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Quelques nouvelles (le Monde)

Session extraordinaire du Parlement à la rentrée
Le gouvernement veut faire approuver dès la rentrée le nouveau plan européen d'aide à la Grèce et soumettra l'accord entérinant ce sauvetage début septembre au Parlement, convoqué en session extraordinaire. Le gouvernement a présenté lundi un projet de loi de finances rectificative 2011 intégrant l'accord arraché le 21 juillet à Bruxelles par les dirigeants de la zone euro. La ministre du budget et porte-parole du gouvernement, Valérie Pécresse, a précisé que "le président et le premier ministre ont souligné que le calendrier de mise en œuvre était très important pour assurer la réussite du plan. C'est pour cela que le président a décidé d'une session extraordinaire permettant l'adoption de ce plan début septembre". Ce dernier prévoit une aide globale de près de 160 milliards d'€ en provenance de l'Union monétaire, du FMI et des créanciers privés d'Athènes. Matignon a prévenu que ce plan entraînerait une hausse de l'endettement de la France d'environ 15 milliards d'euros d'ici à 2014 en raison des garanties apportées par le pays aux prêts consentis par le FESF. Si les 15 milliards d'euros sont effectivement engagés, la dette publique pourrait augmenter de 0,7 point de PIB d'ici à 2014, souligne Bercy.
Dette des Etats-Unis : 1re étape franchie
La Chambre des représentants a adopté hier le compromis sur la dette scellé dimanche soir. Le texte devra encore être approuvé au Sénat aujourd'hui.

Début du ramadan
Près de 1,5 milliard
de musulmans dans
le monde ont entamé lundi le mois sacré
de jeûne et de prières du ramadan.

 

News 26 : 160 milliards d'aide pour la Grèce.

       
Vendredi, 22 Juillet 2011 10:57

La zone euro a mis jeudi sur la table un nouveau plan d'aide de près de 160 milliards d'euros pour sauver la Grèce de la faillite et tenter d'empêcher une contagion de la crise de la dette, au risque toutefois de provoquer un défaut de paiement du pays et de briser un tabou.

 Valéry Marx pour news 26 (avec agences)

 

Après dix heures de discussions lors d'un sommet à Bruxelles, les chefs d'Etat de l'Union monétaire sont parvenus dans la soirée à un accord pour alléger la dette grecque --d'un montant de près de 350 milliards d'euros actuellement-- et impliquer les banques.

 

Selon la déclaration finale du sommet de Bruxelles, la répartition de la nouvelle aide à la Grèce comprend 109 milliards d'euros de prêts qui viendront de l'Europe et du Fonds monétaire international (FMI), le reste, environ 50 milliards d'euros, provenant d'une contribution du secteur privé créancier de la Grèce.

Sur ce dernier montant, 37 milliards viendront d'une "contribution volontaire" des banques créancières, tandis que 12,6 milliards consisteront en un rachat de dette sur le marché.

Les créanciers privés du pays, banques, compagnies d'assurance et fonds d'investissement ont accepté un perte sèche de 21% de la valeur actuelle de leurs titres, selon un document interne à la zone euro.

Le volume de la dette devrait être au moins réduit de 26 milliards d'euros d'ici fin 2014, a annoncé le Premier ministre grec Georges Papandréou à l'issue de cette réunion de crise.

La participation des banques, assureurs et fonds d'investissement qui ont prêté de l'argent à la Grèce, répond à une exigence de l'Allemagne qui avait suscité beaucoup de remous et de divisions parmi les Européens.

Pour des raisons politiques - la population et le parlement ne supportent plus de financer les pays surendettés avec  l'argent des contribuables - Berlin cherchait à faire participer les banques au deuxième plan d'aide, mais cette requête inquiétait au plus haut point car elle risquait de déboucher sur un défaut de paiement de la Grèce, aux conséquences désastreuses pour l'économie du pays.

Les opposants à cette option, au premier rang desquelles la Banque centrale européenne, ont fini par céder. Car si les dirigeants de la zone euro ont accepté implicitement la probabilité que cela entraîne un défaut sur une partie de la dette grecque, une première pour un pays de la zone euro.

La participation des banques a donné lieu à un rude bras de fer ces dernières semaines entre Berlin, soutenu par les Pays-Bas et la Finlande d'une part, la Banque centrale européenne, la France et de nombreux pays d'autre part. Ces différends ont alimenté la nervosité des marchés et créé des turbulences qui ont failli emporter l'Italie - fortement endettée elle aussi - à son tour dans la tempête de la crise de la dette.

Jusqu'ici fermement opposé à cette solution, le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a salué le nouveau plan d'aide, le jugeant "crucial" pour stabiliser l'économie grecque. Il n'a toutefois pas exclu un défaut de paiement de la Grèce, qu'il avait rejeté jusqu'ici.

