blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

etzbetzion

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Blog dans la catégorie :
Actualités

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

etzbetzion

France 2 et Charles Enderlin menacent de déposer plainte contre deux ministres israéliens


par Gerard Fredj (Israël Infos).
La semaine dernière, le gouvernement israélien endossait le rapport d'une commission ad hoc qui concluait que Mohamed Al-Dura n'avait pas été tué par l'armée israélienne, sous-entendant par là même le caractère spécieux du reportage de la chaîne de télévision France 2 et de son correspondant en Israël, Charles Enderlin.

Aujourd'hui, France 2 et Charles Enderlin exigent qu'Israël donne accès à toutes les informations recueillies dans le cadre de l'enquête et les rende publiques, une information révèlée par Haaretz mais étonnamment qui n'a été reprise ni par le reste de la presse israélienne ( l'article étant relégué sur le blog de Barak Ravid, un des éditorialistes vedettes du quotidien, qui couvre notamment les affaires diplomatiques), ni par la presse nationale française.
Seuls quelques sites pro-palestiniens s'en font l'écho.

La chaîne française menace donc d'entamer une action judiciaire contre le ministre de la Défense Moshe Yaalon et stratégique et le ministre en charge, notamment, du renseignement, Youval Steinitz - qui a supervisé l'enquête – si les éléments de l'enquête ne lui sont pas communiqués.

France 2 et Charles Enderlin ont transmis une lettre aux deux ministres, par l'intermédiaire du cabinet d'avocats Gilead Sher, demandant un certain nombre d'éléments en particulier la lettre de mission de la commission d'enquête, sa composition, les témoignages recueillis ainsi que le détail des débats.

"Nos clients sont aujourd'hui lésés puisqu'ils n'ont pas pu faire valoir leurs arguments, et alors que cette commission néglige toutes les règles élémentaires de justice dans cette affaire, ils exigent de recevoir immédiatement toutes les informations" demandées, faute de quoi ils saisiront les tribunaux" affirmerait le cabinet d'avocats.
Une démarche confirmée par Louise Sportas, l'avocate de Charles Enderlin.

La lettre insiste sur le fait que ni France2, ni Charles Enderlin n'ont été contactés par la commission pour exprimer leur point de vue, dans le cadre de ses travaux, ou avant la publication du rapport (contrairement à ce qu'affirme le document selon lequel ni la chaîne ni le journaliste n'avaient souhaité témoigner).
" Cela est significatif de la manière dont l'enquête a été conduite et de ses objectifs.
On peut se demander sérieusement quel est l'objectif du rapport et de sa publication treize ans après les faits", précise le courrier. 

La commission d'enquête est accusée de présenter une vision "unilatérale et déformée", la date de publication du rapport n'étant pas innocente, selon les avocats, alors que les tribunaux français doivent se prononcer sur la plainte en diffamation de France 2 contre Philippe Karsenty, un délibéré repoussé à deux reprises.

Dans un tweet, jeudi soir, Charles Enderlin, affirmait, sur les menaces de poursuites judiciaires contre Israël : " Faux !" puis dans un second tweet, " Faux ! Pas contre Israël en fait : procédure pour les infos de la commission sur Al Dura si le ministère ne les donne pas".
Alors contre qui la procédure? 

 

 

Syrie : l’UE lève l’embargo sur les armes à destination des rebelles (Europe-Israël)

Les ministres européens des Affaires étrangères ont décidé lundi soir à Bruxelles de lever l’embargo sur les armes pour les rebelles syriens, a annoncé le ministre britannique William Hague. (c) Afp

BRUXELLES (AFP) – Les ministres européens des Affaires étrangères ont décidé lundi soir à Bruxelles de lever l’embargo sur les armes pour les rebelles syriens, mais aucun pays n’a l’intention d’en envoyer dans les deux prochains mois afin de ne pas mettre en danger l’initiative de paix russo-américaine alors que la guerre fait rage sur le terrain.

