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UN « CHANTAGE Á LA GUERRE » HABILEMENT TRAVESTI EN « NEGOCIATIONS DE PAIX »

UN « CHANTAGE Á LA GUERRE » HABILEMENT TRAVESTI EN « NEGOCIATIONS DE PAIX »

  Par Maître Bertrand Ramas-Mulhbach

 

Pour © 2011 lessakele  et © 2011 aschkel.info


Ce 19 mai 2011, le Président des Etats-Unis Barak Obama a prononcé le discours d’orientation de la nouvelle politique américaine en direction du monde arabe. A cette occasion, il s’est clairement prononcé sur la création d’un Etat palestinien sur les lignes de démarcation de 1967 : « Les États-Unis estiment que les négociations doivent aboutir à une solution à deux États, avec des frontières palestiniennes permanentes avec Israël, la Jordanie et l'Égypte et des frontières israéliennes permanentes avec la Palestine. La frontière entre Israël et la Palestine doit se baser sur les lignes de démarcation de 1967, avec des échanges de territoires mutuels, afin d’établir des frontières sécurisées et reconnues par les deux États. ». Pour autant, et même si le Président américain qualifie systématiquement le « processus » de « négociations de paix », la question peut se poser de savoir s’il ne s’agit pas d’un abus de langage destiné à masquer une autre réalité : un « chantage à la guerre ».

Tout d’abord, il n’est jamais demandé à Israël de faire la paix avec les palestiniens mais simplement de renoncer à tout ou partie de ses territoires (dont sa capitale historique Jérusalem), faute de quoi, les palestiniens poursuivront leurs attaques. Il ne s’agit donc pas de négociations de paix entre entités en guerre mais d’une promesse supposée d’un arrêt des attaques palestiniennes si Israël se plie aux injonctions de ses voisins qui appellent à sa destruction. Israël a bien évidemment été en guerre : la coalition arabe (Liban, Syrie, Irak, Egypte et Jordanie) a déclenché les hostilités le 15 mai 1948 avant que n’intervienne le cessez le feu imposé par les américains le 7 janvier 1949. Lors de la nationalisation par l’Egypte du canal de Suez, Israël a envahi le Sinaï le 29 octobre 1956 avant que l’Onu n’impose un cessez le feu le 10 novembre 1956. Lors de la guerre des 6 jours, du 5 au 9 juin 1967, Israël a mis en déroute les armées égyptiennes, syriennes et jordaniennes. Le 6 octobre 1973, l’Egypte et la Syrie ont attaqué pendant la célébration du Yom Kippour, obligeant Israël à lancer une contre offensive interrompue par un cessez le feu le 22 octobre 1973 imposé par le Conseil des Nations Unies. Le 15 mars 1978, Israël a lancé l’opération Litani au sud Liban à la suite d’un attentat sanglant perpétré par des libanais. Le 5 juin 1982, Israël a mené l’opération Galilée pour se protéger des tirs libanais et a occupé le sud Liban avant de s’en retirer le 24 mai 2000. Enfin, la seconde guerre du Liban s’est déroulée du 12 juillet 2006 au 14 août 2006 suite à l’enlèvement de soldats israéliens. Contre les palestiniens, point de guerre.

En réalité, non seulement Israël n’est pas en guerre contre l’Autorité Palestinienne mais en outre, il entretient avec elle des relations, sinon chaleureuses, tout au moins courtoises. Ce qui est donc demandé à Israël, n’est pas de négocier la paix mais simplement de renoncer à une partie de lui-même contre une promesse d’un arrêt des attaques des terroristes palestiniens. Le principe qui devrait être appliqué est donc le suivant : « faute de guerre, nul besoin de négociations de paix ».

