etzbetzion
La France veut prendre ses responsabilités ... !!!??? Par DESINFOS
Jerusalem Post édition Française
mardi 31 mai 2011
Avec la sensation de plus en plus forte que les Etats-Unis imposeront leur veto contre une résolution de l’ONU instaurant un Etat palestinien, la seule véritable question qui demeure est : les démocraties mondiales vont-elles soutenir cette résolution lors de l’Assemblée générale et ainsi lui donner une plus grande légitimité morale ?
Connaissant l’importance du vote européen dans ce domaine, Israéliens et Palestiniens tentent à tout prix d’influencer les gouvernements de cette région. Mais il est probable que tous les pays ne s’accordent pas sur un soutien ou non à un Etat palestinien - comme ce fut le cas lors du vote sur le rapport Goldstone qui avait laissé apparaître des divergences entre les pays européens.
Quant au vote de septembre à l’ONU, il pourrait suivre la même logique. Ainsi, la République Tchèque, l’Allemagne, la Hongrie, l’Italie, les Pays-Bas, la Pologne, et la Slovaquie avaient soutenu Israël dans l’affaire Goldstone. Chypre, l’Irlande, Malte, le Portugal et la Slovénie avaient voté conte l’Etat hébreu. Quant aux autres, l’Autriche, la Belgique la Bulgarie, le Danemark, l’Estonie, la Finlande, la France, la Grèce, la Lituanie, la Lettonie, le Luxembourg, la Roumanie, l’Espagne, la Suède et le Royaume-Uni, ils s’étaient tout simplement abstenus.
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A qui appartiennent les Territoires ? Par DESINFOS
Video : A qui appartiennent les Territoires ?
aschkelinfo
mardi 31 mai 2011
Tous les jours nous entendons aux informations ces concepts de "territoires occupés" et "d’implantations illégales",
Et il semble que nous connaissons tous cette histoire : - Pendant la guerre des Six jours, Israël a volé la "Cisjordanie" aux Palestiniens
A ignoré les exigences de retriait de l’ONU et a construit des "colonies" malgré les accords de Genève
qui les interdit sur des terres occupées
Mais cela est-il vérité ? : - Quoi, tous les gouvernements israéliens depuis ont violé la loi internationale ?
Cela vous parait-il logique ?
Essayons un peu plus donc de comprendre la situation légale :
Commençons par une question toute simple mais très importante :
A qui Israël a pris la Judée et la Samarie ? Aux "Palestiniens" ?
Non...en fait en 1967 il n’y avait pas d’Etat palestinien.
En fait quand il y en eut un ?
Le territoire a été pris à la Jordanie !
Après une guerre de défense lorsque que la Jordanie, l’Egypte et la Syrie ont essayé de détruire Israël.
Au passage, détruire des pays, c’est ILLEGAL !.
ET de quel droit la Jordanie avait-elle de s’emparer de ce territoire ? AUCUN !
Elle a occupé cette région en 1948 et personne, à part la Pakistan et l’Angleterre, n’a validé cela.
Même pas les pays arabes, chut....
La Jordanie n’était pas le propriétaire légal de ce territoire et n’a aucune revendication pour cela.
Il n’y a pas d’occupant, alors comment il peut y avoir occupation ?
La définition précise de la Judée et de la Samarie, selon la justice internationale,
est comme dans bien d’autres endroits ou il y a ou il y a eu des conflits territoriaux : Le Cachemire, le Karabakh, ou le Sahara occidental.
La définition n’est pas celle de "territoires occupés"
mais des "territoires controversés ou disputés"
Aussi, tous ces concepts de territoires occupés selon la convention de Genève n’ont aucun rapport avec la Judée et la Samarie.
Alors maintenant il y a quelqu’un qui va dire OK, alors la Jordanie aussi était occupante. Et alors ?
L’ONU décide la création de deux états ! Israël viole cette décision !
Là encore - ce n’est pas vrai, légalement la décision de partage est du domaine de la proposition qui n’est valable seulement que si les 2 parties l’acceptent.
Les deux parties nous avons dit ? Les juifs ont accepté, les arabes ont déclaré la guerre.
Que peut-on y faire ? Ils ont perdu.
En résumé, la décision de partage de 1947 était une proposition qui a été rejetée, elle n’a donc aucune légalité !
Tout simplement aucune.
