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L’islam radical, idéologie de la mort (Rachel Franco sur Dreuz.info)

L’islam radical, idéologie de la mort

islam radical

Ce qui ne cesse de me surprendre, c'est la manière dont l'Occident en général et l'Europe en particulier conduisent leurs affaires intérieures. Nous pourrions nommer cela l'aveuglement idiot, face à un islam radical qui s'installe confortablement dans les fauteuils de la démocratie et programme la mort des civilisations libres… avec les armes que leur offrent les droits de l'homme, droits bien entendu garantis par la constitution, le droit national et international.

Mais s'agit-il véritablement d'aveuglement ou bien d'une lâcheté avérée et d'un suicide qui s'approche à pas de géants ? Et puisqu'il en est ainsi, au nom de quel droit, les dirigeants politiques de ces pays se permettent-ils d'engager leurs nations vers une voie sans issue, un gouffre béant qui entend dévorer ses citoyens, largement endormis par une prose journalistique terriblement coupable ?

Le Politique, au sens noble du terme, n'a-t-il pas pour objet de veiller au bienvivre des citoyens et n'a-t-il pas pour objet premier de garantir leur protection ? Je ne pense pas qu'il existe de profession plus difficile que celle qui consiste à se consacrer à la chose publique. La critique acerbe, les moqueries et l'ingratitude sont monnaie courante pour ceux qui s'exposent aux yeux de tous, à proposer de gérer les droits et les devoirs des citoyens dans un équilibre harmonieux absolument nécessaire.

Il est vrai que le Politique n'étant plus ce qu'il devrait être, nombre de ses hommes publics ne sont nullement habités par le souci de ces Autres, les plus faibles, les plus fragiles, les plus isolés et les plus démunis de la société, mais bien davantage par la gloriole d'une reconnaissance sociale qui ne doit pas grand-chose au mérite, mais davantage à des convictions politiques qui n'ont pas fait l'objet de la moindre remise en question.

Tout de même ! C'est une chose de vivre sans authenticité personnelle et c'en est une autre de précipiter son pays dans les mains de l'islam radical.

Il y a bien longtemps qu'il n'est plus nécessaire de démontrer l'inhumanité d'une idéologie barbare et sanguinaire qui voue à la mort, un culte à vomir. Le peuple juif connait bien la bête immonde que Le livre des livres nomme Amalek. Il y a si peu de temps, Amalek s'est habillé dans les corps de ces nazis qui ont brulé six millions de mes pères et mères, de mes frères et sœurs et de mes enfants. Aujourd'hui Amalek est à Gaza, dans les corps de ces terroristes qui envoient leurs gosses et leurs femmes se faire sauter au milieu des Juifs, dans les bus, les pizzérias, dans les discothèques où nos jeunes veulent oublier que nous vivons des temps de folie pure. Amalek est au Liban, mais aussi en Égypte et en Turquie et en Syrie… enfin partout où la haine antijuive remplace le pain qui nourrit les corps et où la jouissance de la mort remplace l'eau qui purifie les cœurs.

Il ya donc bien longtemps que tout un chacun sait quoi et qui dans ce monde est un danger mortel pour le reste de l'humanité. Et cependant, un silence prudent et j'ajouterai peureux couvre les consciences de ceux qui ont pris sur eux d'éclairer les citoyens sur les enjeux sociétaux.

Je ne vis plus en Europe, j'ai choisi de vivre en Israël et c'est l'une des décisions les plus justes de ma vie. Ce n'est pas que le danger soit inexistant, mais je ne le vis pas comme tel. Je sais bien que la prochaine guerre sera terrible et qu'elle est déjà là, mais je me sens ici, sur cette terre d'Israël, en sécurité plus que jamais. Il ya des choses que l'on peut difficilement expliquer ; ce sentiment de sécurité est au-delà de toute logique humaine, sans doute parce qu'Israël est au-delà de toute logique humaine.

Face à l'islam radical qui porte les couleurs de l'idéologie de la mort, Israël est plus que jamais la force de la vie pour l'ensemble des Nations.

