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Israël - antisémitisme... (Guysen)

 
09:27    Avril pluvieux en Israël
Les précipitations tombées au nord d'Israël étaient supérieures aux moyennes saisonnières au mois d'avril, et en Galilée occidentale on a enregistré des quantités d'eau de pluie 3 fois plus importantes que la moyenne d'avril. Selon les données des services hydrologiques, les précipitations de cet hiver ont atteint 89% de la moyenne pluriannuelle, ce qui n'est en soi pas une mauvaise performance, bien que le niveau du lac de Tibériade reste inquiétant, à seulement 65 cm au-dessus de la cote d'alerte inférieure en-deçà de laquelle il y a risque de sécheresse. מנתוני השירות ההידרולוגי עולה כי ממוצע הגשמים בכל הארץ הגיע בחורף האחרון ל-89% מן הממוצע הרב-שנתי. מפלס הכנרת עלה בחודש שעבר ב-31 סנטימטרים, והוא גבוה כעת ב-65 סנטימטרים מן הקו האדום התחתון. מפלס ים המלח ירד עוד ב-6 סנטימטרים. גרסת הדפסה :: Printer-friendly version שלח לחבר :: Send to a Friend Post to Facebook Tweet this שתף
 
09:18    Egypte : Amr Moussa promet une politique ''critique'' à l'égard d'Israël
Le secrétaire général de la Ligue arabe et présidentiable égyptien, Amr Moussa, s'engage à adopter une attitude plus critique à l'égard d'Israël s'il est élu. Dans une interview au Daily Telegraph, il a jugé ''impossible que l'Egypte maintienne sa politique amicale à l'égard d'Israël, sans aucune restriction, comme au temps de Moubarak''.
09:09    Accord Fatah-Hamas : ''comme l'union d'un chameau et d'un âne''
Pour le général Amos Guilad, haut responsable au ministère de la Défense, l'accord de réconciliation conclu entre le Hamas et le Fatah ressemble à ''l'union d'un âne avec un chameau''. ''Il est voué à l'échec, mais son existence-même a une influence psychologique sur la région entière'', a-t-il affirmé lors d'un colloque sécuritaire.
08:55    "Israël assassin, Palestine vivra'', scandé le 1er mai à Paris
Alors que les dictatures arabes répriment dans le sang par centaines voire par milliers les contestataires qui osent lever le ton dans leurs pays, à Paris, le 1er mai, des manifestants ont scandé ''Israël assassin, Palestine vivra''... Pour rappel, Israël est le seul pays démocratique au Proche-Orient. Les images peuvent être visualisés à l'adresse suivante : http://www.youtube.com/watch?v=p6AFcpMARmY&feature=player_embedded
08:46    Tags racistes et antisémites à Nancy : le BNVCA dénonce
Le Bnvca condamne vivement l'agression raciste et antisémite commise dans l'école primaire Bonsecours de Nancy, dont Guysen vous informait dès samedi. "La violence de la haine exprimée par les auteurs est effrayante. Le Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme constate que ce crime a été commis a la veille des célébrations du 8 mai 1945. Parmi les tags, on pouvait lire des slogans néo-nazis : "Gloire à Hitler. Mort aux immigrés. Les skinheads de retour pour l'extermination. Vive la France" assortis de croix gammées et sigles SS. Les vandales ont même tenté d'incendié des livres. Le BNVCA condamne cette manifestation raciste et antisémite commise encore dans cette ville qui garde les marques de la Shoah Elle confirme la nécessité absolue de continuer l'enseignement de la Shoah qui avait fait polémique dans cette même ville de Nancy", lit-on dans le communiqué publié.
08:37    Hongrie : un drapeau israélien brûlé dans une manifestation antigouvernementale
En Hongrie, un drapeau israélien a été brûlé samedi soir par des militants d'extrême droite à Budapest. Cet acte a été commis au cours d'une manifestation de fonctionnaires protestant contre la décision du gouvernement conservateur de mettre fin à leur système de pré-retraites. Entre deux et trois mille manifestants parmi lesquels, des policiers, des pompiers, des soldats, des douaniers, des gardiens de prison, s'étaient réunis devant le Parlement pour dénoncer la politique d'austérité du gouvernement.

 

Yom Hazikaron - Yom Haatsmaout (Terre d'Israël)

Yom Hazikaron est une journée consacrée à commémorer le souvenir de tous ceux qui sont tombés dans la lutte pour le création et la défense de l'état d'Israël. Elle se déroule durant les 24 heures qui précèdent le Yom Haatsmaout, jour de l'indépendance d'Israël.
A ce moment, la nation toute entière exprime son impérissable gratitude à ses fils et ses filles qui ont donné leurs vies pour l'indépendance et l'existence de l'état d'Israël.
C'est un jour où, imprégnés du sacrifice de ceux qui sont morts pour la survie de l'Etat, les vivants réaffirment leur fidélité à leur pays.

