Noam Shalit, le père de Guilad, le soldat kidnappé par les terroristes de Gaza, doit se rendre à New-York dans la nuit de dimanche à lundi pour une série de rencontres avec des personnalités haut placées de l’Onu, avant l’assemblée générale. Les représentants de différents pays, ainsi que les responsables d’activités humanitaires au sein de l’organisation font partie de son agenda. La famille Shalit a récemment dépêché un courrier aux pays membres au sujet du vote pour la proclamation d’un Etat terroriste en terre d’Israël. Elle y a soutenu: «La poursuite de l’emprisonnement de Guilad comme otage à des fins de chantage et de marchandage sur le territoire de l’AP qui demande à être reconnue est une violation flagrante de la loi internationale.»

Les autorités du Soudan ont fait savoir « qu’elles étaient inquiètes de le tournure (positive) de relations qui s’instaurent entre Israël et le nouvel Etat du Sud-Soudan ». Un porte-parole du ministère soudanais des Affaires étrangères est allé jusqu’à dire « que les relations entre Israël et le Sud-Soudan étaient susceptibles de déstabiliser la sécurité du Soudan » !! Une délégation israélienne s’est rendue récemment au Sud-Soudan pour discuter des modalités de l’établissement de relations diplomatiques entre les deux pays et le président du Sud-Soudan, Salva Kiir a annoncé au député israélien Dany Danon (Likoud) « qu’il comptait ouvrir une ambassade à Jérusalem ». Quant au président musulman du Soudan, Omar Al-Bachir, il est sous le coup d’un mandat d’arrêt international pour crime de guerre, crime contre l’humanité et génocide dans le cadre de la guerre civile au Darfour.

L’essence même de la révolution sioniste visait à conférer au peuple juif la capacité d’une vie nationale sur sa propre terre, ramener les enfants d’Israël dans leur patrie historique  et ne plus dépendre des soubresauts antisémites de l’Histoire. En particulier, le but de notre sionisme national est  de permettre au peuple juif de ne pas subir mais d’agir, de prendre son destin en ses propres mains. Cela signifie que l’avenir du peuple d’Israël doit se décider à Jérusalem, dans sa capitale éternelle et réunifiée, militairement et politiquement libérée. C’est au cœur de notre ville sainte que doivent être prises les décisions concernant notre existence. Dans notre Jérusalem et non à Washington, Paris ou Bruxelles. Dans notre Jérusalem et certainement pas à Ramallah ou Gaza.

Les dramatiques accords d’Oslo ont vécu. Tous les engagements pris par la partie arabe ont été bafoués. Les arabes de Judée Samarie et de Gaza ont exploité ces maudits accords pour créer une base terroriste, perpétrer des actes meurtriers  et tuer des Juifs. Le bluff palestinien d’un pseudo peuple établi sur la Terre d’Israël et ayant des droits nationaux doit prendre fin.

Les dernières initiatives arabes unilatérales pour  décréter un Etat indépendant sur la partie occidentale de la Terre d’Israël  grâce à la majorité automatique arabo-musulmane de l’Onu sont la preuve la plus flagrante de l’inexistence de tout accord. Ce vote de l’ONU sera obtenu sans difficulté avec le soutien des états de cette vieille Europe munichoise qui a oublié ses origines et est en voie d’islamisation accélérée.

Il ne sert à rien d’adresser des pétitions à ce conseil international, ce »machin » qui  ne retrouve toute sa joie d’existence que dans des résolutions condamnant Israël. Il ne sert à rien d’en appeler au sens des responsabilités ou aux valeurs civilisatrice des Européens marquée par la  traditionnelle hostilité  du Quai d’Orsay et les manœuvres arabisantes électoralistes de l’Elysée.

La seule réponse…

Le devoir des amis d’Israël, des vrais et sincères amis, est d’exiger et de soutenir une réaction saine, courageuse et lucide de la part du Gouvernement de l’Etat d’Israël. Au moment où se dessine une coalition mondiale  de soutien d’Israël, nous devons pousser le gouvernement de l’Etat Juif à apporter la seule réponse adéquate à ces années de terrorisme, à ces accords jamais respectés.

Il n’y a qu’une seule réponse à ceux qui se prétendent nos « amis » et à nos ennemis désireux de nous voir reculer aux « frontières » de 1967, diviser notre capitale et permettre aux terroristes de bénéficier d’un territoire  sans aucune antériorité historique, politique, juridique. A la coalition des ennemis  qui nous souhaite des frontières qu’Abba Eban définissait comme des frontières « d’Auschwitz » pour le peuple Juif, doit retentir la réponse juive et sioniste: Annexion. La loi souveraine juive doit être étendue à la Judée Samarie et tous les villages et cités juifs de ces régions doivent passer sous la loi israélienne.

Annexion et réparation d’une erreur qui dure  depuis 1967. Annexion et restitution de la Terre d’Israël à son  seul propriétaire, unique et légitime: le Peuple d’Israël. Annexion et exposé devant le monde de ce bluff « palestinien ». Annexion immédiate.

Annexion et mobilisation de tous nos amis dans le monde qui sont nombreux mais ne peuvent être plus royalistes que le Roi. On ne peut demander à nos amis lucides et aux Juifs fidèles à leur histoire de défendre des droits juifs que les Juifs eux-mêmes abandonnent.

Soutien international…

Cette demande d’annexion est  soutenue par le Likoud Mondial et doit circuler dans tous l’es foyers amis d’Israël. Signez la pétition au Gouvernement de l’Etat d’Israël et faites la signer par vos parents et vos enfants, vos amis et vos connaissances, par les enfants d’Israël et par nos amis justes parmi les Nations. Cette pétition internationale doit recueillir des centaines de milliers d’adhésions et les francophones doivent figurer dans une place de choix.

Faites circuler et signer la pétition pour dresser le drapeau bleu blanc frappé de l’Etoile de David sur toute la Terre d’Israël de la Mer au Jourdain.

Jacques KUPFER

Président  u Bloc National des Juifs Francophones

Coprésident du Likoud Mondial.

PETITION

Les soussignés constatent que la demande unilatérale de reconnaissance d’un Etat « palestinien » par l’ONU représente la touche finale de l’annulation des accords conclus et en particulier des accords d’Oslo.

En conséquence, ils demandent au gouvernement israélien d’étendre sa souveraineté juive sur la Judée et Samarie et établir la loi israélienne sur toutes les villes et localités juives qui y sont  établies.

L’annonce faite par le Premier ministre Binyamin Netanyahou de son refus de présenter des excuses à la Turquie a été reçue avec soulagement et joie par l’unité d’élite de Tsahal « Shayetet 13 » dont les valeureux soldats avaient participé à l’abordage du bateau « Marmara ». Ces derniers mois, les soldats de la « Shayetet » avaient fait part de leurs inquiétudes après les rumeurs indiquant que Netanyahou cèderait finalement au diktat turc. « Nous sommes tous fiers de notre Premier ministre, qui a su sauvegarder l’honneur national » dit l’un des soldats. Un autre indique « que des excuses auraient été interprétées comme un crachat à leur figure, car il est facile de juger les choses après coup, mais sur le moment, les soldats ont réellement risqué leurs vie ». Le père de l’un des soldats présents sur le bateau a remercié le Premier ministre « en tant que père mais aussi en tant que citoyen », car dit-il « à court terme c’et une décision qui passe peut-être difficilement, mais à long terme, cela n’apportera que du bien à Israël ».