etzbetzion
Première page <<< … 28 29 30 31 32 [33] 34 35 36 37 38 … >>> Dernière page
/ 774
De la légalité en droit international des implantations juives, improprement appelées « colonies »
Rappel historique (Europe-Israël). Visionnez la vidéo "la légitimité juridique d'Israël" sur dailymotion.
La formule « La Terre contre la Paix » ne fonctionne pas …
Les israéliens comme les amis de l’Etat juif sont habitués à l’éternel mépris dont les Nations Unies couvrent le seul état libre et démocratique du Moyen-Orient, quel que soit son désir de paix avec tous ses voisins arabes. Il peut sembler inconcevable que cette même institution, fut au bout du compte responsable de la création d’Israël il y a près de 65 ans.
Cette année marque le 90e anniversaire du « Mandat pour la Palestine» – un document juridiquement contraignant publié par la Société des Nations, ancêtre de l’Organisation des Nations Unies.
L’origine de ce mandat remonte à la fondation du sionisme moderne en Août 1897 et la Déclaration Balfour de Novembre 1917.
Après avoir été témoin de la propagation de l’antisémitisme dans le monde, Theodore Herzl ressentit la nécessité de créer un mouvement politique dans le but d’établir un Foyer National Juif en Palestine historique, et réunit le premier Congrès Sioniste à Bâle, en Suisse. Pendant la Première Guerre mondiale, le ministre des Affaires étrangères Arthur Balfour a simplement exprimé le point de vue de la Grande-Bretagne en faveur de « l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif. »
En revanche, le Mandat est l’accord multilatéral contraignant qui établit le droit légal des juifs à s’installer n’importe où dans la zone géographique appelée la Palestine, la terre entre le Jourdain et la mer Méditerranée, une légitimité inchangée en droit international.
Le Mandat n’était pas une vision naïve adoptée à la sauvette par la communauté internationale. L’ensemble de la Société des Nations – 51 pays – déclarait à l’unanimité en ce 24 Juillet 1922:
« Considérant la reconnaissance accordée au lien historique du peuple juif avec la Palestine et aux motifs de la reconstitution de leur foyer national dans ce pays. »
Washington est allé plus loin: En Septembre de la même année, le président Warren Harding a signé la résolution conjointe Lodge-Fish, qui avait été approuvée par les deux chambres du Congrès à l’unanimité et selon laquelle :
«est favorisé l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif ».
Le mandat distingue clairement entre les droits politiques se référant à l’autodétermination juive en tant que constitution politique naissante et les droits civils et religieux, se référant aux garanties des libertés individuelles égales pour les résidents non-juifs en tant qu’individus dans le cadre de certaines communautés.
Pas une seule fois les Arabes ne sont mentionnés en tant que peuple dans le Mandat pour la Palestine. Nulle part dans le document il n’est octroyé de droits politiques aux Arabes.
L’article 5 du mandat stipule clairement que «Le mandataire [Grande-Bretagne] aura la responsabilité de veiller à ce qu’aucun territoire de Palestine ne soit cédé ou loué, ou en quelque façon placé sous le contrôle du Gouvernement d’une puissance étrangère. » Le territoire de la Palestine a été exclusivement affecté au Foyer national juif.
L’article 6 stipule que «l’administration de la Palestine, tout en s’assurant que les droits et la position des autres couches de la population ne sont pas lésés, devra faciliter l’immigration juive dans des conditions appropriées et devra encourager, en coopération avec l’Agence juive visée à l’article 4, l’installation des Juifs sur la terre,
y compris les terres domaniales et les terres incultes non requises à des fins publiques « .
En conséquence, cet article précise que les implantations juives sont non seulement permises, mais sont en fait encouragées. Les colonies de peuplements juives en Judée et Samarie (la rive ouest) sont parfaitement légales. L’utilisation de l’expression « territoires palestiniens occupés » est un terme hypocrite qui trompe la communauté internationale, tout en encourageant les Arabes palestiniens, au droit d’utiliser toute mesure pour attaquer Israël, y compris le recours au terrorisme.