Bien évidemment, et en marge des pressions internationales exercées sur Israël pour qu’il se soumette, les demandes palestiniennes visant à une reprise des hostilités se poursuivent, tel l’appel lancé sur Facebook le 15 mars 2011, intitulé « troisième intifada » pour se rendre sur les frontières de « l’Etat palestinien » afin de libérer « son peuple » de l’oppression israélienne. Une première opération a été menée le 15 mai 2011 mais le vrai rendez vous est fixé le 15 juin 2011. De même, le 10 avril 2011, ce sont les égyptiens qui ont, devant l’ambassade d’Israël au Caire, appelé à lancer cette « troisième intifada ». Les palestiniens appellent également a commémorer l’occupation de la ville Al-Qods (Jérusalem) par les sionistes le 7 juin prochain, pour en faire une « journée d’allégeance à Al Qods » dans tous les pays du monde. Le communiqué précise que « le soulèvement est continu et la Palestine se rapproche de la libération. La sang des martyrs sèmera dignité et gloire ».

Certes, le 20 avril 2011, le Président de l’Autorité Palestinienne Mahmud Abbas s’est exprimé sur la question en affirmant qu’il ne permettra pas le déclenchement d'une troisième Intifada aussi longtemps qu’il sera à la tête de l'Autorité. Il n’a en réalité aucun pouvoir pour intervenir dans ce domaine. De très nombreux palestiniens se sont d’ailleurs immédiatement empressés de lui poser la question de savoir « qui » il était, « président illégitime d’une autorité qui l’est tout autant » pour dire au peuple palestinien ce qu’il devait faire pour sauver la Palestine. Une fois encore, le terme de « négociations de paix » apparait donc bien hypocrite alors que la détermination des palestiniens qui veulent en découdre, est intacte.

Plus grave, la référence, par le Président américain, aux frontières de 1967 ne vise qu’à donner un semblant de légitimité à la revendication palestinienne sur Jérusalem, réunifiée à l’occasion de la guerre des six jours et définitivement annexée à Israël par la Loi fondamentale du 30 juillet 1980. Il répond également aux aspirations du monde arabo musulman pour qui Jérusalem est le troisième lieu Saint de l’Islam. Aussi, et dans ce cadre du « chantage palestinien à la guerre », la demande américaine concernant le partage de Jérusalem pourrait être considéré comme une forme « d’extorsion internationale de la terre », qui n’est pas sans rappeler les méthodes violentes employées par certaines personnes qui « contre paiement », assurent la « sécurité des commerçants », c'est-à-dire s’engagent à ne pas faire exploser leur commerce, lorsqu’elles ne qualifient pas directement ces sommes « d’impôt » pour donner à leur versement un caractère légitime.

Toujours est-il que le discours de Barak Obama a donné des ailes à tous ceux qui aspirent à un calme régional. L’Union européenne, en parfait décalage avec la mentalité et le fonctionnement au Moyen orient, a salué l’annonce d’un Etat palestinien sur les frontières de 1967 (pour Angela Merkel, le Président américain a délivré un « message de paix très important »). Il en est de même du secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa. Bien évidemment, et pour convaincre de la justesse de son analyse, le Président américain a fait part de son inquiétude quant à la volonté « du Premier Ministre Benjamin Netanyahou de faire des concessions pour aboutir à un accord de paix », lui imputant par anticipation l’échec de l’entreprise…

Pour autant, il n’est pas interdit d’envisager une relation pacifiée entre les israéliens et les palestiniens qui jouissent déjà du droit à l’autodétermination. La bande de Gaza est sous le coup d’un embargo depuis sa prise de contrôle par le Hamas dont le programme politique, la philosophie et les objectifs militaires sont centrés sur l’éradication d’Israël. L’accord pourrait alors consister dans une levée de l’embargo contre renonciation des palestiniens de la bande de Gaza à la lutte armée contre Israël. De même, et concernant la Cisjordanie, l’armée israélienne contrôle les points de passage entre les villes palestiniennes. L’armée israélienne pourrait alors, dans le cadre d’un accord avec l’Autorité palestinienne, restituer aux palestiniens une parfaite liberté de mouvement sur les terres non contrôlées ou annexées par Israël, contre renonciation aux attaques terroristes.

