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Le clan Kadhafi a-t-il des bombes sales nucléaires ? par DRRZ
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Jusqu'où ira le clown halluciné Kadhafi ?
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Olli Heinonen, ex-inspecteur de l'Agence Internationale de l’Energie Atomique, responsable des inspections de sécurité nucléaire de l'AIEA dans le monde entier jusqu'à l'an passé, informe, aujourd’hui, mercredi 24 août 2011, que le matériel nucléaire stocké à Tadjoura, près de Tripoli pourrait permettre au clan Kadhafi de fabriquer des bombes sales nucléaires. Un centre de « recherche » abrite près de Tripoli des stocks d'uranium et d'autres matériaux pouvant composer une des bombes sales nucléaires, explique Olli Heinonen.
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Kadhafi a accepté en 2003 « d'interrompre » son programme de développement d'armes nucléaires, chimiques et biologiques, ce qui lui a permis de « revenir en grâce » auprès de l'Occident. Tout ce qui avait trait à l'enrichissement d'uranium, documentation ou matériel, aurait, paraît-il, été mis « en lieu sûr », le dernier lot officiel de combustible d'uranium enrichi quittant la Libye fin 2009. Mais « des craintes concernant la sécurité nucléaire subsistent », précise Olli Heinonen.
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En effet, l'ancien réacteur nucléaire de Tadjoura, dans la banlieue de Tripoli, abrite, encore et toujours, d'importantes quantités de radio-isotopes, autrement dit des atomes dont le noyau est radioactif, de déchets radioactifs et de barres de combustible d'uranium.
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Olli Heinonen explique : « les matériaux qui restent à Tadjoura pourraient, s'ils atterrissent dans de mauvaises mains, être employés pour fabriquer des bombes sales. La situation à Tadjoura aujourd'hui n'est pas claire ». Une bombe sale est un mélange d'explosifs traditionnels et de matériel radioactif. Elle est facile à fabriquer. Après la chute de Saddam Hussein, le centre nucléaire de Touaïta, près de Bagdad, avait été pillé, rappelle Olli Heinonen. C’est ce qu’on appelle des bonnes nouvelles...
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A propos de bonnes nouvelles, Bernard-Henri Lévy (conseiller spécial de Sarkozy pour les questions libyennes...), sur France Infos, à propos de la Libye, est soumis à la question que voici : « Le Conseil National de Transition a publié récemment une déclaration constitutionnelle expliquant les grandes étapes à venir : rédaction d'une nouvelle Constitution, formation d'un gouvernement intérimaire, préparation d'élections libres, libertés publiques, mais aussi la charia, la loi islamique, alors est-ce que tout cela est la bonne méthode, selon vous ? ».
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Réponse - précise, claire et convaincante... - de l’ex-philosophe BHL : « Ben écoutez, non, en effet, la charia, et surtout, et c'est pour moi le plus important, et, je dirais, à l'inverse, élections libres, droits fondamentaux, respect des droits des femmes, un modèle politique, qui, s'il vient vraiment au jour, sera une grande première dans le monde arabo-musulman. Ce sera la preuve que la démocratie était universelle ».
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Cerise sur le gâteau, quatre ans après avoir reçu - en France et en grande pompes - le dictateur Kadhafi (sous sa tente), Sarkozy accueille - déjà ! - à l'Elysée le N°2 de la rébellion libyenne. Que des bonnes nouvelles, vous disais-je...
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La dernière lettre de nouvelles de Revive Israel
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Pour le réveil en Israël et dans les nations. | |||
22/8/2011 |
Attentat au sud d’Israël |
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par Mati Shoshani En raison de la crise politique, l'Égypte n'est plus en mesure de garder la frontière entre Gaza et le Sinaï. Il y a une semaine, un groupe de 18 terroristes se sont échappés de la bande de Gaza et déplacés vers le sud le long de la frontière israélienne. Le jeudi, dans une embuscade planifiée ensemble, ils ont franchi la frontière et pénétré en Israël le long de la route 12 qui mène à Eilat. Ils ont d'abord tiré sur un car rempli de passagers mais le pilote a courageusement continué à conduire empêchant ainsi tout accident. Les terroristes ont ensuite tiré sur un second car et fait exploser une bombe, tuant le chauffeur et incendiant le car. Ils entreprenaient d’attaquer deux voitures privées, avant d'être eux-mêmes tués par les forces de sécurité arrivées sur les lieux. Huit Israéliens ont été tués et des dizaines d’autres blessés. Le dernier tir de sniper a ôté la vie à Pascal Avrahami, le soldat le plus décoré de l'équipe SWAT (Yamam) de la police israélienne. Agé de 49 ans, d'origine française, Pascal avait participé à presque toutes les missions de ces 30 dernières années et était devenu une légende dans les forces spéciales d'Israël. Les soldats israéliens ont réussi à tuer sept des terroristes. Ils ont riposté par le lancement d’une attaque aérienne sur le siège des terroristes à Gaza, tuant la plupart de leurs dirigeants. Ce week-end, plus de 90 (!) tirs de missiles ont été lancés depuis Gaza sur les villes voisines : Beer-Sheva, Ashkelon et Ashdod. Le bombardement continuel des zones densément peuplées a fait un mort et de nombreux blessés.
