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Des dirigeants israéliens inaugurent 60 logements à Jérusalem-Est J. FORUM

 

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Plusieurs dirigeants israéliens ont participé mercredi à l’inauguration de 60 logements au coeur du quartier de Ras al-Amoud, dans Jérusalem-Est, a constaté l’AFP.

Le chef du Parlement, Reuven Rivlin, au moins un ministre du gouvernement de Benjamin Netanyahu et le maire de Jérusalem, Nir Barkat, ont assisté à la cérémonie d’inauguration de l’enclave de Maale Hazeitim, sur les pentes du Mont des Oliviers, au dessus de la Vieille ville et de l’esplanade des Mosquées.

Cette présence hautement symbolique survient juste après que M. Netanyahu a réaffirmé devant le Congrès américain à Washington que Jérusalem est et restera la capitale indivisible de l’Etat d’Israël.

L’ONG israélienne anticolonisation Ir Amim a dénoncé une "provocation dangereuse" et condamné dans un communiqué les représentants politiques qui ont pris part à l’inauguration.

"L’attitude provocatrice des membres de la Knesset (parlement israélien) et des ministres, tout comme leurs liens avec des extrémistes de droite à Jérusalem, sape les obligations de l’Etat d’Israël vis-à-vis du processus politique et cause en conséquence du tort au statut international d’Israël", selon elle.

JERUSALEM, 25 mai 2011 (AFP)

 

Parole de sage.

"Il n’est point de secret que le temps ne révèle."

Jean Racine

 

L’armée israélienne libère la mère âgée d’un chef du Hamas en exil en Syrie J.FORUM

 
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L’armée israélienne a relâché dans la nuit de lundi à mardi la mère d’un dirigeant du Hamas, Salah Arouri, en exil en Syrie, après environ 24 heures de détention, ont constaté des journalistes de l’AFP.

La mère, âgée de près de 80 ans, Aïcha Salah Youssef, a expliqué que l’armée israélienne l’avait conduite au quartier général de la police israélienne à Jérusalem où elle avait été interrogée sur son fils.

Interrogée par l’AFP, l’armée israélienne n’a été en mesure de confirmer ni l’arrestation ni la libération de la mère de Salah Arouri.

Elle avait été arrêtée au cours d’une descente nocturne de l’armée israélienne dans sa maison de la localité d’Aroura, selon la soeur de Salah Arouri, Jamila Mohammad Youssef.

Le Hamas avait "condamné fermement" dans un communiqué publié à Damas "une tentative désespérée de terroriser la famille Arouri".

Salah Arouri, considéré comme un des chefs de la branche armée du Hamas, les Brigades Ezzedine al-Qassam, avait purgé une peine de 15 ans dans une prison israélienne avant d’être libéré en 2007, puis arrêté de nouveau trois mois plus tard, selon des sources palestiniennes.

En vertu d’un accord négocié par son avocat avec les autorités israéliennes, il avait été libéré l’année dernière à condition qu’il s’exile.

Salah Arouri siégeait au bureau politique du Hamas en Syrie, a-t-on ajouté.

RAMALLAH (Territoires palestiniens), (AFP)

 

Netanyahu exclut un retour aux frontières de 1967 pour Israël

 
 

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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a exclu jeudi que l’Etat juif se retire sur les frontières "indéfendables" de 1967 si un accord de paix était trouvé et donnait lieu à la création d’un Etat palestinien. Il réagissait à des propos tenus un peu plus tôt par le président américain Barack Obama. (Reuters/Ronen Zvulun)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a exclu jeudi que l’Etat juif se retire sur les frontières "indéfendables" de 1967 dans l’optique d’un accord de paix et de la création d’un Etat palestinien.

Netanyahu, qui sera reçu vendredi à la Maison blanche, réagissait au discours que Barack Obama a consacré un peu plus tôt, jeudi, au monde arabe et au processus de paix israélo-palestinien.

Le président américain a déclaré que tout accord créant un Etat de Palestine devait s’appuyer sur les frontières de 1967, moyennant si nécessaire des échanges de territoires.

Netanyahu a dit "apprécier" le message de paix d’Obama mais a affirmé qu’un Etat palestinien ne devait pas être fondé "aux dépens de l’existence d’Israël". "C’est pourquoi le Premier ministre Netanyahu s’attend à ce que le président Obama réaffirme les engagements pris par les Etats-Unis auprès d’Israël en 2004", lit-on dans une déclaration des services du chef du gouvernement. Il s’agit d’une allusion à une lettre antérieure de Washington laissant entendre qu’Israël pourrait conserver d’importants blocs de colonies dans le cadre d’un accord de paix avec les Palestiniens.

