blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

etzbetzion

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Blog dans la catégorie :
Actualités

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

etzbetzion

Offensive anti-israélienne en provenance de la Syrie ? (Marc Lev : le blog).

Et si le régime syrien (appuyé par l'Iran) préparait une offensive anti-israélienne ?

 

La situation de génocide ( que certains voient, d'autres moins ou pas...) qui sévit en Syrie ne doit pas pour autant nous aveugler quant aux intentions évidentes de Assad au cas où...

Si l'on se reporte à ce qu'un blog syrien ( Our Country's News) laisse entendre, il s'avère qu'Assad a rencontré le Chef des armées ce jeudi 1er mars dans le plus grand secret afin de lui ordonner de déclarer un conflit armé contre Israël au cas où les Etats Unis concrétiseraient une attaque contre le régime syrien.

Il s'avèrerait de-même que des Quartiers Généraux ont été installés conjointement à Damas comme à Téhéran, comme au Liban, et que des officiers syriens comme iraniens coordonnaient déjà avec l'aide supplémentaire du Hezbollah des opérations armées contre des cibles israéliennes au cas où...

Il y aurait ainsi un accord voulant qu'en cas d'attaque d'armées étrangères sur le territoire syrien, le régime iranien comme le Hezbollah se sont engagés à envoyer simultanément des missiles vers le territoire d'Israël (Jordanianwebsite)...

Quoiqu'il en soit il est déjà un fait d'évidence: les stocks d'armes en possession du Hezbollah sont plus que bien fournis, et l'idée d'un rajout de missiles sophistiqués circulant de Syrie vers le Liban en cas de chute du régime de Assad n'a rien d'une simple hypothèse...

D'ailleurs le Général en Chef israélien Yair Golan en charge du commandement de la région Nord d'Israël n'hésite pas à déclarer: " si jamais le régime de Assad tombait il y aurait un réel danger que des stocks d'armes sophistiquées comprenant entre autre des missiles terre-mer, des missiles de défense aérienne se retrouveraient dans les mains du Hezbollah et de groupes extrémistes"...

Face à cette situation de guerre civile syrienne l'état d'Israël a fait savoir à la Croix Rouge Internationale que celui-ci était prêt à fournir de l'aide humanitaire aux syriens qui fuiraient leur pays. Le Ministre des Affaires Etrangères Lieberman a ainsi déclaré: " il est impossible pour le peuple juif de ne pas agir alors que des gens innocents sont tués quotidiennement dans un pays voisin"...Ce dimanche c'était "quelques" 2000 civils qui fuyaient vers la frontière du Nord Liban.

Alors, quelles solutions pour Israël ? Doit-on rester totalement en-dehors de ce conflit ? Doit-on avoir une vision humaine de ce génocide ? Et demain, si jamais la région s'enflammera, les populations aidées de Syrie viendront-elles aider la population israélienne ?...

Une fois de plus un conflit interne à un pays voisin d'Israël entraine une obligation de réagir, d'agir, et durant ce temps l'International condamne les agissements du régime syrien...

Marc Lev: auteur de "Après-demain ?" où les pieds de nez iraniens (et donc syriens...) semblent avoir été devinés... et de "Et si..?" où la terreur et le terrorisme se retrouvent à nos portes...(eds Edilivre).

 

Preuves de la divinité de Yeshoua HaMashiah', Jésus le Messie.

Alors que certains Juifs messianiques, tout comme les Témoins de Jéhovah, soutiennent que Jésus-Christ n’est pas D.ieu, il est bien de sonder les Ecritures pour examiner ce qu’il en est.

Néanmoins, précisons que cette doctrine ne fait ni l’unanimité ni autorité parmi les frères messianiques, loin s’en faut. Il s’agit vraiment de quelques individus isolés.

 

Voici donc une série de versets à lire avec attention, qui nous rassurent pleinement sur le fait que Jésus, Yeshoua,  est D.ieu.

 

Même s’il n’y a qu’un seul D.ieu :

-          Deut. 6 : 4-5

-          Marc 12 : 29.