L’inconvénient résulterait toutefois de leur mise en œuvre. Les palestiniens n’obéissent pas à une autorité centralisée s’ils ne l’ont pas personnellement désignée. Ainsi, il serait nécessaire de signer des accords de paix avec chaque palestinien pris séparément, pour ce qu’il en est de la sincérité de l’engagement, et encore, sans avoir la certitude que l’accord passé par le père soit respecté par le fils…

 
Par Gad - Publié dans : Articles de Bertrand RAMAS-MUHLBACH

 

RTL Belgique: toujours la même hargne contre Israël

RTL Belgique: toujours la même hargne contre Israël

 
Comme la RTBF, l'autre chaîne belge francophone RTL fait preuve d'une grande férocité contre Israël et d'une grande sollicitude envers les Palestiniens.  Malgré l'incroyable frénésie que lui inspire l'affaire DSK - décortiquée en long et en large et se targuant d'"en donne tous les détails" sur son site - RTL n'oublie pas Israël.  Oh que non!

"Dit-on" 

Le JT du 20 mai s'est intéressé au discours du Président Barack Obama sur les frontières de 1967 et à la réaction en Israël.  Grâce à un habile montage assorti de commentaires négatifs, le journaliste Jean-Pierre Martin présente Israël comme un pays d'extrémistes. Par contre pas un mot sur le Hamas ni sur le terrorisme qui a des ramifications jusqu'en Europe. Et il affirme :

"Benjamin Netanyahou est, dit-on, prêt à tout pour empêcher la réélection du Président américain..."

Un "on dit" qui sert à faire entendre sa propre opinion ou perception par l’évocation d’une rumeur, existante ou créée pour les besoins de la cause.

Faisait-il référence aux propos du ministre Karel De Gucht sur le "[pouvoir du] lobby juif à Capitol Hill, le parlement américain. C'est groupe le mieux organisé de pression qui y existe. En d'autres termes, il ne faut pas sous-estimer l'emprise du lobby juif sur la politique américaine"?.

Propos appuyés par Le Soir: "Karel De Gucht brave les tabous." "Faut-il dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas ?"

Continuer à agiter de vieilles lunes comme le lobby juif dont l’action de l’administration américaine montre précisément les limites est intellectuellement malhonnête.

Sur un autre registre, mais dans le même esprit, le journal norvégien Aftenposten titre : Des Juifs riches menacent Obama. (Aftenposten: ‘Rich Jews threaten Obama’)

Qui tire les ficelles ?
 

 

Discours de Netanyahou devant le Congrès américain (le Monde)

Nétanyahou prêt à des "compromis" mais pas au retour aux frontières de 1967

 
Le discours du premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, ne laisse aux Palestiniens "pas d'autre choix que d'aller à l'ONU en septembre" pour demander la reconnaissance de leur Etat, a déclaré mardi à l'AFP un négociateur palestinien.

 

Benjamin Nétanyahou devant le Congrès américain.

Benjamin Nétanyahou devant le Congrès américain.AFP/SAUL LOEB

Le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, s'est dit prêt, mardi 24 mai, à "des compromis douloureux", pour atteindre la paix avec les Palestiniens, assurant devant le Congrès américain qu'il "n'abandonnera jamais la quête de la paix".

S'il a affirmé que son pays saurait se montrer généreux pour les frontières d'un futur Etat palestinien, il a cependant réitéré son refus d'un retour aux lignes d'armistice de 1967 et à une division de Jérusalem. Or, ces deux conditions sont les principales revendications des Palestiniens pour un accord de paix.

"Ce n'est pas facile pour moi, car je reconnais que dans une paix véritable, nous devrons abandonner des parties de l'ancestrale patrie juive. Il faut comprendre qu'en Judée-Samarie, les juifs ne sont pas des occupants", a-t-il ajouté en référence à la Cisjordanie. M. Nétanyahou a ainsi admis la perspective qu'après un accord de paix, certaines colonies d'implantation juives se retrouveraient à l'extérieur des frontières d'Israël.

COMBAT ENVERS LE HAMAS

Le premier ministre israélien n'a par ailleurs rien lâché de sa combativité envers le Hamas, jurant qu'Israël ne négocierait pas avec la "version palestinienne d'Al-Qaida". Le Hamas, au pouvoir à Gaza, est désormais lié par un accord de gouvernement avec le Fatah du président Mahmoud Abbas.

