etzbetzion
Les Jésuites du collège St Michel d'Etterbeek à Bruxelles... (Dreuz.info).
Les Jésuites du collège St Michel d’Etterbeek, à Bruxelles, choisissent Pentecôte pour tuer le rabbin Yeshoua dit Jésus
Des amis des terroristes du Hamas, du Hezbollah invités par les Jésuites belges.
Le Théâtre Saint-Michel, qui fait partie du collège Jésuite Saint-Michel* où se trouve un institut de théologie (l’I.E.T.), précise le blog belge philosemitismeblog, a invité les alliés des terroristes du Hamas et du Hezbollah à tenir leur 11e Conférence européenne, samedi 18 mai 2013.
La conférence est organisée par le Palestinian Return Centre, dont l’activité consiste à diffuser la propagande du Hamas (organisation terroriste selon l’UE) et des Frères musulmans auprès des musulmans d’Europe.
Lors de la 7e conférence, à Milan en 2009, Ismail Haniya, le chef du Hamas, s’adressait au public:
La conférence est également organisée par Palestinians in Europe, dont l’organisation nie explicitement l’existence de l’Etat d’Israël, et œuvre pour sa suppression :
L’affiche de la conférence a été approuvée par les Jésuites belges. Le message est très clair : la carte raye Israël de la Palestine :
Le site de Palestinian Return Center (PRC) fait campagne pour que la Grande-Bretagne présente des excuses pour la déclaration de Balfour qui, alors que l’Empire Ottoman était tombé, avait considéré que les Juifs avaient le droit de recréer leur foyer national en Palestine :
En 2008, le direteur de PRC, Majed Al Zeer, est assis à gauche de Khaled Mishaal, un des chefs du Hamas, à Damas pour une conférence. A sa gauche, Ali Akbar Mohtashami-Pur, un sheikh iranien qui a joué un rôle important dans la création du Hezbollah :
Je peux comprendre que les Jésuites aient une tendresse particulière pour des barbares, des criminels et des terroristes dès l’instant que leur barbarie et leurs crimes sont dirigés contre les Juifs, mais cela va au delà…
Car si les Jésuites belges n’invitent pas les israéliens qui au Proche-Orient rénovent les églises, ils invitent les islamistes qui les bombardent,
Les Jésuites belges méprisent Israël, le seul pays du Proche-Orient où le nombre de Chrétiens augmente, et ils invitent ceux qui chassent, persécutent et massacrent les Chrétiens,
Les Jésuites belges ne défendent pas les israéliens qui respectent la pratique de toutes les religions, en revanche, ils célèbrent les islamistes qui obligent les prêtres à retirer les croix des églises, interdisent la vente de la bible, et font exploser des bombes devant les écoles chrétiennes,
Les Jésuites belges ne remercient pas les israéliens qui soignent les enfants palestiniens dans leurs hôpitaux, ils préfèrent honorer les islamistes qui égorgent les enfants israéliens,
En définitive, les Jésuites belges crucifient le rabbin Yeshua dit Jésus, car ils honorent celui qui assassine les Juifs. Les Jésuites belges assassinent Jésus lui-même.
Ils ont une explication, les Jésuites belges qui invitent des gentils palestiniens qui réclament une nouvelle extermination des Juifs, et la disparition de l’Etat Juif, mais je crains de la connaître, leur explication.
Je me demande, moi le juif, si les Jésuites belges ont entendu parler, même vaguement, d’un Dieu qui a déclaré que la terre d’Israël est aux Juifs.
A moins que les Jésuites belges considèrent que la bible n’est qu’un tissu de propagande islamophobe.
A moins que les Jésuites belges considèrent que la bible, qui répète tout son long que Jérusalem est la capitale éternelle des Juifs, est une incitation à voler la terre des Palestiniens ?
Que pensent les Jésuites belges, au moment d’inviter à Pentecôte des terroristes qui élèvent leurs enfants pour aller se faire exploser dans des bus d’écoliers juifs ? Ce n’est pas exactement clair.
Pour dire à ce collège ce que vous pensez de leur choix :
cstmichel.bxl@sec.cfwb.be,
olivier.kerstenne@college-st-michel.be,
benoit.gallez@college-st-michel.be
et le président : Jean-Pierre DUBUQUOY jp.dubuquoy@gmail.com
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
* Sites partenaires du Théâtre Saint-Michel: http://www.