-          Marc 12 : 32

-          Jean 17 : 3

-          Rom. 3 : 30

-          1 Cor. 8 : 4-6

-          Gal. 3 : 20

 

Et même si le Père est différent du Fils, car le Fils prie le Père, car le Fils est sur la terre quand le Père parle du haut du ciel (par exemple lors du baptême de Jésus) et car le Fils dit que le Père est plus grand que Lui (Jean 14 : 28), 

 

nous pouvons affirmer sans équivoque que Jésus, Yeshoua en hébreu, est bien D.ieu. Prenons notre bible, et lisons !

 

-          Esaïe 9 : 5 (…D.ieu puissant)

-          Marc 14 : 61-64

-          Luc 24 : 52

-          Jean 1 : 1-14 (en rapport avec Gen. 1 : 1 et Eph. 3 : 9)

-          Jean 1 : 18

-          Jean 5 : 19-20

-          Jean 5 : 18

-          Jean 5 : 23

-          Jean 8 : 24

-          Jean 8 : 58-59 (en rapport avec Ex. 3 : 14)

-          Jean 9 : 38

-          Jean 10 : 30-31

-          Jean 10 : 33

-          Jean 11 : 25

-          Jean 12 : 41

-          Jean 14 : 6-7

-          Jean 14 : 9-11

-          Jean 17 : 5

-          Jean 18 : 6

-          Jean 20 : 28

-          Actes 7 : 59-60

-          Rom. 9 : 5

-          Rom. 10 : 13 (en rapport avec Joël 2 : 32)

-          1 Cor. : 1-2

-          1 Cor. 8 : 6

-          1 Cor. 10 : 4 (en rapport avec Esaïe 44 : 8)

-          2 Cor. 5 : 19

-          2 Cor. 8 : 9

-          2 Cor. 12 : 8-9

-          Phil. 2 : 5-8

-          Phil. 2 : 6

-          Phil. 2 : 10-11 (en rapport avec Esaïe 45 : 22-23)

-          Col. 1 : 15

-          Col. 2 : 9

-          2 Thess. 1 : 12

-          1 Tim. 3 : 16

-          Tite 2 : 13-14

-          Hébr. 1 : 8-9 (en rapport avec Ps. 45 : 7-8)

-          Hébr. 1 : 1-14 (en rapport avec Ps. 102 : 26-28)

-          Hébr. 2 : 7

-          2 Pierre 1 : 1

-          1 Jean 5 : 13-15

-          1 Jean 5 : 20-21

-          Apoc. 1 : 18

-          Apoc. 2 : 23 (en rapport avec Jér. 17 : 10)

-          Apoc. 5 : 8

-          Apoc. 5 : 9, 10, 12, 13 : adoration de l’Agneau (en rapport avec Apoc. 4 : 8-11, adoration de D.ieu)

-          Apoc. 22 : 20

 

A D.ieu soit la gloire !

 

Un Français sur deux (51 %) : oui à l'adoption par les couples homosexuels (Le Monde).

Un Français sur deux (51 %) se dit favorable à l'adoption par les couples homosexuels, indique un sondage IFOP pour Femme actuelle et Enfant magazine publié lundi 5 mars. En 2005, ils étaient 46 % des Français.

L'adoption homoparentale est rejetée par la majorité des personnes âgées de 50 ans et plus (59 %) mais aussi des catholiques, qu'ils soient pratiquants réguliers (78 %) pratiquants occasionnels (65 %) ou non pratiquants (52 %).

De même, l'opposition à cette idée est d'autant plus forte que les personnes se situent à droite de l'échiquier politique, 36 % des sympathisants de gauche y étant opposés, contre 59 % des sympathisants du MoDem, 65 % des sympathisants de la droite parlementaire et 70 % des sympathisants FN, souligne le sondage.

Le candidat socialiste Français Hollande s'est dit favorable au mariage et à l'adoption par les couples homosexuels, alors que le président Nicolas Sarkozy s'y est déclaré opposé.

83 % POUR LA RECONNAISSANCE DU BEAU-PARENT

L'égalité des droits entre couples homosexuels et hétérosexuels fait l'objet d'un large assentiment en matière de fiscalité (78 %) et de droits de succession (79 %), souligne aussi le sondage. Plus de huit Français sur dix (83 %) sont aussi favorables à un véritable statut du beau-parent dans les familles recomposées (droit de visites, obligation de subvenir aux besoins des enfants...), soit une proportion en nette hausse par rapport à celle mesurée il y a quatre ans (67 %).

