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«Une Palestine purifiée des Juifs» ISRAEL 7

Antisémitisme

[Dimanche 29/05/2011 10:27]

 

Il semble que les paroles lourdes de sens prononcées par le chef du Fatah, dont l’autorité basée à Ramallah occupe la partie centrale de la Judée-Samarie, n’ait provoqué que peu de réactions au sein de la classe politique israélienne. En effet, jusqu’à preuve du contraire, seuls quelques ministres ont réagi au discours de Mahmoud Abbas, qui a déclaré aspirer à une «Palestine purifiée des Juifs». Le ministre des Finances, Youval Steiniz, a déclaré que ces paroles extrêmement dures nous remettaient en mémoire les discours racistes des Nazis en Europe, ce qui devrait nous amener à nous interroger à nouveau sur la véritable identité de notre «partenaire». Steinitz a tenu également à rappeler le thème de la thèse soutenue par le terroriste pour son doctorat, à savoir la négation de la Shoah.

Le ministre chargé de la lutte contre la désinformation, l’ancien prisonnier de Sion, Youli Edelstein, a réagi lui aussi au discours antisémite du chef du Fatah: «Celui qui nie une fois nie toujours. Abou Mazen a commencé en niant la réalité de la Shoah. Il a continué dans un article paru dans le New-York Times, dans lequel il a soutenu qu’Israël a attaqué les Arabes en 48, et, à présent, il fait part de ses désirs d’une Palestine « nettoyée » de ses Juifs. Il me semble que de tels propos nous montrent clairement à qui nous avons affaire, et qui est notre partenaire».

Le discours éminemment antijuif a été tenu par le chef de l’AP lors du rassemblement de la Ligue Arabe, dans lequel ce dernier a affirmé: «Si les pourparlers reprennent avec Israël conformément aux conditions acceptées par les Palestiniens, ils permettront d’éviter un recours auprès de l’Assemblée générale de l’Onu. Ce n’est pas un secret, nous l’avons dit aux Américains, aux Européens et aux Israéliens: notre unique ouverture consiste à nous adresser à l’Onu.» La Ligue Arabe a déclaré à la fin de la réunion qu’elle exigerait de l’Onu d’accorder à l’Etat « palestinien » le titre de membre au sein de l’organisation: «L’Onu doit reconnaître un Etat palestinien sur la rive occidentale et dans la bande de Gaza, avec Jérusalem-Est pour capitale». Cependant, le chef de l’Assemblé générale de l’Onu, Joseph Deiss, a fait savoir qu’un tel Etat ne serait accepté en tant qu’Etat membre qu’avec la recommandation du Conseil de Sécurité. Il a ajouté: «Si les Etats-Unis, ou tout autre membre permanent de l’Onu use de son droit de véto, la question de l’acceptation d’un Etat palestinien ne sera pas présentée au vote.»

 

Le ministre [Canadien] Baird veut dissuader l’aide à Gaza hors des réseaux établis par DESINFOS

Presse Canadienne

dimanche 29 mai 2011



A deux jours du premier anniversaire de l’assaut lancé contre un navire turc qui tentait d’acheminer de l’aide dans la Bande de Gaza, le ministre canadien des Affaires étrangères John Baird veut dissuader les Canadiens de participer à une telle initiative. Une flotille internationale aurait l’intention de faire route vers la Bande de Gaza, le 31 mai, un an après l’arraisonnement sanglant par les forces israeliennes du paquebot turc Mavi Marmara. Neuf personnes avaient été tuées.


 

Un Etat illégal ISRAEL 7

 

[Dimanche 29/05/2011 12:24]

Des juristes et spécialistes du droit international ont exigé du secrétaire général de l’Onu d’intervenir pour empêcher la proclamation unilatérale par le chef du Fatah d’un Etat sur la base des territoires récupérés par Israël lors de la guerre des Six jours, en 67. Ils ont déclaré: «Cette proclamation bafoue le droit international, les décisions de l’Onu et tous les accords existants.» Parmi les signataires se trouvent le docteur Alan Backer, ex conseiller juridique du ministère des Affaires étrangères et ambassadeur au Canada ; le docteur Meir Rozen, ancien ambassadeur aux Etats-Unis, ou encore le professeur Chohetman.

