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L'aide financière de la Grande-Bretagne aux ennemis d'Israël (Israel7)

 
 

Un document officiel émanant du Foreign Office indique « que grâce à l’aide financière

apportée par la Grande-Bretagne à des ONG pro-palestiniennes, des décisions judiciaires ont pu être changées en Israël » ! Il ressort de ce document que…80,2% du budget réservé par le gouvernement de Sa Majesté aux associations de défense des droits de l’Homme au Moyen-Orient est alloué à des ONG israéliennes antisionistes et des organisations palestiniennes ! Le reste des 19,8% est réparti entre des ONG des pays arabes et d’Afrique du nord qui comme tout le monde le sait, n’ont pas de problèmes concernant les droits de l’Homme !!
Ces données surréalistes concernent les années 2005-2009 et révèlent ainsi que les organisations affiliées à l’extrême gauche israélienne ont reçu 3.660.000 livres sterling (plus de 21 millions de shekels), et 2.212.500 livres sterling (environ 13 millions de shekels) à des organisations proches des terroristes en Judée-Samarie. A côté de cela, toutes les ONG qui agissent dans les différents pays arabes n’ont reçu que 1.440.000 livres !
Ces révélations ont provoqué une colère bien légitime en Israël face à cette ingérence inadmissible dans une démocratie dite « amie ». Ce document a été transmis aux ministres des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman et des Enjeux stratégiques, Moshé (Bouguy) Yaalon. Le vice-ministre des Affaires étrangères, Dany Ayalon a réagi en annonçant qu’il allait « lutter avec encore plus d’acharnement contre ce phénomène ». Il en a profité pour « regretter amèrement que le Premier ministre et le Likoud avaient torpillé il y a quelques mois la proposition de loi déposée par ‘Israël Beiteinou’ sur le renforcement de la surveillance de l’origine du financement des ONG de gauche ». Binyamin Netanyahou avait alors cédé à la levée de boucliers de toutes ces organisations bénéficiaires de cette manne meurtrière, qui criaient « à la dictature » et « à la limitation de la liberté d’expression ». Mais ces données publiées par le Foreing Office, et qui sont à multiplier par les autres pays européens qui font de même, indiquent à quel point le Vieux Continent tente par des voies détournées et perverses d’influencer sur les prises de décision politiques d’un gouvernement légitimement élu, même au prix d’aides financières à des organisations qui ne cachent pas leurs sympathies pour le terrorisme antijuif ni leur volonté de voir disparaître l’Etat d’Israël.

 

 

Accord passé dans la zone Euro (Le Monde).

Un accord gagné de haute lutte à Bruxelles
Les pays de la zone euro ont finalement réussi à conclure, à la première heure ce matin, les grandes lignes d'un plan d'action ambitieux contre la crise. Près de dix heures de tractations, dans lesquelles Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont dû s'impliquer personnellement, auront été nécessaires pour aplanir les divergences. La principale pierre d'achoppement concernait l'effacement d'une partie de la dette grecque. Les banques créancières ont finalement cédé à la pression et accepté de renoncer à 50 % de leurs créances, soit environ 100 milliards d'euros sur un total d'endettement public du pays de 350 milliards d'euros. Ce qui correspond à ramener la dette grecque à 120 % du PIB d'ici à 2020 contre 160 % aujourd'hui. Les Européens se sont aussi mis d'accord sur une démultiplication des capacités du Fonds européen de stabilité financière (FESF) jusqu'à un volume de 1 000 milliards d'euros, qui devrait rassurer les marchés quant à sa capacité à porter secours aux pays qui le nécessiteraient. A l'issue de la rencontre, Nicolas Sarkozy  a parlé de décisions "historiques" et "extrêmement fortes".
 

 

UNESCO - demande d'admission par l'Autorité palestinienne (Israel-infos)

UNESCO - Après l'ONU, l'Autorité palestinienne demande son admission comme membre permanent - Menaces sur les sites du Patrimoine juif
par Gerard Fredj
Si les tentatives de l'Autorité palestinienne d'obtenir un siège de membre permanent à l'ONU ont abouti à un premier vote repoussé à novembre, il pourrait en être autrement de la demande palestinienne à l'Unesco dont la 26è conférence générale s'est ouverte à Paris ce mardi.

Au cours de cette conférence, qui va durer jusqu'au 10 novembre, les délégués de 193 pays seront appelés à a se prononcer sur l'admission de la "Palestine" comme membre à part entière, ce qu'a déjà recommandé le Board exécutif de l'organisation internationale en charge de l'éducation, les sciences et la culture.