Le sondage a été réalisé sur Internet du 13 au 17 janvier auprès d'un échantillon de 1 005 personnes représentatif de la population française âgé de 18 ans et plus selon la méthode des quotas.
 

 

Israël : "Jésus au point de contrôle" (Israël Flash).

Du 5 au 9 mars prochains se tiendra à Bethléem la conférence «Christ at the Checkpoint» organisée par un groupe de Chrétiens palestiniens.

«Nicolas Berdiaeff a écrit: «Les Chrétiens s’interposent entre le Christ et les Juifs, dissimulant à ceux-ci le vrai visage du Sauveur.» (Jules Isaac, «Genèse de l’Antisémitisme», Calmann-Levy, Paris, 1985, p. 281)

Photo à la une: Le Bethleem Biblical College – Conférence Christ at the Checkpoint (remarquer la photo de l’enseigne: l’église sur fond du mur de sécurité)

Par Myriam Ouizemann

Du 5 au 9 mars prochains se tiendra à Bethléem la conférence «Christ at the Checkpoint» organisée par un groupe de Chrétiens palestiniens. Visiblement, il s’agit pour les organisateurs de dénoncer l’occupation israélienne des territoires de Judée-Samarie, s’il ne s’agit pas tout simplement de tout Israël, tant l’ambigüité des termes est grande. Que l’on ne s’y trompe pas: nul mot n’est soufflé sur la situation des Chrétiens palestiniens persécutés par les Musulmans palestiniens. Il va de soi que s’il y a persécution, il ne peut s’agir que de la persécution israélienne, juive s’entend.

Les organisateurs, avec une dextérité verbale sans pareille, (toute sucre toute fiel… pardon: toute miel) prétendent traiter de l’occupation israélienne non pas politiquement, mais avec leur foi chrétienne. Pourtant, sous les mots doucereux propres à tromper même l’Institut Van Leer de Jérusalem, c’est bel et bien d’un traitement politique qu’il s’agit. Pour nous en convaincre, le logo du site «Christ at the Checkpoint» se passe de commentaires: une église sur fond du mur de sécurité.  Attention, il ne s’agit pas du mur garantissant la sécurité des Israéliens contre les actes de terrorisme palestiniens, qu’ils soient Chrétiens ou Musulmans, mais du mur que les organisateurs aimeraient bien qualifier de «mur de la honte».

Mais il y a pire: le mardi 6 mars de 10 h à 10 h 30, Yohanna Katanacho, membre du Groupe du Caire de 2008 à 2010 et co-auteur du Document du Caire,  parlera de la communauté chrétienne palestinienne et du «Document du Caire» qu’elle connaît bien.  C’est dire si cette conférence est tendancieuse… Il suffit de jeter un coup d’œil sur ce fameux document présenté le 11 décembre 2009 à Bethléem.  Le site de l’institut Tunisien des Relations Internationales en parle longuement. Il s’agit d’un appel «vibrant» de la communauté chrétienne palestinienne «à leurs frères chrétiens du monde entier pour que cesse enfin l’occupation israélienne de la Palestine» (dont les frontières par ailleurs ne sont pas définies explicitement.

S’agit-il uniquement de la Judée-Samarie? On n’en est pas sûr du tout.) Cet appel du Caire, nous explique-t-on, rappelle un document présenté en 1985 par les Eglises sud-africaines dénonçant l’apartheid qui sévissait alors, appel qui avait entraîné sa chute. Les Palestiniens chrétiens veulent sans doute réitérer le même succès. Allez donc croire que «la nécessité d’une paix accompagnée  de justice»  motive les signataires dudit document: Michel Sabbah, du patriarcat latin de Jérusalem, Munib Younan, évêque luthérien de Jérusalem, l’archevêque Théodosios Atallah Hanna de Sébastia, du Patriarcat orthodoxe grec de Jérusalem…

Leur volonté révélée est d’attirer «l’attention du monde sur le mur de séparation érigé en territoire palestinien, le blocus de Gaza, les ravages causés à leurs terres par les colonies israéliennes, l’humiliation aux points de contrôle, les restrictions en matière de liberté religieuse et le contrôle des accès aux lieux saints, le sort des réfugiés attendant leur droit au retour et des prisonniers croupissant dans les prisons israéliennes, le mépris manifeste d’Israël pour le droit international ainsi que la paralysie de la communauté internationale face à cette tragédie.»