« L’UE a décidé de mettre fin à l’embargo sur les armes pour l’opposition syrienne et de maintenir les autres sanctions contre le régime syrien », prises il y a deux ans, a annoncé le ministre britannique William Hague en milieu de nuit à l’issue d’une réunion marathon.

 

Mais, dans les faits, elle ne devrait rien changer pour les rebelles qui font face à l’offensive de l’armée syrienne, en particulier autour de la ville stratégique de Qousseir (centre).

Car les 27 « se sont engagés à s’abstenir d’exporter des armes à ce stade et, en tout état de cause, à appliquer un certain nombre de critères stricts à d’éventuelles exportations futures », a expliqué le ministre luxembourgeois Jean Asselborn.

« C’est une levée théorique de l’embargo. Concrètement, il n’y aura pas de décision de livraison avant au minimum le 1er août », a de son côté indiqué un haut responsable français, ayant requis l’anonymat.

Aucune arme ne devrait ainsi être livrée d’ici au 1er août, date avant laquelle les ministres ont prévu de « réexaminer » leur position. Ce délai devrait leur permettre de dresser un premier bilan de la conférence internationale « Genève 2″ prévue en juin à l’initiative des Etats-Unis et de la Russie.

L’organisation d’une telle conférence de paix sur la Syrie ne sera « pas une mince affaire », a prévenu lundi soir le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, à l’issue d’un entretien à Paris avec son homologue américain John Kerry.

« Nous avons discuté des moyens de procéder (…) pour que cette conférence ait lieu. ce n’est pas une tâche facile, ce n’est vraiment pas une mince affaire », a déclaré Sergueï Lavrov, dont le pays soutient le régime de Damas.

MM. Lavrov et Kerry, dont c’est la 6e rencontre depuis la prise de fonction de John Kerry en février, venaient de s’entretenir dans un grand hôtel parisien pour discuter de la date d’une conférence de paix et des représentants de l’opposition syrienne et du régime du président Bachar al-Assad qui y participeraient.

« Comme l’a dit John, nous nous sommes avant tout concentrés sur la nécessité de déterminer la liste des participants du côté syrien, le groupe du gouvernement et celui de l’opposition, comme nous en avions parlé à Moscou », a expliqué M. Lavrov.

Si Damas a donné son « accord de principe » pour participer à « Genève 2″, l’opposition syrienne, réunie depuis jeudi à Istanbul, apparaît profondément divisée et ne s’est pas encore prononcé sur sa présence. Les négociations se poursuivaient lundi soir sans signe de progrès, selon un membre de la Coalition syrienne.

Armes chimiques

Le ministre russe des Affaires étrangères a souligné que la conférence de paix pourrait être « élargie pour inclure tous les acteurs clefs », dans la région. Moscou souhaite de longue date que l’Iran, soutien du régime de Damas, participe aux négociations, ce que les Occidentaux refusent.

En juin 2012, la première conférence de Genève avait rassemblé les chefs de la diplomatie des cinq membres permanents du Conseil de sécurité (Etats-Unis, Chine, Russie, France et Grande-Bretagne), des représentants de l’Irak, du Koweït, du Qatar, de la Turquie, et de responsables de l’ONU et de l’Union européenne.

MM. Lavrov et Kerry ont ensuite dîné dans un restaurant de la capitale française avec leur homologue Laurent Fabius, de retour de Bruxelles.

Avant de quitter Bruxelles, M. Fabius a affirmé qu’il y avait « des présomptions de plus en plus fortes, de plus en plus étayées, d’usage localisé d’armes chimiques » en Syrie.

La France va analyser les échantillons de potentielles armes chimiques rapportés de Syrie par des journalistes du quotidien français Le Monde, a annoncé mardi un haut responsable français sous couvert de l’anonymat.