Le mandat a ensuite été protégé par l’article 80 de la Charte des Nations Unies qui reconnaît la validité permanente des droits accordés à tous les Etats ou peuples, ou des instruments internationaux déjà existants, y compris ceux adoptés par la Société des Nations. La Cour Internationale de Justice a de manière constante reconnu la survivance du Mandat après la disparition de la Société des Nations.
Mis à part les arguments juridiques, il est intéressant de noter que les Arabes n’ont jamais établi un Etat palestinien lorsque l’ONU en 1947 recommandait le partage de la Palestine et l’établissement «d’un Etat arabe et d’un Etat juif» – et non pas d’un Etat palestinien, il convient de le noter. Les pays arabes n’ont pas non plus reconnu ni établi un Etat palestinien au cours des deux décennies qui ont précédé la guerre des Six-Jours quand la Cisjordanie était sous contrôle jordanien et que la Bande de Gaza était sous contrôle égyptien. Les Arabes palestiniens n’ont pas davantage réclamé l’autonomie, l’indépendance ou l’autodétermination au cours de ces années.
Le droit politique à l’autodétermination en tant qu’administration politique pour les Arabes, a été garanti par la Société des Nations, dans quatre autres mandats: le Liban, la Syrie, l’Irak et la Transjordanie.
Toute tentative de nier les droits du peuple juif en Palestine, et de leur refuser l’accès et le contrôle dans la zone désignée pour le peuple juif par la Société des Nations, est en contradiction grave avec le cadre juridique du Mandat, mis en place à cette date il y a 90 ans.
Aussi longtemps que les Nations Unies ignoreront et refuseront ces obligations, une paix véritable entre un gouvernement israélien et ses voisins arabes restera probablement hors d’atteinte.
Par Eli E. Hertz, président MythsAndFacts.org
Traduction Nancy Verdier pour ©www.europe-israel.org
Commentaires textes : Écrire
5 faits que vous ignoriez sur les frontières israélo-libanaise et israélo-syrienne (Tsahal)
Le nord d’Israël est l’une des régions à la fois les plus complexes et les plus fascinantes dans lesquelles Tsahal opère. Découvrez 5 faits que vous ignoriez sur ces frontières.
- L’Unité d’alpinisme : il s’agit d’un commando spécialement entraîné à opérer dans un environnement montagneux et dangereux, rare en Israël, dans des conditions météorologiques extrêmes..
L’unité a été créée en 1974, suite aux évènements de la Guerre du Kippour. L’armée syrienne s’était emparée du Mont Hermon, une position stratégique pour Israël puisqu’il s’agit du le plus en altitude de son territoire.
Depuis, ce commando spécial est considéré comme l’une des unités les plus prestigieuses de l’armée israélienne. Elle est composée de soldats réservistes qui servent dans des unités d’élite pendant leur service militaire régulier comme l’unité Egoz ou l’unité d’élite de la Brigade Golani.
- Rosh Hanikra : cette ville est située sur la frontière entre Israël et le Liban. Elle abrite également l’une des plus belles réserves naturelles du pays.
- Le Bataillon Herev : exclusivement composé de soldats druzes, il est spécialisé dans la protection de la région nord du pays et effectue la plupart de ses entraînements sur le Plateau du Golan. Le Bataillon ‘Herev’ est un bataillon combattant d’infanterie unique en son genre puisqu’il est constitué exclusivement de soldats originaires de la communauté druze. Aujourd’hui, 83% des Druzes choisissent de s’enrôler dans Tsahal, dont la plupart dans des unités combattantes.
Ce pourcentage est bien plus élevé que celui des Juifs israéliens qui rejoignent les rangs de Tsahal. Parmi les Druzes qui servent dans une unité combattante, 87% s’enrôlent dans le Bataillon ‘Herev’, un bataillon qui effectue des missions de sécurité de routine.
