etzbetzion
Rapport Palmer (Drzz.fr)
« En face d'une telle réponse des passagers, les soldats de Tsahal qui ont pris part à l'opération devaient prendre des mesures pour leur propre protection et celle des autres soldats. »
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Le rapport Palmer, qui confirme en tous points l’enquête israélienne, ne laisse aucune place au doute : il apparaît clairement qu’Israël est dans son tort le plus complet, car les soldats israéliens ont osé se défendre contre les agresseurs organisés du navire. Israël doit présenter ses excuses à la Turquie et à la communauté internationale pour ne pas avoir laissé ses soldats se faire massacrer sans réagir.
Israël doit présenter ses excuses pour avoir usé d'une force disproportionnée pour se défendre et pour n'avoir subi aucune perte humaine, ce qui n'était pas prévu par les passagers du Mavi Marmara.
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Pourquoi Mme Lagarde ne comprend rien à l'économie NEWS 26
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Jeudi, 01 Septembre 2011 09:07 |
Petite leçon sur les banques ou pourquoi les spécialistes qui rédigent Bâle III ou Madame Lagarde ne comprennent rien à l'économie.
par Charles Gave, économiste Les nouvelles réglementations sur les banques (Bale III) ou Madame Lagarde prévoient qu’il faut renforcer la solidité financière des banques Européennes et que donc elles vont devoir procéder à des augmentations de capital massives pour éviter une répétition de la crise de 2008. Ces tentatives de ‘renforcer » les banques en les forçant a effectuer des augmentations de capital m’amènent à deux remarques : · La première est qu’il n’est pas du tout prouvé que les banques aient été responsables ou uniquement a l’origine de cette crise, les Etats ayant une énorme part de responsabilité dans ce désastre (Voir Liberal mais non coupable, chez Francois Bourin éditeur) · La deuxième est encore plus ennuyeuse. Cette remarque indique que Madame Lagarde et les autorités de Bale ne comprennent pas grand-chose à la façon dont fonctionne un système bancaire, ce qui est un peu …inquiétant. C’est ce point que je veux développer aujourd’hui. Je vais le faire de manière un peu caricaturale, mais je pense que ce que je vais dire est juste, quoique volontairement schématique. Le métier d’une banque est de prêter l’argent que ses déposants lui ont confié mais aussi de l’argent qu’elle a elle-même emprunté à l’extérieur (a une autre banque par exemple). Ces dépôts et ces emprunts constituent son passif. A l’actif, elle aura les prêts qui ont été consentis, mais comme tous les prêts ne sont pas remboursés, certains emprunteurs faisant faillite, il faut que la banque ait un capital suffisant pour absorber ces pertes sans que les déposants aient à en souffrir. Bien sur, il faut que les taux d’intérêts soient suffisamment élevés pour que la banque couvre ses frais de financement + une prime qui couvre les risques de faillites « normales ». Au cas ou nous entrerions dans une période anormale (récessions, dépressions), il faut en plus que la dite banque ait un CAPITAL suffisant pour absorber ces pertes anormales Imaginons que les autorités de contrôle, pour couvrir ce dernier risque, décident que les banques soient dans l’obligation de conserver à tout moment un capital égal à 10 % des prêts consentis. Cela veut donc dire que cette banque peut « porter » à 900 euro de prêts (approximatif) et avoir une taille de bilan de 1000 euro (900 de prêts+100 capital grosso modo). Comme de nos jours la plus grosse partie de la masse monétaire (M2 par exemple) a comme contrepartie des prêts bancaires, on peut donc avancer sans craindre de se tromper beaucoup qu’il existe une relation forcement assez stable entre la masse monétaire dans un pays et le capital du système bancaire. Si le capital des banques est équivalent à 100 euro, on voit bien que la masse monétaire doit être à peu prés de 1000 euros… Imaginons encore que les génies qui nous gouvernent décident que les banques doivent avoir soudain un capital égal non plus équivalent a 10 % de leurs prêts, mais a 20 %. Les banques dans ce pays qui pouvaient porter une masse monétaire de 1000 euro, avec le capital dont elles disposent ne peuvent plus porter une masse monétaire « que « de 500 euros. Elles ont donc le choix soit de faire une augmentation de capital de 500 euros, pour pouvoir porter leurs prêts existants, soit de réduire leurs prêts de moitie (diviser leurs bilans par deux). Dans le premiers cas, on peu légitimement se demander qui va souscrire a une augmentation de capital dans un secteur dont la rentabilité va s’effondrer (fonds propres deux fois plus importants, même taille de volume de prêts= une rentabilité qui s’effondre) et dans le deuxième, comme l’a très bien montré Milton Friedman dans ses travaux, une effondrement de la masse monétaire entraine TOUJOURS un effondrement de l’activité économique au travers d’une « déflation par la dette « Il est