Deux envoyés spéciaux du Monde, présents en Syrie en avril et mai, ont témoigné lundi dans le quotidien français de l’utilisation d’armes toxiques contre les forces rebelles qui tiennent les faubourgs de Damas.

La question des armes chimiques a été abordée par MM. Kerry, Lavrov et Fabius lundi soir, a indiqué le responsable français, ajoutant: « la question des armes chimiques peut introduire une situation différente car les lignes de clivage (avec les Russes) ne sont pas les mêmes que sur le conflit syrien ».

L’utilisation d’armes chimiques fait l’objet de soupçons depuis déjà quelques semaines dans plusieurs endroits de Syrie, mais n’a pas été formellement prouvée.

L’ONU demande en vain à Damas de laisser ses experts enquêter sur les accusations réciproques adressées par le pouvoir et l’opposition concernant le recours à ces armes.

Combats acharnés, « cauchemar » humanitaire et social

Epaulée par les combattants du Hezbollah libanais, dont au moins 79 hommes ont été tués en une semaine selon une ONG syrienne, l’armée syrienne livrait lundi des combats acharnés pour s’emparer de la ville de Qousseir (centre).

Les insurgés défendent bec et ongle cette ville et ses environs, zone stratégique aussi bien pour les rebelles que pour le régime car elle se trouve sur le principal axe vers le Liban, et sur la route reliant Damas au littoral, base arrière du régime.

A Homs, dans le centre de la Syrie, au moins quatre personnes ont été tuées et des dizaines d’autres blessées dans l’explosion d’une voiture piégée, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

Et les craintes de voir le Liban entraîné dans la guerre se sont encore accrues avec de nouveaux tirs d’obus, depuis la Syrie, sur un fief du Hezbollah dans l’est du Liban. Au moins une femme a été tuée lorsque trois obus lancés depuis la Syrie se sont abattus près de la ville de Hermel, a affirmé à l’AFP un responsable des services de sécurité.

 

 

Nouveau scandale de la diplomatie française : Jérusalem n'est pas en Israël !

Encore une fois, le gouvernement français démontre qu’il considère que la ville de Jérusalem ne fait pas partie de l’Etat d’Israël : Lors de la publication des résultats du 1er tour des élections législatives de la 8ème circonscription comprenant notamment Israël, nous découvrons que la ville de Jérusalem n’est pas incluse dans les villes israéliennes.

Ce n’est pas la première fois que la diplomatie française « oublie » volontairement de considérer Jérusalem comme une ville israélienne, le Quai d’Orsay doit surement estimer que la capitale de l’Etat d’Israël appartient déjà au futur Etat palestinien… C’est un scandale de plus à rajouter à la longue liste de la diplomatie française qui décidément ne comprend rien au Moyen-Orient.

Que Fabius, ou ses prédécesseurs, le veuillent ou non, Jérusalem est la capitale de l’Etat d’Israël et le restera éternellement. Jérusalem est aussi la capitale religieuse du peuple juif et des chrétiens, mais en aucun cas celle des musulmans qui tentent de réécrire l’histoire pour en faire une ville sainte de l’Islam, prétextant un rêve que le Prophète aurait fait alors que Jérusalem n’est pas citée une seule fois dans le Coran.

Si le Quai d’Orsay s’imagine sûrement ouvrant une future ambassade d’un hypothétique Etat palestinien à Jérusalem, c’est qu’il n’a décidément pas compris que jamais Israël, ni les juifs, n’abandonneront Jérusalem ! Jamais Israël, ni les juifs, ne cèderont un pouce de cette ville sainte entre toutes !

Les Etats Unis ont reconnu que Jérusalem était bien la capitale d’Israël mais la France s’obstine toujours à refuser de reconnaître cet état de fait depuis 1980 ! Absurdité d’une diplomatie totalement acquise aux causes arabes depuis plus de 40 ans !

