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Le franc suisse implose (News 26)

Le franc suisse a perdu près de 10% contre l'Euro. La Banque nationale suisse a déjà annoncé qu'elle allait empêcher l'appréciation du franc par tous les moyens. Le franc suisse sera-t-il rattaché à l'euro? La BNS fixe un cours plancher de 1,20 franc pour un euro.

 

Le franc suisse a connu mercredi la plus importante chute de son cours de toute son histoire. La monnaie a chuté de 1,11 à 1,20 pour un euro. Le contexte sont les déclarations faites par les chefs de la Banque nationale suisse, qui prévoient une menace pour l'existence du pays si le franc suisse devait continuer à augmenter.

La Banque nationale suisse (BNS) passe à la vitesse supérieure dans sa lutte contre l'appréciation du franc face aux autres devises. Elle a fixé mardi un cours plancher de 1,20 franc pour un euro.

"Dès ce jour, la BNS ne tolérera plus de cours inférieur à 1,20 franc pour un euro sur le marché des changes", selon son communiqué. Elle le fera prévaloir "avec toute la détermination requise", prête à acheter des devises en quantité illimitée.

L'institut d'émission monétaire souligne que la surévaluation actuelle est extrême et constitue une grave menace pour l'économie suisse. Le phénomène recèle même le risque de développements déflationnistes.

Mais même avec un taux de change de 1,20 franc pour un euro, la monnaie suisse reste à un niveau élevé, concède la BNS. Celle-ci prendra donc des mesures supplémentaires si les perspectives économiques et les risques de déflation l'exigent.


 

 

Déclaration du Général Eisenberg (Drzz.info)

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Eisenberg

Eyal Eisenberg (à droite)

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Le Général israélien Eyal Eisenberg a fait quelques déclarations qui relèvent tout simplement du bon sens. Néanmoins, certains se sont « émus » de ses propos, au point de les sortir de leur contexte, et, ainsi, de les déformer. Ci-dessous, le texte de ce qu’a dit le Général Eisenberg.

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« Le Commandement du Front Intérieur doit faire face à une situation complexe », a expliqué le Général de Division Eisenberg. « Les tirs de missiles et de roquettes sur la population civile d’Israël constituent aujourd’hui l’une des menaces principales et le Front Intérieur serait désormais en première ligne dans le cas d’un conflit. La force et la préparation du Front Intérieur et de la population civile décideront de l’issue de la prochaine guerre ». « L’Iran n’a pas abandonné son programme nucléaire », a rappelé le Général Eisenberg. « L’Armée Égyptienne ne semble pas en mesure de remplir l’ensemble de sa mission comme le prouve la situation actuelle à la frontière israélo-égyptienne. Autrefois calme, elle constitue désormais une cible et un point d’entrée stratégique pour les terroristes. La possibilité que la péninsule du Sinaï devienne une entité islamique est aujourd’hui réelle. Sur le plan stratégique, je pense qu’il est important que la situation à notre frontière avec l’Égypte redevienne calme. De plus, la situation en Syrie et la détérioration des rapports entre Israël et la Turquie augmentent très sérieusement la possibilité d’une guerre généralisée au Moyen-Orient sur le long terme ».

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Voilà, tout simplement, ce qu’a dit le Général Eisenberg.

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En quoi et pourquoi cela pose-t-il un problème à certains ?

 

 

Les nouveaux champs de bataille d'Al-Qaida (Jforum.fr)

La nébuleuse djihadiste a été contrainte de changer ses modes d’action, mais elle n’a pas rendu les armes.

Il y a quelques années, les services de renseignements marocains et français réussirent à démanteler une cellule d’al-Qaida implantée à Tanger, qui devait commette un attentat à l’explosif. Ses commanditaires ne venaient pas du Pakistan, où se cachait Oussama Ben Laden, mais d’Arabie saoudite. Et au Maroc, ses agents opérationnels avaient recruté, comme couverture, un proxénète qu’ils rétribuaient grassement.

