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Lehem HaHaïm, le Pain de Vie (Beth Yeshoua)
De quel pain, nourrissons-nous notre âme?
En tant que croyants, lavés dans le sang de l'Agneau et nés de nouveau, nous désirons rechercher la volonté de Dieu. Nous désirons aussi apprendre de Dieu. Parfois nous désirons délivrer nos semblables avec la puissance de la Parole de Dieu et le Nom de Yeshoua. A d'autres occasions nous recherchons à connaître intellectuellement soit l'histoire du monde passé, soit notre présent soit encore sonder l'avenir même si pour ce dernier cela nous est interdit. Parfois nous nous trouvons dans une impasse et implorons la réponse de Dieu. La Bible est là pour toute situation de vie. Lorsque nous sommes dans la joie, dans le doute, sous les coups de la persécution, lorsque nous sommes en recherche de quelque chose, la Bible est là.
Il est utile de rappeller ici les quelques façons ou modes de lecture et d'études de la Parole de Vie. Peu importe laquelle nous préférons, Dieu est présent dans chacune d'entre elles.
Mais pour tout croyant né de nouveau tout est intéressant dans la Bible quand on parle des choses célestes. Nous avons besoin de chacun de ces modes de lecture sans en privilégier l'un plus que l'autre. L'on ne peut pas privilégier par exemple les textes qui parlent des délivrances ou des démons au détriment de ceux qui parlent de notre besoin de sanctification.
C'est toujours important de se nourrir de la bonne nourriture que nos anciens, nos pasteurs, reçoivent de Dieu.
Cette nourriture là, est nécessaire aussi car elle nourrit notre âme.
Cette Parole de Vie est Merveilleuse car on trouve dans la Bible :
1. la Parole de Dieu pour nous-mêmes et pour notre sanctification :
- le Pain de Vie en tant que nourriture lorsque nous lisons notre Bible tous les jours
- Les exhortations lorsque Dieu doit nous corriger, nous enseigner et des gens qui sont là pour nous instruire
- Les études bibliques relatives à notre vie de tous les jours (le salut, la grâce, la relation avec Dieu, la prière, le péché, le pardon, les relations humaines, le couple, etc.)
2. la Parole de Dieu pour le service envers notre prochain :
- la Parole de Dieu inspirée pour rechercher une réponse dans un problème de vie, de couple, de famille, d'église
- les études bibliques relatives au combat spirituel lorsqu'on sait que beaucoup de personnes ont besoin de délivrance
3. la Parole de Dieu pour que nous nous préparions pour le retour du Seigneur :
- les études bibliques relatives à la préparation de l'épouse (p.ex. l'enlèvement, les 10 vierges, etc)
- les études bibliques relatives à la sanctification
4. la Parole de Dieu pour que nous rentrions dans la prophétie :
- les études bibliques relatives à la deuxième venue du Seigneur, l'eschatologie, le retour des juifs, le millénarisme, etc.)
- c'est ici que nous nous mettons à intercéder violemment contre les puissances des ténèbres et pour Israël, pour que se mettent en place les projets de Dieu pour Israël et les nations
Mise en pratique
Et puisque la lecture de la Bible nécessite une mise en pratique, les questions à se poser sont les suivantes :
-est-ce que je suis un témoin vivant de Yeshoua à mon prochain au travail, dans mon quartier, dans mon assemblée, etc. ?
-est-ce que je me sanctifie ?
-est-ce que je reste en contact avec Dieu et est-ce que j'ai faim et soif de Sa Parole ?
-est-ce que je cherche à faire sa volonté pour ma propre vie (ici chacun doit savoir pour lui-même ce que Dieu lui a demandé, où il doit aller, ce qu'il doit faire, qui il doit éviter ou qui il doit rencontrer etc.)
-est-ce que j'aime Israël ?
Amen.
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Le "printemps" arabe (Israel7)
C’est sans aucun étonnement que nous apprenons que Abdelakim Belhaj a été nommé gouverneur militaire de Tripoli. Cet individu est le fondateur et dirigeant des groupes islamistes de Combattants Libyens. Il fut arrêté pour collusion avec Al Quaïda par les américains et extradé vers la Libye. Les preuves des engagements de terroristes musulmans dans les événements en Libye sont aussi nombreuses et inquiétantes qu’elles furent prévisibles. Décidément, la chute du Chah d’Iran et ses conséquences n’ont pas été une leçon comprise par l’Occident et nos philosophes.
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Tsahal entraîne les Juifs de Judée-Samarie (Israel7)
L’armée israélienne a commencé à entraîner les groupes d’intervention rapide et les responsables sécuritaires des localités de Judée-Samarie pour les préparer à se mesurer aux scénarios possibles du mois de septembre et notamment aux marches prévues par les Arabes palestiniens en direction des localités juives.
