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Nouvelles d'Israël (Guysen)

 

 
08:57    La pluie au rendez-vous de ce dimanche en Israël
L'automne s'annonce en Israël. Les premières averses sont attendues dans le nord et le centre du pays, ainsi que le long du littoral, et peut-être même au nord du Néguev dans la soirée. Quelques orages pourraient éclater.
 
08:54    Un accueil chaleureux attend Abbas à Ramallah cet après-midi
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas sera de retour ce dimanche à Ramallah, après sa campagne diplomatique à l'Onu, au cours de laquelle il a présenté la demande d'adhésion de l'Etat palestinien. Selon l'agence palestinienne Maan, un chaleureux accueil sera réservé cet après-midi à Ramallah à Abbas par des milliers de Palestiniens venus l'ovationner.
 
08:43    Israël : le cabinet restreint va examiner la proposition du Quartette
Le Premier ministre Binyamin Netanyahou doit réunir cette semaine le ''Forum des huit'', ou cabinet restreint, pour décider de la réaction officielle israélienne à la proposition du Quartette pour la relance du processus de paix. En Israël, on juge la proposition satisfaisante car elle appelle à la reprise immédiate des pourparlers directs, sans conditions préalables.
 
08:32    Lieberman appelle à adopter la proposition du Quartette
Le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, interviewé ce matin sur les ondes de Kol Israël, a appelé à adopter la proposition du Quartette pour la reprise du processus de paix. Cette proposition prévoit une relance du dialogue sans conditions préalables et la conclusion d'un accord d'ici un an. ''Nous avons toujours dit que nous sommes prêts à négocier, et j'espère que les Palestiniens prendront eux aussi leurs responsabilités, au lieu de les fuir, et commenceront à parler sérieusement. Avec toutes les réserves que j'ai par rapport à la proposition (ndlr-du Quartette), je pense qu'il faut l'accepter'', a-t-il affirmé.
''Abbas fuit les responsabilités, il a fui New York, il ne veut pas des négociations directes sans conditions préalables. Il a toujours posé des conditions et parle maintenant d'un gel de la construction ou de la réouverture des accords de Paris (un protocole économique signé après les accords d'Oslo). On peut trouver d'autres prétextes, mais il est clair qu'il n'a pas l'intention de mener des pourparlers de paix'', a-t-il ajouté.
 
08:21    Abbas satisfait de son discours à l'Onu
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas s'est dit très satisfait de son discours à l'Assemblée générale de l'Onu, et a fait le voeu que son nom soit associé à l'indépendance de la Palestine.
 
08:10    Abbas : Netanyahou est le plus inflexible des dirigeants israéliens
Le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou est le plus intransigeant des dirigeants israéliens à avoir négocié avec les Palestiniens, estime le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas dans une interview au journal panarabe Asharq al-Awsat publiée ce dimanche matin. Il cite dans ce contexte Itzhak Rabin, Shimon Pérès, Ariel Sharon, Ehoud Olmert et Tsipi Livni, omettant Ehoud Barak. Selon lui, il était possible de négocier avec tous ces leaders, ''mais Netanyahou campe sur des positions politiques inflexibles, presque idéologiques''.
 
07:56    Abbas réagira à la proposition du Quartette, après examen
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a indiqué samedi soir qu'il réagira à la proposition du Quartette pour la reprise du processus de paix, et à l'initiative du président français Nicolas Sarkozy, uniquement après examen par le leadership palestinien. Il a toutefois précisé, durant son vol de retour de New York, que les Palestiniens ne coopéreront pas aux initiatives ne comportant pas un gel de la construction dans les implantations et ne mentionnant pas les frontières de 67.
 
07:49    La Belgique a participé à la conférence de Durban III
Malgré les boycotts de nombreux pays, la Belgique a participé jeudi à New York à la conférence de Durban III, contre le racisme, en marge de l'Assemblée générale de l'Onu. Une décision défendue par son ministre des Affaires étrangères Steven Vanackere : "Le processus de Durban a été pris en otage par des pays qui veulent trouver des arguments contre Israël, mais ce n'est pas une raison d'être absent pour les pays qui veulent lutter contre les discriminations", avait-il affirmé. Le Premier ministre Yves Leterme avait quant à lui indiqué que la Belgique irait à Durban III pour ''écraser'' la voix ''des semeurs de haine''. Pour rappel, lors de ses deux précédentes éditions, la conférence de Durban s'est transformée en tribune anti-israélienne et antisémite.

