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Affaire DSK + le Japon sombre dans la récession (le Monde)
DSK démissionne du FMI et demande la liberté
Dominique Strauss-Kahn a démissionné jeudi de ses fonctions de directeur général du FMI, mais il maintient qu'il est innocent des accusations d'agression sexuelle et de tentative de viol retenues contre lui. Il s'est engagé à ne pas quitter les Etats-Unis, afin de convaincre la justice de lui accorder une remise en liberté sous caution, selon une requête déposée auprès du tribunal et publiée par le New York Times. Il se dit également prêt à être placé sous surveillance 24 heures sur 24, si on l'autorise à quitter la prison new-yorkaise de Rikers Island où il est incarcéré depuis lundi. L'audience au cours de laquelle le tribunal pénal de Manhattan va examiner la nouvelle demande de mise en liberté aura lieu aujourd'hui. Par ailleurs, l'accusatrice de DSK a témoigné hier devant la chambre d'accusation et nié catégoriquement avoir eu avec lui une relation sexuelle consentie. Un employé du Sofitel de New York était déjà samedi dans la suite, occupée par Dominique Strauss-Kahn, lorsque la femme de chambre qui accuse le patron du FMI de l'avoir agressée sexuellement est entrée, ont dit mercredi une source policière et une source proche du groupe hôtelier Accor.
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Affaire DSK (le Monde)
Dominique Strauss-Kahn a démissionné jeudi de ses fonctions de directeur général du FMI, mais il maintient qu'il est innocent des accusations d'agression sexuelle et de tentative de viol retenues contre lui. Il s'est engagé à ne pas quitter les Etats-Unis, afin de convaincre la justice de lui accorder une remise en liberté sous caution, selon une requête déposée auprès du tribunal et publiée par le New York Times. Il se dit également prêt à être placé sous surveillance 24 heures sur 24, si on l'autorise à quitter la prison new-yorkaise de Rikers Island où il est incarcéré depuis lundi. L'audience au cours de laquelle le tribunal pénal de Manhattan va examiner la nouvelle demande de mise en liberté aura lieu aujourd'hui. Par ailleurs, l'accusatrice de DSK a témoigné hier devant la chambre d'accusation et nié catégoriquement avoir eu avec lui une relation sexuelle consentie. Un employé du Sofitel de New York était déjà samedi dans la suite, occupée par Dominique Strauss-Kahn, lorsque la femme de chambre qui accuse le patron du FMI de l'avoir agressée sexuellement est entrée, ont dit mercredi une source policière et une source proche du groupe hôtelier Accor.
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L'élimination de DSK sonne-t-elle l'élimination de l'Euro ? (News 26)
L'élimination de DSK sonne-t-elle l'élimination de l'Euro? | ![]() |
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Lundi, 16 Mai 2011 10:52 |
Comme par hasard, la politique du FMI à l'égard de la Grèce vient de changer radicalement en quelques heures. Nous devinons aujourd'hui que la politique de Strauss-Kahn au FMI était vue par l'Administration américaine comme partisane à l'égard de l'Europe et de l'Euro et était visée comme destructrice de la richesse américaine. par Michaela Heine pour news 26 Après les déclarations tonituantes de Ron Paul, candidat à l'investiture du parti Républicain des Etats-Unis, à l'encontre de Dominique Strauss-Kahn, il semble que le FMI vient aujourd'hui de changer radicalement de politique. "Voici le genre de personnes qui dirigent le FMI et nous voulons leur confier la finance mondiale et le contrôle de la monnaie?", a-t-il déclaré après l'arrestation de DSK. Selon le quotidien allemand Die Welt (édition de lundi), citant un certain nombre de hauts diplomates de l'UE, le Fonds monétaire international (FMI), a exprimé de profonds doutes quant à savoir si des crédits supplémentaires doivent être accordés à la Grèce, très endettée Nous ne pouvons émettre que des hypothèses, mais il semble que la politique de Strauss-Kahn visait encore le renflouement des finances grecques ce qui, dans cette période de recession américaine, est pour Obama et son Administration, intolérable. Il est curieux que l'élimination de Dominique Strauss-Kahn du FMI surgisse justement au coeur de la crise la plus grave du système monétaire international. Nous devinons aujourd'hui que la politique de Strauss-Kahn au FMI était vue par l'Administration américaine comme partisane à l'égard de l'Europe et de l'Euro et était visée comme destructrice de la richesse américaine. Cette thèse est également examinée par le célèbre site économique allemand MMnews. Celui-ci argue à l'innocence de DSK en s'interrogeant sur les raisons de son intempestive élimination au moment où l'élite financière américaine le suspectait de travailler à son propre rayonnement européen (élection présidentielle