Selon le premier ministre israélien, la paix n'a pu être atteinte au Proche-Orient jusqu'à présent faute d'acceptation de l'existence d'Israël de la part des Palestiniens. "Ces dernières années, les Palestiniens ont refusé deux fois des offres généreuses (...) Ils n'étaient tout simplement pas désireux de mettre fin au conflit", a-t-il déclaré.

"RIEN DE NOUVEAU"

Les Palestiniens ont rapidement réagi au discours de M. Nétanyahou : "Il n'y a rien de nouveau dans le discours de Nétanyahou sinon qu'il ajoute des obstacles sur la voie d'une paix véritable, sérieuse, durable et globale", a déploré un porte-parole du président Mahmoud Abbas.

Le porte-parole a réaffirmé que la paix exigeait des références internationales telles que la reconnaissance des lignes de 1967 comme base de négociations et que les Palestiniens "n'acceptaient aucune présence israélienne sur le Jourdain" à l'intérieur de leur futur Etat. Ce discours ne laisse donc aux Palestiniens "pas d'autre choix que d'aller à l'ONU en septembre" pour demander la reconnaissance de leur Etat, a déclaré un négociateur palestinien.

REMERCIEMENTS À OBAMA

M. Nétanyahou, qui a eu un désaccord public avec le président américain, Barack Obama, sur la question des frontières, était sous pression pour annoncer des concessions suspectibles de ressusciter le processus de paix entre Israël et les Palestiniens.

 

Le premier ministre israélien a pris soin de remercier M. Obama pour son egagement "ferme" envers la sécurité d'Israël.

Le premier ministre israélien a pris soin de remercier M. Obama pour son egagement "ferme" envers la sécurité d'Israël. REUTERS/MOLLY RILEY

 

L'un des enjeux, pour lui, était d'empêcher par une initiative la tentative des Palestiniens de faire voter à l'ONU, en septembre, la reconnaissance de leur Etat. Cette démarche doit être combattue, a plaidé M. Nétanyahou devant un Congrès très largement acquis à sa cause, et qui l'a applaudi de nombreuses fois debout. C'était la deuxième fois qu'il s'adressait aux deux chambres réunies du Parlement américain. Le premier ministre israélien a également pris soin de remercier M. Obama pour son egagement "ferme" envers la sécurité d'Israël.

Barack Obama avait rappelé, dimanche, que l'aide financière américaine à la défense d'Israël avait atteint des niveaux records sous sa présidence. Pour la première fois, un système d'interception anticipée de missile, le "dôme de fer", a été mis en œuvre avec succès par Israël il y a quelques semaines, empêchant l'arrivée des roquettes qui avaient été tirées de Gaza.

 

Lettre d'un ami israélien à son ami Président des Etats Unis...

23 mai 2011

Lettre d'un ami israélien à son ami Président des Etats Unis...

 

M. le Président des Etats Unis,

Moi qui ne suis qu'un citoyen israélien lambda mais qui ai parfaitement entendu votre message exprimé ce 22 mai devant l'AIPAC quant à l'amitié inaltérable qui unit les Etats Unis à Israël, j'avais à coeur de vous exprimer directement ce qu'un ami israélien a retenu quant à vos déclarations de ces dernières années...

Je commencerai donc cette courte missive par des applaudissements quant à votre rappel devant cette même assemblée de l'AIPAC du devenir de Gilad Shalit qui, comme vous le savez, est détenu aux mains du Hamas, otage d'une organisation terroriste...tout comme les victimes du 11 septembre ont pu l'être face à Al-Qaïda...

Mais, et d'après vos propres paroles de ce jour, le Hamas serait-il une organisation terroriste alors que vous appelez ce mouvement à "reconnaître le droit d'Israël à exister, à rejeter la violence et à adhérer à tous les accords existants" ? En tant que votre ami israélien, pensez-vous sincèrement que ce mouvement terroriste va cesser toute politique et actions de terreur suite à votre appel ?

