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Retour d’Israël

10 juin 2013 | Classé dans: Israël,Présidence Hollande,Société | Posté par: 
 
 
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Je viens de rentrer en France, après une semaine passée en Israël.

Chacun de mes séjours en Israël est intense en rencontres, en émotions, en partages. Ce voyage n’aura pas été une exception. Faute de temps, je n’ai pas rencontré tous ceux que j’aurais voulu rencontrer, me rendre partout où je souhaitais me rendre. Je n’ai, surtout, pas pu suivre l’actualité du monde avec l’intensité et l’attention requises, et j’ai donc des lectures à rattraper. Je n’en reviens pas moins vers la France infiniment plus riche d’amour mutuel, de clarté, d’ouvertures. J’ai connu mille moments forts, mais le plus fort d’entre eux a été incontestablement une rencontre à Netanya avec le rabbin d’une synagogue qui m’accueillait : celui-ci m’a fait un cadeau symbolique très précieux, chargé d’âme, qui ne me quittera plus jusqu’à la fin de mon existence.

L’aveuglement de l’Europe sur Israël est surtout préoccupant pour l’Europe

J’ai parlé, bien sûr, beaucoup parlé. Pour expliquer l’évolution géopolitique complexe du Proche Orient et du reste du monde. J’ai évoqué ce faisant Israël et la haine aveugle envers Israël qui monte présentement en Europe. J’ai insisté sur l’aveuglement européen, disant que nombre d’Européens lorsqu’ils évoquaient Israël, évoquaient un pays qu’ils ne connaissaient visiblement pas et qui ressemblait de moins en moins aux descriptions des vils propagandistes rémunérés par les grands médias. J’ai souligné que cet aveuglement était davantage préoccupant pour l’Europe que pour Israël, soulignant qu’Israël est un pays de plus en plus fort, imprégné d’une lucidité sans cesse croissante et optimiste face au futur. Je n’ai pas changé d’avis, au contraire. En s’aveuglant sur Israël, nombre d’Européens s’aveuglent sur cette force, cette lucidité et cet optimisme et se situent, sans s’en rendre compte, dans le camp des perdants et du ressentiment.

Les jeunes Turcs se soulèvent contre l’islam radical, un geste que tant d’Européens n’osent pas faire

Sur le chemin du retour vers la France, je me suis arrêté quelques heures à Istanbul, et j’ai pu aller à la rencontre des insurgés de la place Taksim, une coalition hétéroclite composée de gens d’horizons très divers, unis par un refus de l’islam radical vers lequel Erdogan entend faire glisser le pays. J’ai du constater que les jeunes Turcs, en se soulevant contre l’islam radical, faisaient un geste que tant d’Européens n’osent pas faire. C’est un sujet sur lequel je reviendrai, car la Turquie est un pays crucial sur la carte de la planète. Elle est un pays dont les positions concernant l’islam, Israël, l’Iran sont à observer de près. Elle est un pays dynamique économiquement, et un pays où existe ce qui n’existe quasiment pas dans les pays arabes : des entrepreneurs et un esprit d’entreprise. Elle est une exception dans l’effondrement qui touche le monde musulman, du Pakistan au Maroc, et cette exception mérite toute l’attention requise.

De retour en France, j’ai retrouvé les pathologies de la société française, et je l’écris avec tristesse. En rentrant d’Israël, comme en rentrant des Etats Unis, voire en rentrant de Turquie et d’Istanbul, la région parisienne paraît touchée par la décrépitude et la sclérose. L’information diffusée est, pour l’essentiel, indigne du nom d’information. Le soulèvement de la place Taksim est comparé aux soulèvements du « printemps arabe », alors que le premier n’a strictement rien à voir avec les seconds. Les scandales qui touchent l’administration Obama, et qui s’accumulent, sont abordés de façon si édulcorée qu’il me serait impossible d’en comprendre quoi que ce soit si je n’avais un pied aux Etats Unis et si je ne lisais la presse américaine. La grande affaire du moment est, semble-t-il, la mort d’un totalitaire gauchiste venu casser du « fasciste » et qui s’est fait casser lui-même.