Une majorité des deux tiers est nécessaire et cette démarche à l'Unesco pourrait être comme un prélude de ce qui se passera à l'Assemblée générale de l'ONU.

Pour Israël, l'Unesco dépasse en la matière ses prérogatives, puisqu'aucun vote n'a eu lieu à l'ONU, l'Unesco "n'ayant pas mandat de décider qui est ou n'est pas un Etat ", selon le représentant israélien.

La crainte principale d'Israël est de se retrouver entraîné dans un combat politique au sujet des sites juifs revendiqués par les Palestiniens. L'organisation a ainsi décidé que le tombeau de Rachel était une mosquée.

Le ministre israélien de l'éducation doit prendre la parole devant la conférence et œuvre pour rallier des votes.

Contrairement à l'ONU, l'abstention n'est pas autorisée à l'Unesco, et les Etats ne peuvent exprimer qu'on vote "pour" ou "contre", rendant ainsi improbable le refus d'admettre un Etat palestinien dans l'organisation.

Plusieurs Etats européens ont assuré qu'ils ne voteraient pas cette adhésion, et les USA font pression sur Mahmoud Abbas pour que la demande d'adhésion soit reportée.

Le New York Times rappelait dans une édition cette semaine que les USA sont toujours engagés par une législation vieille de 15 ans, qui prévoit que les USA se retireraient (et retireraient leur contribution au budget de l'organisation) si les Palestiniens en devenaient membres à part entière.

Les USA contribuent à hauteur de 70 millions de dollars par an au budget de l'Unesco (soit 22% du budget annuel).
 

 

Cent mille dollars pour capturer un soldat israélien (Israel-infos)

Par Gerard Fredj
Le prédicateur Awad al-Qarni est un prédicateur influent en Arabie saoudite, où il anime un talk show télévisé religieux qui connaît une large audience, et son propre site internet, très fréquenté, sur lequel sont discutés des thèmes religieux liés à l'Islam.

Il vient d'offrir, sur sa page Facebook,100 000 dollars de récompense pour quiconque capturera un soldat israélien.

Pour lui, il s'agit d'une réponse à la famille Libman qui offrait une recompense identique pour la capture du meurtrier de leur fils près de l'implantation de Ytzahr en 1998.

Ne craignant pas les raccourcis, al-Qarmi écrit : "la presse dit que les colons sionistes proposent une récompense importante pour qui tuera les prisonniers palestiniens libérés, en réponse à ces criminels, je déclare au monde que chaque palestinien qui capture un soldat israélien recevra la même chose".

Sur sa page Facebook, al-Qarmi a recueilli un millier de soutien a sa proposition, et son offre a été relayée par toute la presse et les sites internet liés au Hamas; qui ne fait pas mystère de son intention de capturer d'autres soldats israéliens et les échanger "jusqu'à ce que les prisons israéliennes soient vides", selon la déclaration d'Al Jabari (voir notre édition du 23 octobre)

Comme en écho, un ministre du Hamas, Fathi Hamad, déclarait que le retrait israélien de la bande de Gaza avait permis et facilité la captivité de Guilad Shalit, sans qu'Israël ne puisse le localiser et tenter de le délivrer.

Dans une interview au quotidien libanais as-Safir , il explique que le retrait israélien, l'éviction de l'autorité palestinienne de la direction de la bande de Gaza et plomb durci ont fait que le kidnapping et une captivité ont été possibles et … pourraient l'être à nouveau.

 

Guilad Shalit - l'échange (Israel-infos)

Les prisonniers palestiniens libérés ont refusé de signer un document sur la renonciation au terrorisme
par Gerard Fredj
Les prisonniers palestiniens libérés la semaine dernière dans le cadre de l'échange avec Guilad Shalit ont été personnellement et individuellement avertis des risques qu'ils encourraient s'ils retournaient au terrorisme.

Des membres des services de sécurité se sont rendus dans les prisons de Ktziot et à la prison centrale du Sharon avant leur libération.

Assurant qu'ils tiendraient compte de l'avertissement, les prisonniers ont cependant refusé de signer un document stipulant qu'ils avaient été informés : refus collectif après que le premier d'entre eux ait affirmé qu'il était prêt à renoncer à sa libération si sa signature était obligatoire.
Les agents du Shin Bet n'ont pas eu d'autre choix que de renoncer à obtenir les signatures.

Le bureau du Premier ministre a confirmé les faits au Jerusalem Post, ajoutant cependant que Benjamin Netanyahou avait "publiquement averti que ceux qui retourneraient au terrorisme risqueraient leur vie" .
 

 

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