 
- Yom Hazikaron, l'horaire des cérémonies en Israel - cliquez ici
- Yom Hazikaron, les clips des cérémonies 2010 - cliquez ici
- Yom Hazikaron 2011 : 22.867 soldats sont tombés pour la défense d’Israël - cliquez ici
- Un chant d'espoir de Rachel Franco - cliquez ici

- Yom Haaatsmaout, les cérémonies 2010 au Mont Herzl - cliquez ici

 

Guilad... (MarcLev)

http://marclev.canalblog.com/newsletters/2011/05/08/46081.html

 

Alors que nous commémorons toutes les victimes des guerres imposées à Israël et qui n'auraient pas du être...

Alors que l'aube d'un nouvel anniversaire de cet état à la pointe de la recherche, des découvertes scientifiques en tous domaines, des économies internationales arrive à grands pas; pied de nez géant aux ennemis jurés de celui-ci.

Alors que des feux d'artifice, des lumières de joie, des concerts, défilés...vont prendre place sur tout le territoire de ce pays minuscule.

Alors que L'Egypte, la Syrie, la Lybie, le Yémen, la Tunisie...vivent des marasmes sans noms dont les issues sont plus qu'incertaines.

Je regarde les cieux emplis d'étoiles et n'y vois qu'un visage: jeune, sourire timide, gêné de se trouver filmé...Gilad Shalit vers qui toutes mes pensées, mes espoirs, mes désirs profonds se dirigent.

Surtout n'oublions pas ce soldat dont nous n'avons plus aucune nouvelle depuis trop longtemps, même au plus fort des fêtes, des rires, des cris, des lumières multicolores des cieux.

Je crie mon espoir afin que ce "yom haatsmaout", cette journé anniversaire de l'indépendance d'Israël soit effectivement la dernière à laquelle Gilad Shalit ne puisse participer et qu'ainsi les prochaines festivités similaires puissent être totalement sous le signe de la liesse.

 

Répression en Syrie (le Monde)

Syrie : le pouvoir déterminé à mater l'opposition
Les chefs de file de la contestation à Baniyas, dans le nord-ouest de la Syrie, ont été arrêtés dimanche par les forces de sécurité, les autorités affichant leur détermination à faire taire par la force la protestation sans précédent contre le président Bachar Al-Assad. Les forces de sécurité ont procédé à plus de 250 interpellations entre samedi soir et dimanche, dont des dizaines de femmes et un enfant de 10 ans, selon l'Observatoire des droits de l'homme syrien. Parmi eux, figure le cheikh Anas Al-Ayrout, considéré comme le leader du mouvement. L'agence de presse officielle SANA, citant une source militaire, a indiqué de son côté que 16 personnes avaient été tuées "par des tirs de groupes terroristes", dont six militaires. L'armée est aussi intervenue à Homs, troisième ville du pays avec un million d'habitants, située au centre. Des tirs de mitrailleuses et des pilonnages se sont fait entendre, témoignant de la violence de la répression. Un enfant de 12 ans y aurait été tué.

 

Invitation d'un rabbin par Bachar El-Assad. (Jforum)

Bachar Al-Assad invite un rabbin, pour s’assurer du soutien israélien.

Dans son édition du 1er mai, le Jerusalem Post indiquait que, “dans un timing hautement improbable”, le président syrien Bachar Al-Assad a adressé au rabbin israélien Yeoshiau Pinto une invitation à se rendre en Syrie pour prier sur la tombe de ses parents. Un lointain ancêtre de cette importante personnalité religieuse avait été, dans la première moitié du 17e siècle, le responsable de la communauté juive de Damas.

Le chemin suivi par cette invitation, remise par Imad Moustapha, ambassadeur de Syrie aux Etats-Unis, à Jacques Avital, président de l’Alliance nationale sépharade basée à Brooklyn, retient moins l’attention que le moment où elle intervient. En dépit des bonnes relations que l’Etat syrien s’est efforcé d’entretenir avec les membres de la communauté juive syrienne, une fois ceux-ci autorisés à quitter la Syrie où ils avaient longtemps été retenus en otage pour prévenir toute agression israélienne, on peut douter du caractère opportun d’une telle invitation en ce moment. D’autant qu’il apparaît provocateur d’indiquer que les autorités syriennes ont d’ores et déjà pris les mesures nécessaires pour assurer à leur illustre visiteur la nourriture casher dont il aura besoin, au moment où ces mêmes autorités assiègent et privent d’eau, de nourriture et d’électricité, depuis une semaine, les 80 000 habitants de la ville de Daraa.

