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La libération des autres terroristes pourrait être retardée (Israel7).

A l’antenne de la station de radio Galei Tsahal, le Vice-Ministre de la Défense, Matan Vilnaï estime que les tirs de missiles sur les villes du Sud d’Israël peuvent entrainer du retard dans la libération des prisonniers de la seconde phase de la Transaction Shalit.

Rappelons que dans le cadre de cet échange, 550 autres terroristes condamnés sont censés être libérés des prisons israéliennes.

D’autre part, le Vice-Ministre Vilnaï a ajouté que les organisations terroristes arabes n’ont pas atteint cette fois-ci les localités du centre du pays. Il a indiqué qu’il n’est pas à exclure que le rayons d’action de leurs missiles risque d’augmenter dans l’avenir.

Suite à ces tirs, les écoles seront fermées ce matin, lundi 31 octobre, à Beer-Shev’a, à Ashkelon, à Ashdod et à Gan Yavneh. Dans les autres villes et Conseils régionaux du Sud d’Israël,  il a été décidé d’écouter les consignes de la Défense passive et d’ouvrir les écoles. A l’Université de Beer-Shev’a et au Collège académique d’Ashkelon, l’année universitaire a débuté comme dans les autres institutions d’enseignement supérieur du pays.

Par Meir Ben-Hayoun.

 

Le temps dont disposent les Israéliens pour se mettre à l'abri des roquettes (Desinfos.com)

Le blog de Danilette : Mille excuses, j'ai oublié de mettre la source : le blog de Tsahal, bien sûr!  http://blogtsahal.wordpress.com

Depuis le retrait d’Israël de la bande de Gaza en 2005, les terroristes ont tiré plus 7000 roquettes et obus de mortier sur Israël. Un million d’Israéliens vivent sous la menace quotidienne des tirs de roquettes. 

La portée des roquettes du Hamas

Depuis 2005, Le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza. L’organisation terroriste est reconnue comme entité terroriste par les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union Européenne et Israël. L’an dernier, plus de 566 roquettes et obus de mortier ont été tirés sur les grands centres de population du sud d’Israël.

Plus d’un million et demi d’Israéliens ont moins de 60 secondes pour trouver un abris dès l’instant où une roquette est tirée depuis la bande de Gaza.

Après qu’Israël a essayé de faire cesser ces tirs de roquettes incessants par la voie diplomatique sans succès, l’Armée Israélienne a lancé l’Opération Plomb Durci en Décembre 2008. Cette opération a permis de détruire une grande partie des infrastructures et des stocks de roquettes et d’obus de mortier du Hamas dans la bande de Gaza.

Bilan : roquettes tirées sur Israël entre 2010 et 2011

    mise à jour 18h40

 

 

L'argent est-il devenu obsolète ? Anselm Jappe (Le Monde)

Médias et instances officielles nous y préparent : dans les prochains mois, voire semaines, une nouvelle crise financière mondiale va se déclencher, et elle sera pire qu'en 2008. On parle ouvertement des catastrophes et désastres. Mais qu'est-ce qui va arriver après ? Quelles seront nos vies après un écroulement des banques et des finances publiques à vaste échelle ? Actuellement, toutes les finances européennes et nord-américaines risquent de sombrer ensemble, sans sauveur possible.

Mais à quel moment le krach boursier ne sera-t-il plus une nouvelle apprise dans les médias, mais un événement dont on s'apercevra en sortant dans la rue ? Réponse : quand l'argent perdra sa fonction habituelle. Soit en se faisant rare (déflation), soit en circulant en quantités énormes, mais dévalorisées (inflation). Dans les deux cas, la circulation des marchandises et des services ralentira jusqu'à pouvoir s'arrêter complètement : leurs possesseurs ne trouveront pas qui pourra les payer en argent "valable" qui leur permet à leur tour d'acheter d'autres marchandises et services. Ils vont donc les garder pour eux. On aura des magasins pleins, mais sans clients, des usines en état de fonctionner parfaitement, mais sans personne qui y travaille, des écoles où les professeurs ne se rendent plus, parce qu'ils seront restés depuis des mois sans salaire. On se rendra alors compte d'une vérité qui est tellement évidente qu'on ne la voyait plus : il n'existe aucune crise dans la production elle-même. La productivité en tous les secteurs augmente continuellement. Les surfaces cultivables pourraient nourrir toute la population du globe, et les ateliers et usines produisent même beaucoup plus que ce qui est nécessaire, souhaitable et soutenable. Les misères du monde ne sont pas dues, comme au Moyen Age, à des catastrophes naturelles, mais à une espèce d'ensorcellement qui sépare les hommes de leurs produits.