Chaque localité a reçu des instructions précises quant aux lignes rouges que ne doivent pas franchir les éventuels manifestants sous peine de réaction. Même si Mahmoud Abbas et ses acolytes terroristes annoncent officiellement « des manifestations et marches non-violentes », l’incitation à la haine et à la violence qui règne dans les médias palestiniens contrôlés par ces mêmes individus pourrait bien faire que le scénario ne soit pas celui qu’ils évoquent à destination de la Communauté internationale. C’est la raison pour laquelle Tsahal a convoqué les responsables sécuritaires des localités juives dans un camp d’entraînement près de Shilo (Binyamin) afin de les préparer au pire.
Parallèlement, le commandant de la région militaire Centre, Avi Mizrahi, a adressé un courrier aux habitants de Yesha leur détaillant les préparations à effectuer en vue du mois de septembre. De leur côté, certains responsables des localités juives ont demandé au commandement militaire de fournir des instructions précises pour des habitants en cas de danger de mort, par exemple barrage arabes de routes ou intrusion dans des localités.
Chaque localité juive sera dotée de deux lignes de défense : si un Arabe palestinien franchit la première, les habitants juifs seront habilités à utiliser du gaz lacrymogène, la deuxième ligne franchie autorisera les habitants juifs à faire usage de leur arme à feu en direction des jambes dans un premier temps, et si le danger de mort est hautement probable, en direction du haut du corps, comme les directives en cours à Tsahal ou dans la police.
Réaction : le député arabe israélien Ahmad Tibi, grand soutien du terrorisme palestinien, fait part de « sa crainte que Tsahal n’ait donné le feu vert aux habitants juifs pour tirer à vue sur les Palestiniens » !!
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Quelques nouvelles (Guysen)
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Prières musulmanes de rue à Paris, toujours pas de solution (Le Monde)
En attendant la construction de l'Institut des cultures d'islam (ICI), dont la première tranche doit être livrée en janvier 2013, les fidèles musulmans du 18e arrondissement de Paris continuent de prier dans la rue.
La mosquée de la rue Myrha, qui attire surtout des fidèles d'origine maghrébine, et celle de la rue Polonceau, fréquentée par des musulmans d'Afrique subsaharienne, manquent en effet de place pour accueillir l'ensemble des pratiquants. Et de très nombreux fidèles se sont encore retrouvés mardi matin dans ces deux lieux de culte pour la prière de l'Aïd, provoquant une interruption de la circulation automobile dans les deux rues.
Ce phénomène, assimilé à "l'occupation" par la présidente du Front national, Marine Le Pen, et jugée "pas acceptable" et "directement attentatoire au principe de laïcité" par le ministre de l'intérieur, Claude Guéant, avait fait une entrée fracassante dans le débat politique en début d'année. Imams, fidèles et responsables du culte musulman mettaient de leur côté en avant l'absence d'alternative.
PAS D'ACCORD SUR L'AMÉNAGEMENT D'UNE CASERNE
Le 8 août, Claude Guéant avait annoncé que les musulmans du 18e arrondissement pourraient pratiquer dans une ancienne caserne de Clignancourt à partir du 16 septembre. A l'en croire, les responsables du culte musulman, dont le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), ont visité les locaux et "les ont trouvés tout à fait appropriés".
Or, les imams des deux mosquées de Barbès ont déclaré mardi ne pas avoir donné leur accord pour se déplacer le 16 septembre vers cette ancienne caserne proposée par les autorités. "Il n'y a aucun accord, les négociations se poursuivent", a déclaré l'imam cheikh Salah Hamza de la mosquée Khaled Ibn Al-Walid, rue Myrha. "Rien n'est signé, nous avons découvert la date du 16 septembre dans la presse", a confirmé Moussa Niambélé, l'imam de la mosquée Al-Fath, rue Polonceau.
L'endroit, propriété de l'Etat, situé avenue de la Porte-des-Poissonniers, dont deux grandes salles de 750 m2 et 600 m2, pourraient être aménagées temporairement en lieu de culte, peut accueillir "près de 2 700 personnes", selon le préfet de police de Paris, Michel Gaudin.
PAS "CONFORME AUX NORMES DE L'ISLAM"
"L'endroit n'est pas mal", convient Moussa Niambélé. Mais il demande des aménagements "conformes aux normes de l'islam", comme une salle d'ablutions pour les femmes et des toilettes en nombre suffisant. L'imam juge aussi "élevé" le loyer de 10 000 euros par an proposé par la préfecture de police pour une occupation des lieux uniquement le vendredi, jour de la grande prière hebdomadaire.
"Nous avons nos revendications communiquées au recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur et qui n'ont pas encore trouvé de réponse", ajoute de son côté Salah Hamza. Il cite : la sacralité des lieux, leur utilisation sept jours sur sept, la construction d'une salle d'ablution pour les femmes, l'utilisation du parking et la désignation d'un seul imam pour diriger la prière.
Le Monde.fr (avec AFP)
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