française) avec l'argent américain du FMI. Dès dimanche, les médias grecs ont estimé que le gouvernement socialiste de Georges Papandréou avait "perdu un allié". La télévision publique Net a rappelé que le chef du FMI "avait aidé la Grèce" lors des négociations avec l'UE pour décrocher l'aide au pays, face au "nein" des Allemands qui ont traîné des pieds pendant plusieurs mois en 2010 avant d'accepter de participer à un plan de sauvetage. En effet, la condition indiscutable pour la chancelière allemande Angela Merkel de participer à une nouvelle aide à apporter à la Grèce n'était-elle pas le soutien financier du FMI? Aujourd'hui, comme par hasard, nous risquons d'assister avec l'élimination de Strauss-Kahn de la scène politique et financière à rien de moins qu'à l'élimination de l'Euro. M. Strauss-Kahn, arrêté par la police new yorkaise pour agression sexuelle, a manqué un rendez-vous crucial qui devait être consacré à la Grèce, avec la chancelière allemande Angela Merkel, afin de maintenir l'unité de la zone euro. Au cours de la réunion devait être évoqué un éventuel deuxième paquet d'aide - à la place d'une restructuration - en échange de nouvelles mesures d'austérité et de privatisations supplémentaires, DSK affirmant il y a quelques jours encore que la Grèce pouvait s'en sortir sans restructurer sa dette, si elle menait à bien tous ses projets. Le scénario est finalement très simple: Si le FMI retire ses plans d'aide à la zone Euro, l'Allemagne se retirera à son tour, la Grèce s'écroulera et entraînera par un effet domino l'Euro dans sa chute. |
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Affrontements dans le Nord (Desinfos.com)
Les yeux étaient tournés vers la Cisjordanie et Tsahal a été surpris par les affrontements dans le nord / Anshel Pfeffer – Haaretz
Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël
lundi 16 mai 2011
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Le commandement militaire de la région nord s’était préparé à la possibilité que des réfugiés palestiniens de Syrie ou du Liban tentent de parvenir à la clôture frontalière en différents points. Des renforts avaient été déployés là où les services de renseignement estimaient qu’un affrontement pourrait se déclencher. Il avait également été décidé que d’autres unités de l’armée, venues s’entraîner sur le plateau du Golan, se rendraient sur les lieux en une demi-heure si « certaines limites » étaient franchies.
Le long de la frontière entre le Golan et la Syrie, les services de renseignement avaient pointé du doigt le poste-frontière de Quneitra comme un endroit problématique et des renforts avaient été déployés en conséquence. Quant à la « colline des cris », située face à la localité druze de Majdal Shams, on estimait que la manifestation qui devait s’y dérouler se terminerait sans incident particulier, comme cela a été le cas les années précédentes.
Bien que les réfugiés et les militants aient été appelés sur Facebook à se rendre à la « colline des cris » et que dès le matin, une cinquantaine d’autocars et plus de trois mille manifestants y étaient présents, en milieu de journée seuls deux véhicules de patrouille et une dizaine de réservistes étaient présents le long de la clôture frontalière.
Près d’un millier de personnes, dont des femmes et des enfants, ont alors commencé à dévaler la pente qui mène à la frontière. Ils ont franchi un champ de mines et tout s’est mis alors à aller très vite. Près de trois cents personnes sont parvenues à la clôture et, en quelques minutes, ont réussi à l’arracher et à pénétrer sur le territoire israélien.
Les réservistes avaient reçu des ordres très clairs : ne tirer sous aucun prétexte sans l’autorisation du commandant du régiment. Ils ont donc utilisé les quelques grenades aveuglantes et lacrymogènes dont ils disposaient, sans parvenir à freiner les manifestants, en majorité des Palestiniens du camp de réfugiés de Yarmukh, près de Damas.
Même quand plusieurs dizaines de manifestants ont encerclé les véhicules de patrouille, certains grimpant même dessus en brandissant des drapeaux palestiniens, les soldats n’ont pas ouvert le feu. Plusieurs centaines de Druzes de Majdal Shams se sont alors joints à l’agitation, jetant des pierres en direction des soldats.
Des renforts, sous le commandement d’officiers supérieurs, ont été dépêchés sur les lieux. Premier officier à arriver sur place, le commandant du régiment du Golan, le colonel Eshkol Choukroun, a autorisé les soldats à tirer en l’aire. Plus tard, a-t-il expliqué, il a ordonné de tirer en direction des membres inférieurs des personnes franchissant la frontière, en particulier des meneurs. Une quarantaine de personnes ont été blessés par les tirs et un manifestant a été tué. Selon les Syriens, trois autres manifestants ont été tués du côté syrien de la frontière.