 

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Ce qui ne fonctionne plus, c'est l'"interface" qui se pose entre les hommes et ce qu'ils produisent : l'argent. La crise nous confronte avec le paradoxe fondateur de la société capitaliste : la production des biens et services n'y est pas un but, mais seulement un moyen. Le seul but est la multiplication de l'argent, c'est d'investir un euro pour en tirer deux.

Cependant, les contempteurs du capitalisme financier nous assurent que la finance, le crédit et les Bourses ne sont que des excroissances sur un corps économique sain. Une fois la bulle crevée, il y aura des turbulences et des faillites, mais finalement ce ne sera qu'une tempête salutaire et on recommencera ensuite avec une économie réelle plus solide. Vraiment ? Aujourd'hui, nous obtenons presque tout contre payement. Si le supermarché, la compagnie d'électricité, la pompe à essence et l'hôpital n'acceptent alors que de l'argent comptant, et s'il n'y en a plus beaucoup, nous arrivons vite à la détresse. Si nous sommes assez nombreux, nous pouvons encore prendre d'assaut le supermarché, ou nous brancher directement sur le réseau électrique. Mais quand le supermarché ne sera plus approvisionné, et la centrale électrique s'arrêtera faute de pouvoir payer ses travailleurs et ses fournisseurs, que faire ? On pourrait organiser des trocs, des formes de solidarité nouvelles, des échanges directs : ce sera même une belle occasion pour renouveler le lien social. Mais qui peut croire qu'on y parviendra en très peu de temps et à une large échelle, au milieu du chaos et des pillages ? On ira à la campagne, disent certains, pour s'approprier directement des ressources premières. Dommage que la Communauté européenne ait payé pendant des décennies les paysans pour couper leurs arbres, arracher leurs vignes et abattre leur bétail... Après l'écroulement des pays de l'Est, des millions de personnes ont survécu grâce à des parents qui vivent à la campagne et aux petits potagers. Qui pourra en dire autant en France ou en Allemagne ?

Il n'est pas sûr qu'on arrivera à ces extrêmes. Mais même un écroulement partiel du système financier nous confrontera avec les conséquences du fait que nous nous sommes consignés, mains et poings liés, à l'argent, en lui confiant la tâche exclusive d'assurer le fonctionnement de la société. L'argent a existé depuis l'aube de l'histoire, nous assure-t-on : mais dans les sociétés précapitalistes, il ne jouait qu'un rôle marginal. Ce n'est que dans les dernières décennies que nous sommes arrivés au point que presque chaque manifestation de la vie passe par l'argent et que l'argent se soit infiltré dans les moindres recoins de l'existence individuelle et collective.

Mais l'argent n'est réel que lorsqu'il est le représentant d'un travail vraiment exécuté et de la valeur que ce travail a créée. Le reste de l'argent n'est qu'une fiction qui se base sur la seule confiance mutuelle des acteurs, confiance qui peut s'évaporer. Nous assistons à un phénomène pas prévu par la science économique : non à la crise d'une monnaie, et de l'économie qu'elle représente, à l'avantage d'une autre, plus forte. L'euro, le dollar et le yen sont tous en crise, et les rares pays encore notés AAA par les agences de notation ne pourront pas, à eux seuls, sauver l'économie mondiale. Aucune des recettes économiques proposées ne marche, nulle part. Le marché fonctionne aussi peu que l'Etat, l'austérité aussi peu que la relance, le keynésianisme aussi peu que le monétarisme.