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La mort d’un homme jeune est toujours tragique. Cet homme jeune n’en était pas moins à mes yeux un crétin violent, endoctriné, adepte de doctrines qui ont fait au bas mot une centaine de millions de morts au vingtième siècle. Celui qui a tué accidentellement le jeune crétin est, peut-être, l’adepte de dogmes qui ont eux-mêmes fait des millions de victimes. Il est sans doute lui-même un crétin.

la frange radicale de ce dont les socialistes au gouvernement sont la frange modérée

Les skinheads sont, en France, quelques dizaines et ne représentent aucunement un danger. Les traiter de « fascistes » est une explication d’un simplisme débile, et ce genre d’explication évite de poser la question de ce dont les skinheads et d’autres mouvements de ce genre sont les symptômes. Ce genre d’explications évite aussi de se poser la question de la rage de destruction de la civilisation occidentale qui anime des gens tels que le jeune crétin mort. Ce dernier faisait partie de la frange radicale de ce dont les socialistes au gouvernement sont la frange modérée : il n’est pas étonnant que le gouvernement ait immédiatement hurlé contre l’ « extrême droite». Ces gens ont besoin d’agiter la peur de l’ « extrême droite » pour faire oublier leurs échecs, les dégâts qu’ils provoquent, et la haine de la société ouverte qu’ils ont en commun avec les skinheads. En agitant la peur de l’ « extrême droite », ils escamotent ou espèrent escamoter tout débat sur les vrais problèmes du pays. En traitant aisément tous ceux qui ne pensent pas comme eux, de « fascistes », car l’insulte proférée par eux n’est pas dirigée seulement contre les skinheads, ils s’aveuglent eux-mêmes et aveuglent ceux qui les écoutent sur le vrai danger qui menace la France et l’Europe. Et ce danger n’est pas incarné par les skinheads. Il réside plutôt chez ceux qui ont découpé en morceaux le soldat Lee Rigby à Londres récemment, chez ceux qui ont incendié et pillé du côté de Stockholm ou aux alentours de la place du Trocadéro à Paris voici peu. Ceux-là ne crient pas Heil Hitler, mais Allahou Akbar. Ils sont infiniment plus proches de ce que fut le fascisme au temps où il existait que ne le sont les skinheads, et les islamologues qui ont parlé de fascisme islamique avaient des raisons pour cela. Ceux qui agitent la peur de l’ « extrême droite » ou qui traitent ceux qui ne pensent pas comme eux de « fascistes » ne disent pas un mot, à de très rares exceptions près, sur le fascisme islamique décrit par divers islamologues parce qu’ils sont eux-mêmes, souvent, infiniment plus proches du fascisme qu’ils ne veulent bien se l’avouer.

En regardant la France, je vois peu de signes vecteurs d’un redressement et d’un sursaut vers la liberté. Quelques personnes, fort heureusement, gardent la lampe allumée face aux ténèbres. J’ai, sitôt rentré en France, pu en rencontrer quelques unes lors d’un colloque organisé par les amis de l’UPJF. Ils s’appellent Claude Goasguen et Alexandre Del Valle, Ivan Rioufol et Claude Barouch, Roger Cukierman, Joel Mergui. Ce n’est pas une liste exhaustive. C’est parce qu’il y a des gens comme eux que le combat n’est pas achevé et que les ténèbres ne règnent pas encore.

En terminant la rédaction de ces quelques lignes, j’apprends l’élection dans la huitième circonscription des Français de l’étranger de mon ami Meyer Habib. Et je vois là une excellente nouvelle pour Israël, mais aussi pour la France : un député intègre et courageux de plus, c’est un signe positif. L’élection ayant été serrée, je me dis qu’en ayant apporté mon soutien à Meyer Habib, j’ai contribué à sa victoire. Et j’en suis heureux.

Il me reste à lire ce que je n’ai pas lu pendant une semaine. Et à me remettre au travail. Qu’on compte pour moi pour écrire ce qui doit l’être dans les jours qui viennent.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 

John Galliano (lu sur Alliance).

galian.jpgArticle paru dans "Public"


Dans une interview choc accordée au magazine Vanity Fair, l'ancien directeur artistique de la maison Dior se confie sur les étapes difficiles par lesquelles il est passé ces dernières années...

À moins d'avoir vécu l'année 2011 dans une grotte isolée, on se souvient que cette période n'a pas été la plus glorieuse pour John Galliano. Cela fait plus de deux ans maintenant que le styliste a été interpellé pour faits de violences et insultes à caractère antisémite. Les faits s'étaient déroulés dans un bar parisien du troisième arrondissement : complètement éméché, John Galliano avait décidé ce jour-là de passer ses nerfs sur un jeune couple, le tout sous l'objectif d'une caméra.