« Les terroristes sont prêts à s’allier avec des gens à l’opposé de leurs supposés principes », rappelle un maître espion. Et dix ans après la tragédie du 11 Septembre, poursuit un de ses collègues policiers, « le monde est désormais confronté à une dynamique de menaces régionales posées par les succursales d’al-Qaida à travers la planète ». Traquée par les drones américains à la frontière afghano-pakistanaise, la direction d’al-Qaida, autour d’Ayman al-Zawahiri, qui a succédé à Ben Laden après son élimination, en mai, ne constitue plus la menace principale pour l’Occident.

Diffuse, celle-ci est aujourd’hui portée par les branches d’al-Qaida dans la péninsule arabique (Aqpa), au Maghreb (Aqmi), et plus généralement en Afrique, où « elle se métisse avec de la criminalité organisée et des trafics en tout genre".

Un « second Afghanistan »

Sous la contrainte, les modes d’action aussi ont évolué. Ben Laden rêvait de rééditer un attentat d’envergure comme ceux du 11 septembre 2001. Souvent à court d’argent, les terroristes privilégient désormais l’attentat-suicide en solitaire, plus facile à réaliser, ou encore l’empoisonnement à partir d’une recette dénichée sur Internet, sans oublier les prises d’otages, appelées encore à se développer, en Afrique en particulier.

Parmi les filiales de l’organisation terroriste ayant vu le jour ces dernières années, al-Qaida dans la Péninsule arabique est la plus dangereuse, pour les Américains surtout. À la fois pour des raisons historiques et géographiques. Le Yémen, où Aqpa s’est sanctuarisée depuis 2009, est la patrie ancestrale de Ben Laden. Ses chefs - Nasser al-Wahishi et Qassem al-Rahimi - furent respectivement le secrétaire de Ben Laden et un cadre militaire d’al-Qaida en Afghanistan dans les années 1990. En outre, le Yémen est un « second Afghanistan », avec ses grottes pour se cacher et ses tribus qui prospèrent.

Ces dernières années, Aqpa a planifié deux attaques contre des villes américaines, qui échouèrent, et inspiré un jeune soldat américain d’origine musulmane qui réussit, lui, à tuer 13 militaires sur leur base. Aujourd’hui, Aqpa voudrait produire du ricin, un poison destiné à être dissimulé dans de petites bombes. La plus imaginative des filiales d’al-Qaida cherche ainsi à « monter » des attaques de moindre envergure, mais qui doivent susciter la panique au sein de la société américaine et l’hémorragie au sein d’une économie qui se trouverait contrainte de dépenser d’importantes sommes d’argent pour sécuriser le trafic aérien, notamment.

Pour l’exécution de ses sales besognes par des « terroristes maison », Aqpa et son prédicateur américain d’origine yéménite, Anwar al-Awlaqi, mise sur Inspire, son magazine en anglais sur le Net. Aqpa a également noué des contacts avec les Chebabs somaliens de l’autre côté de la mer Rouge, où affluent des apprentis djihadistes venus d’Europe et des États-Unis. Une éventuelle jonction entre Apqa et les pirates qui opèrent dans le détroit d’Aden inquiète aussi l’Occident. Mais ce sont surtout les conditions de la lutte antiterroriste à mener au Yémen qui viennent de conduire les Américains à un certain désengagement au profit de l’Arabie saoudite voisine, la seconde cible d’Aqpa. L’armée américaine construit actuellement un aéroport dédié aux drones dans le sud du territoire saoudien, non loin de la frontière yéménite, pour de futures opérations coups de poing chez le turbulent voisin, secoué depuis six mois par une révolte à l’issue encore incertaine.