Pas moins. L’appel à la légitime défense d’Israël est bien sûr balayée d’un coup d’encensoir,  car «s’il n’y avait pas d’occupation il n’y aurait pas de résistance». Les sérénissimes auteurs du document font preuve de courte mémoire: ils ont déjà oublié que les «mouvements de résistance (!)» palestiniens ont fleuri dès avant la guerre des Six Jours, avant même «l’occupation israélienne» dénoncée par le document (à moins que pour eux, l’occupation israélienne des territoires s’étend à toute la «Palestine»??? Le flou est de rigueur à ce sujet).

Les mots pour rejeter l’existence d’Israël sont à peine couverts, la promesse biblique de la terre étant pour les signataires du document «une introduction au salut universel» non liée à la terre ancestrale du «peuple de la Bible» (c’est vrai j’oubliais: il s’agit bien sûr des Chrétiens, défini comme «nouveau peuple de Dieu». Les signataires, d’ailleurs, ne le cachent pas: la mission de «lumière pour les Nations» incombe… à l’Eglise de Palestine, évidemment, comme le fait si justement (!) remarquer Sami Awad, l’un des organisateurs de la conférence, dans la vidéo explicative (que l’on peut voir sur le site «Christ at the Checkpoint»).

Et voilà: les grands mots sont lancés: «l’occupation des terres palestiniennes [est qualifiée] de péché à l’encontre de Dieu et de l’humanité». Ni plus ni moins. Les auteurs du document justifient la «résistance» (que les Israéliens qualifient de «terrorisme») car «dans une approche pacifique (sic), la résistance est autant un droit qu’un devoir, car elle a la capacité de hâter le moment de la réconciliation».

Le but des organisateurs est clair: il s’agit, aux dires de Salim Munayer Musalaha, s’exprimant dans la vidéo susdite, de «développer une théologie ici, c’est-à-dire dans le contexte duquel Jésus est né…» [Non, il ne dit pas: Le Pays, mais: le contexte. Je souligne]. Parlerait-il ici de la nouvelle «théologie de la Libération» que prêche Mgr Rafik Houry, l’un des signataires du Document du Caire? Salim Munayer Musalaha continue: «La croix en est le centre».

Se pourrait-il qu’il veuille la prendre «par l’autre bout, et en faire une épée, pour nous frapper avec»? (selon Ernie dans le magnifique passage du livre d’André Schwarz-Bart: «Le Dernier des Justes», p. 298 aux éditions du Seuil, 1959). Effectivement, si, comme le dit Jack Sara, vice-président du Bethleem Biblical College dans la vidéo explicative du site, «le Christ est en train de construire son Eglise ici, parmi les Palestiniens», quel rôle donner aux Juifs revenus sur leur terre? Aucun, selon la vieille habitude antisémite chrétienne. Le Christ serait-il donc Palestinien, comme l’affirme Maurice Buttin, ancien président du Comité France-Palestine? («les Palestiniens peuvent bien affirmer aujourd’hui non pas «Jésus était palestinien», mais «Jésus est palestinien», comme Il est de chacun des peuples de la terre qui croient en lui.»)

Oui on parle beaucoup de paix, de foi, de vérité dans la présentation de cette conférence. Beaucoup. Cependant, il est clair qu’en fait de paix, cette conférence veut réconcilier les Chrétiens entre eux («l’Eglise est une», affirme Jack Sara) pour développer le terrorisme, vu comme un moyen licite d’en finir avec l’occupation israélienne.

Il est vrai que Jésus a traité ses coreligionnaires les Juifs de son temps, dans un moment de colère, de «génération méchante et adultère» (Mt 12, 39). Que ne dirait-il pas à ces Chrétiens dont les motivations sont aussi floues que les frontières de ce qu’ils appellent Palestine?