Israël a cette capacité incroyable qui est de révéler à chacun son vrai visage : les justes de tous les temps qui s'engagent au nom de la Justice et de la Fraternité, les lâches qui se taisent et plantent leurs cous d'autruche dans les déserts d'Arabie, les Amalécites qui ne supportent pas l'idée que soit accomplie la promesse du retour du peuple juif sur sa terre pour devenir une Nation.

On ne devient le meilleur de ce que l'on porte en soi, que si, devant les épreuves, on sait se tenir debout au milieu de la tourmente.

Israël est debout au cœur de la tourmente islamiste et recouvre de ses ailes de vie, l'ensemble de ses vrais amis.

Israël, le 19 janvier 2012

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous : 
© Rachel Franco pour www.Dreuz.info

 

 

La marche inexorable de l’Europe vers l’islamisation vue d’Amérique (Dreuz.info)

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Je reproduis intégralement, une fois n’est pas coutume, ce regard sur l’Europe vu d’Amérique. 
 
On reprochera à ce document de réunir des faits qui n’ont rien à voir les uns avec les autres à des fins islamophobes : que répondre, sinon par un grand soupir… L’islamophobie est un devoir, puisque je considère que l’islam radical est en position conquérante.
 
L’Europe post chrétienne s’est remarquablement islamisée en 2011.

Alors que la croissance rapide de la population musulmane fait de plus en plus remarquer sa présence dans les villes et villages sur tout le continent, l’islam est en train de transformer le style de vie des Européens d’une manière inimaginable il y a seulement quelques années. Nous allons faire une brève rétrospective des faits les plus alarmants liés aux controverses concernant l’islam, survenus en Europe en 2011.

En Autriche, une cour d’appel a confirmé la condamnation politiquement correcte d’Elisabeth Sabaditsch-Wolff, une mère de famille viennoise, militante contre le djihad, accusée d’avoir « dénigré des croyances religieuses » lors d’une série de séminaires sur les dangers de l’islam radical. Le verdict du 20 décembre démontre que le christianisme et le judaïsme peuvent être dénigrés en toute impunité dans l’Autriche post moderne, alors que dévoiler des vérités sur l’islam entraîne de rapides et lourdes condamnations.

En Autriche encore, le Centre roi Abdallah Bin Abdelaziz pour le dialogue interreligieux et interculturel a été inauguré dans le Musée Albertina au cœur de Vienne, le vendredi 13 octobre. Les Saoudiens affirment que le but de cette initiative, coûtant des millions de dollars, est de « promouvoir le dialogue » entre les principales grandes religions mondiales afin « d’éviter les conflits ». Or des esprits critiques rétorquent qu’il s’agit en réalité de permettre à l’Arabie Saoudite de promouvoir l’islam wahhabi conservateur à partir d’un « centre de propagande » permanent au cœur de l’Europe.

 

En Belgique, selon un nouveau livre publié par l’université catholique de Louvain, la plus importante université francophone de Belgique, les musulmans constituent déjà un quart de la population de Bruxelles. En chiffres réels, le nombre de musulmans à Bruxelles, où la moitié des musulmans en Belgique vivent, a atteint le chiffre de 300 000, ce qui signifie que la soi-disant « capitale de l’Europe » est la ville la plus islamisée de toute l’Europe.

En Belgique toujours, le prénom le plus commun donné aux garçons en 2011 a été Mohamed. Ce prénom est également le plus attribué à Anvers, la deuxième ville de Belgique, où environ 40 % des enfants des écoles élémentaires sont des musulmans.

Par ailleurs, le groupe islamiste Sharia4Belgium a intensifié sa propagande et ses campagnes d’intimidation dans l’intention de transformer le pays en Etat islamique. En septembre, ce groupe a établi un « tribunal de la charia » à Anvers. Les leaders du groupe prétendent que le but de ce tribunal est de créer un système juridique musulman parallèle en Belgique afin de concurrencer l'autorité de l'état dans son rôle de gardien des protections du droit civil garanties par la constitution belge.