- L’unité Egoz : spécialisée dans la guérilla, le combat en terrain difficile, le scoutisme, le camouflage et les techniques d’embuscade, elle a reçu de nombreuses citations (décorations militaires) du chef d’état-major.
Leur entraînement comprend une formation à la navigation, un entraînement en terrain neigeux, une formation au contre-terrorisme, une formation au parachutisme, etc. Les soldats de l’unité ont rempli dans le passé des missions spéciales en plein territoire libanais.
- Le Hezbollah : l’organisation terroriste shiite contrôle la majorité des villages du Sud-Liban. Malgré la présence de la FINUL, il y assoit son pouvoir sur une population civile prise en tenaille. Une maison civile sur dix sert de cache d’arme au Hezbollah. Avant 2006, l’organisation opérait ouvertement au Sud Liban. Aujourd’hui elle s’est réarmée, et dispose d’infrastructures modernes. Le Hezbollah a appris à se cacher parmi les civils.Au terme de la Seconde Guerre du Liban, le Conseil de Sécurité a adopté la résolution 1701 appelant notamment au non réarmement du Hezbollah.
Le Hezbollah a directement violé les closes de cette résolution en se réarmant et en se renforçant par l’acquisition d’armes provenant des régimes syrien et iranien. “Le Hezbollah s’inquiète de la fragilité de l’axe Iran-Syrie et a peur de se retrouver isolé stratégiquement”, a récemment déclaré le chef d’état-major de Tsahal Benny Gantz.
Commentaires textes : Écrire
Le conflit israélo-arabe n'est pas territorial (Dreuz.info)
The réd en chef – Le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahu a rappelé, aujourd’hui, mercredi 1er mai 2013 – pour ceux qui auraient la mémoire courte ou sélective – que le conflit israélo-arabe n’est pas un conflit territorial, mais un conflit qui porte sur l’existence même de l’Etat d’Israël.
En effet, le refus des dirigeants – retords et corrompus – du Fatah, de l’OLP et du Hamas, refus de reconnaître l’Etat d’Israël comme l’Etat du peuple juif, comme l’Etat hébreu, et, même, simplement, comme un Etat tout court, voilà la seule véritable racine de cet interminable conflit.
Du reste, les manuels scolaires du Fatah – financés notamment pas les contribuables américains – sont une véritable incitation au meurtre. Même chose pour les commentaires des médias contrôlés par le Fatah.
Dès lors, comment faire la paix avec des gens qui veulent vous anéantir ?
Reproduction autorisée
Avec mention Michel Garroté www.dreuz.info
Commentaires textes : Écrire
Suppléant de J-S Sellem, après Véronique Genest, Alex Jordanov harcelé (JSSNews).
La démocratie n’a pas les mêmes lois pour tout le monde, et si l’adage affirmant qu’il vaut mieux être puissant que misérable s’applique à un large champ de possibilités, il se confirme avec acuité quand un citoyen courageux, mais ne faisant pas partie de l’establishment, entend se présenter à la députation. Jonathan-Simon Sellem est cet homme, jeune, compétent, ambitieux pour ses idées. Il croit pouvoir contribuer à la bonne marche de la société en se mettant à sa disposition en devenant député de la 8ème circonscription des Français de l’étranger. Jonathan-Simon est sioniste. Là commence pour lui un parcours qu’il faut bien qualifier de combattant. En tant que Français attaché à sa terre natale, il pense avec ardeur que le sionisme véhicule des valeurs très éloignées des poncifs communs martelés en France par des médias à la solde de politiciens démagogues, de journaleux branchouillards, et d’une opinion publique manipulée. Alors il faut le museler, le faire taire, le décrédibiliser, le déstabiliser… et pour cela tous les moyens sont bons. Premier round: Véronique GenestActrice populaire aimée et respectée des Français, elle prit une position d’un courage extraordinaire – que bien des hommes politiques se vantant d’avoir une envergure nationale n’auront jamais – elle osa dire, elle la