Ils se sont adressés à Ban Ki-moon pour qu’il exige de l’Assemblée générale de l’Onu de refuser l’adoption des déclarations unilatérales que les représentants de l’AP ont l’intention de lui présenter, et qui consistent en la reconnaissance d’un Etat dont les contours seraient définis par l’ancienne frontière qui séparait Israël de la Jordanie. Ils déclarent que cette démarche est en contradiction flagrante avec les résolutions 242 (67) et 338 (73) de l’Onu.  Les spécialistes du droit n’ont pas la mémoire courte et remontent jusqu’au 24 juillet 1922, c’est-à-dire à la déclaration des Nations Unies qui a accepté à l’unanimité la fondation d’un Foyer national pour le peuple juif, ce qui implique également le droit à l’immigration et à la fondation de villes sur toute la surface de la terre d’Israël, ou Palestine, historique. Cette décision concerne tout autant la Judée ou la Samarie que la partie Est de Jérusalem. Cette décision a été entérinée par les deux Chambres du Congrès américain le 30 juin 1922.

Selon l’alinéa 80 de la convention de l’Onu, toutes les décisions de la Société des Nations qui datent d’avant sa fondation sont reconnues. Selon cette décision, les 650 000 Juifs qui vivent en Judée, Samarie et dans la partie dite Est de Jérusalem y vivent par conséquent dans la légalité. Un autre point important consiste au non-sens de l’importance accordée à la frontière définie en 1967, car il s’agit en réalité d’une ligne de cessez-le-feu entre Israël et ses voisins qui date de l’année 1949, cette ligne ne pouvant en aucun cas être définie, pour reprendre les termes des résolutions de l’Onu précitées, comme étant une frontière internationale, les parties en conflit devant s’engager à discuter en vue d’établir la paix au Moyen-Orient et de définir des frontières sûres et reconnues, ce qui comprend également un traitement équitable de tous les réfugiés, juifs comme arabes.

De plus, le courrier adressé à Ban Ki-moon considère qu’une proclamation unilatérale d’un Etat qui s’installerait dans les frontières de 67 serait en contradiction avec l’alinéa 31 des accords d’Oslo (les accords intérimaires) signés en 1995, qui stipule que les Arabes qui occupent la Judée-Samarie et Gaza ne prendront aucune initiative et ne s’engageront dans aucune démarche impliquant une modification du statut de la rive occidentale avant la fin des pourparlers, et que les frontières définitives ne pourront être fixées que dans le cadre de pourparlers. Or, des centaines de milliers d’habitants juifs vivaient déjà dans la région au moment de cette signature, aussi bien en Judée-Samarie en général qu’à Jérusalem-Est en particulier, fait connu et reconnu alors par l’Olp.

Pour finir, certains pays ou instances ont contresigné ces accords en tant que témoins: «Ils ne pourront donc pas s’impliquer dans un non-respect des accords signés, précisent les spécialistes.» Les témoins sont notamment l’Onu, les Etats-Unis, l’Union Européenne, la Russie, la Norvège, la Jordanie et l’Egypte. L’initiative de la lettre remise à Ban Ki-moon revient au juriste Yossi Fuchs, spécialiste du droit international et membre du forum juridique pour la terre d’Israël.

 

Rafah : des ministres israéliens s’élèvent contre la réouverture du terminal DESINFOS

Belga | RTL.info

dimanche 29 mai 2011



Des ministres israéliens se sont élevés dimanche contre la décision de l’Egypte de rouvrir à titre permanent sa frontière avec la bande de Gaza la qualifiant de "passage d’armes et de terroristes". "Le libre passage des personnes et des marchandises qui va se produire (via le terminal de Rafah) permettra tout simplement de faire passer encore davantage de munitions, de matériel militaire et de terroristes", a affirmé aux journalistes le ministre israélien des Infrastructures nationales, Ouzi Landau.