En Grande-Bretagne, un groupe musulman a lancé une campagne visant à transformer douze villes britanniques, incluant ce qu’ils nomment le Londonistan, en Etats islamiques indépendants. Ces soi-disant émirats islamiques fonctionneraient comme des enclaves autonomes, appliquant la charia et gouvernés entièrement en dehors de la loi britannique.

En outre, la police britannique a enregistré en 2011, plus de 2800 crimes dits d’honneur, punitions subies pour avoir apporté la honte dans la famille ; c’est la première fois qu’une estimation de ce problème est réalisée au niveau national. Le record des crimes d’honneur a eu lieu à Londres même et concerne des meurtres, mutilations, tabassages, enlèvements et attaques à l’acide, et c’est à Londres que le problème a augmenté au point de dépasser de cinq fois la moyenne nationale.

Ces données ont été publiées peu de temps après un autre rapport montrant que des dizaines de milliers d’immigrés musulmans en Grande-Bretagne pratiquent la bigamie ou la polygamie afin de profiter de sommes plus importantes de l’aide sociale de l’Etat britannique. Le rapport daté du 24 septembre montre que le phénomène de la bigamie et de la polygamie, licites selon la charia, est beaucoup plus étendu que l’on ne pensait auparavant, bien que ce soit illégal en Grande-Bretagne et punissable d’une peine allant jusqu’à sept ans de prison. La croissance rapide des mariages multiples est encouragée par les politiques multiculturelles qui accordent des droits spéciaux aux immigrés musulmans qui demandent que la charia soit incluse dans la loi et le système des aides sociales britanniques.

Par contre, une employée chrétienne en Grande-Bretagne a porté plainte pour licenciement abusif après avoir dénoncé la campagne de harcèlement systématique qu’elle subissait de la part de musulmans fondamentalistes. Dans un procès qui fera date, Nohad Halawi, une ex-employée de l’aéroport londonien de Heathrow, a poursuivi son ex-employeur pour licenciement abusif, alléguant que tous les employés chrétiens, dont elle-même, sont discriminés en raison de leurs convictions religieuses.

Le cas de Halawi est défendu par le Christian Legal Centre (CLC), une organisation qui offre un soutien juridique aux chrétiens du Royaume-Uni. Le CLC dit que ce cas soulève des questions juridiques essentielles, ainsi que des interrogations sur le traitement différencié des musulmans et des chrétiens par les employeurs.

Au Danemark, un groupe musulman a lancé une campagne pour transformer des quartiers entiers de Copenhague et d’autres villes danoises en « zones d’application de la charia » qui fonctionneraient comme des enclaves autonomes sous la loi islamique. Le groupe islamique Kaldet til Islam (Appel à l’islam) a déclaré que la banlieue Tingbjerg de Copenhague serait le premier quartier à être soumis à la charia, suivi de Nörrebro et ensuite la charia s’étendrait à d’autres parties du pays. Ce groupe a affirmé qu’il allait instaurer une « police de la vertu », 24 heures sur 24, afin de faire appliquer la charia dans ses enclaves. Les patrouilles pourront confronter quiconque boit de l’alcool, fait des paris, sort en discothèque, ou participe à toutes sortes d’activités que ce groupe considère comme contraires à l’islam.

Au Danemark encore, le conseil municipal de Copenhague a approuvé la construction de la première « Grande Mosquée » officielle de la capitale danoise. Avec son énorme coupole bleue et ses deux gigantesques minarets, cette méga-mosquée a été conçue pour détoner au milieu des constructions traditionnelles plus modestes de Copenhague. Contrairement à la plupart des mosquées d’Europe, sunnites, la mosquée de Copenhague est chiite. Elle est financée par la République Islamique d’Iran ; des voix critiques accusent déjà les théocrates de Téhéran de chercher à utiliser la mosquée comme futur centre de recrutement en Europe pour le Hezbollah, ce mouvement d’activistes chiites.

