors le pas.

A l’annonce de cette déclaration, une effervescence embrase les territoires palestiniens. Des foules menaçantes se massent devant les villages israéliens des Territoires et tentent de forcer les checkpoints.

C’est le premier jour de Rosh Hashana, le Nouvel an juif.

30 septembre 2011 : deuxième jour de Rosh Hashana. La situation est très tendue dans la capitale israélienne, proclamée capitale de l’Etat de Palestine. Une pluie de pierres s’abat sur les fidèles du Kotel tandis que des manifestations arabes secouent les quartiers Est. L’Organisation de la conférence islamique accuse Israël de vouloir détruire la mosquée El Aksa. De violentes manifestations secouent le monde arabe. Le pape demande le respect des lieux saints de l’islam et du christianisme.

1er octobre 2011 : Israël déclare l’annexion unilatérale des blocs d’établissements israéliens en Cisjordanie, comme il l’avait annoncé dès le printemps 2011, en cas de déclaration unilatérale palestinienne.

1er octobre 2011 : le président égyptien, récemment élu, El Baradei dénonce le traité de paix avec Israël et envoie des troupes dans le Sinaï. La Turquie rompt ses relations avec Israël. Israël mobilise son armée.

2 Octobre 2011 : des manifestations violentes secouent les quartiers Est de Jérusalem isolant du reste de la ville les secteurs juifs, soumis aux tirs de snipers palestiniens. La ville de Maale Haadoumim, à l’est de Jérusalem est assiégée. L’armée israélienne force le blocus : on relève 30 morts palestiniens.

JCall appelle Israël à se retirer des territoires et demande à l’Europe d’intervenir pour arrêter le bain de sang.

3 octobre 2011 : des attentats frappent la synagogue de la Victoire à Paris et l’antique synagogue sépharade Bevis Marks de Londres.

4 octobre 2011 : L’Etat de Palestine émet une plainte devant le Conseil de sécurité pour occupation illégale de son territoire par un Etat étranger : à Jérusalem-Est et en Cisjordanie Israël s’est mis hors-la-loi internationale.

Les Etats Unis d’Obama n’opposent pas leur veto à la résolution condamnant Israël, à qui le Conseil de sécurité demande de se replier d’urgence sur les frontières de 1967.

5 octobre 2011 : l’Union européenne par la voix du président Sarkozy et de David Cameron somme Israël de se retirer des territoires et de reconnaître l’Etat de Palestine.

6 octobre 2011: une vague de manifestations violentes secouent les territoires sous l’Autorité palestinienne et enflamment les rues d’Europe de l’ouest contre Israël.

La Ligue arabe et l’Organisation de la Conférence Islamique demandent que la résolution 1973 autorisant les frappes contre la Lybie pour protéger des populations civiles en danger soit mise en oeuvre pour protéger le peuple palestinien en danger.

7 octobre 2011: Jour de Kippour. Forts de la résolution du Conseil de sécurité, le Hamas et le Hezbollah font pleuvoir une pluie de missiles sur Israël. Le quartier des gratte-ciels de Tel Aviv est touché, même si le dispositif du « dôme d’acier », encore peu développé, a protégé les lieux stratégiques. Israël bombarde Beyrouth et Gaza.

9 octobre 2011 : Le Conseil de sécurité vote l’envoi d’une force d’interposition de l’ONU « pour éviter le bain de sang ». France, Angleterre, Espagne, Suède et Hollande proposent de fournir le contingent militaire. Obama les assure de son soutien pour « sauver Israël ».

10 octobre 2011 : Israël s’oppose à cet envoi alors que les condamnations mondiales pleuvent à son encontre.

11 octobre 2011 : des partis de la coalition se retirent du gouvernement qui n’a plus la majorité. A Tel Aviv, défilent dans les rues les pacifistes israéliens. Le président Peres autorise la formation d’un gouvernement de transition sous la houlette de Tzipi Livni et du parti Kadima, sans passer par des élections, au vu de l’urgence. Son premier acte est d’ordonner le repli hors des Territoires. 300 000 Israéliens s’enfuient en hâte vers la zone côtière, dans la région de Tel Aviv. La situation à Jérusalem reste incertaine. Des secteurs de la population quittent la ville où règne la terreur entretenue par des snippers isolés.

12 Octobre 2011 : l’Etat de Palestine est proclamé à l’Orient House de Jérusalem. Dans sa déclaration d’indépendance, le nouvel Etat réclame un couloir territorial divisant Israël en deux, pour réunir la Cisjordanie à Gaza et annonce ses revendications sur 46 % des terrains de Jérusalem Ouest. Il concède aux Juifs le droit de prier pour des périodes temporelles réduites devant le Kotel. Le quartier juif de la vieille ville et il va sans dire les nouveaux quartiers juifs sont revendiqués. Il inscrit dans sa déclaration d’indépendance le droit au retour dans l’Etat d’Israël des descendants des réfugiés palestiniens.

Premier jour de la fête de Soukkot.

13 octobre 2011 : des milliers d’Israéliens fuient Jérusalem. Les Arabes israéliens sous la houlette de leurs députés à la Knesset et du « Comité de suivi arabe» se réunissent à Nazareth et dénoncent l’apartheid auquel ils se disent soumis. Ils exigent qu’Israël renonce au caractère national juif de l’Etat. Ils en appellent à l’Assemblée générale de l’ONU pour imposer à Israël de devenir « l’Etat de tous ses citoyens ». Les secteurs arabes de Galilée, de Saint Jean d’Acre, de Jaffa et du nord du Néguev se mettent en grève générale pour obtenir satisfaction.

14 octobre 2011 : le réseau mondial BDS et les comités Palestine du monde entier engagent des manifestations dans les capitales européennes pour « sauver » les Arabes israéliens. La réprobation envers Israël est unanime dans les médias. Les agressions antisémites se multiplient en Europe.

15 octobre 2011 : L’Etat de Palestine annonce un accord militaire avec l’Iran qui installe tout le long de sa frontière avec Israël des batteries de missiles. Désormais, le cœur d’Israël, ses zones vitales, Tel Aviv, l’aéroport de Ben Gourion, Haïfa se trouvent sous la menace permanente de la mitraille et de simples katiouchas.

16 octobre 2011 : Israël déclare la guerre à l’Etat de Palestine et ré-occupe la Cisjordanie.

18 octobre 2011 : le président Sarkozy demande la convocation du Conseil de sécurité  pour condamner Israël. Ce dernier, unanime, sauf l’abstention de la Chine, menace Israël de sanctions.

19 octobre 2011 : les Palestiniens bravent le couvre feu imposé par Israël et s’affrontent à Tsahal. Le Conseil de sécurité qui siège en permanence menace Israël d’une intervention militaire s’il ne se retire pas immédiatement de Palestine.

Le débat fait rage aux Etats-Unis sur cette éventualité mais il y a trois précédents : la Serbie, la Libye, la Côte d’Ivoire, sans compter l’Irak et l’Afghanistan.

Dernier jour de la fête de Soukkot.

20 octobre 2011 : …

 

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