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Croix-Rouge officielle: “Il n’y a pas de crise humanitaire à Gaza” Terre d'israël.com

Croix-Rouge officielle: “Il n’y a pas de crise humanitaire à Gaza”

croix-rouge «Il n’y a pas de crise humanitaire à Gaza », c’est ce qu’affirme l’adjointe de la délégation de la Croix rouge dans la Bande de Gaza, la Suissesse Mathilde de Riedmatten.

Dans une conversation avec le site internet de Tsahal, elle déclare que si vous vous rendez au marché à Gaza, les étalages sont remplis de produits alimentaires. Il y a également des restaurants et un front de mer très agréables. Le problème est principalement pour l’entretien des infrastructures et pour l’accès à des marchandises comme le ciment. Cependant, elle ajoute que l’armée israélienne est habilitée à opérer pour protéger sa population civile qui subit quotidiennement les effractions au droit international par le Hamas.

Source : http://ambisrael.fr/

 

Tsahal cisèle son nouveau plan de défense Terre d'Israël.com

Tsahal cisèle son nouveau plan de défense

Par Dominique Bourra Pour Nanojv

yanat-palmahim NOM DE CODE HALAMISH. TSAHAL CISELE SON NOUVEAU PLAN DE DEFENSE ET COMPTE SUR SON ARMADA DE SATELLITES.

 

«Halamish» est le nom de code du nouveau plan pluriannuel de Tsahal pour 2013-2017. Après la guerre du Liban, le plan précédent baptisé « Tefen » (2008-2012) avait permis de renforcer les moyens au sol et la protection anti-missiles (chars nouvelle génération, transports de troupes performants, Iron dome etc…).

Tout comme le plan précédent, « Halamish » place l’Iran en tête des menaces, suivi du front Nord (Syrie, Liban), puis de Gaza en troisième position.

Seule variante éventuelle, selon le Jerusalem Post, les archives concernant l’Egypte – qui n’est pas considérée comme une menace immédiate- pourraient être ressorties à des fins documentaires. Pour l’anecdote, des officiers israéliens ont lancé avec humour, pour conjurer le sort, qu’Halamish est l’acronyme hébraïque de « Il nous manque un milliard de Shekels ». Car la vraie nouveauté introduite par Halamish, c’est l’anticipation d’une guerre simultanée sur plusieurs fronts. On ne parle plus de risques à ce sujet mais désormais de certitudes.

Dans ce nouveau dispositif la maîtrise de l’espace (et du cyber-espace) tient une place importante. Pour Haaretz Anshel Pfeffer braque aujourdh’ui, le projecteur sur la base de Palmahim au sud de Rishon Le Tsion. Le saint des saints des satellites et des missiles balistiques israéliens. C’est très précisément l’unité stratégique Yanat qui retient l’attention de l’expert militaire. Elle supervise les lancements, et procède à des expérimentations sur le champ de tir « 82″ (ou sur d’autres sites lorsqu’un espace plus important est nécessaire).

La salle de commande et contrôle de Yanat rivalise par la qualité de ses équipements électroniques avec celles de la Nasa selon les experts. Les infrastructures israéliennes permettent justement d’effectuer des tests complexes sur les systèmes de missiles face à des menaces simultanées par exemples. Anshel note que 6 satellites d’observations aujourd’hui en orbite (4 gouvernementaux et 2 privés) alimentent en information les renseignements militaires israéliens. Ces satellites couvrent en priorité les zones critiques par définition inaccessibles aux vols d’awacs ou de drones. L’expert regrette toutefois qu’un seul satellite de cette constellation puisse opérer de nuit comme de jour, indépendamment des conditions météo, et déplore quelques autres limitations techniques. Pour l’instant.

Illustration des coopérations internationales, Tecsar Ofek 8, a été lancé en Inde depuis le « Satish Dhawan Space Centre » sur l’Ile de Sriharikotat. Les satellites Eros A et B ont été mis en orbite depuis le Cosmodrome de Svobodny en Sibérie orientale (Russie). Mais la série Ofek (ici) a été lancée depuis la base de Palmahim Le secret sur les capacités réelles des satellites est donc bien protégé (ici).

Dominique Bourra, CEO NanoJV.

 

Guy Millière à Netanya le jeudi 19 mai à 20h terre d'Israel.com

guy-milliere

Israel Aujourd’hui &   www.terredisrael.com
Organisent une soirée exceptionnelle avec
Guy Millière
éditorialiste à Israel Magazine, drzz.info
Senior Advisor à Hudson New York
Auteur de La résistible ascension de Barack Obama
et de Comme si il se préparait une seconde Shoah

LES MÉDIAS, L’ISLAM ET ISRAEL

Nétanya, le jeudi 19 mai 2011 20h
À L’hôtel Palace, 33 rue Gad Machnès
Places limitées,  inscriptions obligatoires : Albert Fratty – 0507507 896
P.A.F 25 Sh.

 

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L’illégalité d’un Etat palestinien proclamé unilatéralement Par le Dr Zvi Tenney Terre d'Israël.com

Dr Zvi Tenney

Dr Zvi Tenney

L’intention palestinienne de faire voter en septembre prochain par l’Assemblée générale de l’ONU la reconnaissance d’un Etat palestinien dont les frontières seraient les lignes de cessez-le-feu qui prévalaient avant la guerre des six jours de juin 1967, suscite un certain nombre de remarques qu’il convient de souligner.

 

Une telle décision aura certes un impact sur l’opinion publique internationale et embarrassera sans nul doute Israël,mais elle ne pourrait avoir aucune valeur juridique et serait manifestement défectueuse à plusieurs égards.