Pendant ce temps, Lars Hedegaard, Président de l’International Free Press Society basée au Danemark,  a été reconnu coupable de discours de haine pour ses commentaires au sujet de l’islam. Il a été condamné à une amende de 5 000 couronnes danoises (environ 1000 dollars). Les démêlés avec la justice de Hedegaard ont commencé en décembre 2009, quand il fit remarquer, dans une interview enregistrée, que le taux de viols d’enfants et de violence domestique était plus élevé dans les quartiers dominés par la culture musulmane.

Bien qu’Hedegaard ait insisté sur le fait qu’il n’avait pas eu l’intention d’accuser tous les musulmans ni même la majorité d’entre eux de tels délits, et bien qu’il ait été acquitté par un jugement précédent, la police de la pensée danoise a poursuivi l’affaire jusqu’à ce qu’il soit condamné.

L’Union Européenne, courbant l’échine devant la pression des lobbies musulmans, a abandonné, mine de rien, un nouvelle mesure exigeant que la viande halal (déclarée licite par le clergé musulman) porte un label signalant aux consommateurs que les animaux n’ont pas été étourdis, et par conséquent étaient conscients jusqu’à leur mise à mort. Avec la croissance exponentielle de la population musulmane en Europe ces dernières années, des milliers de tonnes d’animaux sacrifiés rituellement entrent maintenant dans la chaîne alimentaire générale, et la population non musulmane les consomme à son insu.

Cette décision de l’UE montre que les musulmans ont le droit de choisir l’alimentation halal, mais que les non musulmans n’ont pas le droit de choisir de ne pas manger d’animaux  sacrifiés rituellement.

En France, on constate que des mosquées islamiques sont plus souvent construites que des églises catholiques romaines, et qu’il y a maintenant plus de musulmans pratiquants que de catholiques pratiquants. Par ailleurs, des groupes musulmans en France ont demandé à l’Eglise catholique romaine la permission de faire usage des églises vides comme solution pour résoudre les problèmes de circulation occasionnés par les milliers de musulmans qui prient sur les voies publiques. Cette demande, qui a été décrite par des commentateurs politiques français comme étant « alarmante », « audacieuse », et « sans précédent », est un autre exemple de l’arrogance croissante des musulmans en France.

En octobre, un rapport fait état que les banlieues décrépies sont en passe de devenir des «sociétés musulmanes séparées» du reste de l’Etat, selon une étude récente importante  intitulée « Banlieues de la république » qui examine la propagation de l’islam en France.

Les immigrés musulmans rejettent de plus en plus les valeurs et l’identité françaises et préfèrent s’immerger dans l’islam, selon ce rapport, qui prévient également que la charia est en train de remplacer rapidement le droit civil français dans les banlieues parisiennes. Les auteurs du rapport démontrent que la France, qui compte entre cinq à six millions de musulmans (soit la population musulmane la plus grande en Europe) est au bord d’une grave explosion sociale parce que les musulmans ne s’intègrent pas dans la société française.

La loi française controversée interdisant la burqa est entrée en vigueur en avril. La nouvelle loi interdit, dans tout l’espace public en France, la burqa couvrant tout le corps et le niqab couvrant le visage ; elle a été adoptée dans un contexte de frustration croissante devant le manque d’intégration des 6,5 millions de musulmans.

En Allemagne, il a été révélé que chaque année des milliers de jeunes hommes et de jeunes filles sont victimes de mariages forcés. La plupart des victimes viennent de familles musulmanes, certaines ont été menacées de violences et même de mort. Ces révélations ont choqué le peuple allemand et s’ajoutent au sempiternel débat au sujet de l’immigration musulmane et de l’instauration d’une société islamique parallèle dans le pays.

En Allemagne encore, un best-seller publié en septembre révèle que la propagation de la charia en Allemagne est plus avancée que l’on ne soupçonnait et que les autorités allemandes sont « impuissantes » pour s’opposer au système de justice parallèle dans le pays. Ce livre révèle que les tribunaux de la charia sont opérationnels dans toutes les grandes villes allemandes. Ce « système judiciaire parallèle » sape l’Etat de droit allemand car les arbitres/imams musulmans règlent des cas criminels sans que le parquet et des avocats ne soient impliqués et avant même que les cas soient soumis aux tribunaux allemands.