Il a précisé que la participation du secteur privé au plan d'aide soit limitée à la seule Grèce, et ne soit pas envisagée pour d'autres pays fragiles au sein de la zone euro. (?...)

Surtout, il a obtenu une concession forte: la zone euro accepte dorénavant de racheter elle-même de la dette publique de pays en difficulté sur les marchés, via son Fonds de secours financier, afin de soulager les banques qui en détiennent des montants importants. Seule la BCE était chargée jusqu'ici de cette tâche. Le Fonds pourra aussi débloquer des prêts "préventifs" pour empêcher que des pays fragiles soient entraînés dans une crise de la dette.

La porte vers une union de transfert est désormais grande ouverte malgré les mises en garde de nombreux économistes à ce sujet.

L'ancien économiste en chef de la Banque centrale européenne, Otmar Issing,  a qualifié une restructuration de la dette suivi d'un maintien de la Grèce dans la zone euro comme une "accident nucléaire majeur" pour la zone Euro.  . «Si, après une restructuration de la dette, la Grèce reste membre de l'union monétaire, si elle peut compter sur un soutien supplémentaire et sur le refinancement de la BCE, cela  inaugurera la fin de Union monétaire », a déclaré Issing. "En Grèce, tous les efforts de réforme seront stoppés. Le pays recevrait pratiquement carte blanche pour poursuivre les politiques désastreuses du passé. Il s'ensuivra qu'après quelques années d'autres réductions de dettes seront nécessaires

 

News 26 : carte d'identité biométrique.


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Big Brother: La France crée l'encartage électronique de toute la population      
Jeudi, 21 Juillet 2011 17:54

La France est en train de se doter d'un bouclier anti-révolte, anti-émeute et anti-révolution: une super carte d'identité permettant de ficher toute la population, innocents ou coupables? Le gouvernement a décidé que nous étions tous coupables. Sous l'intitulé très joli de "loi relative à la protection de l'identité" le gouvernement français veut créer un fichier génèral. Tout se passe en catimini. Seulement 11 députés sur 577 étaient présents pour voter cette loi très contestable.

 

Jeudi dernier, les très rares députés (11 sur 577) de l'Assemblée nationale présents en séance ont donc adopté en première lecture la proposition de loi "relative à la protection de l'identité". Déjà validée par le Sénat le 31 mai dernier, le texte a pour ambition de mettre un coup d'arrêt à l'usurpation et à la falsification d'identité en déployant une nouvelle carte nationale d'identité contenant de nouveaux éléments d'identification.

Deux puces électroniques

Pour cela, le gouvernement et la majorité présidentielle veulent intégrer deux puces électroniques dans la future carte nationale d'identité. La première, baptisée puce régalienne, devra contenir "les données d'identité et les données biométriques du titulaire de la carte, authentifiées grâce à leur enregistrement sur une base centrale" a expliqué le ministre de l'intérieur, Claude Guéant, en préambule du débat.

Cette puce régalienne contiendra les données suivantes :

Le nom de famille, le ou les prénoms, le sexe, la date et le lieu de naissance du demandeur ;
Le nom dont l’usage est autorisé par la loi, si l’intéressé en a fait la demande ;
Son domicile ;
Sa taille et la couleur de ses yeux ;
Ses empreintes digitales ;
Sa photographie.

L'autre puce électronique, facultative, sera destinée aux services en ligne. Elle permettra des signatures électroniques sur Internet, avec une administration ou une entreprise privée par exemple. Cela concerne en particulier les transactions commerciales, les échanges bancaires ou encore les démarches administratives.

"La carte nationale d’identité électronique, ce sont donc deux composants, pour une identité mieux protégée et une vie simplifiée" a alors expliqué Claude Guéant, ajoutant que le premier objectif de cette loi est "d'assurer, dans le respect des libertés individuelles, la protection de l'identité de nos concitoyens", en entravant l'usurpation ou la falsification d'identité grâce à "une double sécurité".

Une base unique et centralisée

Pour que le dispositif fonctionne et permettre aux données d'être authentifiées, une base Titres Électroniques Sécurisés (TES) sera mise en œuvre, à l'image de ce qui se fait déjà pour les passeports biométriques. Unique et centralisée, cette base TES sera chargée de "recenser, confronter et vérifier les informations", comme les doublons qui seront "immédiatement et précisément repérés", a assuré le ministre.

"C’est une garantie contre les falsifications de titres, puisqu’il sera possible de vérifier la concordance des données inscrites sur le titre avec celles enregistrées sur la base, contre la délivrance de plusieurs cartes différentes à une même personne et contre l’usurpation d’identité, puisque les vérifications opérées rendront impossible l’enregistrement de la demande du fraudeur" a-t-il poursuivi.

