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Jordanie : les islamistes au gouvernement (Drzz.fr).

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Il est évident que l’islamisme est la fatalité du “printemps arabe”. Ceci est valable même dans les pays musulmans qui n’ont pas encore connu de révoltes populaires. Les forces islamistes jordaniennes vont semble t-il prendre une place de plus en plus importante dans le pays.
 
Le nouveau Premier ministre jordanien désigné, Aoun Khassawneh, a exprimé lundi 17 octobre 2011, sa volonté de faire participer les Frères musulmans à son futur gouvernement.
 
Le roi Abdallah II de Jordanie a révoqué l'ensemble de son gouvernement, et notamment son Premier ministre Maarouf Bakhit, un ancien général de l'armée de tendance conservatrice, dont l'opposition réclamait le départ.
 
Marouf Bakhit, un loyaliste du palais, a joué un rôle essentiel dans l’accord de paix de 1994 entre Israël et la Jordanie.
 
Sous la pression, le roi Abdallah a cédé à l’une des revendications de l’opposition islamiste, en virant son premier ministre, considéré comme proche d’Israël et de l'Occident. Le gouvernement de Maarouf Bakhit a également été critiqué pour son incapacité à régler les dossiers intérieurs, y compris les préparatifs des élections municipales prévues d'ici à la fin de l'année. Il est remplacé par Aoun Khassaouneh, juriste à la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye.
 
Khassawneh a souhaité que les Frères musulmans participent à son gouvernement, soulignant qu'il tendait la main à toutes les tendances du pays. « Nous accueillerons favorablement une participation des Frères musulmans et de toutes les autres tendances à qui nous tendons la main », a déclaré M. Khassawneh aux journalistes.
 
L'opposition islamiste risque aussi de contrôler la Chambre parlementaire, qui compte une majorité écrasante d'indépendants proche du pouvoir.
 
Le roi Abdallah II va entamer à Amman des discussions avec des dirigeants du principal parti d'opposition, le Front de l'Action islamique (FAI), a indiqué un responsable de ce parti. Cette démarche s’inscrit dans le cadre des contacts entrepris par le souverain hachémite pour écouter les doléances des Jordaniens face à la grogne populaire.
 
Les relations entre Frères musulmans et monarchie ont longtemps été caractérisées par des tensions. Jusqu’à présent, la monarchie hachémite est toujours parvenue à apaiser l'opposition islamique, ce qui lui a également permis de la garder sous contrôle. Mais à l'heure des changements au Moyen-Orient, les forces islamistes reprennent peu à peu leur indépendance. Peu à peu, ils avancent leurs pions.
 
Le roi de Jordanie tend donc la main aux Frères musulmans par crainte de perdre son trône. Les membres du Front de l'action islamique (FAI) ont soutenu que le départ du président égyptien Hosni Moubarak et affirmé que « ce doit être une leçon pour beaucoup de régimes arabes ».
 
Tout comme en Egypte, les Frères Musulmans prétextent un taux de chômage élevé et le malaise économique dû à la corruption pour galvaniser les foules. Actuellement, la Jordanie à un déficit record de 2 milliards de dollars et un chômage touchant les 12% et les appels à l’instauration d’un régime islamique se multiplient, et le gouvernement fait face à un important durcissement du camp radical.
 
La Jordanie, qui partage une frontière de 500 km avec Israël, a toujours été le voisin le plus important de l'Etat hébreu. Notamment pour la stabilité qu'il apporte à l'Est. La Jordanie est un pays de six millions d'habitants, dont 60 à 80 % sont Palestiniens.
 
Une montée au pouvoir des Frères musulmans signifierait l’instabilité de la Jordanie. Mais cela signifierait aussi l’instabilité pour Israël. Les Frères ont catégoriquement rejeté le traité de paix de 1994 avec Israël, et l’ont remis en question depuis. Cependant, le danger le plus grave pourrait être l’exploitation par les Frères Musulmans des Palestiniens de Jordanie.
 