 

 

DRRZ INFOS

Jeudi 22 septembre 2011 4 22 /09 /Sep /2011 09:48

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Il peut sembler insensé que tant de temps soit consacré à l’échelle planétaire à faire des courbettes à un terroriste non repenti, qui prétend poser en chef d’Etat, alors qu’il n’est qu’un chef de bande. C’est pourtant ce qui est en train de se passer.
 
L’un des premiers à adopter la posture du tapis de prière tourné vers la mosquée al Aqsa a été Nicolas Sarkozy : les élections approchent. Il y a cinq millions de musulmans en France et seulement cinq cent mille Juifs, les calculs sont très simples à effectuer quand on est sans scrupules. Outre les élections, il y a le lavage de cerveau généralisé qui fait que des millions de Français embrassent la cause palestinienne avec autant d’enthousiasme que leurs grands parents chantaient les louanges du maréchal Pétain. Un politicien suit les enthousiasmes : on sait depuis longtemps qu’on a affaire, là, à un politicien.
 
Barack Obama, j’en suis sûr, rêverait de prier dans la même direction que Nicolas Sarkozy, qu’il vient d’aider à installer des islamistes « modérés » au pouvoir en Libye, et il l’a montré tout au long des trente mois qui viennent de s’écouler, mais pour lui aussi les élections approchent, et s’il se comportait comme Nicolas Sarkozy, ce ne sont pas seulement les Républicains qui le critiqueraient, mais aussi un nombre certain de démocrates, qui veulent éviter que novembre 2012 soit, pour leur parti, une débâcle absolue. Obama est donc obligé de se modérer et de jouer provisoirement, contraint et forcé, le rôle de l’ami d’Israël. 
 
On voit là ce qui sépare les Etats-Unis de la France : les calculs électoraux aux Etats-Unis impliquent qu’on ne crache pas sur Israël. Le lavage de cerveau n’a pas touché autant d’individus qu’en France et en Europe. Et un politicien sans scrupules aux Etats-Unis, s’il veut partir à la pêche aux voix, doit faire l’inverse de ce que fait Nicolas Sarkozy.
 
Dans les jours qui viennent, d’autres discours se feront entendre. Celui de Mahmoud Ahmadinejad sera sans doute égal aux discours précédents du même personnage.
 
Un voix de décence se fera entendre, celle de Binyamin Netanyahu. Une autre voix de décence s’est fait entendre la veille des discours de Nicolas Sarkozy et de Barack Obama : celle de Rick Perry. Il a dit tout ce qu’il y avait à dire concernant la politique anti-israélienne d’Obama, concernant Israël, et concernant la question palestinienne. Comme son discours ne sera nulle part dans les médias français, je vais le traduire et le mettre en ligne sur drzz.fr. Il serait temps, de fait, qu’un Américain qui aime l’Amérique et ses valeurs, et qui aime Israël, soit à la Maison Blanche.
 
Pour l’heure, je suis consterné d’avoir à constater ce que devient la France, car ceux qui pourraient remplacer Nicolas Sarkozy seraient pire. Je suis consterné d’avoir à lire ce que la presse française écrit sur ce dossier comme sur tant d’autres, tout comme je suis consterné des effets du lavage de cerveau subi par la population française, comme par tant de populations européennes. Je suis consterné de voir les Etats-Unis placés dans la position où les place Barack Obama, et de voir ce que devient le monde depuis que Barack Obama est au pouvoir.
 
Je n’aurais pu imaginer un Président des Etats-Unis supplier un terroriste non repenti, et lui demander de ne pas présenter un texte aux Nations Unies. Il a fallu un Barack Obama pour voir ce spectacle indigne. 
 
Tout comme il serait temps que revienne à la Maison Blanche un Président américain digne de ce nom, il serait temps aussi qu’Israël brise le piège qui a été construit à Oslo il y a maintenant dix huit ans. 
 
A l’époque, le terroriste non repenti Mahmoud Abbas était à des milliers de kilomètres du Proche-Orient, en compagnie de son maître Yasser Arafat. L’organisation criminelle et terroriste appelée OLP était à Tunis. En acceptant les accords d’Oslo, les dirigeants israéliens ont permis le retour de l’organisation criminelle et terroriste en Judée-Samarie. La suite est connue, et s’écrit en lettres de sang : combien d’attentats ? combien de morts, de mutilés, de blessés ?
 