Cent trente sept personnes sont toutefois parvenues à pénétrer sur le territoire israélien, se sont dirigées vers le centre de Majdal Shams où elles ont manifesté. A ce stade, plusieurs centaines de soldats étaient déjà déployés le long de la frontière, assistés de plusieurs centaines de policiers et de membres de l’administration pénitentiaire. Treize Israéliens, militaires et civils, ont été blessés par des jets de pierres.
Une fois la frontière fermée et la zone encerclée par la police, les forces de l’ordre ont entamé des négociations avec les infiltrés, par l’intermédiaire de dignitaires de la communauté druze, pour permettre leur retour en Syrie en coordination avec les forces des Nations-Unies. A 17 heures, tous les manifestants étaient de retour en Syrie après être passés au poste-frontière de Quneitra.
Au sein du commandement militaire de la région nord on accuse le régime du président Bachar Assad d’avoir encouragé cet événement « afin de détourner l’attention de ce qui se passe dans son pays ». Selon ces responsables militaires, « Derrière tous les événements en Syrie et au Liban se cache l’Iran ».
Le bilan des affrontements à Majdal Shams n’a pas été le plus meurtrier. Selon des sources libanaises, au moins dix manifestants ont été tués dans la localité frontalière de Marun a-Ras. Tsahal affirme de son côté que ces manifestants ont été tués par les tirs de l’armée libanaise qui, selon des officiers israéliens présents sur les lieux, « a tiré sans discernement ».
Quoi qu’il en soit, Tsahal était là bien préparé et des renforts avaient été déployés si bien qu’à aucun moment on n’a pu craindre que des manifestants franchissent la frontière.
Les événements violents dans le nord ont fait oublier hier après-midi les événements en Cisjordanie. Rassurés par la violence toute relative des manifestations du week-end, les responsables du commandement militaire de la région centre se sont surtout préparés à la grande manifestation prévue à Ramallah. Tandis que plusieurs milliers de manifestants se rassemblaient place Manara, quelques centaines de jeunes ont commencé à se heurter aux forces israéliennes dans le camp de réfugiés de Qalandia.
Pendant près de sept heures, quelques deux cents Palestiniens ont jeté des pierres et des pneus en feu vers les soldats qui ont riposté par des tirs de grenades lacrymogènes. Plusieurs dizaines de Palestiniens ont été légèrement blessés mais le commandant de la région centre, le général Avi Mizrahi, s’est dit satisfait de la manière dont Tsahal est parvenu à contenir l’événement. Certains des manifestants place Manara ont tenté de se rendre à Qalandia pour se joindre aux affrontements mais en ont été empêchés par les forces de l’ordre palestiniennes. A Hébron également, des policiers palestiniens ont interpellé des militants du Hamas qui tentaient de se diriger vers le quartier juif de la ville. La coopération étroite entre services de sécurité israéliens et palestiniens s’est poursuivie tout au long des trois derniers jours.
Des affrontements ont également eu lieu le long de la frontière avec la bande de Gaza. Plusieurs centaines de Palestiniens ont franchi un barrage du Hamas et ont tenté de parvenir à la clôture frontalière, près du point de passage d’Erez. Tsahal a ouvert le feu en direction des membres inférieurs des manifestants, blessant plusieurs d’entre eux. Près de Nahal Oz, Tsahal a abattu un Palestinien qui tentait, semble-t-il, de poser une charge explosive le long de la frontière.
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Interview d'Hilary CLinton (Lessakele)
La politique américaine au Moyen-Orient devient cliniquement folle
Par Barry Rubin
Adapté par Marc Brzustowski
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
Les derniers énoncés de la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton sont tout simplement totalement effrayants. Prenez en compte ce qu’elle a dit au cours de cette interview :
Concernant l’Egypte :
"QUESTION : Devrions-nous redouter les Frères Musulmans?
SECRETAIRE CLINTON : Bien, je pense que nous n’en savons pas encore assez, pour comprendre exactement comment ils vont se transformer. Et je suis – je veux dire, en ce qui me concerne, ce n’est pas encore décidé. Il y a quelques éléments islamistes qui reviennent à la surface en Egypte, dont je pense qu’ils sont juste la façade –
QUESTION : Oui, enfin, ils sortent surtout de prison, en fait
SECRETAIRE CLINTON: Ils sortent de prison, ils sortent de l’ombre, qui sont hostiles à la démocratie, au genre de liberté d’expression, de liberté de rassemblement, de liberté de conscience, qui étaient les aspirations du Square Tahrir. »
...." “Nous n’en savons pas assez…”
Vraiment? Lisez n’importe quell discours ou interview d’un dirigeant et lieutenant des Frères Musulmans, c’est bourré de rhétorique jihadiste, de rage géoncidaire contre les Juifs, d’insistance sur le devoir de faire de l’Egypte un Etat Islamiste, de répugnance et de rejet pour l’Amérique. De quelle métamorphose parlez-vous ?