Ok, alors si ca non et ca non plus alors qu’est ce qu’il nous reste, ou sont les frontières ?
Revenons un peu dans le temps, ne vous inquiétez pas, pas jusqu’a Avraham Avinou, non juste une centaine d’années en arrière,
et nous comprendrons mieux ce qui nous a donné la légitimité sur tous ces territoires !
Le Proche-Orient.
Jusqu’en 1917 la plupart de la région faisait partie de l’Empire Ottoman,
à la fin de la première guerre mondiale, après que les alliés aient vaincu les Ottomans,
ces territoires colonisés sont passés sous contrôle de la France et de l’Angleterre,
et il a été décidé de construire un "nouveau Proche-Orient" et de diviser cette région en pays. Alors Lord Balfour,
le Ministre des aff. étrangères anglais, décida de jeter un os aussi au Peuple Juif,
déclarant qu’il faut reconnaitre le droit historique du peuple juif sur la Terre d’Israël.
Mais attendez, Comprenez-vous ce qu’il s’est passé là ?
Le mandat a initialement attribué au Peuple Juif non seulement la Judée et la Samarie mais aussi la Transjordanie.
Alors qu’ils ne disent pas que nous n’avons pas fait des concessions difficiles...
Quoi qu’il en soit, la Société des Nations a validé cette décision en 1922.
L’Angleterre a reçu un mandat pour aider à la création d’un Etat pour les juifs
Disons qu’ils ne se sont pas trop forcés pour cette mission, mais c’est une autre histoire.
Ce qui est beau dans cette reconnaissance de la Sté des Nations, des droits du Peuple Juif sur la Terre d’Israël et jusqu’à la Jordanie -
y compris la Judée et la Samarie est qu’elle a été ratifiée de nouveau par l’ONU après la 2ème guerre mondiale.
Ce qui veut dire que nous n’avons pas reçu une reconnaissance légale internationale en vrac de nos droits sur la Judée et la Samarie.
Nous l’avons reçu deux fois !
Alors revenons à notre démonstration et voyons la situation.
La guerre de défense de 1967 était une guerre légale.
Israël ne colonise pas
car il n’y avait pas d’entité légale sur le terrain. Ainsi le territoire n’est pas occupé mais controversé.
Même la décision de partage de 1947 n’a jamais été validée légalement.
Les droits du Peuple Juif sur sa terre ont été reconnus internationalement.
Et pour cette raison la construction d’implantations est complètement légale.
Alors qu’elle est la solution ?
Il n’y a pas de solution magique.
Mais ce n’est pas important si tu es de gauche ou de droite -
Souviens-toi qu’Israël a des arguments juridiques importants concernant ses droits sur la Judée et la Samarie.
Ce fait ne doit pas seulement être un point de départ pour Israël dans les négociations futures,
c’est aussi tout simplement la VERITE.
Alors arrêtez de parler de "territoires occupés" -
Ce n’est tout simplement pas politiquement correct !
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Par DESINFOS
DEBKAfile Reportage spécial 31mai 2011, 9:54 AM (GMT+02:00)
Adapté par Marc Brzustowski .
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
Un obus de mortier de 120mm arrive clandestinement à Gaza
Selon une recherché de mises à jour des sources militaires de Debkafile, le nombre de missiles que le Hamas a réussi à stocker à Gaza a dépassé le stade des 10 000, au début de mai – en dépit du blocus partiel imposé par Israël à la Bande de Gaza. Il s’accroît au rythme d’environ 30 nouveaux projectiles de types variés, passés clandestinement toutes les deux semaines. Le 9 avril, les fondamentalistes palestiniens ont tiré 133 roquettes en direction de 7 villes israéliennes, avant qu’Israël ne lui agrée un cessez-le-feu, au lieu de lancer une opération pour détruire cet arsenal.
En lançant un taux de 150 missiles par jour, le Hamas est, actuellement, capable de maintenir le sud d’Israël sous un feu constant durant 66 jours d’affilée.
Lorsque le Premier Ministre Binyamin Netanyahou s’est adressé devant la Commission des Affaires étrangères et de la Sécurité de la Knesset, le 30 mai, au sujet de l’extension du contrôle du Hamas palestinien sur le Sinaï égyptien, il a omis de mentionner que les tunnels de trafic d’armes se jouent du blocus israélien. L’interaction entre la Bande de Gaza et le Sinaï et l’effet qu’elle produit en sapant le contrôle souverain de l’Egypte sur la péninsule stratégique, qu’il a également mentionnée, est déjà de l’histoire ancienne remontant à des années.