Dans ce contexte, le bureau politique du Hamas, siégeant actuellement à Damas, voudrait quitter la Syrie pour s'installer en Jordanie, rapporte le journal Al Quds al Arabi publié à Londres. Selon ce média, des consultations et des concertations se déroulent actuellement entre le mouvement terroriste et les autorités jordaniennes, sous l'égide du Qatar. L'Egypte s'est également proposée d'héberger le Hamas, mais celui-ci n'est pas très chaud, car il craint pour sa liberté de mouvement et d'action au Caire.
 
Le transfert possible du Hamas à Amman constituera une menace de grande ampleur pour la sécurité dans la région de la Vallée du grand rift et le Jourdain, qui séparent la Jordanie d'Israël.
 
Le mouvement terroriste, qui a été créé après le début de la première Intifada par un groupe de militants se réclamant des Frères musulmans, dont le cheikh Ahmed Yassine, pourrait mobiliser les Palestiniens de Jordanie qui vivent encore dans des camps de réfugiés, dans un pays où ils sont traités comme des sous citoyens, et dont le nombre se monte à 1,9 millions.
 
L’installation en Jordanie du Hamas, qui s’est toujours opposé a une quelconque avancée des négociations, risque d' enflammer la frontière entre Israël et la Jordanie. On se souvient de la vague d’attentats sanglants en Israël en 2002. La puissante opposition islamiste de Jordanie soutient l’établissement du Hamas à Amman.
 
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Ftouh Souhail pour www.Drzz.fr
 

 

 

Boycott d'Israël : l'Algérie pourrait être exclue des compétitions sportives internationales (Jforum

L’Algérie pourrait être écartée de toutes les compétitions sportives internationales à compter des prochains Jeux olympiques de Londres 2012.

Selon l’agence d’information allemande, qui cite une source algérienne autorisée, le Comité international olympique (CIO) envisage d’exclure l’Algérie de toutes les compétitions internationales à cause de la persistance des athlètes algériens à “inventer des excuses” pour boycotter les athlètes israéliens dans les compétitions internationales.

Cette mise en garde du CIO intervient après la dernière Coupe du monde de judo féminin qui s’est déroulée début octobre à Rome en Italie. Cette compétition a été en effet marquée par le forfait de l’athlète algérienne Meriem Moussa. La judokate devait en effet affronter l’Israélienne Shahar Levi en tour préliminaire mais elle ne s’était pas présentée à la pesée officielle qui précède le début de la compétition.

Décision politique

Meriem Moussa n’a donc pas été engagée officiellement dans cette compétition et a ainsi perdu une chance de décrocher une qualification aux Jeux Olympiques de Londres en 2012.

Selon nos sources, cette défection aurait été décidée par les responsables de la Fédération algérienne de judo. Il s’agirait donc d’une décision politique, dans la droite ligne de la non relation officielle entre l’Algérie et Israël. Comme Alger ne reconnait pas l’État d’Israël, l’instruction aurait été transmise aux sportifs algériens de boycotter les sportifs israéliens dans les rencontres internationales.

 

 

Un article de Jean-Patrick Grumberg sur l'interview de Guilad Shalit en Egypte (Drzz.fr)

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La télévision égyptienne a diffusé aujourd’hui la toute première interview de Guilad Shalit « libre », afin de redorer un blason bien terni par les récentes bavures, erreurs et dérapages du régime, et surtout les massacres de chrétiens, il y a une semaine à peine.
 
C’est un Guilad Shalit fatigué, maigre, hésitant, ayant des difficultés à répondre, qui est apparu à la télévision devant Shahira Amin, une journaliste égyptienne « dissidente » qui avait démissionné, en plein milieu des affrontements de février, pour ne pas diffuser les fausses informations du régime Mubarak sur les protestations de la rue. « Je ne vais pas diffuser les mensonges de la machine propagandiste », avait-elle expliqué à al Jazeera. « ils ne montrent pas ce qui se passe place Tahrir. Des gens meurent là bas, tout est trafiqué ».
 