donc tout a fait évident que l’effondrement des bourses a comme « cause première » ces nouvelles règles établies a Bale par des comptables qui ne comprennent rien a l’économie et qui cherchent a établir des réglés pour que le risque bancaire disparaisse a tout jamais, ce qui est proprement idiot puisque un monde sans risque est un monde en dépression Le plus foudroyant est que les hommes politiques ne cessent de réclamer aux banques qu’elles accordent PLUS de prêts alors qu’a l’évidence les mesures qu’ils prennent ou font prendre vont arriver exactement au résultât inverse… Ce qu’il faut faire, c’est casser les grandes banques en une multitude de petites pour que des risques soient pris a nouveau et que la concurrence règne dans le monde bancaire comme partout, interdire aux banques d’acheter des obligations d’Etat avec leurs dépôts, pour que l’Etat emprunte a un cout normal et cesse d’être subventionne de façon éhontée et bien sur BAISSER les ratios entre capital et prêts pour que les banques puissent financer a nouveau le secteur privé La probabilité que cela se passe a mon avis est exactement égale à zéro , mais je peux toujours rêver… |
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Grèce: La dette est hors de contrôle News 26 (la Grèce et ensuite?...)
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Mercredi, 31 Août 2011 21:50 |
La dynamique de la dette est désormais hors de contrôle constate la nouvelle commission de contrôle du budget. Le déficit public est devenu insoutenable à 14,69 milliards d'euros au premier semestre 2011, alors que l'objectif fixé était de 16,68 milliards pour toute l'année. L'économie grecque se rétracte à un rythme alarmant. Les plans de sauvetage: un coup d'épée dans l'eau.
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Gouvernement Mondial: Régner par la terreur NEWS 26
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Mardi, 30 Août 2011 09:35 |
ETZ BE TZION: Bible en main, lisons et retenons ce qui est bon...Mais lisons car c'est "le Monde" qui pense ainsi et qui rejoint en maints endroits la Bible! C'est donc que ces choses sont imminentes. Les historiens du futur, lorqu'ils se pencheront sur l'histoire de notre temps en parleront sans doute comme de l'époque des grandes terreurs. Les véritables raisons que nous avons d'avoir peur résident dans la folle idéologie globaliste qui va nous conduire soit à une confrontation sanglante avec le bloc asiatique soit à l'instauration d'une tyrannie planétaire où chacun d'entre nous ne sera plus qu'un numéro gravé sur une puce RFID. par Aldous Le nom n'est pas nouveau : La grande terreur est le nom du mode de gouvernement instauré par Robespierre entre 1793 et 1794, imposant un régime d'exception sanglant sur fond d'effort de guerre et de crise économique majeure (des assignats) et de construction massive de prisons avec comme objectif d'asseoir le régime. L'echo avec les terreurs du XXI siècle sont frappantes. Tour à tour chaque aspect temporel de nos existences devient l'objet d'une grande terreur. Une terreur qui aveugle et qui empêche de comprendre l'évolution réelle du monde. Nous vivons une période extrêmement singulière de l'histoire de l'humanité. Jamais autant de cataclysmes, de crises et de désastres n'ont déferlé en une si petite période de temps ni causé un tel sentiment de terreur parmi les opinions. Jamais non plus nos choix politiques et sociaux n'ont été autant influencés par la terreur. Alors que les générations de l'après-guerre ont connu une période historique exceptionnellement longue de paix et de stabilité dans tous les domaines, notre génération aura connu le réchauffement climatique, l'épuisement du pétrole, l'endettement des états, la crise économique, la crise financière, les pandémies, les désastres naturels, les catastrophes nucléaires et enfin le terrorisme. Un longue litanie de désastres et de chocs consécutifs qui ont profondément marqué les esprits, créant une véritable culture du catastrophisme, illustrée par la popularité des prophéties apocalyptiques comme celle de 2012, culture alimentée et entretenue par Hollywood où l'Armagédon et ses flots ininterrompus de zombies ont balayé toute trace de positivisme. Pourtant, à y regarder de plus près, la somme de ces dangers, qu'ils soient réels ou qu'il ne constituent que de simple phobies, n'approche en rien les périls qu'on traversé nos aïeux par exemple lors des deux premières guerres mondiales. Ainsi le nombre total des victimes civiles de la IIe guerre mondiale dépasse les 40 millions (30 millions rien qu'en Chine et URSS). http://fr.wikipedia.org/wiki/Bilan_de_la_Seconde_Guerre_mondiale Un bilan autrement plus dramatique que les victimes de la "Guerre contre le terrorisme" qui nous a pourtant conduit, en Occident, à sacrifier nombre de nos libertés en échange de plus de sécurité. Cette mise en perspective devrait nous amener à nous questionner sur la hiérarchie des dangers qui nous environnent, que ce soit dans la