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Le peuple juif et le chiffre 1027 (desinfos.com)
Le professeur Dellapergola de l’Université hébraïque de Jérusalem est un chercheur qui étudie depuis de nombreuses années la démographie du peuple juif et sa répartition dans le monde. D’après ses travaux il y aurait à peu près 13.3 millions de juifs, dont six millions en Israël.
Par Daniel Horowitz
Le professeur Dellapergola jouit d’un prestige international. Il s’appuie sur une immense érudition et de nombreuses années de recherches. Nul ne peut contester le sérieux de ce rigoureux universitaire.
Mais comme tout scientifique digne de ce nom, le professeur Dellapergola va peut-être devoir remettre en question ses travaux à la lumière de l’échange de prisonniers récemment effectué entre le Hamas et Israël.
Cette affaire a consisté à libérer au bout de cinq ans de tractations l’otage israélien Guilad Shalit, ceci contre 1027 criminels appartenant à divers groupes terroristes. De nombreuses personnalités à travers le monde se sont félicitées de ce dénouement, jugeant que malgré le déséquilibre apparent de la transaction,Israël aussi bien que le Hamas y trouvait son compte.
La logique de ce compte n’apparait pas de prime abord aux esprits non-avertis, mais il suffit d’y consacrer un peu de réflexion pour y voir plus clair. Au départ du raisonnement il faut poser que la vie de Guilad Shalit vaut selon ses geôliers celle de 1027 protégés du Hamas ou d’autres organisations du même acabit. Il faut donc actualiser le chiffre de 13.3 millions de juifs recensés par le professeur Dellapergola en le multipliant par 1027, ce qui donne 13.659.100.000 âmes. Même en arrondissant vers le bas pour anticiper une marge d’erreur toujours possible, on arrive néanmoins au chiffre impressionnant de treize milliards de juifs à travers le monde.
Partant de la démographie on peut étendre ce raisonnement à la géographie. Strictement parlant la superficie d’Israël équivaut à trois départements français,mais en multipliant cela par 1027 on arrive à 22.667.944 kilomètres carrés, ce qui en fait le plus grand pays de la planète.
Riche de l’enseignement de l’affaire Shalit et au moyen du paramètre emblématique que constitue désormais le chiffre 1027, nous disposons maintenant d’un puissant outil de référence à opposer aux négationnistes impénitents qui campent sur leur incrédulité. Il suffit de leur expliquer que les six millions de victimes juives de la Shoah ne représentaient qu’une infime partie du peuple juif, et qu’il convient donc de remettre les choses en perspective pour comprendre comment un massacre de cette ampleur a été possible.
C’est aussi à la lumière de l’affaire Shalit et du paramètre 1027 que l’on comprend comment il se fait que près d’un prix Nobel sur trois soit attribué à des juifs. En réalité c’est bien la moindre des choses que l’on peut attendre de treize milliards de cerveaux.
Après tout il n’y a rien d’étonnant à ce que le plus ancien peuple du monde soit aussi le plus grand. La question juive, autrefois si énigmatique, est devenue simple à démêler : il suffit à l’avenir de penser à Guilad Shalit et au chiffre 1027.
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Arabes israéliens dans le collimateur (Israel7).
Les manifestations et les déclarations d’Arabes israéliens appelant leurs frères terroristes à kidnapper de nouveaux soldats de Tsahal provoquent des réactions indignées dans la classe politique. David Rotem (Israël Beiteinou), appelle « à déchoir ces personnes de leur citoyenneté israélienne et les mettre en prison ». Dany Danon (Likoud) s’est adressé au Conseiller juridique du gouvernement afin « qu’il entame sans délai des poursuites contre les Arabes qui ont participé à des manifestations et ont appelé à de nouveaux enlèvements ». « Ceux qui soutiennent le terrorisme trahissent l’Etat dont ils sont citoyens, et leur place est en prison », rajoute Danon. Parallèlement, Danon a saisi le Conseiller juridique de la Knesset afin de déchoir Ahmad Tibi (Raam-Taal) de ses droits et prérogatives parlementaires ». « Lorsque des représentants de la population arabe israélienne participent aux expéditions terroristes contre Israël, lorsqu’ils soutiennent un Kadhafi ou conseillent Abou Mazen, il n’est pas étonnant que leurs électeurs appellent ensuite au terrorisme contre Israël et à l’enlèvement de soldats de Tsahal. Ces manifestants sont des traîtres au pays et leurs élus sont une ‘cinquième colonne’ », rappelle avec justesse Danon.
par Shraga Blum
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Tamir Gal, un chanteur inconscient et chanceux (Israel7)
Tempérament casse-cou ou idéalisme naïf, toujours est-il que le chanteur Tamir Gal, qui anime des soirées aussi bien devant des publics juifs qu’arabes, a échappé de justesse à un attentat vendredi soir dernier. Alors qu’il se produisait dans une soirée de mariage à Ramallah, des membres de la famille du marié ont soudain fait irruption sur la scène et l’ont évacué en voiture – lui et ses musiciens – vers un autre endroit de la ville…après que des inconnus en cagoule aient commencé à tirer dans leur direction ! Les tirs se sont poursuivis même pendant leur fuite.