En premier lieu l’Assemblée générale de l’ONU n’a aucune compétence en la matière. Seul le Conseil de sécurité dispose d’un pouvoir de décision de cet ordre et celui-ci ne risque pas de prendre une telle résolution car elle serait très probablement contrée par un veto américain.

Une telle reconnaissance serait de toute façon illégale par l’absence de frontières de cet Etat ainsi proclamé car la ligne de cessez-le-feu de 1949 entre Israël et la Jordanie (dite Ligne verte de 1967) n’a pas valeur de frontière. L’accord d’armistice de 1949 ainsi que les déclarations des Jordaniens aux Nations Unies en la matière le confirme clairement.

De plus selon la juridiction internationale, une telle déclaration d’indépendance unilatérale constituerait une violation flagrante des Accords d’Oslo qui spécifiaient «que toute solution du conflit palestino- israélien devrait être le fruit de négociations entre Israël et l’Autorité palestinienne ». Cela, sur base de la résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU universellement considérée comme la pierre angulaire d’un règlement juste, viable et complet de ce conflit.

Rappelons que cette résolution 242 prévoit le retrait israélien from territories, autrement dit de certains territoires occupés et non pas de tous les territoires occupés lors du conflit de 1967. Cette formulation officielle ainsi sciemment voulue est le résultat de plusieurs mois de négociations diplomatiques intensives après que les soviétiques eurent échoué dans leur tentative d’adopter un vocabulaire qui aurait impliqué un retrait total.

Il n’y a donc dans cette résolution 242, adoptée à l’unanimité par le Conseil de Sécurité des Nations Unies, aucune ambiguïté concernant le fait que dans le cadre d’un accord, le retrait israélien de Judée- Samarie ne se doit pas d’être total.

Bien que risquant de se trouver dans une situation peu commode dans l’arène internationale, Israël possède donc néanmoins, assez d’atouts juridiques et diplomatiques pour essayer de neutraliser cette initiative que l’autorité palestinienne voudrait prendre a l’ONU en septembre prochain. Cela surtout si les pays occidentaux avaient l’honnêteté de reconnaître et de le déclarer sans ambages que les négociations de paix ont été bloquées dernièrement par la seule faute des Palestinien

Dr Zvi Tenney
Ambassador of Israel (ret)
www.zvitenney.info

 

Statut d’un Etat palestinien proclamé unilatéralement Par Dr Zvi Tenney Terre d'Israël.com

Statut d’un Etat palestinien proclamé unilatéralement Par Dr Zvi Tenney

Dr Zvi Tenney

Dr Zvi Tenney

L’initiative palestinienne de faire voter en septembre prochain par l’Assemblée générale de l’ONU la reconnaissance d’un Etat palestinien dont les frontières seraient les lignes de cessez-le-feu qui prévalaient avant la guerre des six jours de juin 1967, suscite un certain nombre de remarques qu’il convient de souligner.

 

Bien qu’une telle décision puisse avoir un impact sur l’opinion publique internationale et embarrasser sans nul doute Israël, elle ne pourrait avoir aucune valeur juridique et serait manifestement défectueuse à plusieurs égards.

En premier lieu l’Assemblée générale de l’ONU n’a aucune compétence en la matière. Seul le Conseil de sécurité dispose d’un pouvoir de décision de cet ordre et celui-ci ne risque pas de prendre une telle résolution car elle serait très probablement contrée par un veto américain.

(L’exception qui confirme cette règle a été certes le plan de partage décidé en 1947 par l’Assemblée générale, mais cela parce que la puissance mandataire, la Grande-Bretagne, avait laissé le soin à cette dernière de décider du sort du territoire de la Palestine qui lui avait été confié.)

Une telle reconnaissance serait de toute façon illégale par l’absence de frontières de cet Etat ainsi proclamé car la ligne de cessez-le-feu de 1949 entre Israël et la Jordanie (dite Ligne verte de 1967) n’a pas valeur de frontière. Le contenu de l’accord d’armistice de 1949 ainsi que les déclarations des Jordaniens aux Nations Unies en la matière le confirme clairement.

De plus selon la juridiction internationale, une telle déclaration d’indépendance unilatérale constituerait une violation flagrante des Accords d’Oslo qui spécifiaient «que toute solution du conflit palestino- israélien devrait être le fruit de négociations entre Israël et l’Autorité palestinienne ». Cela, sur base de la résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU universellement considérée comme la pierre angulaire d’un règlement juste, viable et complet de ce conflit.

Rappelons que cette résolution 242 prévoit le retrait israélien from territories, autrement dit de certains territoires occupés et non pas de tous les territoires occupés lors du conflit de 1967. Cette formulation officielle ainsi voulue est le résultat de plusieurs mois de négociations diplomatiques intensives. Rappelons à ce sujet que les soviétiques avaient échoué dans leur tentative d’utiliser un vocabulaire qui implique un retrait total.

Il n’y a donc dans cette résolution 242, adoptée à l’unanimité par le Conseil de Sécurité des Nations Unies, aucune ambiguïté concernant le fait que dans le cadre d’un accord, le retrait israélien de Judée- Samarie ne se doit pas d’être total.

Bien que risquant de se trouver dans une situation peu commode dans l’arène internationale, Israël possède donc néanmoins, me semble-t-il, assez d’atouts juridiques et diplomatiques pour essayer de neutraliser cette initiative que l’autorité palestinienne voudrait prendre a l’ONU en septembre prochain. Cela si de plus, les Pays occidentaux avaient l’honnêteté de reconnaître enfin que les négociations de paix ont été bloquées dernièrement par la seule faute des Palestiniens.

Dr Zvi Tenney
Ambassador of Israel (ret)
Source : www.zvitenney.info

 

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