En outre, le nombre de terroristes islamiques potentiels vivant actuellement en Allemagne a bondi à environ 1000 individus, selon les récentes informations fournies par le ministère de l’Intérieur.

En Grèce, le parlement a approuvé un projet controversé de construction d’une méga-mosquée à Athènes, financée par les contribuables. Cette décision est intervenue dans un climat de menaces de violences à peine voilées, des milliers de musulmans de la ville ayant fait pression sur le gouvernement pour exiger une mosquée sous peine d’émeute.

Aux Pays-Bas, il a été révélé que 40 % des immigrés marocains âgés de 12 à 24 ans ont été arrêtés, condamnés à des amendes, inculpés, ou accusés de délits ou de crimes divers durant les cinq dernières années, selon un rapport commandité par le ministère de l’Intérieur. Dans les banlieues hollandaises où la majorité des résidents sont des immigrés marocains, la délinquance des jeunes atteint 50 %. De surcroît, la délinquance juvénile des Marocains ne se limite pas aux hommes ; des filles et des jeunes femmes s’adonnent de plus en plus à des activités criminelles.

Le « Dutch-Maroccan Monitor 2011 » révèle de son côté que la plupart des jeunes délinquants marocains sont nés aux Pays-Bas. Ceci implique que les enfants des immigrés marocains ne s’intègrent pas dans la société hollandaise et confirme le fait que les Pays-Bas paient très cher pour l’échec de son approche multiculturelle envers l’immigration.

Aux Pays-Bas également, des islamistes ont fait une irruption impressionnante à Amsterdam lors d’un débat entre deux musulmans libéraux, l’auteure canadienne, musulmane et féministe, Irshad Manji et le député socialiste-écologiste Marocain-Hollandais, Tofik Dibi. Le 8 décembre, un débat a eu lieu au centre d’Amsterdam sur le thème : « Comment les musulmans libéraux peuvent-ils empêcher l’islam d’être détourné par les musulmans extrémistes », ce débat organisé par la Fondation Européenne pour la Démocratie n’a pu avoir lieu qu’à la suite de l’intervention musclée de la police qui a arrêté plusieurs islamistes.

Cet incident met en évidence la fréquence croissante des tactiques d’intimidation utilisées par les musulmans, allant du harcèlement jusqu’au meurtre, dans leurs efforts pour museler la liberté d’expression en Europe et imposer l’islam sur le continent.

Petite note positive quand même : un tribunal d’Amsterdam a acquitté le député Geert Wilders, chef du PVV, (le parti de la liberté hollandais), qui avait dénoncé les menaces contre les valeurs européennes posées par une immigration musulmane inassimilable. Il avait été accusé « d’incitation à la haine religieuse » contre les musulmans pour ses commentaires critiques envers l’islam.

En juin, le gouvernement hollandais a déclaré vouloir renoncer à sa politique du multiculturalisme qui a encouragé les immigrés musulmans à créer une société parallèle au cœur de la société hollandaise.

En Italie, un rapport du 17 octobre, publié par le Comité pour l’observation de l’antisémitisme, commandité par la chambre des députés (la chambre basse du Parlement italien) et intitulé « Document final : Investigation sur l’antisémitisme » a révélé que 44% des Italiens ont des préjugés ou sont hostiles envers les Juifs. Ce document de cinquante pages montre que l’antisémitisme en Italie est surtout fomenté par les immigrés musulmans qui ont établi des liens avec des extrémistes de gauche et de droite pour mener des attaques contre les communautés juives, les synagogues, les écoles et les cimetières juifs locaux.