N'avez-vous pas à l'époque de votre venue au Caire (juin 2009) fait connaitre que: "voilà maintenant plus de sept ans, forts d'un large appui de la communauté internationale que les Etats Unis ont donné la chasse à Al-Qaïda et aux talibans" ? Y auraient-ils des mouvements terroristes islamistes à pourchasser et d'autres à caresser ? Le sang d'innocents (hommes, femmes, enfants) versé ici ou là "par la grâce" des actions de ces mouvements terroristes est-il différent en fonction du lieu où ces actes sont accomplis ? En toute amitié israélienne, devrais-je vous rappeler ici vos dires à l'Université du Caire (juin 2009):" quand des extrémistes violents sévissent dans une certaine région de montagnes, les populations situées par-delà l'océan sont mises en danger" ?

D'ailleurs et pour clore ces quelques lignes quant au devenir de Gilad Shalit, et comme une réaction évidente à votre discours d'hier, le Hamas vient de mettre en garde la population gazaouite de ne pas transmetttre d'information sur Gilad Shalit...

Mon ami, M. le Président des Etats Unis, serait-ce possible que votre désir d'un état palestinien indépendant ne remontât déjà à l'année 2004, alors que vous vous exprimiez ainsi face à Ali Abounimah, cofondateur de "The Electronic Intafada": "Désolé, je n'ai pas encore beaucoup parlé des droits palestiniens, mais nous sommes dans une rude course aux primaires. J'espère que quand les choses se calmeront je pourrai être plus franc" ?..

Serait-ce de même compréhensible que devant ce même forum de l'AIPAC, et alors que vous n'étiez que sénateur de l'Illinois, vous auriez déclaré le 4 juin 2008 : " Jérusalem unifié et capitale indivisible de l'état juif" et qu'aujourd'hui le message semblât quelque peu différent ?..

Mon ami, M. le Président des Etats Unis, j'ai encore en mémoire ces paroles prononcées ce 4 juin 2008: "je ne ferai jamais le moindre compromis dès lors qu'il s'agira de la sécurité d'Israël" et que j'avais alors comprises comme: il est évident que le territoire israélien étant minuscule, il va de soi que je n'accepterai pas que l'on retirât des terres de celui-ci. Que j'avais interprétées ainsi: moi, le Président des U.S.A, ami de l'état d'Israël, j'ai été témoin à plusieurs reprises des propositions territoriales israéliennes afin de parvenir à une paix avec les instances palestiniennes, j'ai vu celles-ci repoussées, rejetées, niées...

Moi, le Président des Etats Unis, j'ai vu comment l'état d'Israël s'est retiré des terres libanaises sans bénéficier pour autant d'un traité de paix avec ce pays, mais tout à l'opposé l'installation de facto d'une main-mise terroriste politique aux mains du Hezbollah; j'ai suivi la sortie israélienne de Gaza qui a permis au gouvernement terroriste du Hamas de s'y installer, et je reviens donc ici sur mes dires de ce 22 mai: " même si nous pouvons être parfois en désaccord, comme des amis peuvent l'être, l'engagement des Etats Unis envers la sécurité d'Israël est inébranlable".

Mon ami, le Président des Etats Unis, je ne désire pas moins que vous-même un état de paix régionale. Je vis ici en Israël depuis de trop longues années au rythme des guerres, des attentats, des missiles et obus, des explosions... au rythme de mes enfants qui se retrouvent l'un après l'autre à devoir défendre une patrie en état de guerre permanente...et je suis fatigué...

Aussi je fais appel à vous, mon ami le Président des U.S.A, afin de faire passer un message international clair ( et des plus évidents...): Israël a tout droit d'exister dans des frontières claires et précises tenant compte de l'histoire du peuple juif, de ses racines, de son développement. Quiconque mettra en cause la territorialité d'Israël sera considéré comme ennemi de l'Occident et sera traité comme tel. Quiconque usera d'actes terroristes se retrouvera pourchassé par l'International tel que l'a été Ben Laden et son mouvement Al-Qaïda, tels que les talibans. Par contre, quiconque reconnaitra le bon droit d'existence de l'état d'Israël sur son territoire actuel saura trouver une oreille attentive afin de résoudre ensemble une cohabitation régionale...