Estimant que "sans fichier central, nous ne trouverons pas les usurpateurs", Claude Guéant a affirmé que ce texte "inscrit notre pays dans une modernité positive". Claude Guéant s'est employé à donner des gages de sécurité. "La conservation des données à caractère personnel est segmentée, état civil d'un côté, photographies d'identité de l'autre, empreintes digitales dans un troisième compartiment".

Données conservées quinze ans... ou ad vitam ?

À côté de la répartition des données personnelles dans différents compartiments, le ministre est revenu sur la durée de conservation de ces informations par la base Titres Électroniques Sécurisés. Claude Guéant a assuré que les données personnelles étaient effacées au bout de quinze ans et, qu'en attendant, celles-ci étaient systématiquement chiffrées et que le maximum serait fait pour empêcher les intrusions illicites.

Des propos qui n'ont pas convaincu l'opposition, puisque la députée socialiste Sandrine Mazetier a remarqué que la durée évoquée par le ministre "ne figure d'ailleurs pas dans la proposition de loi". Un "oubli" qui fait dire à son collègue Serge Blisko que la durée de conservation des données contenues dans ce fichier central et unique sera "en quelque sorte éternelle".

La députée PS a d'ailleurs mis en avant le cas des individus qui se feraient pirater leur identité. "Pendant quinze ans au moins, ceux dont l'identité aura été usurpée par quelqu’un qui aura déposé ses propres empreintes avant eux vivront un véritable enfer". Pour Sandrine Mazetier, l'objectif de ce texte de loi vise tout simplement à "créer un fichier généralisé de la population française".

Fichage de 45 à 50 millions de Français

Car le fichier a une portée globale. Tout français pourra se retrouver dans ce fichier unique, qu'il soit criminel, délinquant ou innocent. Un fichage général inacceptable de la population, entre 45 à 50 millions de personnes, au regard de l'objectif poursuivi, a déclaré Serge Blisko, rappelant que l'usurpation d'identité ne touche que quelques dizaines de milliers de Français par an.

"Seuls n’y figureraient pas les mineurs jusqu’à douze ou quinze ans, du moins ceux qui n’ont pas besoin d’un titre pour voyager ou pour utiliser un scooter" a poursuivi le député, qui interpelle le ministre de l'intérieur : "avoir toute la population en fiches biométriques n'est pas possible". "Il s’agit donc d’un changement complet de logiciel idéologique" a-t-il encore ajouté.

Cette base sera accessible aux agents de l'Agence nationale des titres sécurisés, chargés de mettre en oeuvre la base TES, aux agents chargés de l'instruction des demandes de délivrance des titres aux ministères de l'intérieur et des affaires étrangères et aux agents de services de sécurité chargés de la lutte antiterroriste. La consultation de la base dans le cadre d'enquêtes judiciaires sera également possible.

Une procédure parlementaire "étrange"

Au cours des discussions parlementaires, le Parti socialiste a soulevé l'incongruité de la stratégie parlementaire adoptée par la majorité présidentielle pour faire avancer cette proposition de loi. Le député Serge Blisko s'interroge ainsi sur le choix d'une proposition de loi (issue du parlement) plutôt que d'un projet de loi (issu du gouvernement). Pour le parlementaire, c'est une manière de contourner certaines contraintes.

"En effet, il n'y a de la sorte de recueil de l'avis du Conseil d'État, pourtant indispensable en ces matières, ni obligation de fournir une étude d'impact. Vous pensez bien que la création d’un fichier qui, à terme, regroupera plusieurs dizaines de millions de personnes, ne peut pas se passer d’un avis préalable du Conseil d'État et d’une étude d'impact" a-t-il ajouté.

Une analyse partagée par Delphine Batho. "La protection de l'identité aurait dû faire l'objet d'un projet de loi, car il s'agit d'un sujet régalien par excellence, donc d'une prérogative du gouvernement". Or ici, cela permet d'éviter le contrôle préalable de la CNIL, d'autant que le texte a été "adopté à la va-vite, au cours d'une session extraordinaire, dans des délais insuffisants tant pour les travaux en commission que pour la séance publique".

 

Quelques nouvelles d'Israël et du Moyen Orient (Guysen)

 
19:54    Jérusalem : manifestation des enseignants contre la privatisation de l'enseignement
Plusieurs dizaines d'enseignants défilent, ce soir, dans les rues de Jérusalem, appelant à renforcer l'enseignement public et exigeant l'arrêt du processus de privatisation de l'éducation. Les manifestants sont partis du campement de la colère contre la crise du logement dans la capitale et se dirigent vers la résidence du Premier ministre.
 
19:45    Netanyahou : "le gouvernement doit encourager la concurrence"
A l'occasion d'une séance spéciale de la Knesset pour la commémoration du 71ème anniversaire de la mort de Zeev Jabotinsky, le Premier ministre a évoqué la contestation sociale qui agite le pays. "Jabotinsky croyait en une économie libre et un marché animé par la concurrence", a déclaré Binyamin Netanyahou qui a demandé au gouvernement d'encourager la concurrence.
 