Bel acte de courage et d’honnêteté journalistique, de la part de cette journaliste qui ne porte pas (encore) le voile, mais honnêteté journalistique qui semble, hélas, tolérer certaines petits arrangements…
 
Plusieurs observateurs ont trouvé étranges, voire cruelles, les questions qu’elle a posées à l’otage Shalit tout juste « relâché ».
« Vous avez vécu la captivité », dit-elle à Shalit en Anglais, « il y a plus de quatre mille palestiniens dans les prisons israéliennes. Ferez-vous campagne pour qu’ils soient relâchés ? », demande t-elle sans même se soucier du fait que les prisonniers palestiniens sont des criminels et des délinquants, jugés par une justice indépendante d’un pays démocratique, tandis que la captivité de Shalit était une prise d'otage condamnée par toutes les instances internationales.
 
Plus loin, elle demande, toujours aussi idiote : « pourquoi n’avez-vous donné qu’une seule interview durant votre captivité », alors que pendant cinq ans, aucune visite n'a été accordée, ni pour la Croix Rouge, ni pour l’ONU, ni pour sa famille, comme si les terroristes s’embarrassaient du droit international.
 
Ce que l’interview, qui a servi de magnifique campagne de relations publiques pour l’Egypte ne révèle pas, cette photo le montre clairement : derrière Guilad, hors de l’angle de la caméra, se trouve un terroriste du Hamas, cagoulé !
 
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Et bien entendu, la journaliste arabe a juré à une chaîne de télé israélienne ce soir « je n’aurais pas contraint Shalit à accepter cette interview s’il n’avait pas voulu, et il avait l’air d’être d’accord ». Plus bête tu meurs, on dirait du Pascal Boniface.
 
Mais ce n’est pas tout, tenez-vous bien…!
 
Pour corser encore un peu les choses, Amir Mizroch (1) révèle sur son blog, en commentant ce qu’il appelle « le dégoûtant interview », que l’on entend clairement, en arabe, la journaliste se disputer avec le traducteur qui tente de lui expliquer que Shalit est fatigué et qu'il a besoin de faire une pause (sic)
 
Puis, lorsque Shalit, répond à une question en hébreu : « je ne me sens pas très bien, je n’ai pas l’habitude de voir autant de monde », le traducteur dit « il se sent bien, et il remercie ceux qui l’ont relâché ». Le reste est à peu près du même tonneau. En France aussi, on diffuse quelquefois des faux reportages…Vive les démocraties arabes !
 
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr
 
 

 

 

Le premier sourire de Guilad à son retour à la vie (éditorial de Richard Prasquier,Président du CRIF

 

 

Je n'ai jamais rencontré Gilad Shalit: il a maintenant 25 ans et a passé 20% de sa vie, dans des conditions de captivité dont nous ignorons tout. Depuis cinq ans, il n'a vu que ses geôliers. Personne ne savait s'il était encore vivant. Et cette arrière-pensée qu'il était peut-être déjà mort ne quittait aucun de ceux qui parlaient à la famille de Gilad. Ce non-dit, insupportable, pesait en arrière-plan sur toutes les conversations. Depuis une vidéo de septembre 2009, aucune nouvelle, absolument aucune nouvelle.
 
Admirable famille. Discipliné, introverti et taciturne, Noam Shalit a fait violence à sa discrétion naturelle pour devenir  le messager de la violence faite à son fils. Il a rencontré les grands de la planète, il a exploré toutes les pistes, il n'a jamais versé dans la vocifération, ou le vedettariat factice; il n'a jamais dévié de son objectif: que son fils ne soit pas oublié.
 
J'ai  rencontré Noam Shalit la première fois  en 2007, peu après l'arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, qui, le premier, a souligné et n'a jamais arrêté de le faire, que Gilad était français et que la France avait une responsabilité particulière dans sa libération. A l'Elysée étaient venues trois familles, car on pensait qu'ils étaient trois, les soldats israéliens kidnappés. N'oublions pas Eldad Regev et Ehud Goldwasser, enlevés le 12 juillet 2006 par le Hezbollah. Seuls  leurs cercueils ont été rendus  dans un échange douloureux le 15 juillet 2008 contre cinq terroristes du Hezbollah, parmi lesquels Sami Kuntar, assassin d'enfant devenu à sa libération un héros du Hezbollah.
 