Mon ami, M. le Président, je ne suis qu'un citoyen lambda israélien qui ne désire aucun autre territoire, aucun peuple ennemi, aucun conflit permanent mais bien une seule chose: la paix. Sauriez-vous persuader les rejeteurs de traités, les nieurs de notre droit d'exister, les preneurs d'otages, les activistes terroristes, les spécialistes de la taqya... du bien-fondé de mes désirs et rêves qui sont d'ailleurs peut-être identiques auprès d'une population arabe ?

J'ose espérer qu'en ami sincère vous saurez prendre le taureau par les cornes pour que votre ami israélien puisse répondre de votre sincérité quant à ces lendemains de bonheur que vous avez les moyens de nous aider à bâtir. 

Marc Lev (auteur de "Après-demain ?" - Edilivre)...oui, qu'y aura-t-il après-demain ??

Sources: aloufok.net, america.gov, europe-israel.org,

 

Vidéo sur Youtube, une Arabe reconnaît le massacre de Juifs par les "Palestiniens" en 48 (Drzz.fr)

Rarissime vidéo : Les palestiniens trahis par leurs ancêtres – par Jean-Patrick Grumberg

Au coeur du conflit israélo-palestinien réside un noeud, celui de l'histoire des évènements de 1948 qui ont suivi la déclaration d'indépendance de l'Etat Hébreu.

Les palestiniens, depuis 1998, en ont fait le jour de la Nagba, la catastrophe. Pourquoi ? Parce que selon leur version de l'histoire, ils étaient là, en 1948, assis sans faire de mal à personne, et ils se sont fait massacrer, expulser de leurs terres et de leurs maisons par les sionistes, qui les en ont dépouillés.
 
Les juifs soutiennent à peu près l'inverse, à savoir que d'une part ils étaient sur leurs terres rendues légalement par l'ONU, et que non seulement les arabes (le mot palestinien date de 1967) ont suivi les consignes des pays arabes, dont les cinq armées ont déclenché une guerre d'extermination des Juifs, non seulement ils leur ont demandé de partir et de laisser momentanément place libre pour les opérations militaires, non seulement beaucoup d'arabes ont fui de leur propre décision, mais en plus, loin d'être ces victimes innocentes, ils ont participé au massacre des juifs.
 
Dans ce contexte porteur de tous les échecs, la semaine dernière s'est terminée la célébration annuelle par les palestiniens de la Nagba.
 
Une vieille dame, une arabe de 92 ans, qui se trouve là, est interviewée par un journaliste qui lui demande de lui raconter les évènements dont elle se souvient.
 
Ce témoignage est unique. Il est de la plus grande importance. Car c'est la première fois qu'un témoin visuel, à ma connaissance, reconnait la version avancée par les juifs, et avoue l'inavouable : le massacre des juifs par les "palestiniens", en 1948. Il s'agissait d'un émission en direct, et la chaîne n'a pas pu la couper. On voit le journaliste, très gêné, tenter d'écourter l'interview, et d'interrompre la vieille femme. Mais cette dernière est intarissable… 
 
(si les sous-titres français n'apparaissent pas, il faut cliquer sur le petit triangle dans la barre inférieure)
 
Il aura donc fallu attendre soixante deux ans pour que la vérité, qui remet en cause le paradigme palestinien, éclate.
 
On pourrait penser que ce document va changer le cours des évènement futurs. On pourrait penser que les palestiniens se mordent les doigts d'avoir laissé filtrer un témoignage aussi compromettant.
 
Qu'ils se rassurent, les journalistes n'ont aucun amour pour des faits qui pourrait détruire leur reconstruction de l'histoire, et il ne s'en trouvera aucun pour faire son travail de journaliste d'investigation, à partir de ce début de preuve accablant.
 
Reproduction autorisée avec les mentions suivantes, et le lien vers cet article :
© Jean-Patrick Grumberg pour Drzz.fr 

 

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