Et il faudrait récompenser ceux qui ont fait cela en leur donnant un Etat ? Qui dira aux Français et aux autres Occidentaux qu’à Ramallah, on ne cesse de faire l’éloge du terrorisme ? Qui dira que l’Autorité Palestinienne est une dictature crapuleuse, aux intentions génocidaires pas même dissimulées. Qui leur dira que dans les couloirs de l’ONU, les terroristes déguisés en diplomates de l’Autorité Palestinienne, distribuaient des papiers sur lesquels est tracée la carte de la Palestine qu’ils veulent : Israël n’y existe pas. L’Autorité Palestinienne est une imposture qui ne tient debout que grâce à l’argent occidental. Dans un article du Jerusalem Post paru ce jour, Michael Freund écrit que tout pays qui se déclare en faveur d’un Etat palestinien aujourd’hui, est un pays qui se déclare en faveur de l’anéantissement d’Israël et du peuple juif. Il a raison. 
 
Il y a vingt deux pays arabes aujourd’hui. La plupart d’entre eux sont vides de toute présence juive, et imprégnés d’antisémitisme. Les dirigeants occidentaux actuels peuvent dire qu’ils n’y sont pour rien. Quand des dirigeants occidentaux acceptent l’idée de donner un Etat à Mahmoud Abbas, ils acceptent en réalité la création d’une entité au projet génocidaire, et qui proclame officiellement qu’elle sera judenrein. 
 
Au rythme où on en est eu Europe, on peut poser la question : Mein Kampf figurera-t-il au programme scolaire dans quelques années ? 
 
Michael Freund écrit ceci dans son article, et je reprends ses mots : « Pendant 2.000 ans, les pays du monde ont dit aux Juifs qu’il n’étaient pas les bienvenus, et de rentrer chez eux. C’est ce qu’ils ont fait. Maintenant, ils entendent dire aux Juifs qu’ils doivent disparaître de leurs propres terres. Nous n’accepterons pas…. Nous devons tracer une ligne sur le sable, et envoyer au monde un message clair : le peuple juif a retrouvé Jérusalem et les collines de Judée. Il y restera. Vous devrez en prendre acte ».
 
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Guy Millière pour www.Drzz.fr
 

 

 

DRRZ

Discours-de-Sarkozy-a-l-ONU.png
Les mots du discours de Nicolas Sarkozy

Une image vaut mille mots, que vaut une image de mots ?
 
Grâce au site wordle.net (et grâce à un lecteur de Drzz.fr), je me suis livré au jeu suivant. J’ai fait mouliner les discours officiels de Mahmoud Abbas, de Benjamin Netanyahu, de Barack Obama et de Nicolas Sarkozy, sur le projet de reconnaissance d’un Etat palestinien par l’ONU (apparemment sans Gaza, qui n’a pas été cité une seule fois dans le discours de Mahmoud Abbas wink).
 
Ce travail a généré les images suivantes, qui permettent de constater la « sémantique visuelle » des discours, la place des idées, et les préoccupations de chacun des dirigeants.
 
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Les mots du discours de Mahmoud Abbas
 
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Les mots du discours de Benjamin Netanyahu
 
Discours-d-Obama-a-l-ONU.png
Et ceux de Barack Obama
 
 
Un certain nombre de vérités sautent aux yeux. D'autres sont moins visibles, mais non moins présentes. Faites-nous partagez vos remarques. 
 
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr
 

 

 

ISRAEL 7

 La vérité sort toujours de la bouche des terroristes…

[Jeudi 22/09/2011 21:15]

Le Hamas a fait savoir au Fatah d’Abou Mazen que sa démarche à l’ONU n’apporterait rien, mais qu’elle hypothéquait au contraire les chances de pouvoir libérer la Palestine. La phrase prononcée à ce propos par le n°2 du Hamas, Mahmoud A-Zahar mériterait d’être placée devant les yeux de tous les délégués réunis à l’ONU et qui s’apprêtent à voter en faveur de la création d’un Etat palestinien : « Si un Etat palestinien est créé maintenant par l’ONU, les Palestiniens ne pourrons plus continuer à lutter contre l’Etat d’Israël et s’opposer à son existence». Voilà c’est dit. La différence tactique entre le Fatah et le Hamas est ainsi clairement exposée : pour les premiers, les « modérés » dixit Tsipi Livni, la création d’un Etat palestinien sur les lignes d’avant 1967 leur permettrait de mieux se lancer dans l’étape suivante, alors que pour les seconds, la création d’un tel Etat rendrait plus difficile la légitimité de la poursuite du combat. L’objectif final restant le même pour les deux faces de Janus du terrorisme.