En Espagne, des musulmans ont été accusés d’avoir empoisonné des douzaines de chiens à Lérida, ville du nord-est de la Catalogne, qui est devenue l’épicentre de la contestation sur le rôle de l’islam en Espagne. Tous les chiens ont été empoisonnés en septembre, dans les banlieues industrielles de Lérida, Cappont et La Bordetta, zones presque exclusivement peuplées d’immigrés musulmans et où de nombreux chiens ont été tués ces dernières années. Les Espagnols pensent que les immigrés musulmans ont tué les chiens parce que selon les préceptes de l’islam, les chiens seraient des animaux « impurs ».

En Espagne également, deux chaînes de télévision de l’islam radical ont commencé des émissions 24heures/24 en langue espagnole, destinées aux téléspectateurs en Espagne et en Amérique Latine, depuis leurs nouveaux studios à Madrid. La première chaîne, sponsorisée par l’Iran, se charge de propager la version chiite de l’islam iranien, la seconde chaîne, sponsorisée par l’Arabie Saoudite, veut propager la version Wahhabite de l’islam saoudien. Les inaugurations de ces deux chaînes ont été délibérément prévues pour coïncider avec les fêtes de Noël et représentent un exemple supplémentaire de l’envahissement graduel de l’islam dans l’Espagne post chrétienne.

En Suède, la police de Malmö, la troisième ville de Suède, a fait état d’une augmentation significative du nombre d’attaques antisémites perpétrées pas des immigrés musulmans en 2011. Les chiffres ont été révélés lorsque le 20 septembre, le gouvernement suédois a fait une provision budgétaire de 4 millions de couronnes (600 000 dollars) pour sécuriser les synagogues du pays, après les accusations que la Suède n’avait pas suffisamment agi pour assurer la protection de sa population juive.

La Suède a été accusée de complaisance envers le problème grandissant des actes antisémites commis en Suède au point que le centre Simon Wiesenthal de Los Angeles conseille aux Juifs d’éviter de voyager dans le sud de la Suède.

En Suisse, où la population musulmane a plus que quintuplé depuis 1980, un groupe musulman de Berne a demandé que l’emblématique croix blanche soit retirée du drapeau national suisse, car étant un symbole chrétien, le drapeau « ne correspond plus à la Suisse multiculturelle contemporaine ».

Source : Europe's Inexorable March Towards Islam, par Soeren Kern, Stonegate Institute, 29 décembre 2011. Traduction par Capucine pour Poste de veille

Soeren Kern est membre du directoire pour les relations transatlantiques du Grupo de Estudios Estratégicos (Centre d’Etudes Stratégiques  ), à Madrid.

© http://www.postedeveille.ca/2012/01/la-marche-inexorable-de-leurope-vers-lislamisation.html

 

 

Retour à la liberté de la presse en Tunisie : journaliste frappée et traînée par les cheveux (Dreuz)

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La Police tunisienne fait partie de l'héritage de la dictature et de la mentalité autoritaire qui l’ont rendue tristement célèbre. 
 
Elle censure depuis peu les images des nouvelles immolations en série, afin d'éviter un nouveau "printemps". 
 
Au moment où l’on croyait que ce genre de pratiques était révolu et qu’on pouvait aspirer à une presse libre dans un pays démocratique, nous revoilà, de nouveau, confrontés aux mêmes méthodes de la Police de la terreur.
 
Une dizaine d’enseignants ont été agressés mercredi 4 janvier 2012 devant le siège du ministère de l’Enseignement supérieur, alors qu’ils protestaient contre l'occupation illégale et illégitime de la faculté des lettres de la Manouba.
 
Ces enseignants agressés par la police tunisienne réclament des autorités la reprise des cours, et la fin du sit-in, qui dure depuis plusieurs semaines, par des islamistes du courant salafiste. Les négociations et tractations n’ont, jusque-là, abouti à aucun compromis et le bras-de-fer entre les défenseurs du Niqab, l’administration et le corps enseignant continue.
 
Incapable d’évacuer les lieux de la faculté de Manouba occupée par des jihadistes radicaux, la police a trouvé plus facile de s’attaquer aux enseignants, étudiants et journalistes, qui réclament le droit de retourner à la faculté. Le ministère de l’Enseignement supérieur n’a pas non plus tenu ses promesses et la situation se trouve toujours au point mort.
 