Les relations israélo-égyptiennes, déjà fragiles, sont aujourd'hui d’autant plus compromises que le manque de volonté ou de capacité des Egyptiens d’arrêter les terroristes témoigne de leurs intentions futures envers Israël. Ceci révèle aussi le danger inhérent et la tromperie des traités de paix avec les pays sous contrôle musulman. Le traité de paix sur le papier ne jugulera pas les attentats terroristes et ne pourra empêcher, à l’avenir, la prise de pouvoir par des mouvements musulmans extrémistes. |
Deux sortes d’unité |
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par Asher Intrater Dans sa prière sacerdotale, Yeshoua demande que nous soyons un. (Jean 17:21-23). Cette «unité» implique d'abord notre union spirituelle avec Dieu, puis notre unité avec l'autre. L'union divine précède l'unité humaine. Si je suis spirituellement un avec Dieu par Yeshoua et que vous l’êtes aussi, nous devrions donc être dans l'unité l’un envers l’autre.
Par conséquent, devenir «un» comprend deux niveaux. Saul (Paul) en parle en Ephésiens chapitre quatre. Il énumère d'abord les éléments que nous avons en commun dans la foi, ce qui constitue le fondement de notre unité.
Paul aborde à nouveau la question de l'unité, mais cette fois de façon opérationnelle concernant l’œuvre du ministère. Cette unité exige la soumission à l'autorité et la formation des saints afin que nous puissions "construire" quelque chose ensemble.
Les deux passages ci-dessus parlent d'unité. Le premier met l'accent sur ce que nous avons dans le ciel. Le second parle de la coopération humaine, de servir et de construire ensemble, ce qui exige le travail d'équipe, la coopération et le leadership, ainsi que la reconnaissance des dons et de l'autorité spirituels. Il faut l’équilibre entre les deux. Le plus important, c’est le premier et il devrait conduire au second. Si l'on n’a que le second sans le premier, c’est une unité forcée qui est coercitive et sectaire. C’est simplement une organisation humaine.
Cependant, si l’on n’a que le premier sans le second, on a la confusion, la division et la rébellion. C'est un esprit sans corps. C’est l'unité sans aucun moyen de coopération. Le plan de Dieu, c’est que nous ayons les deux : d'abord l'union céleste, puis la coopération humaine. |
Yad Hashmonah |
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par Avichai Orel et Asher Intrater Depuis plus de trente ans, nous prêchons que « tout Israël sera sauvé ». (Romains 11:26) et nous sommes au service de cette vision. Un élément essentiel dans la stratégie divine de cet réveil national est Yad Hashmonah , village messianique communautaire situé dans les collines de Judée pas loin de Jérusalem. Yad Hashmonah est le seul kibboutz messianique au monde. Puisque c'est une communauté, il a l'opportunité unique de devenir un témoin pour toute la nation d'Israël. Notre témoignage en tant que Messianiques ne doit pas être en paroles seulement mais dans la vie concrète. Comme Israël est la «Terre Sainte», il est inondé de toutes sortes de visions et de visionnaires. Cependant, il manque souvent l'exemple concret qui devrait accompagner la vision. L'opportunité que nous offre Yad Hashmonah de donner un exemple vivant de notre message du royaume est également unique. La base de notre ministère Revive Israël est située sur le terrain de Yad Hashmonah. Nous cherchons à les soutenir et à collaborer avec eux comme le Seigneur nous conduit. Un projet important à Yad Hashmonah est la construction de nouveaux logements pour les jeunes familles messianiques israéliennes. Il est extrêmement difficile pour les jeunes familles d’acquérir même le plus petit logement. L’avantage d’avoir des familles qui vivent dans ce kibboutz sera de, non seulement fournir des logements, mais aussi de les rassembler pour les veilles de prière, le ministère auprès des enfants, l'accueil des visiteurs internationaux, etc. Un autre projet important est le parc industriel. A cause de la persécution, il est très difficile pour les Juifs messianiques de créer des entreprises. Leur offrir une infrastructure dans un parc industriel appartenant à des Messianiques permettra le lancement – et la réussite - de nouvelles entreprises et activités professionnelles.