Comme quoi, le A-Zahar dit bien les choses…

 

 

Le Monde

Abbas donne des semaines à l'Onu pour se prononcer, pas des mois

24/09/2011 à 17h11

par Ali Sawafta

AMMAN (Reuters) - Mahmoud Abbas s'attend à une décision du Conseil de sécurité des Nations unies sur sa demande de reconnaissance d'un Etat palestinien dans un délai de quelques semaines.

"Nous parlons de semaines, pas de mois", a déclaré le président palestinien samedi aux journalistes qui l'accompagnaient dans l'avion le ramenant de l'Assemblée générale de l'Onu à New York.

Mahmoud Abbas a officiellement remis vendredi à Ban Ki-moon, secrétaire général de l'Onu, une demande de reconnaissance d'un Etat palestinien.

Comme le veut la procédure, cette requête a été transmise au Conseil de sécurité, seul habilité à se prononcer sur les demandes d'adhésion de plein droit à l'Onu.

Dans son avion, Mahmoud Abbas a déclaré que les membres du Conseil n'avaient pas paru enthousiastes dans un premier temps à l'idée d'examiner sa demande mais que leur attitude avait changé après son discours devant l'Assemblée générale de l'Onu, au cours duquel il a plaidé pour la reconnaissance d'un Etat palestinien à côté d'Israël.

Les Etats-Unis, membres permanents du Conseil, ont prévenu qu'ils opposeraient leur veto à une telle reconnaissance en cas de vote.

L'ambassadeur du Liban auprès des Nations unies, Naouaf Salam, a annoncé que le Conseil se réunirait lundi à 19h00 GMT pour examiner la demande palestinienne.

Au-delà même du veto américain, les Palestiniens ne sont pas certains d'obtenir auprès des 15 membres du Conseil la majorité de neuf voix qui serait nécessaire, en l'absence de veto, à l'adoption de leur projet.

Le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riad al Maliki, a tout de même exprimé son espoir de réunir cette majorité de neuf voix afin de parvenir à une victoire purement symbolique.

"Les consultations se poursuivent, notamment avec le Gabon, le Nigeria et la Bosnie-Herzégovine, qui doivent encore arrêter leur position", a-t-il dit à l'antenne de la radio publique.

"THÉÂTRE DE L'ABSURDE"

L'initiative des Palestiniens illustre leur désillusion après vingt années de discussions, sous le parrainage des Etats-Unis, qui n'ont pas permis de surmonter les principaux obstacles sur le chemin de la paix : la colonisation juive en Cisjordanie, le statut de Jérusalem et la question des réfugiés.

Les Palestiniens sont eux-mêmes divisés sur ce projet.

Si le discours de Mahmoud Abbas vendredi au siège new-yorkais de l'Onu a été suivi avec fierté en Cisjordanie, les islamistes du Hamas, qui contrôlent la bande de Gaza, ont jugé que les Palestiniens n'avaient pas à quémander la création d'un Etat.

S'exprimant à la tribune de l'Assemblée générale de l'Onu peu après Mahmoud Abbas, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a pour sa part réaffirmé que la paix pourrait être conclue uniquement par le biais de négociations directes. Le président américain Barack Obama soutient exactement la même position.

Vendredi soir, le "Quartet" de médiateurs internationaux sur le Proche-Orient, composé de l'Onu, des Etats-Unis, de l'Union européenne et de la Russie, a proposé un calendrier et une méthode de relance des négociations de paix directes entre Israéliens et Palestiniens.

Ces derniers ne disposent pour l'instant que d'un statut d'observateur à l'Onu. Ils pourraient aussi se tourner vers l'Assemblée générale, où une majorité simple suffit pour obtenir le statut d'Etat non-membre et intégrer ainsi certains organes de l'Onu. Les Palestiniens semblent assurés d'obtenir une majorité simple auprès des 193 membres de l'Onu.

Mahmoud Abbas reconnaît que des négociations sont nécessaires avec les Israéliens mais il considère que la reconnaissance d'un Etat placerait les Palestiniens sur un pied d'égalité avec leurs interlocuteurs.

Israël considère en revanche que la démarche palestinienne aux Nations unies, qualifiées de "théâtre de l'absurde" vendredi par Benjamin Netanyahu, vise uniquement à saper sa propre légitimité.

avec Tom Perry à Ramallah; Bertrand Boucey pour le service français

 

 

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