- Commentaires textes : Écrire
Israël, nouvelle puissance gazière ? (Europe Israël).
Après plus de quatre ans de forage, les premiers litres de gaz naturel liquéfié produits par Israël, provenant du champ gazier de Tamar, situé à environ 90 km à l’ouest de Haïfa, ont commencé à couler ces jours-ci.
Pour l’économie et la société israélienne, c’est un tournant majeur puisque l’exploitation de ce gisement fournira une indépendance énergétique à l’État hébreu pendant au moins 20 ans.
Ainsi, le gaz israélien permettra de produire une électricité moins chère et moins polluante que l’actuelle, à partir de fioul importé. Cette petite révolution permettra aussi d’augmenter la compétitivité des industries nationales et surtout d’améliorer les recettes de l’État, au fur et à mesure que les redevances sur le gaz commenceront à être perçues. Si la tradition de baisse des impôts quand l’économie va bien est respectée, les citoyens israéliens devraient aussi bénéficier de cette nouvelle manne financière.
Néanmoins, le champ gazier de Tamar (280 milliards de mètres cubes de gaz et dont l’exploitation revient à trois sociétés israéliennes et une américaine, Noble Energy) ne commencera à remplir les caisses de l’État que modestement. Il faudra attendre l’exploitation en 2017 du gisement de Léviathan, beaucoup plus important (450 milliards de mètres cubes), pour voir les recettes fiscales décoller. À lui seul, ce dernier pourrait satisfaire la demande nationale jusqu’en 2030 au moins.
Mais cette aubaine énergétique sur le plan intérieur peut aussi très bien transformer Israël en un acteur régional important. Alors qu’en 2011 les livraisons de gaz d’Égypte à Israël avaient été brusquement interrompues (après un certain nombre d’attaques qui avaient endommagé les gazoducs du Sinaï) et que le Caire (conséquence de la révolution égyptienne) annula son contrat avec le gouvernement israélien, l’État hébreu pourrait supplanter demain son ancien fournisseur et devenir un exportateur de premier ordre dans la région.
La Jordanie, pauvre en ressources énergétiques et qui souhaite rester indépendante vis-à-vis du Qatar, constitue, par exemple, un client potentiel. D’autant plus que les attaques visant les gazoducs égyptiens ont déjà fait perdre plus de 2 milliards de dollars à Amman entre 2011 et 2012. D’autre part, un pays comme le Liban, serait bien inspiré d’opter pour le gaz israélien puisque la Syrie est plongée dans le chaos et que l’Irak, l’un de ses premiers fournisseurs, est confronté à des problèmes liés à ses propres besoins. Il en serait de même pour un éventuel État alaouite dans la région de Lattaquié, en cas d’éclatement de la Syrie…
À plus long terme, un surprenant renversement des rôles pourrait même avoir lieu : Israël pourrait très bien devenir l’un des fournisseurs en gaz de l’Égypte, dont les réserves et les infrastructures sont en déclin constant.
Enfin, Israël peut aussi décider d’accroître ses exportations vers l’Europe, peut-être via Chypre, qui a elle-même fait une découverte majeure en octobre 2011 et qui s’est grandement rapprochée de l’État hébreu ces derniers mois. Ou encore via la Turquie, avec qui les relations se sont apaisées sous la pression des États-Unis, qui préfèreraient que les deux États collaborent sur le transit du gaz israélien (le coût d’acheminement par les gazoducs terrestres turcs étant moindre que via d’éventuels gazoducs sous-marins chypriotes).
En définitive, quel que soit le choix d’Israël, et compte tenu de l’instabilité, des divisions et des tensions chroniques de la région, soit la ferveur contre l’État hébreu se développera, soit ses voisins les plus raisonnables rejoindront peu à peu son orbite économique pour le bien des populations mais aussi pour la paix dans la région.