Tamir Gal, spécialiste de la chanson de style turc et méditerranéen dans les années 90, est une véritable vedette auprès des publics arabes et il se produit souvent dans ces endroits pourtant risqués. Mais ce soir-là, parmi les 2500 personnes qui se pressaient pour l’écouter, se trouvait des membres du Hamas qui ne voyaient pas d’un bon œil la présence d’un juif en ces lieux, malgré l’énorme cadeau fait par Israël à l’organisation terroristes trois jour à peine auparavant ! « Dans un premier temps », avoue Gal, « j’ai cru que les bruits étaient des coups de feu de joie, comme il est d’usage chez les Arabes, mais lorsque des proches du marié m’ont empoigné et emmené en lieu sûr, j’ai compris que j’avais échappé à un drame ».
L’un des musiciens qui accompagnaient le chanteur a confié après coup « que sa famille l’avait supplié de ne pas accepter d’aller jouer à Ramallah, mais qu’il ne les avait pas écoutés, estimant que rien ne pouvait lui arriver ». Il a fui avec les autres membres du groupe, laissant sur place son synthétiseur, et ne sachant pas s’il le récupérera un jour. « Ce qui est sûr, c’est que je ne mettrai plus les pieds là-bas », affirme-t-il !
Interrogé après les faits, Tamir Gal, révèle « qu’il a appris après coup qu’une jeune fille parmi les invités était en contact avec une organisation terroriste, et leur a dit qu’un juif venait chanter à cette soirée ». Immédiatement après, un groupe d’hommes cagoulés faisaient irruption dans la soirée et se mettaient à tirer en direction de l’ensemble musical.
Le chanteur reconnaît « qu’il a vécu un miracle » et a fait un vœu de ne plus apparaître devant un public arabe.
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Béziers, Samuel, le seul Juif de la prison... témoignage (Jforum.fr).
Samuel, 46 ans, a subi un calvaire cet été en prison.
Pourquoi avez-vous été incarcéré cet été au centre de détention de Béziers ?
Il y a deux ans, j’ai déposé le bilan de mon entreprise qui avait vingt salariés à Paris. J’ai tout perdu, j’ai quitté ma femme et mes enfants, je suis venu à Montpellier remonter une autre société, mais rien n’a marché. Plus rien n’allait pour moi, je n’avais plus d’argent, j’ai rencontré un cambrioleur qui connaissait un appartement. J’ai dit oui, et je le regrette amèrement. Il a été arrêté et m’a balancé : j’ai été arrêté à Montpellier, et incarcéré le 21 juillet.
Comment s’est passée votre incarcération ?
À l’arrivée, on vous demande votre confession, pour l’aumônier et pour la nourriture. Je suis né juif, je ne l’ai demandé à personne, et je ne vais pas le cacher. Mais à Béziers, il n’y avait pas d’aumônier prévu pour les juifs.
Sur 1 000 détenus, j’étais le seul juif. Et il n’y avait pas de nourriture, alors que je mange strictement casher.
Que s’est-il passé ensuite ?
Pendant près de quatre semaines, je n’ai presque rien mangé, seulement des légumes quand ils étaient cuits à l’eau et des fruits. J’ai perdu beaucoup de kilos. Grâce à ma famille, ça s’est su jusqu’en Israël qu’un juif était seul en prison sans pouvoir se nourrir.
De là-bas, quelqu’un a appelé l’aumônier juif de France : il était en vacances à Carcassonne, il est venu me voir avec l’aumônier de Béziers, qui n’avait pas encore eu l’autorisation d’intervenir en prison. Tout ça a pris quatre semaines.
Comment ont commencé les incidents ?
Ça s’est su que j’étais juif et depuis les autres cellules, on a commencé à me traiter de “sale juif”, de “youde”. Je n’y croyais pas, je n’avais jamais entendu ça... “Youde”, comme pendant la guerre... Je ne répondais à ces insultes.
Au début, c’était un peu comme une rigolade, mais quand ils ont su qu’un aumônier m’apportait à manger, c’est devenu général, et toutes religions confondues. Les musulmans, les catholiques, les gitans. On crachait sur mon passage, on me menaçait de mort. C’était un truc de malade.
Que s’est-il passé le 27 septembre ?
J’étais dans la cour, à la cabine téléphonique. Plusieurs gars sont là, autour, ils crachent par terre et tous les autres étaient aux fenêtres, à encourager ceux de la promenade à me défoncer. Et puis ça commence. Trois devant, quatre derrière, que des jeunes, ils m’ont fracassé. Des coups à la tête, aux jambes.
Je suis tombé deux fois à terre, j’avais mal de partout, les gardiens étaient à 200 mètres, ils me faisaient signe de venir vers eux, mais sans oser entrer dans la cour. Il y avait 200 détenus qui hurlaient accrochés aux barreaux, on se serait cru dans un film. Ma femme et mes enfants entendaient tout au téléphone, ils ont cru que j’allais mourir.
Que s’est-il passé depuis ?
J’ai été opéré le soir de multiples fractures au poignet, avec une broche, sept vis et 14 points de suture. J’ai été libéré et deux de mes agresseurs seront jugés le 18 novembre. Moi, je suis traumatisé. Je n’avais peur de rien ni de personne dans la vie et maintenant, j’ai envie d’être seul sur une île, sans personne.
On a la chance d’être dans un pays laïc, où chacun peut avoir sa religion. Quand je vois ces comportements, je trouve que l’être humain est dégoûtant.
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Comment le peuple palestinien fut inventé (Drzz.fr)
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