Quarante années d’une diplomatie qui s’est toujours trompée, qui a toujours fait les mauvais choix au nom du pétrole et de « l’amitié franco-arabe »… Les ministres des affaires étrangères se suivent mais les positions sont toujours les mêmes: un aveuglement pro-arabe et pro-palestinien quoi qu’il arrive.

La Loi de Jérusalem est l’une des Lois fondamentales d’Israël. Adoptée le 30 juillet 1980 par la Knesset, elle proclame Jérusalem « une et indivisible » comme la capitale de l’État d’Israël. Sous occupation jordanienne de 1948 à 1967, la conquête de Jérusalem-Est à l’issue de la Guerre des Six Jours a permis aux Israéliens de considérer que la ville était de facto réunifiée.

La Loi de Jérusalem traite également :

  • du lieu des institutions israéliennes dans la ville de Jérusalem,
  • des lieux saints de la ville et des droits des membres de toutes les religions,
  • du développement de la ville.

Que la France reconnaisse ou non que Jérusalem est la capitale d’Israël, il n’en reste pas moins que Jérusalem est bien une ville israélienne !

© Christian De Lablatinière pour www.europe-israel.org

 

La Gueniza du Caire (Israël infos)

La super technologie rencontre l'Histoire : la Gueniza du Caire bientot reconstituée
par Mylène Sebbah
Lorsqu'il aura achevé sa tâche le 25 juin prochain, le supercalculateur de l'Université de Tel Aviv aura identifié des milliers de fragments de la célèbre Gueniza du Caire, l'un des plus importants recueil de documents anciens découvert il y a 117 ans,derrière les murs d'une ancienne synagogue de la capitale égyptienne.

Ce supercalculateur est en passe de révolutionner la recherche concernant l'un des plus importants dépôts au monde de documents anciens – la Gueniza du Caire qui a été découverte il y a 117 ans L'ordinateur, nourri de plus de 300.000 images de fragments de la collection Geniza, a commencé ses travaux le 16 mai dernier. 

Pendant cinq semaines, il procèdera à douze milliards de comparaisons visuelles entre les morceaux, suggérant des correspondances possibles. 
Dimanche dernier, à l'occasion d'une réunion d'information pour les journalistes, il a effectué 2,8 milliards de comparaisons. 
L'ordinateur est configuré pour achever ses travaux le 25 juin et permettra peut-être de faire faire à la recherche sur la Gueniza du Caire son plus spectaculaire bond en un siècle.

La collection Gueniza du Caire comprend environ 320.000 fragments de parchemin et de papier, pièces éparses de documents portant sur plus d'un millénaire de vie juive dans la métropole musulmane (depuis le IXème siècle). 
Cela comprend des textes religieux, des contrats, des recettes, des amulettes, des lettres entre hommes d'affaires impliqués dans le commerce avec l'Inde et même des documents écrits par le célèbre rabbin philosophe et érudit du XIIème siècle, Maïmonide. 

Les documents portent tous le nom de D-ieu et ne pouvaient donc pas être jetés. 
Conformément à la loi juive, ils ont donc été déposés pendant des siècles par les Juifs du Caire dans ce trou pratiqué à cet effet dans le mur de la synagogue Ben Ezra, dans le quartier Fostat. 
Cette cache, appelée Gueniza - du mot hébreu "pour enregistrer" - se situait dans la section des femmes ; les documents y ont été conservés en relativement bon état - grâce au climat sec de l'Égypte - pour arriver jusqu'aux savants européens de 1896.

Comprendre ces documents impose tout d'abord de pouvoir assembler les morceaux épars d'un même document. 
Mais les fragments ont été éparpillés dans soixante-sept bibliothèques à travers le monde ce qui rend la tâche pour le moins difficile. 
Seules 4.000 recompositions environ ont pu être réalisées en un peu plus d'un siècle de recherche. 