Certains hommes politiques se sont fortement et magnifiquement engagés pour Gilad Shalit, d'autres plus mollement, d'autres enfin se sont prêtés à des comparaisons insupportables. Combien de fois il a fallu répéter que Gilad n'était pas un prisonnier de guerre, mais un otage, que sa situation n'avait rien à voir avec celle de Salih Hamouri ou d'autres prisonniers, condamnés légalement pour des actes authentifiés et bénéficiant pour leur défense et leur incarcération de tous les avantages que donne une démocratie. Mais tous les amalgames sont bons, s'ils peuvent servir à la critique d'Israël.
 
Je pense  au sourire triste de Noam Shalit, soucieux de ne pas mettre son interlocuteur dans l'embarras et à ne pas lui montrer l'angoisse qui l'étreignait depuis tant d'années. Je pense à cette tente à Jérusalem où la famille Shalit s'était installée jusqu'au retour de son fils, à cette énergie qu'il lui a fallu pour que la cause de Gilad, malgré les difficultés et les réticences, s'impose comme incontournable.
 
Je pense à tous ces familles israéliennes qui seront blessées d'apprendre que l'assassin de leur proche fera partie de la fournée des libérés en échange, je pense aux vantardises obscènes auxquelles leur retour donnera lieu de la part du Hamas. Je pense à la patience des négociateurs, au courage du gouvernement israélien et de toutes les instances de sécurité du pays qui ont poussé aux négociations. Je pense à cette magnifique société israélienne qui fait sienne la phrase du Talmud qui accueille les Justes des Nations: "Qui sauve un homme sauve un monde" et n'hésite pas à échanger des centaines de coupables pour récupérer un seul de ses fils.
 
Et je pense au premier sourire de Gilad à son retour à la vie.
 
Bonnes fêtes de Souccoth.
 
Richard Prasquier
Président du CRIF

 

 

Guilad libre, un éditorial de Richard Prasquier, Président du CRIF (desinfos.com)

 

 

A l’instant même où Gilad Shalit aura traversé, libre, la frontière qui le conduira en Israël, le maire de Nice, Christian Estrosi accueillera dans sa mairie le Président de la République française.
 
Mairie de Nice où Nicolas Sarkozy pourra voir affiché au fronton la photo de Gilad. Celle-ci est restée accrochée, malgré de nombreuses agressions et d’attaques. Même lorsqu’il est un otage, kidnappé (non, Mme Aubry, pas « arrêté »), maintenu dans des conditions contraires aux règles les plus élémentaires de la morale humaine et de la légalité internationale, un Israélien, surtout un soldat israélien n’a manifestement pas le statut d’être humain aux yeux de ces grands progressistes, indignés, humiliés, opprimés mais surtout remplis de haine antisémite que sont certains militants des organisations antisionistes.
 
C’est un beau symbole que de voir le chef de l’Etat, Nicolas Sarkozy, qui, avant même que d’être élu n’a eu de cesse de défendre la cause de Gilad Shalit et d’insister sur sa citoyenneté française, rencontrer le jour de la libération de ce dernier un des ces maires admirables qui n’ont pas cédé au « politiquement correct » et qui ont maintenu contre vents et mairies, au fronton de leur mairie la photo de l’otage franco-israélien. Qu’ils en soient tous remerciés. Maintenant, c’est le temps de la discrétion, de l’angoisse et du travail de reconstruction que devra effectuer ce garçon qui a passé dans l’isolement  absolu et hostile, ô combien, 20% de sa jeune vie. Toutes nos pensées l’accompagnent, car nous savons comme la situation de l’otage est différente de celle du prisonnier. Comme nous savons ce qui sépare l’innocent du terroriste qui a du sang sur les mains et qui est promis à un ignoble retour de héros. N’oublions pas dans ces moments de joie la différence entre les prisonniers libérés par Israël (un article de ce journal montre le traitement des prisonniers palestiniens en Israël, à titre de comparaison) et ce qu’a subi Gilad Shalit. N’oublions pas que ceux qui l’ont enlevé sont des criminels, et que leurs annonces impudentes de nouveaux enlèvements ne peuvent susciter que révulsion, même si elles risquent par les temps qui courent de trouver bien des oreilles trop ingénument compréhensives…
 
Richard Prasquier

 

 

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