Une chute violente pour l'homme de 52 ans, qui était au sommet de sa carrière. Mis à la porte de chez Dior après 15 ans de collaboration , poursuivi en justice et envoyé en cure de désintoxication, il a depuis fait son timide retour en présentant cette année la nouvelle collection de sa marque éponyme. Dans une interview accordée au Vanity Fair, il se confie aujourd'hui sans pudeur sur ses démons du passé : "Au début, l'alcool était un soutien pour me détendre après mes journées de travail (...) Mais avec l'accélération du calendrier des Fashion Weeks, ça m'arrivait de plus en plus souvent. J'étais dépendant, j'étais devenu un esclave de l'alcool".

Il s'épanche également sur la drogue : "J'ai commencé à prendre des médicaments pour dormir. Puis encore d'autres pilules car je n'arrêtais pas de trembler. Je prenais tout ce qui me passait entre les mains : de la vodka, une vodka-tonic, du vin, car je croyais que cela pouvait m'aider à dormir. Erreur. Il y avait aussi toutes ces voix dans ma tête qui me posaient des questions en permanence. Mais jamais je ne l'aurais admis. Je n'étais pas un alcoolique. Je pensais avoir le contrôle sur ce qui était en train de m'arriver".

Très vite, ses dépendances lui font de l'ombre dans son travail : "Malgré plusieurs tentatives, je n'arrivais pas à m'en sortir. Les dirigeants de la maison Dior ont essayé d'intervenir en me disant que j'allais mourir si je ne changeais pas de style de vie. Quand ils me disaient ça, j'ouvrais grand ma chemise, je leur montrais mon torse musclé, bodybuildé, en leur demandant : est-ce le torse d'un alcoolique?", admet-il. Mais la chute est inévitable : "Quand les gens m'ont raconté les choses horribles que j'avais faites, je ne savais pas ce qui m'était arrivé. Mon assistante m'a parlé de la vidéo ; quand je l'ai vue, j'ai vomi. J'avais l'impression d'avoir été renversé par un bus, j'étais paralysé de terreur. J'ai essayé de comprendre pourquoi j'avais toute cette haine contre une race. Maintenant j'ai compris que cette colère n'avait rien à avoir avec moi, que j'étais déconnecté de ces propos et que j'avais juste prononcé les mots les plus méchants que je pouvais dire. Depuis, j'ai passé deux ans à lire des livres sur l’Holocauste et l'histoire de la religion juive, à rencontrer des personnes de cette religion".

Après s'être mis plusieurs personnes à dos, dont Bill Gaytten, son bras droit pendant trente ans, John tire toutes les conséquences de ce scandale : "Ça peut paraître bizarre, mais je suis reconnaissant pour ce qui m'est arrivé. J'ai appris énormément de choses sur ma personne, j'ai redécouvert ce petit garçon qui avait cette faim de créativité, une force que je croyais avoir perdue. Heureusement, je suis en vie".

Un mal pour un bien, sûrement...

 

Phillipe Bouvard : «Je ne suis pas du tout honteux d’être juif» Par Carol Binder (Actualité Juive)

<img data-cke-saved-src="http://www.terredisrael.com/Doc-Blog2/bouvard-philipe.jpg" src="http://www.terredisrael.com/Doc-Blog2/bouvard-philipe.jpg" "="" alt="bouvard-philipe" title="bouvard-philipe" style="max-width: 580px; margin-left: 5px; margin-right: 5px; border: 0px;"> « Philippe Pierre Bouvard, fils unique, issu d’une famille juive, a été obligé de se cacher durant la Seconde Guerre Mondiale. Il tient son nom de famille actuel du second époux de sa mère.

Actualité Juive : Humoriste, journaliste, homme de radio et de télévision, écrivain, découvreur de talents…

Philippe Bouvard : Il manque abonné au gaz ! Je préfèrerais que l’on use d’un néologisme que j’ai forgé à mon propre usage et qui est celui «d’humoraliste», sachant que je suis avant tout journaliste. Je suis devenu humoriste parce que les spectacles que j’étais amené à voir appelaient une distanciation humoristique. L’âge venant, je suis devenu moraliste car il fallait bien tirer la morale de tout cela !

A.J. : Quelle est votre plus grande fierté ?

P.B. : «Fierté» me semble un peu outré pour les petites performances dont on peut me créditer. Je dirais qu’il y a de quoi être satisfait d’autant que ma vie avait commencé par des études poursuivies sans jamais être rattrapées. Je n’ai rien fichu jusqu’à ma vingtième année et je suis depuis aux travaux forcés, peine librement acceptée parce que j’exerce des métiers qui sont aussi des passions.