La nouvelle approche a été rendue possible grâce au projet Genizah Friedberg, basé à Jérusalem qui, depuis 2006, a numérisé des fragments de presque toutes les collections existantes et les a téléchargés sur un site Web, www.genizah.org. 
Pour la première fois depuis 1896, l'ensemble de la collection a ainsi été à nouveau réunie au moins sous forme numérique.

Le logiciel de reconnaissance se penche sur des caractéristiques comme le nombre de lignes, la densité du texte et la largeur moyenne d'une ligne, en aidant l'ordinateur à sélectionner les correspondances probables parmi les centaines de milliers de possibilités. 

L'efficacité du logiciel a été démontrée plus tôt cette année quand un chercheur de Cambridge, Stefan Reif, a procédé à la recherche d'une correspondance pour un fragment en vélin d'une Haggada de Pessah du XIème siècle qui avait été transmise à l'université britannique en 1897. 

Le projet Gueniza venait alors tout juste de terminer la numérisation des documents et de mettre la touche finale à son programme informatique.
Les chercheurs ont immédiatement trouvé la correspondance et ont pu localiser un "fragment sœur" de la même Haggada dans la bibliothèque du Jewish Theological Seminary de New York.

 

Israël : la première crise gouvernementale évitée de justesse (Israël infos)

par Mylène Sebbah
En fin de soirée lundi, un accord était trouvé pour mettre fin à la première crise gouvernementale sérieuse depuis les dernières élections; Yaïr Lapid a, en effet, menacé de quitter la coalition gouvernementale. Le Premier ministre israélien a fait plier le ministre de la Défense Moshe Yaalon.

Yaïr Lapid (leader du parti Yesh Atid) exigeait que la loi sur le "service obligatoire pour tous" soit adoptée conformément à la version proposée par la commission Perry, commission chargée de proposer un nouveau texte de loi. 

Le différend essentiel portait sur l'application des sanctions pénales aux étudiants des yeshivot qui refuseraient de se soumettre à la conscription. 
Le projet énonçait de quelle façon les insoumis pouvaient être poursuivis en vertu de la loi pénale alors que Moshe Yaalon (Likoud) souhaitait que ces mesures soient laissées uniquement à l'appréciation du ministère de la Défense. 

Schéma inenvisageable pour Yesh Atid qui craignait qu'un tel dispositif ne permettre aux jeunes orthodoxes d'éviter le service national, sans craindre de graves répercussions. 

La réunion de la commission gouvernementale chargée d'approuver le projet de loi Perry s'est alors achevée sans prise de décision, mais après un débat houleux entre les ministres de Yesh Atid et ceux du Likoud. 
Le ministre israélien des Finances Yaïr Lapid s'exprimant devant son groupe, Yesh Atid, à la Knesset, a alors prévenu : la loi sur le service militaire pour tous sera appliquée, faute de quoi le gouvernement tombera car "nous ne sommes pas là juste pour résoudre quelques problèmes budgétaires et prendre des mesures impopulaires, mais pour réparer une injustice sociale et rétablir l'égalité". 

Ce faisant, il provoquait la première vraie crise de la coalition gouvernementale en place depuis à peine deux mois. 

Le député Likoud Tsahi Hanegbi annonçait qu'il soutiendrait la position de Yaïr Lapid contre celle du ministre Likoud de la Défense.
Le ministre de l'Économie et président du Foyer juif, Naftali Bennett, tentait encore dans la soirée de lundi de jouer les intermédiaires entre Yaïr Lapid et Binyamin Netanyahou pour rapprocher leurs positions respectives.

Finalement, c'est le Premier ministre qui a craqué en pesant de tout son poids sur son ministre de la Défense. 
Benyamin Netanyahou aurait convaincu Moshe Yaalon qu'ils ""discuteraient du dossier si cela s'avérait nécessaire", levant ainsi l'un des principaux obstacles à l'adoption du projet de loi sur la question. 

 

 

Minibluff the card game

Hotels