Nous vous demandons de prier parce qu’il y a beaucoup d’oppositions. Si vous voulez vous engager dans le soutien à notre partenariat avec Yad Hashmonah, cliquez ici. |
Rapport de nos activités |
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par Mati Shoshani
Revive Israël est engagé dans de nombreuses activités en plus de celles dont nous parlons dans « La Lettre ». Si vous désirez prendre connaissance du rapport de nos activités de cet été, cliquez ici. |
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Un article de Guy Millière sur la manifestation de Glenn Beck à Jérusalem (Drzz.fr)
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Orange, l'aéroport de Tel Aviv... et les lignes de 67 (JSSNews)
“Bienvenue en territoire Palestinien”, c’est ce que vous pourrez lire, sur votre portable, dès votre arrivée à l’aéroport de Ben Gourion si vous êtes client chez Orange France. Non, ce n’est pas une blague ! La société française, fortement implantée en Israël, semble avoir oublié que l’aéroport de Tel-Aviv, s’il s’appelle Ben Gourion et non pas Yasser Arafat, l’est pour une raison : c’est un aéroport israélien.
Certains, comme Sabrina H. du blog Alyaexpress, affirment que :
Nous ne pouvons que remarquer que la société Orange a épousé la cause palestinienne.
(…) Ainsi la société Orange France prend le relai de la propagande palestinienne, en annonçant qu’Israël n’existe pas, et que seule la Palestine a son droit d’existence sur cette terre.
Alors à vous de voir, de choisir et d’analyser si être client chez Orange France n’est pas aussi collaborer avec le Hamas et de nombreux voisins comme l’Iran, à la destruction de l’État d’ Israël !
A vous de juger cette initiative d’Orange Telecom France. Car, à l’allure à laquelle se développe cette stupidité des plus dangereuses, vous finirez par lire à votre retour de vacances d’Eilat, à l’aéroport de Charles de Gaulle : “Orange vous accompagne en Territoire Algérien”. Alors, vous ne pourrez pas vous en plaindre..
Et il faut avouer que cette blogueuse n’a pas complètement tort. Mais je pense surtout qu’il faut mettre les choses en relief. Tentons de comprendre pourquoi une telle méprise ?
Il serait surprenant que Orange envoie ce message délibérément. Si c’était le cas, Israël serait alors en mesure de faire fermer la compagnie et de refiler toutes ses parts de marchés à des compagnies loyales à l’Etat. Non, je pense que le problème est même encore plus grave que cela.
Comme on le sait, l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv est situé au pied des premières montagnes menant à Jérusalem. En cas de création d’un Etat Palestinien sur les lignes de 1967, l’aéroport se retrouverait donc en contrebas de villes et villages palestiniens. Si aujourd’hui les seules mauvaises choses qui viennent des hauteurs sont les messages transmis par les antennes relais palestiniennes, imaginons les dégâts qui pourraient faire un missile arrivant du même endroit. Pour faire plus clair : si un message d’une antenne relais est transmise depuis les “territoires palestiniens” vers l’aéroport Ben Gourion, alors Israël peut véritablement s’inquiéter de la portée d’un missile ou d’un obus de mortier lancé depuis le même endroit vers l’aéroport.
Cette affaire, aussi triste soit-elle, a au moins le mérite de prouver qu’accepter les lignes de 67, c’est accepter une mort lente d’Israël.
Jonathan-Simon Sellem – JSSNews
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Un article de Michel Garroté sur Drzz.info
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Le prophète Isaïe
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Méditations personnelles sur la peur et l’inconstance
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Par Michel Garroté
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L’on voudra bien m’autoriser quelques méditations personnelles en cette fin, proche, du mois d’août (je ne suis pas certain, que nous aurons le temps de méditer, à partir de début septembre, vu les événements, imprévisibles et planétaires, qui se préparent). Je demeure persuadé que la peur et l’inconstance font intimement partie de la nature humaine. Chacun est libre de proclamer qu’il n’a jamais peur et qu’il n’est jamais inconstant. Il est – certes – libre de proclamer cela. Et chacun reste libre de le croire ou de ne pas le croire. Concernant Israël en particulier et le monde en général, les Livres des Prophètes et les Psaumes du Roi David constituent la première anthropologie, philosophique et théologique, de la personne humaine, placée sous le regard du Très Haut, de l’Eternel.