19:32    Saad Hariri : "On ne peut plus se taire face aux massacres en Syrie"
Le bain de sang perpétré à Hama et dans d’autres localités syriennes a suscité un vif émoi dans divers milieux libanais. Un sit-in de solidarité avec le peuple syrien a ainsi été organisé à Beyrouth. Le leader du courant du Futur, l'ancien Premier ministre Saad Hariri, a souligné qu’il "n’est plus concevable de garder le silence face au massacre de Hama".
 
19:19    Hezbollah : "l'incident à la frontière israélo-libanaise est une provocation de l'ennemi sioniste"
Le mouvement chiite terroriste libanais a réagi avec colère à l'incident qui s'est déroulé ce matin à la frontière israélo-libanaise. "Chaque incident de ce genre est une agression de l'ennemi sioniste contre tout le Liban et nécessite l'union du peuple afin de protéger la patrie et sa souveraineté", peut-on lire dans un communiqué du mouvement terroriste. Le mouvement chiite terroriste libanais a réagi avec colère à l'incident qui s'est déroulé ce matin à la frontière israélo-libanaise. "Chaque incident de ce genre est une agression de l'ennemi sioniste contre tout le Liban et nécessite l'union du peuple afin de protéger la patrie et sa souveraineté", peut-on lire dans un communiqué du mouvement terroriste. Tsahal a riposté, ce lundi matin, à des tirs en provenance du côté libanais, près de la localité de Ghajar.
 
19:06    Japon : séisme de magnitude 6,1 dans le sud-est, pas d'alerte au tsunami
Un séisme de magnitude 6,1 s'est produit aujourd'hui au sud-est du Japon, dans la préfecture de Shizuoka, les secousses ayant été ressenties dans la capitale où les immeubles ont tangué. Selon l'agence de météorologie nippone, le tremblement de terre s'est produit ce lundi à 23h58 locale (17h58 à Jérusalem). Son épicentre était situé dans la région de Suruga-wan, et son hypocentre à 20 kilomètres de profondeur. Aucune alerte au tsunami n'a été déclenchée, il n'y aurait ni victime ni dégât.
 
19:01    Italie : 35 blessés dans des affrontements entre policiers et immigrés
Près de 35 personnes, dont 20 policiers, ont été blessées lundi dans des affrontements entre forces de l'ordre italiennes et immigrés résidant dans un centre d'accueil de la région des Pouilles (sud), rapportent les médias italiens. Une centaine d'immigrés armés de pierre et de barres de fer ont bloqué une autoroute et une voie de chemin de fer en guise de protestation contre la lenteur des procédures pour la reconnaissance de leur statut de réfugié et l'octroi de permis de séjour temporaires.
 
18:52    Syrie : "conditions pas réunies" pour une intervention militaire (secrétaire général de l'Otan)
Les conditions "ne sont pas réunies" pour une intervention militaire en Syrie, a estimé lundi le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, rapportent lundi les médias européens. "En Libye, nous menons une opération basée sur un mandat clair de l'Onu. Nous avons le soutien des pays de la région. Ces deux conditions ne sont pas réunies pour la Syrie", a fait savoir le chef de l'Alliance atlantique.
 
18:47    Yasser Abed Rabo : "au soir du 20 septembre, des nuées de Palestiniens sortiront dans les villes de Judée-Samarie"
Un des responsables du Fatah, Yasser Abed Rabo a déclaré lundi que "des nuées de Palestiniens" sortiront dans les villes sous contrôle de l'Autorité palestinienne pour manifester leur joie au soir du 20 septembre lorsque sera débattue à l'Onu la demande de reconnaissance d'un Etat palestinien.

 

Tsahql ouvre le feu sur un soldat libanais (Jforum)

    Affrontements entre Tsahal et l’armée libanaise

Les troupes de Tsahal ont ouvert le feu sur un soldat libanais qui a tiré sur eux lundi, selon des sources militaires.

Ces sources indiquent qu’elles travaillaient le long de la frontière lorsqu’un soldat libanais a ouvert le feu sur eux à travers la frontière. Aucun soldat de Tsahal n’a été blessé dans l’incident. D’après Beyrouth, un soldat des forces libanaises a été blessé.

Le site internet d’informations Naharnet rapporte que le soldat a ouvert le feu lorsque des soldats israéliens sont passés du côté libanais de la frontière. Les médias israéliens citent des sources de Tsahal qui démentent cette explication.

L’armée israélienne a envoyé un message au Liban via la FINUL (Force intérimaire des Nations unies au Liban) : ils ne recherchent pas une escalade de la violence à la frontière, selon Kol Israël.

REUTERS ET YAAKOV KATZ

JPost.com

 

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