vedette de télévision, au mépris des risques pour sa carrière, et portée par son enthousiasme et sa générosité : « j’aime Israël et les Français qui vivent la bas !!! » Et Véronique ne tarda pas à constater l’incongruité de tels propos dans une France soumise à de basses collaborations et compromissions avec les nazillons qui du brun passèrent en 70 ans au vert moisi. Car il est de bon ton d’haïr Israël, comme Brasillach trouvait de bon ton d’haïr les juifs, et chaque misérable gratte papier entend trouver son heure de gloire dans l’abjection de l’antisionisme. Véronique préféra, devant le déferlement de haine qui s’ensuivit, se retirer de ce jeu de barbares et de pervers, et démissionna de son poste de suppléante. Mais fidèle à ses principes, elle demeure et demeurera jusqu’à la fin de la campagne l’un des plus fidèles soutiens à Jonathan-Simon. Second round : Alex JordanovJonathan-Simon trouva alors en la personne d’Alex Jordanov, journaliste internationalement réputé, rompu aux joutes verbales, à la compétence incontestable, un nouveau suppléant partageant l’essentiel de ses convictions. Mais Alex est issu d’un monde de certitudes, le journalisme, où la flagornerie rend les places chères et où le travail ne coule pas à flot. Le torrent de boue qui se déversa sur lui, les menaces sur son avenir professionnel, les sous-entendus à vomir sur certaines de ses actions passées, créèrent en l’espace de 48 heures une pression proche du délit pénal de harcèlement moral !!! Et s’il est vrai que Jonathan-Simon, qui n’est pas un politicien professionnel mais un homme de conviction, commet sans doute quelques erreurs, c’est bel et bien ce harcèlement qui poussa Alex Jordanov à démissionner. Epilogue : soutenir Israël fait-il de vous un délinquant ?La question se pose alors de savoir si un candidat prenant fermement position pour un rééquilibrage des relations au proche-Orient a sa place dans une élection française, quand bien même celui-ci est Français et dispose de tous ses droits. Doit-on, à l’avenir, classer dans la rubrique « délinquant » tout acte de soutien à Israël sous la pression de la nouvelle morale cacadoie ? Jonathan-Simon Sellem serait-il le candidat à abattre pour avoir rompu le pacte sale qui unit les tenants de la pensée unique ? Le résultat des élections fait-il si peur à certains qu’il vaudrait mieux que Jonathan-Simon ne puisse y participer ? A toutes ces questions les électeurs de la 8ème circonscription opposeront bientôt une fin de non-recevoir marquant pour certains la fin de l’âge d’or de la désinformation. Serge Salfati – JSSNews |
Commentaires textes : Écrire
Alerte info : le Rabbin de la synagogue rue Saunier victime d’un islamiste qui a tenté de l’égorger
Ce matin, pendant l’office, un homme est entré dans la synagogue de la rue Saunier à Paris et, en hurlant Allah Akbar, s’est jeté sur le Rabbin et a tenté de l’égorger à l’aide d’un cutter.
Il s’agit du Rabbin Baroukh, âgé de 50 ans. Il a été blessé au cou, et transporté à l’hôpital, ses jours ne sont pas en danger. Son fils, 18 ans, a également été victime de l’islamiste, qui a également tenté de l’égorger, il a été touché à la nuque.
L’homme a pris la fuite, mais il a été rattrapé par la police et interpelé.
L’agresseur est un islamiste iranien de 28 ans.
Il portait des vêtements d’un hôpital psychiatrique de Vénissieux – ce qui ne veut pas dire qu’il y était interné.
Il semble que ce musulman était bien interné dans un hôpital psychiatrique. Cela montre que même psychiatriquement atteint, les islamistes ne perdent pas leur désir d’égorger des juifs. Une autre affaire Merah a été évitée.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
L’information vient de notre confrère JSSNews, et elle est confirmée par le Crif.
Commentaires textes : Écrire
Première page <<< … 28 29 30 31 32 [33] 34 35 36 37 38 … >>> Dernière page
/ 774