La manifestation devant le ministère de l'Enseignement supérieur a été réprimée par l’intervention violente des forces de l'ordre. 
 
Des policiers en civils sont intervenus pour essayer d’éloigner le corps professoral et les journalistes, en usant de la force.
 
Deux journalistes ont été agressées. 
 
Maha Ouelhezi, de WebManagerCenter, a été interdite de filmer, et son appareil photo a été jeté violemment par terre.
 
Sana Farhat (du quotidien Le Temps) a été frappée et traînée par les cheveux, sa caméra et sa carte de presses arrachées, alors qu’elle les tenait à la main pour montrer son identité. Après un long moment, elle put reprendre sa carte et son appareil, après suppression des séquences de violences.
 
Le rapport de force est en faveur des islamistes. 
 
Il suffit d’une poignée d’islamistes pour paralyser l’université tunisienne. Le gouvernement est aux abonné absents, quand il s’agit de dégager ces inconditionnels du niqab saoudien. Il ne veut pas réagir, laissant les barbus prendre le dessus et islamiser les universités, en dépit des protestations des jeunes qui veulent faire leurs études dignement.
 
Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Ftouh Souhail pour www.Dreuz.info

 

 

Vous avez dit lieux saints ? (Dreuz.info).

Jérusalem, second temple et mosquée Al Aqsa

Jusqu’à présent, et en raison de la présence de lieux saints de l’islam et de la population arabe, l’armée israélienne a toujours considéré que Jérusalem était à l’abri d’une attaque de missiles ennemis.
 
Ce n’est plus le cas.
 
Les divers scénarios de menace sont constamment mis à jour par l’armée Israélienne en fonction des informations livrées par les services secrets, et la comparaison entre les intentions ennemies et leur capacités.
 
Suite à cela, les mairies et conseils régionaux israéliens reçoivent une information détaillée quand au nombre de missiles qu’ils risquent de recevoir en cas de conflit, et comment s’y préparer.
 
Pendant de nombreuses années, les stratèges de Tsahal ont considéré que ni le Hezbollah ni la Syrie ne viseraient Jérusalem, en raison d’une relativement importante présence arabe, et par crainte que les lieux saints de l’islam, comme par exemple la Mosquée al Aksa, soient accidentellement touchés.
 
Et bien ce n’est plus le cas, a déclaré récemment un haut cadre de l’armée. « Nous pensons maintenant que dans un futur conflit, la possibilité que Jérusalem se retrouve sous les tirs de missiles est sérieuse, y compris de missiles tirés depuis Gaza ». La nouvelle ne surprend pas Dreuz.info en réalité, puisque nous avons publié plusieurs témoignages de journalistes arabes, lors de l’échange de l’otage franco-israélien Guilad Shalit, rêvant, en contemplant les massacres des syriens par al Assad, que leurs gouvernements protègent ses arabes comme le gouvernement israélien protège ses juifs. 
 
Par ailleurs, le fait que Jérusalem est ou n'est pas un lieu saint de l’islam fait débat chez les théologiens islamistes, puisque son nom n’est pas même cité dans le coran, et qu'aucun leader arabe, en mille quatre cent ans, n'a été interessé à s'y établir ou à en faire une capitale – avant 1967 s'entend.
 
Donc Jérusalem, selon l’armée israélienne, pourrait être bombardée même lors d’un conflit mineur avec Gaza, par le Hamas et le Jihad islamique, que l’armée israélienne croit être maintenant en possession de missiles livrés par l’Iran.
 
Elisha Peleg, conseiller municipal de Jérusalem, a confirmé ces informations, et il a ajouté, ce qui confirme que l'information est plus qu'une hypothèse, que la ville est en train de financer de nouveaux abris contre les bombardement, du fait que la vieille ville, qui n’en a pas en nombre suffisant, n'en avait jamais eu besoin.
 