A.J. : Pourquoi, dans ce livre, avoir choisi de vous enterrer ?

P.B. : Je me suis réveillé une nuit avec une idée, dans le droit-fil d’une angoisse métaphysique déjà ancienne : que devient-on lorsque l’on disparaît et à quelle vie, même végétative, peut-on prétendre ? C’est alors que j’ai décidé de raconter ma survie, à travers un roman d’anticipation, un essai sur la mort. J’imaginais que, dans la solitude du tombeau et nonobstant les précautions que j’avais prises d’avoir emporté un Dictaphone et un micro branché sur l’extérieur, j’avais oublié la télévision. J’avais le sentiment de ne pouvoir tromper ma solitude qu’en me «repassant» les vidéos de ma vie ! Par ailleurs, la vie du défunt m’est apparue très répétitive, quand bien même j’y introduisais un brin de fantaisie, d’où la nécessité de prévoir des plans de coupe sous la forme de la vie d’avant dans la vie d’après.

A.J. : Les femmes, l’amour du jeu et du luxe… N’eût été votre «agnosticisme de mécréant», ce livre pourrait passer pour un acte de contrition…

P.B. : Je vous suis reconnaissant de ne pas parler d’athéisme. Je vais vous raconter une histoire, véritable leçon de judéité. L’été dernier, à Cannes, j’aperçois un vieux rabbin devant la gare. Il vient vers moi et n’y voit pas très bien. «Je cherche la Croisette». Je lui indique le chemin. «Ne seriez-vous pas Monsieur Bouvard ?». Ce qui tend à prouver qu’il n’était pas totalement aveugle. «Oui, Monsieur le rabbin». «Savez-vous» me dit-il, «que notre communauté vous aime beaucoup ?» «Monsieur le rabbin, si elle m’aime beaucoup, c’est qu’elle doit sentir que j’ai certaines attaches familiales avec elle. Mais je m’empresse de vous dire que je ne crois pas en D’ieu». Et là, cette réponse fabuleuse : «Vous avez tort, Monsieur Bouvard, car c’est D’ieu qui a permis qu’un juif demande par hasard son chemin à un autre juif». J’ai été très ému, à la fois par la spontanéité et l’esprit de la réplique, et par ce côté mystérieux qui peut établir des liens entre des gens qui ont des origines communes.

A.J. : L’évocation de votre judéité est presque un scoop…

P.B. : Je me suis interrogé sur cette discrétion. Je ne suis pas du tout honteux d’être juif mais je ne vois pas de raison de le clamer. Mon attitude s’explique par le fait que durant l’Occupation, je m’étais plutôt caché de l’être et que j’avais très mal vécu ces quatre années de déménagements incessants et de déportation de ma famille. J’avais aussi très peur des remontées périodiques de l’antisémitisme. Je ne suis d’ailleurs pas entièrement rassuré. À l’âge du bilan, j’ai décidé de ne plus me cacher derrière un baptême catholique qui n’a pas fait de moi un pratiquant.

A.J. : Quelles sont vos origines ?

P.B. : Ma mère s’appelait Gensburger et était d’origine alsacienne. Elle s’est mariée avec un juif, petit-fils de rabbin, d’origine lorraine par sa mère et italienne par son père. Il était tailleur. Enfant, j’avais des pantalons sur mesure. Plus tard, j’ai habillé mes contemporains à ma façon !

A.J. : Avez-vous reçu une éducation religieuse ?

P.B. : Aucune. Mes parents m’ont dit : «Tu choisiras quand tu seras plus grand». On ne choisit rien. J’ai épousé une jeune fille catholique et je me suis marié à l’église.

A.J. : Quel est votre lien à la communauté ?

P.B. : Il me semble que les juifs partagent la disposition d’une certaine forme d’intelligence que j’appelle «l’intelligence sémite» et que je juge différente des autres. Pas forcément supérieure -encore que !- mais une intelligence qui ne cesse d’aller de l’abstrait au concret et qui a des facultés d’adaptation. Mais quand on appartient à un peuple voué à l’exil, mieux vaut avoir ces capacités d’adaptation !

Propos recueillis par Carol Binder

 

L’AP Jette Les Bases D’un Futur « État Palestinien » (Jerusalemplus.com)

Six villes, deux aéroports, un complexe high-tech, une université et un système de routes pour relier tout cela sont inclus dans le nouveau plan de construction de l’autorité palestinienne visant à établir les faits sur le terrain et créer une continuité territoriale en Judée et Samarie.