Le choix du moment est en réalité tout à fait judicieux. Du moins du point de vue des responsables syriens, puisque le rabbin Pinto a eu la sagesse de faire savoir à ses futurs hôtes qu’il répondra volontiers à leur invitation… quand le calme sera revenu chez eux. Pour le régime syrien, que son recours à une violence immodérée a placé dans une situation dont il perçoit qu’il aura de la peine à sortir, il est en effet urgent d’adresser un appel au secours à tous ceux qui pourraient encore lui venir en aide. Et paradoxalement Israël en fait partie.

Depuis des décennies, le jeu syrien a consisté, en tenant des discours hostiles à Israël mais sans bouger le moindre soldat sur le front du Golan, à satisfaire les gouvernements israéliens successifs par son inaction et à contenter la population syrienne et les masses arabes par ses diatribes. L’équilibre était difficile, mais, comme ils le montrent partout dans leur environnement, les responsables syriens sont des maîtres dans l’art de la provocation, de l’esquive et du double jeu.

Bien que formé à bonne école, dans l’ombre de son père durant six ans, Bachar Al Assad n’en a hérité ni l’intelligence politique, ni l’habileté manœuvrière. Tombé sous l’influence de l’Iran, avec qui Hafez Al Assad avait su garder ses distances, rester un partenaire et non un satellite, le jeune chef de l’Etat s’est livré à un jeu de plus en plus dangereux. Aussi immobile que son père sur le Golan, il s’est exposé en apportant au Hezbollah, en guerre contre Israël pour récupérer des territoires libanais ou dont la propriété est contestée – les Fermes de Chebaa –, une aide de plus en plus conséquente qui menaçait de remettre en cause le rapport des forces dans la région.

La passivité affichée sur son propre territoire, sur lequel les Israéliens ont effectué plusieurs incursions aériennes et réalisé plusieurs attentats au cours des années écoulées sans susciter d’autre réaction que la vague menace de “répliquer en temps opportun par les moyens les plus appropriés”, n’a plus suffi à rassurer l’Etat hébreu. Dans son style à l’emporte-pièce, le ministre des affaires étrangères israélien, Avigdor Lieberman, a fini par menacer Bachar Al Assad, en février 2010 : non seulement “il perdra toute nouvelle guerre, mais il perdra du même coup le pouvoir, lui et sa famille”.

Alors que certains pays, dont la France, ont commencé à élever la voix et à prévenir Bachar Al Assad que son comportement vis-à-vis de sa population était inacceptable, et qu’il ne trompait personne en affectant d’être étranger aux crimes commis par son frère et ses soldats, ses cousins et leurs moukhabarat, le chef de l’Etat syrien a plus que jamais besoin d’un avocat pour plaider auprès de la communauté internationale son maintien en place, au nom des services rendus et des services qu’il serait encore prêt à rendre.

Jusqu’ici, le stratagème a toujours fonctionné. Sortant de son chapeau en temps opportun un nouveau monsieur bons offices, ou accueillant à Damas à chaque période de tension une délégation d’une importante organisation juive, de préférence américaine, Bachar Al Assad est toujours parvenu à désamorcer les crises en donnant le change sur ses intentions. Mais la situation est aujourd’hui différente. Aussi peu pressés que lui de conclure un traité de paix, qui se traduira pour eux par un retrait du Golan et pour lui par la perte de la carte des négociations, les Israéliens ne lui en avaient jamais voulu jusqu’ici de préférer dans le processus de paix, comme son père avant lui, le processus à la paix. A présent les temps ont changé, et, constatant comme leur ministre de la défense, Ehud Barak, que “la brutalité de Bachar Al Assad fait de plus en plus de morts et l’accule dans une impasse”, certains d’entre eux en viennent à dire tout haut qu’Israël “n’a pas à s’effrayer du fait qu’Assad puisse être remplacé”.

Faute de pouvoir séduire la communauté internationale en adoptant la posture conciliante qui lui a plusieurs fois déjà servi à neutraliser les menaces pesant sur son régime, Bachar Al Assad pourrait bien recourir à d’autres moyens pour se maintenir en place. On peut redouter que, lorsqu’il se verra acculé, il change son fusil d’épaule, et qu’il cherche à montrer, au Liban de préférence, qu’il sait utiliser aussi bien que son père les cartes de la nuisance.

 

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