*Roland LOMBARDI
Doctorant à l’IREMAM, Aix-Marseille Université
Analyste chez JFC Conseil
- Commentaires textes : Écrire
L’administration fiscale d’Obama a reçu l’ordre de viser les organisations juives (Europe Israel)
De nouvelles preuves ont permis de mettre en évidence que les services fiscaux, l’IRS, sous le président Obama, ont ciblé les organisations de manière virulente. Obama l’a nié puis à demi avoué cette semaine… Un agent de l’IRS a admis que les demandes de certaines organisations juives liées à Israël ont été attribués à « une unité spéciale pour déterminer si les activités de l’organisation était en contradiction avec les politiques publiques de l’Administration. »
Qu’est-ce que ça veut dire ? Cela signifie que l’administration Obama épluche les organisations qui soutiennent l’Etat d’Israël. Une organisation juive qui n’était même pas centrée sur Israël a été tenue d’indiquer «si elle soutient l’existence de la terre d’Israël», et «si elle relie son système de croyance religieuse à la terre d’Israël. »
Z STREET, ardent défenseur d’Israël, avait déposé une plainte contre l’IRS, en disant qu’un agent de l’IRS leur a dit que leur tentative d’obtenir l’exonération d’impôt serait examinée plus que d’habitude parce qu’elle était « connecté à Israël. »
Lois Lerner, de l’IRS, a déjà admis que l’IRS avait indûment ciblé les groupes liés aux «Tea Party» et aux «patriotes», mais il a ajouté qu’il n’était pas politiquement motivé, parce que « Ce n’est pas la façon dont nous faisons les choses. »
The Weekly Standard rapporte le 13 mai 2013, que Jay Carney de la Maison Blanche savait déjà il y a trois semaines (22 Avril 2013) que l’inspecteur général de l’Internal Revenue Service avait admis un ciblage de certaines organisations et avoir reçu l’ordre de harceler les diverses organisations conservatrices déposant des dossiers de défiscalisation.
Pour ne rien arranger, Barack Obama a déclaré dans une conférence de presse le 12 mai 2013, qu’il a été mis au courant du scandale croissant de l’IRS et a présenté des excuses il y a quelques jours à peine (le 10 mai 2013), tel que rapporté par CBS News le 13 mai , 2013.
L’administration Obama déteste Israël apparemment assez pour harceler et intimider ceux qui soutiennent l’Etat juif.
Voilà qui devrait démontrer aux Juifs libéraux américains de quelle façon l’administration Obama est un ami de l’Etat d’Israël…
Christian De Lablatinière © www.europe-israel.org
source:
http://www.breitbart.com/Big-Government/2013/05/11/Obama-s-IRS-Targets-Jewish-Organizations
- Commentaires textes : Écrire
la Cour Pénale Internationale ouvre une enquête contre Israël ( Israel infos)
par Gerard Fredj
Fatou Bensouda , la Procureure de la Cour Pénale Internationale a annoncé mardi dans la soirée l'ouverture d'une enquete préliminaire concernant l'arraisonnement du Mavi Marmara, le navire amiral de la flottille pour Gaza, en mai 2010, qui avait conduit à la mort de neuf militants turcs.
La plainte n'émane pas de la Turquie – alors qu'Ankara et Jérusalem sont en passe de finaliser un accord qui mettra fin à brouille entre les deux pays à la suite de l'arraisonnement – mais des Comores (un ensemble d'ile situé au large de Madagascar, peuplé de moins de 800 000 habitants, majoritairement musulmans), où était officiellement enregistré la navire affrété par l'IHH, İnsani Yardım Vakfı, une pseudo organisation humanitaire islamiste turque.
IHH est soupçonnée, notamment en France par l'ancien juge anti terroriste Jean Louis Bruguière, d'utiliser une partie de ses activités et de ses fonds pour des activités djihadistes.
Fatou Bensouda, dans un communiqué, explique être obligée de donner suite à une demande de l'Union des Comores en ouvrant une enquête préliminaire; celle-ci déterminera si il y a lieu d'ouvrir une enquête formelle, suivi éventuellement d'une mise en accusation et d'un procès.
La plainte des Comores a été transmise par un cabinet d'avocats turcs, Elmadag, qui ont rencontré, mardi, Fatou Bensouda.
Si la Cour Pénale Internationale (CPI) est obligée de traiter la plainte (puisqu'elle émane d'un de ses états membres), il semble qu'elle soit juridiquement difficile à soutenir.
En effet, la CPI ne peut exercer sa compétence que si la personne mise en accusation est citoyenne d’un état membre, si le crime supposé a été commis sur le territoire d’un État membre, ou encore si le dossier lui est transmise par le Conseil de sécurité des Nations unies.
Les avocats des Comores arguent du fait que le navire étant Comorien, état membre, le dossier est fondé, la navire étant assimilé à un "bout" de territoire de l'Union des Comores.