Des dizaines de sites de Judée Samarie font partie du nouveau plan de construction pour lequel les autorités refusent d’attendre la reprise des pourparlers de paix et jettent les bases et les infrastructures d’un état indépendant.

Le journal israélien Yedioth Ahronoth a obtenu un document détaillant les projets de constructions qui font partie du « plan Fayyad », un modèle pour un état palestinien de facto.

La majorité des projets sont prévus dans la zone C, contrôlée par Israël, et beaucoup d’entre eux ont déjà commencé. Certains sont en attente d’approbation de l’administration civile, l’instance israélienne dirigeante qui opère en Judée et Samarie.

L’autorité palestinienne espère pousser les projets que l’administration civile rejettera par le biais de négociations comme « mesures de confiance ». Compte tenu des fréquentes visites du secrétaire d’état américain John Kerry dans la région, le plan semble ancré dans la réalité.

Les pétitions adressées à l’administration civile révèlent que les palestiniens ont l’intention d’ériger cinq villes et une ville touristique sur les rives de la mer Morte appelée Moonlight. Les deux aéroports seraient construits à Jérusalem Est et dans la vallée du Jourdain. Des plans sont également en place pour mieux canaliser l’eau naturelle et les ressources énergétiques et créer des installations de purification d’eau.

La partition de la Judée Samarie comme stipulée par les accords d’Oslo est la suivante : la zone A représente 11% de la Judée Samarie et est sous contrôle total de l’AP. La zone B représente 28% de la région et est contrôlée civilement par l’AP, avec un contrôle militaire d’Israël, alors que la zone C, qui représente environ 61% du territoire, est sous contrôle civil et militaire israélien total.

En août 2009, le premier ministre palestinien Salam Fayyad a publié un document intitulé « la fin de l’occupation et la création d’un état », disant que l’état palestinien s’élèvera sur la Judée Samarie dans les frontières de 1967, Jérusalem Est inclus. Depuis, Fayyad a travaillé à brouiller les distinctions entre les trois zones A, B et C.

Certains de projets repris dans le plan sont financés par des gouvernements étrangers, notamment l’Allemagne.

Le conseil de la Yesha a déclaré dans un communiqué que le plan représente un danger pour la sécurité d’Israël, une violation des obligations données à Israël, et va à l’encontre du droit international.

 

Commission européenne: rejet de la demande de 4 ministres de l’Intérieur pour limiter l’immigration

Si l’Europe favorise la libre circulation des capitaux et des biens, elle favorise aussi la libre circulation des personnes venant de l’extérieur de l’UE. L’Europe et sa machine lourde et idéologisée n’a même pas le goût du débat.

 

Lu dans El Pais du 8 juin 2013 « L’Europe la plus riche se heurte avec Bruxelles sur l’immigration ». Lucia Abellan, traduction Observatoire de l’islamisation.

« L’immigration européenne génère des « coûts additionnels considérables, spécifiquement dans l’éducation, la santé et le logement » dans les villes d’Allemagne, du Royaume-Uni, d’Autriche et de Hollande. L’Europe la plus prospère a abandonné les euphémismes pour questionner sans ambages un des piliers de l’UE: la libre circulation des personnes. Les ministres de l’Intérieur des 27 ont débattu hier à Luxembourg sur ces supposés abus à l’origine d’une lettre dans laquelle ces quatre pays ont demandé un frein. 

La manière de poser le problème a suscité un énergique rejet de la Commission européenne, qui exige de ces pays des chiffres avant de lancer de telles accusations. (…) La Commissaire aux Affaires intérieures Cécilia Malmstrom a insisté afin que les pays signataires de la lettre présentent des données. Soutenu par son confrère autrichien, le ministre allemand Hans Peter Friedrich a lancé à Malmstrom qu’il « suffit de marcher dans les rues de ces villes allemandes pour comprendre le problème« .

(…) Au nom du Conseil Européen, le ministre irlandais, Alan Shatter, a averti des risques de xénophobie que comportent les discours de ce type (…) Le ministre espagnol (PP, droite), Jorge Fernandez Diaz, s’est rangé derrière la thèse majoritaire et a défendu la libre circulation comme « quelque chose appartenant au code génétique de l’UE »

(suite dans l’édition du 8 juin d’El Pais)

Ambiance.

Europe Israël

Source: islamisation.fr

 

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