Ce qui a changé depuis l’éviction d’Hosni Moubarak, en février, c’est que les Frères Musulmans et leur bras armé, le Hamas, ont gagné, tous deux, en profondeur stratégique par leur implantation au cœur de l’Egypte.
Mais Israël et son armée continuent de se retenir de s’en prendre au flux d’armement, contenant, désormais des missiles anti- tanks et sol-air, vers la bande de Gaza, de la même façon qu’ils n’ont jamais interféré dans l’acquisition, par le Hezbollah, de milliers de roquettes perfectionnées provenant d’Iran et de Syrie.
Avant l’actuel cessez-le-feu, le Hamas a démontré, en un seul jour, le samedi 9 avril, que ses missiles perfectionnés peuvent atteindre la distance de Kyriat Gat, à 21 kms de Gaza et de Rishon Lezion, dont la distance est deux fois plus grande.
Le pays, dont toutes les régions sont sous la menace directe des deux arsenaux du Hamas et du Hezbollah, n’a pas été informé par le Premier Ministre, le Ministre de la Défense et le chef d’Etat-Major, le Général Benny Gantz, de l’accord qui fait que le Hamas retient ses coups, jusqu’à présent.
Alors qu’on a présenté le fait que le Hamas redoutait simplement une opération de grande envergure de Tsahal, les sources du renseignement de Debkafile dévoilent que ce n’est que la conséquence d’un accord tranquillement offert par Jérusalem, par l’intermédiaire des dirigeants de l’armée égyptienne, à l’époque où les pluies de roquettes s’abattaient sur Israël.
Ces dirigeants égyptiens ont demandé au gouvernement Netanyahou s’il pouvait assurer au Hamas qu’il n’y aurait pas de vaste opération israélienne, de façon à le persuader d’accepter un cessez-le-feu : un plan en quatre points était lié à la proposition égyptienne, pour l’avenir proche de la Bande de Gaza :
1. L’Egypte négocierait un pacte de réconciliation entre les factions palestiniennes fratricides, le Fatah de Mahmoud Abbas et le Hamas extrémiste. Et, effectivement, ce pacte a été signé un mois plus tard, le 4 mai.
2. L’Egypte soulagerait progressivement Israël de la responsabilité de devoir fournir du gaz, des produits alimentaires, des médicaments et d’autres produits de base à l’enclave. Ceci contredit l’assertion officielle selon laquelle l’ouverture du terminal de Rafah, samedi 28 mai, doit s’en tenir à la circulation des personnes et non des biens.
3. L’Egypte maintiendra un vaste centre de renseignement au cœur de la Bande de Gaza. Cela signifie que le Caire va reprendre le contrôle de la sécurité à et pour la Bande de Gaza, une fonction qui avait été suspendue sous Hosni Moubarak. Le Hamas, en profitera, par conséquent, doublement : d’abord, comme garantie égyptienne de l’engagement d’Israël à se réfréner d’attaquer la Bande de Gaza, avec, en prime, un bouclier militaire égyptien pour la sauvegarde de son territoire.
4. Le Caire dira au Hamas que sa gestion des affaires internes palestiniennes dépend de deux engagements du Hamas : un arrêt total des tirs de missiles sur Israël et la relance des négociations pour la libération de Guilad Shalit, le soldat otage depuis cinq ans.
Le Gouvernement Netanyahou a eu l’assurance que le cessez-le-feu prendrait effet à l’instant où cet arrangement serait accepté. Le Premier Ministre a décidé d’accepter en bloc le paquet des propositions égyptiennes, ce qui apportait une période de calme pour les huit jours de festivités de Pessah et son séjour de 4 jours à Washington – même si le Hamas n’a jamais pris directement d’engagement envers Israël et que le Caire seul était partie prenante dans la trêve.
Il découle de cet arrangement qu’après avoir tiré un missile anti-tank, le 7 avril contre un bus scolaire israélien – et ayant ainsi provoqué la mort d’un jeune garçon israélien de 16 ans – et terrorisé un million de civils, à leurs domiciles, semaine après semaine, le Hamas s’en sort aussi vierge qu’un souffle d’air et immune contre toutes représailles israéliennes. Il peut aussi poursuivre tranquillement ses trafics d’armes vers la Bande de Gaza à travers les tunnels du Sinaï, du fait que les dirigeants du Caire évitent toute implication visant à combattre ces flux illégaux.