 

L’ETAT JUIF DOIT EGALEMENT SE RECONNAÎTRE COMME TEL

L’ETAT JUIF DOIT EGALEMENT SE RECONNAÎTRE COMME TEL

 


 

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Par Maître Bertrand Ramas-Mulhbach

 

Pour © 2011 lessakele  et © 2011 aschkel.info


Ce 24 mai 2011, le Premier Ministre Benjamin Netanyahou a, dans son discours devant le congrès américain à Washington, rappelé la profonde amitié qui unit Israël et les Etats-Unis ainsi que leur « combat commun contre le terrorisme et en faveur de la liberté et de la démocratie ». En livrant son analyse sur la configuration géopolitique future conduisant à l’établissement d’un Etat palestinien aux côtés d’un Etat juif, il a repris l’ensemble des problématiques en terme géographique et sur le terrain de l’identité nationale. Toutefois, et en demandant aux palestiniens de reconnaître le caractère juif d’Israël, la question se pose de savoir si Israël se reconnaît bien lui-même comme Etat juif, et quels seraient les aménagements à effectuer pour figer cette nature spécifique.

Tout d’abord, le Premier Ministre israélien a évoqué le danger que représente l’Iran qui appelle régulièrement à l’éradication d’Israël a fortiori si ce pays parvient « à se doter de l’arme nucléaire ». Aussi, n’a-t-il pas manqué de saluer la mise en place de sanctions contre l’Iran tout en envoyant un message sans équivoque « que l’Amérique ne permette jamais à l’Iran de développer ses armes nucléaires ». En effet, « moins de sept décennies après que 6 millions de juifs aient été assassinés, les dirigeants iraniens nient l’holocauste tout en appelant à l’anéantissement du peuple juif ». Aussi, Benjamin Netanyahou a-t-il indiqué que les juifs prenaient très au sérieux les appels à la destruction de notre nation : « nous sommes une nation qui renait des cendres de l’holocauste ». Quand nous disons : « plus jamais » nous voulons dire « plus jamais ». Sur ce point, il y a peut être un lien entre shoah et fondation de l’Etat d’Israël qui est susceptible de desservir l’Etat juif. Les antisémites et antisionistes soutiennent, en effet, que l’Etat d’Israël est né de la mauvaise conscience des européens à la suite des actes commis pendant la seconde guerre mondiale. Aussi, Israël serait la conséquence d’une décision politique de type colonial prise par les Nations Unies, lui conférant un caractère illégitime, a fortiori si, comme le soutiennent les négationnistes, le massacre n’a pas eu lieu. L’Etat d’Israël pourrait donc porter un autre regard sur le massacre commis au cours de la seconde guerre mondiale. En effet, en sa qualité d’Etat juif, Israël n’est pas né des horreurs nazies mais est bien le résultat d’un processus plus ancien qui a débuté au 19ème siècle, et qui répond à une injonction inscrite dans la Torah. Autrement dit, la shoah n’est pas à l’origine de la création d’Israël mais est, au contraire, l’ultime tentative (d’Amalek) pour empêcher le peuple d’Israël de retrouver sa terre et de reconstruire son unité, conduisant l’ensemble des nations à en admettre le principe

De même, Benjamin Netanyahou a poursuivi son propos sur la nécessité de parvenir à la paix avec les palestiniens même si cette paix emporte renonciation à une « partie de la terre de nos pères ». Regrettant le manque de volonté du côté palestinien, il a suggéré au président palestinien Mahmud Abbas qu’il se tienne devant son peuple pour lui dire « je suis prêt à accepter un Etat juif », même si le tracé du futur Etat palestinien doit prendre en considération les évolutions démographiques et le principe d’indivisibilité de la capitale Jérusalem. Il a alors évoqué la possibilité d’instituer, dans le futur Etat palestinien, « un droit au retour des palestiniens », à l’instar de celui réservé au juifs qui entendent émigrer en Israël, pour régler le problème des réfugiés palestiniens. Corrélativement, Israël pourrait assumer pleinement sa vocation historique au regard de sa judéité.