vraie vie où juste dans l'agitation médiatique et à porter un regard critique sur les choix politiques que nous acceptons en vertu des dangers réels ou imaginaires que nous percevons. D'un autre coté, nous devrions sans doute regarder de façon lucide les évolutions successives et cumulatives apportées, choc après choc, au consensus social et éthique de notre civilisation et des grands principes qui ont émergé de victoires sur les barbaries de la première moitié du XXe siècle. Le détricotage du droit international (la non ingérence, la convention de Genève, l'autodétermination des peuples) est le pendant diplomatique de la dérégulation financière et commerciale. Ces deux faces de la même médaille ont aboutit à l'actuelle rupture de l’équilibre géopolitique et économique du monde, précédant nécessaire à l'établissement de ce qu'il est désormais convenu d'appeler un Nouvel Ordre Mondial dont les tenants ne cachent plus la finalité un gouvernement mondial unique (One World Government). Ce projet, longuement caressé par les utopistes internationalistes du XIXe siècle, des marxistes en passant par les fabiannistes, est en passe de devenir réalité sous l'action de longue haleine d'une élite oligarchique et impérialiste. Cependant, l'instauration de ce gouvernement mondial unique, que le politiquement correct désigne sous l'euphémisme de "gouvernance" ne se fait pas sous de bons augures ce qui ne présage pas favorablement de son régime et l'utopie internationaliste risque bien d'accoucher d'une dystopie assez semblable aux Meilleur des Monde prophétisé par Aldous Huxley dès les années 30. En Occident ou plus exactement de "notre" coté du gap (voir la Nouvelle Carte du Pentagone) la propagande, l'intoxication, la banalisation de la torture, la mise en place de régimes policiers, les lois d'exception, la surveillance numérique offrent un avant goût des valeurs du nouveau régime. Des menaces nouvelles se succèdent dans les médias sans laisser de répits aux opinion. La peur du réchauffement climatique a justifié l’établissement de l'Agenda21, premier plan d'action mondial généralisé dont l'implémentation locale viole tous les principes démocratiques et vise à modifier radicalement et unifier l'organisation sociale à travers le globe. La peur du terrorisme, fondé sur la false flag operation (opération sous fausse bannière http://fr.wikipedia.org/wiki/False_flag ) du 11 septembre 2001 un a ouvert la voie à l'implémentation de lois liberticides, l'implication des armées dans le maintien de l'ordre civil et le maintien de l'état d urgence aux USA depuis 10 ans maintenant. La peur de la grande dépression a permis aux plus grands financiers mondiaux de mettre la main en 2008 sur un trillion de $ d'argent du contribuable américain (Housing and Economic Recovery Act et Public Law 110-343) ce qui en fait le plus grand hold-up de l'Histoire. La peur du déclassement des états par les agences de notations permet maintenant de liquider le bien public, non seulement en Grèce pais dans toute l'Union Européenne.
La peur de la pandémie de grippe A, à l'issue d'une campagne éhontée de panique médiatique, a fait jeter par la fenêtre des milliards d'€ au plus grand bénéfice des firmes pharmaceutiques et a amené à vacciner des milliers de gens sans aucun bénéfice pour leur santé. Cette opération est une extension du Prepardeness Program de la FEMA, l'autorité militaire (liée au Pentagone) en charge de la gestion des crises d'urgence aux USA. Les moyens administratifs et politiques de la FEMA ont cru hors des proportions raisonnables avec l'administration Bush, qui, par une suite de décrets (executive orders) en a fait un gouvernement de substitution autorisé à suppléer aux autorités civiles élues en cas de crise environnementale, économique ou industrielle. Cette doctrine, connue sous le nom de Continuity of Government, sur les implications de laquelle le congrès n'a pas pu enquêter, ouvre la porte à un coup d’état militaire renversant la république aux USA à la faveur de la moindre crise d'envergure -accidentelle ou provoquée-. A la frontière du Nouvel Ordre Mondial se trouve ce que le pentagone appelle le gap, l'ensemble des gouvernements non encore échafaudés. A la frontière du gap nous assistons depuis les guerres balkaniques à la déstabilisation successive des régimes existants soit par des insurrections séparatistes soit par des révolutions colorées, toutes deux soutenues par des bombardements "humanitaires" cependant qu'une propagande violente et exclusive démonise les régimes en place. Dans le même temps les journalistes du pays déstabilisé sont considérés comme des cibles militaires, en violation des conventions internationales. Par delà le gap s'est crée un bloc nouveau, dont les médias ne nous parlent pas, à partir de la signature du Traité de Shanghai. Ainsi presque personne ici n'a entendu parler de l'Organisation de coopération de Shanghai ni de l'alliance militaire l'Organisation du traité de sécurité collective.