Allyn Fisher-Ilan, Eric Faye pour le service français Par Reuters

 

"La Jordanie est également la Palestine ! » J.FORUM

 
 

, , Lorsque l’on parle de concepts de « justice », « vérité historique », « droits », « solution au conflit israélo-palestinien », ou « concessions douloureuses », il ne faut jamais oublier l’axiome de base selon lequel le meilleur remède n’aura jamais d’effet si le diagnostic de la maladie est erroné. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle toutes les solutions proposées par la gauche israélienne, une partie de la droite, et à plus forte raison celles proposées et presque imposées par la communauté internationale, ne seront jamais effectives car basées sur une compréhension inexacte (parfois volontairement) des origines du conflit.

Depuis 1948, les projecteurs du conflit israélo-arabe sont dirigés vers la partie occidentale de la Palestine historique, et c’est sur cette étroite bande de terre qu’Israël est aujourd’hui sommé de transiger, et de céder face aux ennemis qui jurent sa perte.

Or quand il est question de « solution globale de la question israélo-arabe », Israël a tort de ne pas mettre en avant les droits historiques du peuple juif sur Eretz Israël, et de montrer comment ces droits ont été lésés par la décision unilatérale de la Grande-Bretagne en 1921, qui détachait les 4/5e du Foyer National Juif et créait à l’est du Jourdain ce qui allait devenir plus tard le Royaume artificiel de Transjordanie. Cet acte arbitraire n’avait d’autre but que d’être un « lot de consolation » pour la dynastie Hachemite, promise par les Britanniques à régner sur « un grand royaume du Hedjaz » avant d’en être empêchée par la dynastie saoudienne. Et c’est ainsi que l’on sème les problèmes futurs !

L’aspect « palestinien » de la Jordanie est renforcé par le fait que les trois-quarts de la population de ce pays sont déjà constitués d’Arabes palestiniens, et que la transformation de la Jordanie en Palestine fait partie des objectifs à long terme du mouvement palestinien même s’il concentre pour l’instant sa stratégie en direction de la Palestine occidentale uniquement. Dans les années 1970, Yasser Arafat et l’OLP, basés en Jordanie avaient tenté de renverser le Roi Hussein et prendre le pouvoir à Amann. Dénué de scrupules, en septembre 1970 le « petit roi » avait fait tirer ses troupes bédouines sur les Palestiniens tuant presque 20.000 Arabes palestiniens sans se faire tirer les oreilles par qui que ce soit. C’est de là qu’apparut l’organisation « Septembre Noir ».

C’est donc tout le mérite aujourd’hui de certains hommes politiques israéliens de rappeler de temps en temps « que la Jordanie est également la Palestine », et qu’une solution au conflit ne peut faire l’économie de cette donnée historique de première importance. L’ « option jordanienne » constitue en fait un test de bonne foi pour les Arabes palestiniens mais aussi pour le monde arabe en général : veulent-ils un Etat sur une partie de la Palestine ou ne veulent-ils en réalité que la fin de l’Etat d’Israël. La réponse est aisée.

Le Prof. Aryeh Eldad (Ihoud Leoumi) a fait circuler une pétition qu’il va envoyer à différentes ambassades jordaniennes dans le monde – dont celle de Tel-Aviv – à l’occasion de la journée d’Indépendance jordanienne. Le député a récolté 40.000 signatures qui soutiennent l’idée « que la Jordanie doit être la Palestine » et avec courage il va la transmettre à qui de droit. La pétition propose au Roi Abdallah II « de décréter la Jordanie comme étant la patrie des Palestiniens avant que cela ne vienne de la rue, comme cela s’est passé dans d’autres pays arabes ».

Face à l’échec des tentatives toutes basées sur les mêmes schémas illusoires, il faut commencer « à réfléchir en dehors de la boîte » comme disent les Israéliens pour exprimer le fait de trouver des solutions en dehors des sentiers battus.

Les opposants à cette formule diront « qu’il est inconcevable de transformer ainsi un pays existant » tout en imaginant tout à fait par ailleurs que l’on puisse expulser des dizaines de milliers de Juifs du pays de la Bible et mettre des terroristes à leur place, à quelques kilomètres des centres vitaux du pays.

Israël 7.com

 

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