Au total, les investissements du Hamas en Egypte sont couronnés de succès. Les Frères Musulmans ont toutes les chances de monter au pouvoir au parlement et lors des élections présidentielles, qui auront lieu dans trois mois. Israël n’a aucune garantie que les nouveaux dirigeants du moment honoreront les engagements d’avril 2011, offerts par le gouvernement militaire provisoire.
La seule ombre au tableau, pour le Hamas, est d’ordre interne : son pacte d’unité avec le Fatah est jusqu’à présent paralysé par une vaste bataille rangée entre le Hamas de Gaza et le Hamas de Damas, pour savoir qui donne les ordres. Cette controverse résulte aussi de l’assurance grandissante de la faction de Gaza, sous la protection du Caire et de l’aile des Frères Musulmans.
Et, comme si laisser la bride au cou au Hamas n’était pas suffisant, les convois de la Brinks continuent de transporter environ 13 millions de $ d’argent frais chaque mois, depuis Israël vers la Bande de Gaza, pour éviter que l’économie de Gaza ne manque de liquidités, même si l’argent qui déborde des poches de ses dirigeants finance les tunnels de contrebande, à travers lesquels les armes rejoignent l’enclave, ce qui leur assure une deuxième source de profit.
Le Hamas n’est pas seulement en train de gagner en dynamisme en Egypte, mais, par-dessus le marché, dans la Bande de Gaza, elle-même.
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Par DESINFOS Morsure française
Morsure française / Eli Berdenstein, Arik Bendar & Avi Ashkénazi – Maariv
Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël
mardi 31 mai 2011
S’exprimant devant la commission parlementaire des Affaires étrangères et de la Défense, le Premier ministre Binyamin Netanyahu a déclaré hier que « personne ne sera capable d’empêcher la reconnaissance de l’Etat palestinien [par l’ONU] ». Selon lui, « à l’Assemblée générale de l’ONU, il est même possible de faire passer une résolution selon laquelle la terre est plate ».
Le Premier ministre a cherché toutefois à apaiser quelque peu les craintes, soutenant qu’il est « impossible de reconnaître l’Etat palestinien sans passer par le Conseil de sécurité, or cette démarche-là est vouée et l’échec ».
D’ici deux semaines, Netanyahu se rendra à Rome pour s’assurer que la reconnaissance de l’Etat palestinien ne soit pas adoptée par le Conseil de sécurité, et que des pays influents ne la soutiennent pas à l’Assemblée générale. Selon des responsables israéliens de haut rang, les Etats-Unis, mais également la plupart des pays européens de premier plan, sont de plus en plus convaincus que la reconnaissance unilatérale serait plus nuisible que bénéfique. Il y aurait donc « un glissement » significatif vers les positions israéliennes. Quant à la France, qui insiste pour que le vote à l’assemblée ait lieu, ces responsables estiment que « Sarkozy fait cela pour attirer le vote musulman en vue des présidentielles françaises ».
Par ailleurs, des préparatifs intensifs se poursuivent en Israël en vue de « la journée de la Naksa » (le 6 juin) qui marque la défaite arabe en 1967. Le Maariv a appris qu’il a été décidé de déployer dix équipes de photographes de la police et du porte-parolat de Tsahal le long des frontières israélo-syrienne et israélo-libanaise et sur les principaux lieux de tension en Cisjordanie. Ce nouveau déploiement est l’une des leçons tirées des incidents de la journée de la Nakba (le 15 mai). Les caméras enregistreront les événements et serviront de preuve qui permettra à Israël de se justifier auprès de la communauté internationale en ce qui concerne le problème de l’infiltration dans son territoire et sa réaction retenue face aux infiltrés.
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Par DESINFOS « Une offensive préventive pourrait être nécessaire en Iran »
Le ministre Ya’alon : « Une offensive préventive pourrait être nécessaire en Iran » / Boaz Bismuth & Shlomo Cezana - Israël Hayom
Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël
mardi 31 mai 2011
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Le cabinet de Ya’alon n’a pas démenti cette information mais a précisé que le ministre « a indiqué que l’option militaire, y compris israélienne, doit être sur la table, mais il n’a pas appelé à attaquer en Iran »./.
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