Pourtant, ce nouveau bloc asiatique, fondé par la Chine et la Russie, auxquelles l'Inde, l'Iran et le Pakistan se sont progressivement joints représente désormais le principal adversaire de l'Occident et de son programme de Nouvel Ordre Mondial. La puissance et la détermination de cette nouvelle alliance n'est pas à négliger, et la politique hégémonique de l'oligarchie mondiale a poussé de nombreux pays d’Asie dans leurs bras, conduisant à une prévisible confrontation sur 3 terrains : La finance mondiale, l’énergie (les gisements de la Caspienne) et la stratégie militaire.
Le danger de déflagration est d'autant plus important que la situation de chaos social et économique organisé par les élites financière pour imposer le Gouvernement Mondial Unique aux états-nations d'occident est perçu comme une faiblesse par les puissances montante d’Asie qui ont chacune une revanche à prendre sur l'impérialisme anglo-saxon. Un bloc asiatique tout disposer à reprendre pied dans sa zone périphérique d’Asie centrale où les USA et l'OTAN peinent à maintenir leurs forces expéditionnaires en état opérationnel en raison de la crise financière occidentale. Les conditions sont donc réunies pour amener à une déflagration dans la région, sans doute avec l'Iran comme détonateur, impliquant immanquablement les quatre puissances nucléaires voisines.Et ce d'autant plus que les interêts économiques communs qui liaient la Chine aux USA s'éffrite à mesure que le dollar se dévalue. Les véritables raisons que nous avons d'avoir peur ne résident donc sans doute pas dans la fin du calendrier Maya, l'apparition d'une comète ravageuse ou une pandémie nous transformant en zombies. Elle réside dans la folle idéologie globaliste qui va nous conduire soit à une confrontation sanglante avec le bloc asiatique soit à l'instauration d'une tyrannie planétaire où chacun d'entre nous ne sera plus qu'un numéro gravé sur une puce RFID.
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La Turquie expulse l'ambassadeur d'Israël (le Monde)
La Turquie a décidé d'expulser l'ambassadeur d'Israël à Ankara et de suspendre tous ses accords militaires avec Tel-Aviv, a annoncé, vendredi 2 septembre, le ministre des affaires étrangères turc, Ahmet Davutoglu.
M. Davutoglu a ajouté que son pays s'apprêtait à réduire ses représentations diplomatiques en Israël : "Les relations entre la Turquie et Israël sont ramenées au niveau de deuxième secrétaire (d'ambassade). Tous les responsables ayant un rang supérieur à celui de deuxième secrétaire, comme l'ambassadeur, rentreront dans leur pays avant mercredi."
Le chef de la diplomatie turc avait déjà prévenu, jeudi, que son gouvernement mettrait en œuvre son "plan B" de sanctions si Israël ne présentait pas ses excuses à Ankara pour l'abordage de la flottille vers Gaza d'ici à la publication d'un rapport de l'ONU sur le sujet. L'assaut lancé par des commandos israéliens dans les eaux internationales en 2010 avait coûté la vie à neuf Turcs (note d'Etzbetzion : rappelons quand même que l'armée israélienne n'avait pas prévu que lors de cet assaut elle se trouverait confrontée à un véritable commando terroriste et que ses soldats dont plusieurs ont été grièvement blessés auraient été lynchés si l'Etat major israélien n'était intervenu et n'avait envoyé des renforts. C'est donc en état de légitime défense que nos soldats ont été forcés de tuer ces "terroristes").
Après le raid, qui s'était déroulé dans les eaux internationales, la Turquie avait rappelé son ambassadeur à Tel-Aviv. L'Etat hébreu s'est dit prêt à exprimer ses regrets et à verser des fonds "à titre humanitaire" aux parents des victimes, mais a refusé de s'excuser pour ne pas exposer ses soldats à des poursuites judiciaires.
Dans son rapport publié officiellement vendredi, l'ONU dénonce une opération de la marine israélienne "déraisonnable" et "excessive", mais reconnaît la légalité du blocus naval. Israël a déclaré qu'il accepterait le document avec des "réserves ponctuelles".
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