Mais le navire a été affrété par une organisation turque, qui n'a pas déposé de plainte, et la Turquie n'a pas adhéré à la CPI.
Israël n'a pas, non plus, signé le Traité (comme la majeure partie des pays arabes à l'exception de la Jordanie et de la Tunisie).
Les conditions juridiques ne paraissent pas réunies pour permettre au dossier de déboucher sur l'ouverture d'une enquête, d'autant que l'ONU, à travers le Rapport Palmer (le rapport de sa commission d'enquête), avait estimé le blocus de Gaza légal, l'usage de la force par les soldats israéliens à bord du navire nécessaire (en situation de légitime défense), tout en considérant "les pertes en vies humaines résultant de l'usage de la force inacceptables".
Israël pourra aussi s'appuyer sur l'accord qui progresse avec la Turquie, première concernée, pour clore l'affaire.
La Cour Pénale Internationale est un tribunal permanent qui siège à la Haye, en Hollande, qui a été institué pour juger des crimes de guerre, génocides, et crimes contre l'Humanité.
La Cour Pénale Internationale ouvre une enquête contre Israël
par Gerard Fredj
Fatou Bensouda , la Procureure de la Cour Pénale Internationale a annoncé mardi dans la soirée l'ouverture d'une enquete préliminaire concernant l'arraisonnement du Mavi Marmara, le navire amiral de la flottille pour Gaza, en mai 2010, qui avait conduit à la mort de neuf militants turcs.
La plainte n'émane pas de la Turquie – alors qu'Ankara et Jérusalem sont en passe de finaliser un accord qui mettra fin à brouille entre les deux pays à la suite de l'arraisonnement – mais des Comores (un ensemble d'ile situé au large de Madagascar, peuplé de moins de 800 000 habitants, majoritairement musulmans), où était officiellement enregistré la navire affrété par l'IHH, İnsani Yardım Vakfı, une pseudo organisation humanitaire islamiste turque.
IHH est soupçonnée, notamment en France par l'ancien juge anti terroriste Jean Louis Bruguière, d'utiliser une partie de ses activités et de ses fonds pour des activités djihadistes.
Fatou Bensouda, dans un communiqué, explique être obligée de donner suite à une demande de l'Union des Comores en ouvrant une enquête préliminaire; celle-ci déterminera si il y a lieu d'ouvrir une enquête formelle, suivi éventuellement d'une mise en accusation et d'un procès.
La plainte des Comores a été transmise par un cabinet d'avocats turcs, Elmadag, qui ont rencontré, mardi, Fatou Bensouda.
Si la Cour Pénale Internationale (CPI) est obligée de traiter la plainte (puisqu'elle émane d'un de ses états membres), il semble qu'elle soit juridiquement difficile à soutenir.
En effet, la CPI ne peut exercer sa compétence que si la personne mise en accusation est citoyenne d’un état membre, si le crime supposé a été commis sur le territoire d’un État membre, ou encore si le dossier lui est transmise par le Conseil de sécurité des Nations unies.
Les avocats des Comores arguent du fait que le navire étant Comorien, état membre, le dossier est fondé, la navire étant assimilé à un "bout" de territoire de l'Union des Comores.
Mais le navire a été affrété par une organisation turque, qui n'a pas déposé de plainte, et la Turquie n'a pas adhéré à la CPI.
Israël n'a pas, non plus, signé le Traité (comme la majeure partie des pays arabes à l'exception de la Jordanie et de la Tunisie).
Les conditions juridiques ne paraissent pas réunies pour permettre au dossier de déboucher sur l'ouverture d'une enquête, d'autant que l'ONU, à travers le Rapport Palmer (le rapport de sa commission d'enquête), avait estimé le blocus de Gaza légal, l'usage de la force par les soldats israéliens à bord du navire nécessaire (en situation de légitime défense), tout en considérant "les pertes en vies humaines résultant de l'usage de la force inacceptables".
Israël pourra aussi s'appuyer sur l'accord qui progresse avec la Turquie, première concernée, pour clore l'affaire.
La Cour Pénale Internationale est un tribunal permanent qui siège à la Haye, en Hollande, qui a été institué pour juger des crimes de guerre, génocides, et crimes contre l'Humanité.
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
Un article excellent à lire, merci.