(-Je dis que)… c’est gens sortent juste de prison. »
Ils tiennent ouvertement des réunions conjointes et des manifestations avec les Frères Musulmans. Je le sais, pourquoi, elle, ne le sait pas ?
“Ce n’est pas encore décisif ».
Quand est-ce que le gouvernement américain percevra le danger des Frères Musulmans ? Quand ils prendront le pouvoir et commenceront à prendre le sentier de la guerre contre Israël et feront preuve d’hostilité ouverte envers les Etats-Unis ?
L’avis peut être aussi clair, concernant les Frères Musulmans qu’il ne l’est au sujet de Ben Laden.
2. Syrie
Et, voici tout aussi effrayant : interview :
"Q : A ce point, la Syrie est un pays où on a tué la plupart des gens dans les rues.
"CLINTON : Bien, je ne dispose pas d’éléments de comparaison, mais ce que je sais réellement, c’est qu’il leur reste une occasion à saisir pour reprendre un agenda de réformes. Personne ne pensait que [le dirigeant libyen Mouammar] Kadhafi le ferait. Le gens croent encore qu’il subsiste une voie possible pour cela en Syrie ».
Ainsi, le Gouvernement des Etats-Unis espère encore que le Président Bashar al Assad deviendra un réformateur ? Je ne voudrais pas, une fois encore, lister toutes les preuves du contraire, aussi bien en ce qui concerne ses démonstrations passées que sa propre compréhension de ce que sont ses intérêts.
Mais voilà quelque chose de tout-à-fait remarquable. Clinton mentionne Kadhafi. Kadhafi avait, lui-même, effectivement « réformé » sa politique étrangère, après avoir eu peur, à la suite de l’invason américaine de l’Irak, qu’il pourrit bien être le prochain sur la liste. C’est ainsi que la pression a montré qu’elle entraînait des résultats favorables en Libye, alors que la politique d’apaisement de l’Administration Obama en Syrie a totalement échoué – et continuera d’échouer totalement.
3. Hamas
Mais, apparemment, il n’y a rien de “decisif”, non plus, à propos du Hamas. Comment cela, nous n’aurions pas suffisamment d’information pour évaluer ce mouvement ? Peut-être, alors, est-il, lui aussi, en train de “muer”? L’Administration Obama a vertement critiqué Israël d’avoir suspend le transfert des revenus des taxes à l’Autorité Palestinienne. Evidemment, puisque cet argent n’est dû qu’il est verse, en conformité avec les accords d’Oslo, que l’AP n’observe plus depuis longtemps.
Les responsables américains disent que l’Administration “attend de voir à quoi ressemble cet accord de réconciliation sur le plan pratique, avant que nous ne prenions la moindre décision en ce qui concerne une assistance à l’avenir”.
Rappel élémentaire à l’Administration Obama : un pays ne fait pas qu’observer et attendre, lorsque d’autres jettent ses propres intérêts à la poubelle. Cela fait quelque chose. Quand l’un de vos clients, que vous n’avez de cesse d’aider et auquel vous donnez de copieuses sommes d’argent, réunit ses forces avec une organisation ouvertement terroriste, alliée à vos pires ennemis, combien de temps vous reste t-il pour attendre les bras ballants et regarder ce qui est en train de se produire ?
De la première interview de Clinton
:
“Nous sommes en train de perdre la guerre des idées, parce que nous ne sommes pas dans l’arène, de la même façon que nous l’étions Durant la guerre froide”.
Bien, si vous ne pouvez pas définir les Frères Musulmans et la Syrie comme hostiles, vous n’êtes sûrement pas « dans l’arène ». Imaginez que la Guerre Froide se soit déroulée en ces termes ! Combien de temps l’Amérique aurait-elle pu dire qu’il « n’y avait rien de décisif » à propos de la nature de l’Union Soviétique ?
Mais Clinton n’est pas aussi stupide qu’elle en a l’air. Elle bégaie autant parce qu’elle doit suivre la ligne politique du Président, et c’est cela qui est vraiment stupide. Et bien plus que cela, c’est tout simplement dangereux.
Barry Rubin est directeur du Centre pour la Recherche Globale en affaires internationales (GLORIA) et éditeur du journal : la revue des Affaires Internationales et du Moyen-Orient (MERIA). Ses derniers ouvrages sont « le lecteur israélo-arabe (7è édition), La longue guerre pour la liberté : la lutte arabe pour la démocratie au Moyen-Orient (Wiley), ainsi que La vérité sur la Syrie (Palgrave-McMillan). Le site internet du Centre GLORIA est à l’adresse : http://www.gloria-center.org et celle de son blog, Rubin Reports, à :http://www.rubinreports.blogspot.com.
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