Nous assistons donc à une dévalorisation de l'argent en tant que tel, à la perte de son rôle, à son obsolescence. Mais non par une décision consciente d'une humanité finalement lasse de ce que déjà Sophocle appelait "la plus funeste des inventions des hommes", mais en tant que processus non maîtrisé, chaotique et extrêmement dangereux. C'est comme si l'on enlevait la chaise roulante à quelqu'un après lui avoir ôté longtemps l'usage naturel de ses jambes. L'argent est notre fétiche : un dieu que nous avons créé nous-mêmes, mais duquel nous croyons dépendre et auquel nous sommes prêts à tout sacrifier pour apaiser ses colères...

Personne ne peut dire honnêtement qu'il sait comment organiser la vie des dizaines de millions de personnes quand l'argent aura perdu sa fonction. Il serait bien d'admettre au moins le problème. Il faut peut-être se préparer à l'après-argent comme à l'après-pétrole.


Théoricien de la valeur et spécialiste de l'oeuvre de Guy Debord, Anselm Jappe a notamment écrit Les Aventures de la marchandise (Denoël, 2003) et Crédit à mort (Lignes, 254 p., 20 €).

 

Une très mauvaise nouvelle... (Le Monde)

Les Palestiniens deviennent membres à part entière de l'Unesco

L'agence des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture a validé lundi la demande d'adhésion de l'Autorité palestienne, qui jouissait jusqu'à présent d'un statut d'observateur. La France a voté en faveur de cette adhésion. Ce vote constitue une nouvelle avancée vers la reconnaissance de la Palestine en tant qu'Etat, statut qu'elle revendique auprès de l'Organisation des Nations unies. (AFP)

 

Aide israélienne en Afrique (Israel-infos).

AFRIQUE - Israël développe ses technologies en faveur de l'approvisionnement en nourriture et énergie
par David Koskas
Plusieurs pays africains utilisent les services d'une société israélienne pour améliorer leur agriculture.

Green 2000, qui est le principal importateur en Israël de graines et autres produits destinés à l'agriculture, a mis en place des programmes de développement et d'éducation agricoles en Angola, au Nigéria, au Tchad, au Soudan du Sud, en Guinée équatoriale, au Kenya et au Ghana.

Avec ses fermes publiques et privées, ses serres, ses centres de formation, la compagnie israélienne s'est solidement implantée sur le continent.

"Les pays d'Afrique sont très fertiles mais disposent de très peu de connaissances agricoles. C'est pourquoi un de nos objectifs est de faire connaitre les systèmes modernes d'agriculture dans ces pays.", explique Fishman, ingénieur de Green 2000 au site "No Camels".

Green 2000 espère influencer l'emploi dans l'agriculture en zones rurales. "Le développement dans les provinces rurales peut éviter aux fermiers de migrer vers les villes, où ils ont généralement du mal à s'installer. L'Afrique est un continent très riche avec une population extrêmement pauvre. Nous voulons aider à changer cela en développant les zones rurales", indique-t-il.

Réduire la dépendance de ces pays à l'importation, en particulier pour les produits alimentaires de base, et aller vers l'autosuffisance, est une des principales demandes formulées par les gouvernements africains qui ont engagé la compagnie.

Pour y parvenir, elle développe des infrastructures agricoles qui, d'après ses dires, peuvent chacune approvisionner 7000 familles – c'est-à-dire environ 50 000 personnes.

Dans un autre domaine, une société israélienne développe un programme qui vise à résoudre les problèmes de pays africains qui souffrent de dysfonctionnements chroniques de leur approvisionnement électrique.

Globe Light and Water Systems (GLW) a mis au point un système d'éclairage des rues et des routes autosuffisant: au lieu d'être reliés à des centrales de courant électrique, les réverbères n'auront que le soleil pour unique source d'énergie.

Les batteries de GLW emmagasinent l'énergie produite par les rayons du soleil, et l'utilise lorsque la nuit tombe, jusqu'au lendemain matin. Elles savent aussi adapter la quantité d'énergie qu'elles délivrent aux différentes tranches horaires, pour préserver leurs réserves: elles éclaireront par exemple plus fortement en début de soirée qu'au milieu de la nuit.

GLW équipe déjà le Nigéria et l'Ethiopie.
Plusieurs pays du continent africain, où la maintenance et l'approvisionnement en électricité sont souvent irréguliers, sont intéressés par cette technologie.

 

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