«Jésus au point de contrôle»… s’il s’y présente, sûrement, un soldat lui dira «shalom». Il répondra par la même salutation: «shalom», puis le soldat jettera un coup d’œil dans sa voiture et lui fera un petit signe de la main, comme c’est le cas pour ces milliers d’Israéliens qui l’empruntent pour se rendre chez eux, à leur travail ou en visite chez des amis. Et Jésus saura se sentir chez lui au sein de ce peuple qui, comme lui, porte le tallit, comme lui, se rend à la synagogue, comme lui, lit dans le rouleau de la Thorah chaque shabbat…  Oui, Jésus est bien «un simple Juif, comme ton père, une sorte de hassid… et je te parie qu’ils se seraient bien entendus tous les deux, car c’était vraiment un bon Juif, tu sais, dans le genre du Baal Shem Tov: un miséricordieux, un doux. Les Chrétiens [antisémites – M.O.] disent qu’ils l’aiment, mais moi je pense qu’ils le détestent sans le savoir…» (Ernie à Golda dans le livre d’André Schwarz-Bart: «Le Dernier des Justes», p. 298 aux éditions du Seuil, 1959).

Myriam Ouizemann pour Israël-flash

http://www.christatthecheckpoint.com/ (vidéo explicative)

http://tunisitri.wordpress.com/2009/12/15/le-document-kairos-palestine/#more-816

http://www.approches92.com/jesuspalestinien.htm (Du site de Maurice Buttin)

 

 

La famille du Rav Amsallem exemplaire (Israel7).

En pleine tourmente politique conséquente à la décision de la Cour Suprême d’abroger la Loi Tal sur l’exemption de Tsahal des jeunes orthodoxes, il convient de citer en exemple le Rav Haïm Amsallem, qui a accompagné lundi matin son troisième fils, Yaakov, à la base de recrutement de Tel-Hashomer pour effectuer son service militaire.

« Mon fils a décidé de servir l’Etat, notre Etat, face aux ennemis qui rêvent de nous détruire, et il est fier de revêtir l’uniforme de Tsahal », déclare avec émotion et fierté le Rav Amsallem, propos si rares dans la bouche de dirigeants spirituels orthodoxes. Le Rav Amsallem avait été exclu du parti « Shass » pour avoir émis des idées « politiquement incorrectes » notamment celle de considérer qu’un jeune qui n’était pas fait pour les études en Yeshiva à plein temps devrait apprendre un métier et accomplir son service militaire.

Deux autres fils du Rav Amsallem ont déjà achevé leur service, et en accompagnant son troisième fils, le Rav a déclaré « qu’il voyait cela comme un grand honneur et un mérite de voir que son fils allait servir dans une unité combattante de Tsahal ». Yaakov Amsallem a étudié dans plusieurs yeshivot mais a finalement décidé de donner aussi sa part à l’effort national en effectuant son service militaire.

Très ému, le Rav Amsallem a déclaré « que personne d’autre qu’un père ne pouvait ressentir ce que c’était d’amener un fils pour servir le pays et de ne pas dormir la nuit en se souciant de son sort ». « Je comprendrais d’autant plus le sens de la bénédiction pour les soldats de Tsahal que je récite le Shabbat au moment de sortir la Torah », rajoute-t-il.

Le Rav Amsallem précise « qu’il faut impérativement garder un noyau de gens qui s’adonnent à l’étude de la Torah à temps plein car c’est la spécificité du peuple juif », mais dit-il « il y a beaucoup de jeunes qui ne sont pas fait pour cela, qui perdent leurs temps, ou même voudraient faire l’armée, mais sont coincés à cause des pressions sociales très lourdes de la société orthodoxe ». Il espère « que l’enrôlement de son fils servira d’exemple à de nombreuses familles séfarades orthodoxes qui sont influencées aujourd’hui par le modèle lituanien ashkénaze ».

Le Rav Amsallem, qui a créé le mouvement extra-parlementaire « Am-Shalem », espère avoir un jour les moyens politiques de faire entrer ses idées iconoclastes mais ô combien bienvenues dans le monde orthodoxe, séfarade notamment, et permettre une combinaison harmonieuse entre le service militaire et le respect strict de la Halakh’a.

 

Minibluff the card game

Hotels