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Ni la culture grecque, ni la civilisation romaine, n’ont apporté cette anthropologie, philosophique et théologique, de la personne humaine, sous le regard du Très Haut. Or, précisément, cette anthropologie, celle des Prophètes et des Psaumes, nous révèle, à quel point, la peur et l’inconstance font intimement partie de la nature humaine.
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Jusqu’à la fin du second millénaire, nombre de Chrétiens (pas tous) s’étaient focalisés sur l’héritage gréco-romain. Avec l’entrée dans le troisième millénaire, nombre de Chrétiens (pas tous) se sont tournés – et se tournent encore – vers l’héritage judéo-chrétien. Pourquoi ? Parce qu’au troisième millénaire, nous sommes confrontés, plus que jamais auparavant, au jihad planétaire. Et que ce jihad planétaire est une conquête appuyée sur une religion : l’islam.
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En valorisant la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne, nous montrons à l’islam, que nous n’avons pas besoin d’être forcément religieux, pour défendre notre culture ; et pour préserver notre liberté. Cependant, tout ceci, ne nous délivre pas pour autant, à cent pour cent, de la peur et de l’inconstance.
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Ajoutons que si nombre de Chrétiens (pas tous) se sont tournés, et, se tournent encore, vers l’héritage judéo-chrétien au troisième millénaire, il y a eu, dès la fin du second millénaire, et, il y a encore, au troisième millénaire, des auteurs, notamment des historiennes et des historiens, qui ont tiré – et qui tirent toujours – la sonnette d’alarme. Sans doute est-ce pour ce motif-là que, encore récemment, ils et elles ont été ignominieusement calomniés. Mais revenons à Israël, au monde, ainsi qu’à la peur et l’inconstance qui font intimement partie de la nature humaine.
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Ce matin, mardi 23 août 2011, Binyamin Benhamou confirme – c’est lucide et concret – que (extraits adaptés) la « trêve » déclarée par les groupes terroristes de la bande de Gaza a été violée une fois de plus lundi soir, alors que plusieurs roquettes ont été tirées depuis le nord de Gaza sur la population du sud d’Israël. Une des roquettes a explosé au sud d’Ashkelon, les trois autres explosant dans des zones de Hof Ashkelon. Une des roquettes qui a frappé Hof Ashkelon a provoqué un feu qui s’est étendu jusqu'à deux communautés et menacé les serres locales.
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C’est la troisième fois que des roquettes sont tirées sur Israël depuis que les groupes terroristes de Gaza ont convenu d’une « trêve » : une roquette a frappé le conseil régional d’Eshkol tôt lundi matin, endommageant un bâtiment et plusieurs roquettes ont été tirées sur le sud d’Israël dimanche soir, quelques minutes après que le cessez-le-feu déclaré par le Hamas entrait en vigueur, conclut Binyamin Benhamou.
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De son côté, Shraga Blum, note, aujourd’hui, mardi 23 août 2011 – avec franchise et sans fausses illusions – que (extraits adaptés) le Dr. Yossi Beilin veut montrer patte blanche dans les événements qui secouent le sud d’Israël et qui sont la conséquence directe des politiques d’abandon pratiquées depuis les Accords d’Oslo dont il fut l’artisan N°1. Interviewé sur la radio « Kol Israël » ce mardi, le matin, Beilin a indiqué « qu’il avait supplié à l’époque Ariel Sharon de ne pas procéder au désengagement de Gaza sans contrepartie quelconque de la part du Hamas ».
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L’ancien Premier ministre Ariel Sharon lui avait répondu alors « qu’il n’y avait aucune différence entre le Hamas et le Fatah », ce qui a poussé Beilin, selon ses dires à se demander « pourquoi Sharon tenait tant à expulser tous les Juifs du Goush Katif (ndmg - dans la bande de Gaza) et céder ce territoire à nos ennemis sans contrepartie ». « J’ai alors compris », explique Beilin, « que Sharon tentait de sauver sa peau en mettant de son côté les médias et le Parquet, car il sentait qu’il allait au devant d’ennuis judiciaires graves ».