En effet, pour être député à la Knesset et donc représenter le pouvoir législatif israélien, l’élu doit prêter serment d’allégeance à l’Etat d’Israël. Or, les députés arabes violent chaque semaine leur serment d’allégeance en insultant l’Etat d’Israël, en qualifiant Israël d’Etat d’apartheid, voire en utilisant un vocabulaire emprunté au nazisme pour l’assimiler au régime allemand de 1933. Ainsi, lors du débat à la Knesset du 22 mars 2011, le député arabe Ahmed Tibi a comparé la loi sur la Nakba à la conférence de 1942 qui avait décidé de la solution finale des juifs. De son côté, le député Hanna Sawid s’est levé et a annoncé « la mort clinique de l’Etat d’Israël ». Le 4 mai une délégation de députés arabes s’est rendue au Caire pour assister à la réconciliation entre le Fatah et le Hamas, affirmant « leur fierté d’être là ». Il est donc temps pour l’Etat d’Israël de se reconnaître pleinement comme étant l’Etat juif, en sanctionnant des personnes qui déversent leur haine d’Israël. Serait alors envisagé, en cas de violation du serment d’allégeance, une gradation des sanctions allant de la simple admonestation, à la suspension provisoire des fonctions et enfin, à l’exclusion définitive de la Knesset. Les députés arabes pourraient alors continuer de s’exprimer, mais uniquement au sein de la future assemblée palestinienne.

De même, la population arabe en Israël qui appelle à sa disparition ne manque pas de grossir. Le 19 mai 2011, un arabe israélien a été condamné par la Cour de Haifa à six ans de prison pour avoir tenté de créer une cellule du Hamas. De même, une personne arabe a, le 16 mai 2011, lancé son véhicule sur un groupe de personnes en criant « Allah est le plus grand », tuant une personne et en blessant 19 autres. Lors de la création de l’Etat palestinien, l’Etat d’Israël n’aura plus à sanctionner les criminels de simples peines d’emprisonnement mais pourra, à titre de peine complémentaire, les expulser vers l’Etat palestinien. La judéité d’Israël pourrait en effet s’accompagner d’un corpus de règles visant à protéger son caractère juif, ses symboles juifs, la judéité de ses membres et bien évidemment leur droit à la vie.

Enfin, le premier Ministre israélien a terminé son allocution par des remerciements adressés aux représentants des Etats-Unis pour leur soutien indéfectible à Israël « au nom du peuple juif et de l’Etat juif », en demandant à Dieu de les bénir. Si Benjamin Netanyahou entend parler au nom du peuple juif, c'est-à-dire au non de la nation juive toute entière, c’est qu’il entend bien la représenter. Or, sur ce point, et lorsque l’Etat palestinien aura été créé, il conviendrait d’instituer aux côtés de la citoyenneté israélienne « ezrahout » réservée aux personnes en situation régulière sur le territoire israélien, une véritable nationalité israélienne « leoumaout » réservée à l’ensemble des juifs de diaspora, et ce, quelque soit le lieu de leur résidence. Les juifs de diaspora (qui le souhaitent) disposeraient alors d’un mode de représentation spécifique en Israël et d’un droit de s’exprimer, à titre purement consultatif, non sur les questions qui intéressent la gestion quotidienne de l’Etat d’Israël mais sur celles qui concernent son devenir. Le Premier Ministre pourra alors parler en leur nom.

Les pays européens ont fait choix de renoncer à leurs spécificités nationales historiques (monnaie, frontières, lois nationales, religion chrétienne), dont ils devraient, à moyen ou long terme, ressentir des effets plus que néfastes. Inversement, et dès la création de l’Etat palestinien, l’Etat d’Israël pourrait définitivement devenir l’Etat juif et l’Etat des juifs, et accepter cette nouvelle alliance avec son peuple de diaspora par le biais de la « nationalité juive » qui ne serait pas uniquement un lien de type administratif, mais bien mystique.

 
Par Gad - Publié dans : Articles de Bertrand RAMAS-MUHLBACH

 

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