Banditisme et rançons

Si al-Qaida en Irak a été très sévèrement affaiblie - grâce à l’appui des tribus -, en Afrique, en revanche, Aqmi se nourrit du terreau du banditisme, des rançons payées pour libérer les otages et, dernièrement, grâce aux canons et aux missiles sol-air récupérés dans les casernes du colonel Kadhafi. Encore loin des feux de l’actualité, une autre de ces menaces sévit plus au sud : celle de la secte Boko Haram, dans le nord-est du Nigeria. Une secte intégriste qui refuse non seulement les valeurs du christianisme, majoritaire au Nigeria, mais aussi toutes les autres valeurs occidentales. Comme au Yémen ou en Afghanistan, Boko Haram se nourrit de la décomposition de l’État nigérian. C’est elle qui vient de revendiquer l’attentat contre le siège des Nations unies, à Abouja, qui a tué 18 personnes il y a une semaine.

Georges Malbrunot

Le Figaro.fr

 

 

800 000 euros accordés par la Belgique pour des projets "anti-Israël" (Jforum.fr)

La Belgique a accordé ces trois dernières années 800.000 euros pour des "projets anti-Israël", affirme l’hebdomadaire Joods Actueel, qui se base sur un rapport de l’organisation NGO Monitor située à Jérusalem.

Le Premier ministre israélien devrait discuter de ce point lors d’une rencontre avec le Premier ministre belge Yves Leterme lundi. NGO Monitor a obtenu ses informations de l’ambassade belge à Tel Aviv.

Cet argent a été attribué à des organisations israéliennes qui, selon NGO Monitor, font "pour 90% d’entre elles, de la propagande politique contre l’Etat d’Israël". Elles promouvraient ainsi un boycott d’Israël et déposeraient des plaintes contre des responsables israéliens.

L’organisation Peace Now a obtenu à elle seule 200.000 euros. Joods Actueel pointe particulièrement du doigt l’association Yesh Din, qui a reçu 80.000 euros. Celle-ci soutiendrait les personnes qui décident de déposer plainte contre des dirigeants politiques israéliens, des allégations rejetées par Yesh Din.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu évoquera ce soutien financier lundi au cours d’une réunion avec son homologue belge. Michel Malherbe, porte-parole des Affaires étrangères, a entre-temps précisé au journal The Jerusalem Post qu’aucune ONG n’a été financée mais seulement des projets spécifiques.

"Nous enquêtons sur l’engagement des organisations et le respect des droits de l’homme est un point primordial", insiste-t-il. Le parlementaire Willem-Frederik Schiltz (Open Vld) a l’intention d’interpeller les ministres compétents sur cette question au parlement.

belga

7 sur 7.fr

 

 

Furure guerre contre l'Iran ? (Drzz.fr)

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Des « câbles diplomatiques » de l’ambassade américaine en Israël, « câbles diplomatiques » envoyées à Washington, contiennent-ils, des informations, sur la conception d’encerclement, militaire et politique, de l’Iran, que les Etats-Unis, Israël et leurs alliés dans certains pays du Golfe, mettraient en œuvre ?

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Ces « câbles diplomatiques » contiennent-ils des informations expliquant comment les Américains s’apprêtent à déstabiliser l’Iran ? Les Etats-Unis sont-ils prêts à contourner partiellement l’ONU, comme l’a fait la France avec Libye, en contournant la résolution du Conseil de sécurité sur la Libye ? Les Etats-Unis prévoient-ils, de se réserver, à eux-mêmes et à Israël, les « premiers rôles » ?

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C’est ce qu’allègue un journal russe (farouchement hostile à toute opération préventive cotre le nucléaire offensif iranien), la ‘Komsomolskaïa Pravda’, en s’appuyant, affirme ce même journal, sur des « informations » qu’il aurait « reçues » de la part de WikiLeaks. L’information ou ce qui en tient lieu a été reprise par l’agence de presse russe RIA NOVOSTI.

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Intoxication ? Manipulation ?

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La Russie du colonel Poutine n’est pas la source la plus fiable qui soit.

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Affaire à suivre - de très près - néanmoins…

 

 

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