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Beilin ajoute : « Ainsi, aucun argument logique, politique ou sécuritaire n’était susceptible de le faire changer d’avis et au bout du compte, c’est Israël qui a perdu, car le terrorisme l’a emporté, Omri Sharon (ndmg - fils d’Ariel Sharon) a quand même fait de la prison et Sharon est allongé depuis cinq ans sur un lit d’hôpital ». Beilin a raison et il confirme ce qui a déjà été dit sur les véritables motivations d’Ariel Sharon. Mais il est facile de juger les échecs des autres, cela évite de se regarder dans le miroir », conclut Shraga Blum.
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Maintenant, pour ce qui me concerne, j’écris, encore une fois, ici, que le dictateur syrien Assad, par lui-même, n'est rien ; et donc, qu’il n’est rien, par lui-même, dans sa participation, à la manipulation, du Hamas. Assad est quelqu'un, uniquement tant qu'il fait alliance avec l'Iran. Avec l'Iran qui téléguide le Hamas et le Hezbollah. Se focaliser, en ce moment, sur Assad (dans l’actuelle affaire des roquettes tirées sur Israël par le Hamas) est une erreur géopolitique.
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Il faut se focaliser sur les grands pouvoirs (exemple : l'Iran) non et pas sur leurs petits satellites (Assad, Hamas, Hezbollah). J'ai publié, il y a quelques jours, des extraits d'une analyse de MediArabeInfo (MAI). Cela n'implique pas - c'est pourtant évident et néanmoins il me faut encore le répéter – que j'adhère à 100% à cette analyse de MAI. Non, je n’adhère pas à cent pour cent à cette analyse de MAI qui cependant reste éclairante. J'ai toujours écrit que l'un des problèmes majeurs, c'était, et, cela reste, pour le moment, l'Iran. Et tant que l’Iran ne change pas, je ne vois pas pourquoi mon analyse de ce pays, elle, devrait changer.
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Il est vraiment très naïf de penser que le Hamas est exclusivement manipulé par Assad ; et que de ce fait, il ne faudrait pas réagir aux provocations de Assad / Hamas. Si l’on place ma présente analyse en perspective avec mes autres analyses, l’on notera qu'en définitive, c'est – pour l'instant – encore et toujours l'Iran qui mène le bal d’Assad, du Hamas et du Hezbollah.
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Pour ce qui est de frapper le Hamas dans Gaza, je suis stupéfait qu'au prétexte que la terreur semée par le Hamas serait une provocation, l'on prône « l'apaisement » et l'on dise qu'il ne faut pas « céder à la provocation ». J'ajoute que c’est précisément parce que les médias se focalisent depuis un certain temps sur la Libye et la Syrie, qu’Israël avait, ces dernières 24 heures, une fenêtre d'opportunité pour une guerre terrestre éclair (aéroportée pour gagner du temps et limiter les pertes), guerre éclair qui aurait permis de réduire en cendres – en 24 heures – les principaux bâtiments du Hamas dans la bande de Gaza.
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L’on ne me fera jamais avaler que des commandos israéliens héliportés ne seraient pas en mesure de faire, avec quelques bâtiments du Hamas, ce que les commandos américains ont fait, avec le bâtiment de Ben Laden. Des experts israéliens, britanniques et américains ont déjà proposé cela au cours des dernières années.
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Prétendre que le Hamas c'est bien, parce qu'il contrebalance le Fatah ou parce qu’il serait « moins pire » que le Fatah, c'est de la tactique à court terme ; et non pas de la stratégie globale à long terme. Israël a donc préféré une autre stratégie : ne rien faire ou presque rien. Je le regrette. Mais j'estime que c'est – évidemment – Israël, personne d'autre qu’Israël (et certainement pas moi) qui décide de ces choses-là.
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Je ne suis ni trop ceci, ni trop cela, par rapport au Judaïsme ; par rapport à la capacité d'exister et de résister d'Israël ; par rapport aux pays libres ; par rapport au concept d'Etat de droit ; et par rapport aux mots que j'utilise. J'ai publié des centaines d'analyses sur le Proche et le Moyen Orient. L'on ne peut donc pas sortir, une seule phrase, tirée d'un seul article, pour alléguer que je suis trop ceci ou pas assez cela.
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Quoi qu'il en soit, le travail des idées, le débat des idées, se poursuivent, sur ce blog. Et c'est une excellente chose.
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Quant à la peur et à l’inconstance, qui font intimement partie de la nature humaine, l’anthropologie judéo-chrétienne nous invite à les transcender et non pas à les nier. Transcender voulant simplement dire « aller au-delà de ».
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Michel Garroté - http://drzz.info/
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http://www.juif.org/go-news-158182.php
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Le Psalmiste David
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