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Moyen-Orient / Guysen
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Massacre de musulmans vers des chrétiens de tradition ou de turcs vers des arméniens? Ou les deux?
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Photographies d'époque - Le génocide arménien de 1915
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Photographies disponibles sur demande, en haute définition (uniquement pour la presse).
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Le Monde
Une émission sur la Palestine déclenche une polémique avec la communauté juive
La diffusion sur France 2 d'une émission sur les territoires palestiniens a déclenché une polémique, obligeant la direction de la chaîne à rencontrer prochainement l'ambassadeur d'Israël et les représentants de la communauté juive en France, a indiqué samedi 8 octobre le groupe public.
"Des rendez-vous ont été pris entre l'ambassadeur d'Israël et le CRIF (le Conseil représentatif des institutions juives de France, ndlr), et le président de France Télévisions Rémy Pflimlin, avec Thierry Thuillier", le directeur de l'information de France Télévisions, a indiqué la chaîne. A l'origine de cette polémique, un numéro du magazine "Un oeil sur la planète" diffusé lundi et intitulé "Un Etat palestinien est-il encore possible ?".
"INTENSE ÉMOTION ET UNE STUPÉFACTION ÉCOEURÉE"
Cette émission "a entraîné au sein de la communauté juive une intense émotion et une stupéfaction écoeurée", a déclaré le président du CRIF, Richard Prasquier, dans une lettre ouverte à Rémy Pflimlin. Il a jugé que l'équipe qui l'a réalisée "a présenté, d'un conflit complexe, une image caricaturale et unilatérale", "en distordant les causalités, en ridiculisant l'adversaire, sans éviter les insinuations à la limite des théories conspirationistes antisémites". M. Prasquier a demandé de rencontrer Rémy Pflimlin.
L'ambassade d'Israël à Paris n'était pas joignable samedi, jour du Yom Kippour, le Grand Pardon, la fête la plus importante du judaïsme. Un groupe a parallèlement été créé sur Facebook, "Boycott France Télévisions", demandant que la chaîne "revienne sur cette émission et présente des excuses".
Le journaliste de France télévisions spécialiste du Proche-Orient, Charles Anderlin, s'est fendu d'un article sur son blog intitulé "Bonjour les censeurs". Il y fustige la polémique, estimant que "cela s'appelle de la censure et c'est une atteinte intolérable au droit d'informer."
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Ne se joint pas aux condamnations
Ne se joint pas aux condamnations

« Nous nous trouvons dans une période où des Juifs se font attaquer encore et encore. Rien que la semaine dernière, un Juif et son enfant d’un an et demi, Asher et Yonathan Palmer, ont été lapidés de sang-froid alors qu’ils retournaient à la maison dans le véhicule familial. On n’a pas entendu personne, ni de déclaration du Premier ministre, ni du Président de la Knesset, ni de rabbins « indignés » et « pris par la colère », et on ne les a pas vus non plus lors des funérailles. »
« Je voudrai dire au public qu’il y a un an et demi, quarante-deux tombes ont été profanées à Merhavia près d’Afoula. Les pogromistes profanateurs ont été trouvés au village arabe de Soulem. Il est clair qu’il s’agissait d’une profanation de motivation nationale. A la Knesset, ils ont fait des pirouettes en l’air afin que cela ne soit pas enregistré dans la rubrique « attentat d’hostilité nationale ». Cela a eu des conséquences en ce qui concerne les dommages. Les fonctionnaires du Trésor et tout le système se sont mobilisés pour dire que les relations entre Juifs et Arabes en Galilée sont au beau fixe, du miel, qu’il n’y pas d’incident d’hostilité nationale de la part des Arabes en Galilée. C’est réalité-là où, lorsqu’on porte atteinte à des Juifs tous se taisent, et lorsqu’on porte atteinte à des Arabes – et au passage, jusqu’à présent, on ne sait pas encore avec certitude qui a fait quoi à Touba – tous s’indignent et sonnent l’alarme. La vie des Juifs est abandonnée, leurs cimetières peuvent être profanés, les synagogues peuvent être incendiées comme à Ramot, à Petah Tiqvah, à Lod et on n’entend pas de concert de condamnations et le Premier ministre ne se met pas en colère pour cela. Et maintenant, il est plein de rage pour ce qui s’est passé à Touba? »
Ben Ari précise sa pensée: « Cela ne signifie pas que j’approuve ces actions, ce n’est pas convenable et ce n’est pas acceptable. Il s’agit de gens pleins d’amertume pour les injustices qui leur sont faites. J’en viens au second point. J’appelle tous les hypocrites qui tombent dans la fausse indignation de sonder leurs consciences avant Yom Kippour et de réfléchir à quoi nous mènent les responsables de ce pouvoir qui pourchassent ces gens et les abandonnent en pâture aux actes criminels. Ça aussi, c’est une composante dans la réalité problématique dans laquelle nous nous trouvons. »
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Etre sous pression - Wade E. Taylor (elijahlist.com).

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[Lundi 03/10/2011 17:01]