Question : la mairie de Jérusalem doit-elle aussi construire des abris anti-missiles à Jérusalem-Est afin de protéger la population arabe, et si oui, Israël sera t-il condamné pour ces nouvelles constructions ?
 
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html suivant : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 

Israël : des hackers wahhabites attaquent des comptes (Le Figaro).

ACTUALITÉ International

  • Israël:des hackers wahhabites attaquent des comptes

    Les coordonnées de 400.000 cartes de crédit ont été divulguées sur la Toile, hier, en Israeïl, invitant les internautes à profiter de l'aubaine pour faire des achats gratuitement.
    Les coordonnées de 400.000 cartes de crédit ont été divulguées sur la Toile, hier, en Israeïl, invitant les internautes à profiter de l'aubaine pour faire des achats gratuitement. Crédits photo : Rafael Ben-Ari/Cham/NEWSCOM/SIPA/Rafael Ben-Ari/Cham/NEWSCOM/SIPA

    L'escroquerie qui a touché 16.000 cartes de particuliers avait aussi des visées politiques.

    Les détenteurs de cartes de crédit en Israël ont eu hier des sueurs froides. Des hackers se présentant comme des Saoudiens ont proclamé fièrement avoir divulgué sur la Toile les coordonnées de 400.000 cartes de crédit sur les 7millions en circulation tout en invitant les internautes à profiter de l'aubaine pour faire des achats gratuitement. L'alerte a aussitôt été déclenchée, d'autant qu'il ne s'agissait pas d'un canular. Au total, quelque 16.000 cartes ont été piratées.

    «Nous avons réussi à limiter les dégâts en quelques minutes», assure Dov Kotler, patron d'Isracard, un des principaux organismes de gestion de cartes de crédit. Selon lui, seules quelques dizaines de cartes ont été effectivement utilisées frauduleusement pour des sommes «marginales».

    Achat de jeux informatiques

    Une des victimes, Ilan Harbiv, a expliqué à la radio militaire avoir constaté en vérifiant ses comptes sur son ordinateur que des inconnus avaient acquis à ses dépens des jeux informatiques en Grande-Bretagne. «Au total, les sommes volées ne dépassent pas les 400 shekels (80 euros)», a-t-il précisé.

    À titre de précaution, les cartes détournées ont été bloquées pour les achats via Internet à l'étranger. Mais les clients peuvent continuer à les utiliser pour sortir de l'argent ou pour payer dans les magasins en Israël. Histoire de rassurer, les banques ont fait savoir que les clients lésés seraient entièrement indemnisés. Pour l'avenir, Dov Kotler a précisé que les organismes de crédits israéliens allaient adopter un nouveau protocole de sécurité surnommé «PCI» qui doit entrer en vigueur en mars dans le monde.

    Les autorités ont pris cette attaque très au sérieux. Les hackers n'ont pas caché qu'il ne s'agissait pas d'une simple escroquerie, mais que leur offensive avait aussi des visées politiques.

    «Salut, c'est 0xOmar du groupe-xp, le plus grand groupe de hackers wahhabites (interprétation rigoriste de l'islam) d'Arabie saoudite», affirme le message de ces pirates informatiques, qui évoquent «le plaisir d'imaginer 400.000 personnes se précipiter en Israël devant les sièges des banques et des sociétés de cartes de crédit pour porter plainte».

    C'est précisément pour éviter coûte que coûte que des pays ou des organisations «hostiles» parviennent à semer le chaos en s'infiltrant dans les systèmes informatiques que les autorités civiles et militaires israéliennes ont constitué l'an dernier un organisme spécial chargé d'organiser la défensive dans le cas d'une «cyberguerre».

    Parmi les institutions «vitales», qui doivent bénéficier d'une protection spéciale de leurs installations et de leurs données, figurent l'armée, les services de renseignement, la police, les pompiers, mais aussi la compagnie d'électricité, de distribution de l'eau, des télécommunications, les transports aériens et ferroviaires ainsi que les hôpitaux, les services d'urgence, mais aussi les banques…

    Par Marc Henry

 

 

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